Basket Info

fondugolf a écrit : ↑mer. 08 oct. 2025 11:00

kristoferthorir a écrit : ↑mar. 07 oct. 2025 17:58

Tinytiger a écrit : ↑mar. 07 oct. 2025 17:44

Aurait-il pu jouer le premier match ? Probablement que non. Or, ni la ligue, ni les arbitres, ni la table n'ont réagi. Le joueur était donc qualifié. Reste que des contrôles sont visiblement en cours.

Ben, c'est pas certain, parce qui si les déclarations d'embauche et de visa de travail ont été effectuées, de bonne foi par Boulazac et la LNB en partant du principe que son dernier pays salarié était un pays de l'UE (Grêce au PAOK) alors qu'en fait il fallait considérer que c'était un pays hors UE (la Lettonie donc) il a peut-être fallu que des alertes "sonnent" en préfecture ou à l'urssaf pour se rendre compte de l'erreur à retardement...

Pour moi la Lettonie fait partie de L'UE au même titre que la Grèce cela ne devrait donc pas interféré pour son nouveau contrat de travail.

Ah ben oui, évidemment, j'sais pas pourquoi j'les imaginais en dehors, certainement la frontière commune avec vous-savez-quel-pays
Y'a certainement des subtilités qu'on n'maitrise pas en matière de visas mais à priori en effet, un ressortissant de l'UE, qui n'a travaillé récemment que dans l'UE et qui solicite un nouveau visa de travail dans l'UE, ça parait tout ce qu'il y'a de plus banal... Le mystère reste entier

Basket-ball (Betclic Élite) : la LNB dévoile les budgets, Saint-Quentin garde les pieds sur terre

La Ligue nationale de basket a dévoilé les budgets et masses salariales des clubs de Betclic Élite pour la saison 2025-2026. Si la moyenne du championnat dépasse désormais les 10 millions d’euros, le SQBB reste loin des géants du plateau.
Philippe Da Silva et son staff ont dû faire face à une baisse de budget pour cette saison.
Philippe Da Silva et son staff ont dû faire face à une baisse de budget pour cette saison. - GH
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Par Anthony Ottou
Publié: 8 Octobre 2025 à 14h02
3 min
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Ce lundi 6 octobre 2025, la Ligue nationale de basket (LNB) et la Direction nationale du conseil et du contrôle de gestion (DNCCG) ont dévoilé les budgets et masses salariales des clubs de Betclic Élite pour la saison 2025-2026.

Une Betclic Élite plus riche que jamais

À la lecture de ces chiffres, une impression domine : le championnat de France continue de grandir à vive allure. Pour la première fois depuis la création de la LNB, le budget moyen des clubs de Betclic Élite franchit la barre symbolique des 10 millions d’euros, pour s’établir à 10,3 millions. Une hausse spectaculaire de 18 % par rapport à la saison précédente.


Le budget de chaque club de Betclic.
Le budget de chaque club de Betclic. - LNB
Symbole de cette inflation continue, l’AS Monaco confirme son statut de géant du basket français avec un budget colossal de 38,715 millions d’euros – soit près de neuf fois celui du SQBB – et une masse salariale qui atteint 20,134 millions d’euros.

Et le SQBB dans tout ça ?

Le SQBB, 15e au classement économique la saison dernière avec un budget brut de 4,256 millions d’euros, gagne une place cette année, devançant désormais Boulazac et Le Portel. Une progression symbolique qui masque pourtant une réalité moins favorable : le club axonais voit son budget reculer de 3 %. Cette contraction s’explique d’abord en partie par la disparition progressive d’une subvention publique, autrefois essentielle. Ce soutien, qui s’élevait à 150 000 euros en 2023-2024, avait déjà été divisé par deux la saison suivante… avant d’être supprimé cette année.

L’Europe, une aventure coûteuse

Autre facteur : la participation européenne de la saison passée, bien plus coûteuse que prévu. En octobre 2024, à la veille de la Basketball Champions League, le club a découvert qu’il devait s’acquitter de 15 000 euros de frais de diffusion télévisée par rencontre. Une dépense inattendue, d’autant plus frustrante que d’autres clubs français engagés dans la compétition – comme Nanterre 92 – n’ont, eux, rien eu à payer. Avec quatre matchs disputés à domicile (Rhodes, Tenerife, Karsiyaka, Galatasaray), la facture a vite grimpé. Sur le plan sportif, l’expérience restera enrichissante, mais sur le plan économique, elle n’a pas eu le rendement espéré : les affluences n’ont pas explosé, les partenaires n’ont pas davantage répondu présent et les recettes des rencontres européennes sont restées en deçà des attentes. À cela se sont ajoutés les déplacements européens (20.000 € par déplacement), 3 en phase de poule, alourdis par deux voyages supplémentaires à Istanbul lors du play-in.

Côté masse salariale, la tendance est similaire. Le SQBB voit son enveloppe passer de 1,688 million d’euros à 1,663 million brut, soit une légère baisse de 1 %. Philippe Da Silva a donc dû composer une équipe « à bas coût », en misant sur des profils de caractère et quelques paris de recrutement. Le club conserve néanmoins une place honorable (12e rang de Betclic Élite) et affiche un ratio de 40 % de masse salariale par rapport à son budget global – l’un des plus élevés du championnat.


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St Quentin est la 12ème masse salariale du championnat.
St Quentin est la 12ème masse salariale du championnat. - LNB
Et oui L’argent fait le bonheur ?

Le dicton s’est vérifié la saison dernière en Betclic Élite. Parmi les huit plus gros budgets du championnat, seule la SIG Strasbourg – cinquième avec 7,118 millions d’euros a manqué les playoffs. Et dans le dernier carré, on retrouvait sans surprise les quatre géants du moment : Monaco, Paris, l’ASVEL et la JL Bourg.

À Saint-Quentin, il faudra une nouvelle fois répondre à cette équation à sa manière — avec de la sueur, de la solidarité, et cette énergie unique qui fait sa différence.

Le budget moyen des clubs de Betlic ne veut rien dire, c'est complétement faussé par Monaco et Paris.

Je serais curieux de connaitre le budget moyen d'un club en retirant de ce calcul les équipes d'Euroligue, je pourrais le faire.....mais la flemme :

dreamgaiden a écrit : ↑mer. 08 oct. 2025 16:52 Le budget moyen des clubs de Betlic ne veut rien dire, c'est complétement faussé par Monaco et Paris.

Je serais curieux de connaitre le budget moyen d'un club en retirant de ce calcul les équipes d'Euroligue, je pourrais le faire.....mais la flemme :

Disons que pour plus de représentativité, il faudrait parler du budget médian, le niveau de budget ou 8 clubs sont au dessus, et 8 clubs en dessous !

Je voulais juste dire au sujet de PDS :

J'arrive très tôt à la salle et quand je gagnais ma place il était assis sur une chaise des loges, je suis donc allé le voir et je l'ai félicité pour le jeu mis en place contre l'ASVEL, je lui ai dit qu'en tout cas pour ma part c'était vraiment un basket que j'appréciais beaucoup , et que la victoire ne tarderait pas.

Et franchement il m'a semblé carrément ouvert, sa réputation d'être affable et proche des gens ne m'étonne pas, il a le contact très facile, et c'est quelqu'un de très tactile, il m'a serré la main en utilisant ses deux mains, après quelques échanges je lui ai souhaité bonne chance pour la suite car je ne voulais pas trop l'emmerder mais j'aurais pu parler basket avec lui pendant des heures....

Dès que le match s'est terminé, Jacquart, mon voisin m'a montré, il a foncé sur Prache et Marlène, et ensuite il est allé parler aux White Devils.
Et vous avez remarqué ?....il fait le tour de la salle pour taper dans les mains du public avec ses joueurs.

Non vraiment, je comprends qu'il récolte autant de message de sympathie sur les réseaux sociaux de personnes de Nanterre ou autre, un mec avec beaucoup de valeurs humaines je pense.

Basket-ball (Coupe de France) : le cri du cœur de Neftali Difuidi, symbole d’un SQBB enfin libéré

Neftali Difuidi a livré son premier grand match de la saison. Entre cri du cœur, émotion et promesse, le jeune arrière a incarné un SQBB retrouvé et en progression, fidèle à ses valeurs de combativité et de famille.
Neftali Difuidi aime Saint-Quentin et son seul souhait est de réussir dans l’Aisne.
Neftali Difuidi aime Saint-Quentin et son seul souhait est de réussir dans l’Aisne. - G.H
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Par Anthony Ottou
Publié: 8 Octobre 2025 à 18h53
4 min
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À la suite d’une interception de Giovan Oniangue, Neftali Difuidi s’élance en contre-attaque. Panier… et faute. Mais pendant une seconde, il ne réalise pas. Figé entre l’effort et l’explosion. Puis soudain, tout sort : un cri féroce, un poing abattu sur la mousse du panneau, comme pour libérer tout ce qu’il retenait depuis des jours.

Hier (lundi), je lui ai demandé : « Est-ce que tu vas jouer ton jeu ? Est-ce que tu vas être toi-même ?
Philippe Da Silva
Neftali Difuidi, c’est ça : un joueur frisson, habité par le jeu, traversé d’émotions brutes. Un jeune homme encore en construction, parfois dérouté par les exigences de son coach, parfois crispé sous le poids des attentes. Mais avant tout, un talent immense que Philippe Da Silva connaît depuis longtemps, et qu’il aime comme un fils.


« Il me dit souvent que je suis comme son fils, confie Neftali. Je sais qu’il est derrière moi pour mon bien. Il me parle beaucoup, il veut que je progresse. Je m’étais mis un peu trop de pression lors des deux premiers matches, mais ce soir, dès le début, on m’a dit de jouer mon jeu, en liberté. Je suis content : c’est mon premier gros match de la saison… et je ne veux surtout pas que ce soit le dernier. »

+ 26 pour son équipe quand il est sur le terrain

La veille déjà, à l’entraînement, les deux hommes s’étaient parlés longuement, franchement. Des moments précieux dans la construction d’une équipe.

« Je crois beaucoup en lui, confie Philippe Da Silva. Hier, je lui ai demandé : « Est-ce que tu vas jouer ton jeu ? Est-ce que tu vas être toi-même ? » Il m’a répondu oui. Maintenant, il doit toujours être comme ça, parce qu’il a beaucoup de talent. Ce soir, il a lancé la révolte. C’est un garçon que je connais depuis tout petit, à Boulazac, avec sa maman. Je connais son parcours de vie assez difficile, sa famille. J’ai envie qu’il réussisse Ce lien paternel, j’y tiens, car ces joueurs-là te le rendent sur le terrain. »

À l’image de son équipe, Difuidi est monté en puissance. Auteur de 14 de ses 19 points en seconde mi-temps, il a été l’un des artisans majeurs de la victoire. Au quotidien, il peut compter sur la bienveillance de ses coéquipiers. « Giovan Oniangue, Nick Johnson, Boris Dallo, Lucas Boucaud… ce sont des leaders, des gars qui ont vécu des choses dans le basket. Ils nous aident, surtout nous les plus jeunes. C’est précieux d’avoir des vétérans comme eux. »


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Une histoire d’amour entre lui et Saint-Quentin

Approché par plusieurs clubs de Betclic Élite, c’est à Saint-Quentin qu’il a choisi de poser ses valises après deux belles années en Pro B. « Ici, c’est ma famille. Ce club, ces supporters, c’est unique. Entre Saint-Quentin et moi, c’est une vraie histoire d’amour. J’étais déjà là en 2021-2022, prêté par Orléans. Tout le monde savait que je voulais rester. À une période compliquée, quand j’étais au plus bas, Julien Mahé m’a toujours soutenu. Il disait même, à la fin, que j’avais été le meilleur joueur des playoffs. Aujourd’hui, je suis revenu avec l’envie de grandir et de rendre toute la confiance que Laurent et Marlène ont placée en moi. Ce sont des gens en or. Ici, on peut appeler à 3 heures du matin, on sait qu’on sera écouté. C’est pour ça que ça me tient à cœur de réussir. »

Après une préparation prometteuse, ses deux premières sorties en Betclic Élite avaient rappelé que la marche restait haute. Mais Difuidi veut croire que ce match référence marque le vrai départ de sa saison.« Je sais que je peux aider l’équipe. Mais ça passera par le travail, par la constance. Il y aura des hauts et des bas, mais il ne faut pas baisser les bras dans les moments durs, ni s’enflammer quand tout va bien. Tout peut aller vite. »

gerco a écrit : ↑mer. 08 oct. 2025 19:20 Basket-ball (Coupe de France) : le cri du cœur de Neftali Difuidi, symbole d’un SQBB enfin libéré

Neftali Difuidi a livré son premier grand match de la saison. Entre cri du cœur, émotion et promesse, le jeune arrière a incarné un SQBB retrouvé et en progression, fidèle à ses valeurs de combativité et de famille.
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Neftali Difuidi aime Saint-Quentin et son seul souhait est de réussir dans l’Aisne. - G.H
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Publié: 8 Octobre 2025 à 18h53
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À la suite d’une interception de Giovan Oniangue, Neftali Difuidi s’élance en contre-attaque. Panier… et faute. Mais pendant une seconde, il ne réalise pas. Figé entre l’effort et l’explosion. Puis soudain, tout sort : un cri féroce, un poing abattu sur la mousse du panneau, comme pour libérer tout ce qu’il retenait depuis des jours.

Hier (lundi), je lui ai demandé : « Est-ce que tu vas jouer ton jeu ? Est-ce que tu vas être toi-même ?
Philippe Da Silva
Neftali Difuidi, c’est ça : un joueur frisson, habité par le jeu, traversé d’émotions brutes. Un jeune homme encore en construction, parfois dérouté par les exigences de son coach, parfois crispé sous le poids des attentes. Mais avant tout, un talent immense que Philippe Da Silva connaît depuis longtemps, et qu’il aime comme un fils.


« Il me dit souvent que je suis comme son fils, confie Neftali. Je sais qu’il est derrière moi pour mon bien. Il me parle beaucoup, il veut que je progresse. Je m’étais mis un peu trop de pression lors des deux premiers matches, mais ce soir, dès le début, on m’a dit de jouer mon jeu, en liberté. Je suis content : c’est mon premier gros match de la saison… et je ne veux surtout pas que ce soit le dernier. »

+ 26 pour son équipe quand il est sur le terrain

La veille déjà, à l’entraînement, les deux hommes s’étaient parlés longuement, franchement. Des moments précieux dans la construction d’une équipe.

« Je crois beaucoup en lui, confie Philippe Da Silva. Hier, je lui ai demandé : « Est-ce que tu vas jouer ton jeu ? Est-ce que tu vas être toi-même ? » Il m’a répondu oui. Maintenant, il doit toujours être comme ça, parce qu’il a beaucoup de talent. Ce soir, il a lancé la révolte. C’est un garçon que je connais depuis tout petit, à Boulazac, avec sa maman. Je connais son parcours de vie assez difficile, sa famille. J’ai envie qu’il réussisse Ce lien paternel, j’y tiens, car ces joueurs-là te le rendent sur le terrain. »

À l’image de son équipe, Difuidi est monté en puissance. Auteur de 14 de ses 19 points en seconde mi-temps, il a été l’un des artisans majeurs de la victoire. Au quotidien, il peut compter sur la bienveillance de ses coéquipiers. « Giovan Oniangue, Nick Johnson, Boris Dallo, Lucas Boucaud… ce sont des leaders, des gars qui ont vécu des choses dans le basket. Ils nous aident, surtout nous les plus jeunes. C’est précieux d’avoir des vétérans comme eux. »


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Approché par plusieurs clubs de Betclic Élite, c’est à Saint-Quentin qu’il a choisi de poser ses valises après deux belles années en Pro B. « Ici, c’est ma famille. Ce club, ces supporters, c’est unique. Entre Saint-Quentin et moi, c’est une vraie histoire d’amour. J’étais déjà là en 2021-2022, prêté par Orléans. Tout le monde savait que je voulais rester. À une période compliquée, quand j’étais au plus bas, Julien Mahé m’a toujours soutenu. Il disait même, à la fin, que j’avais été le meilleur joueur des playoffs. Aujourd’hui, je suis revenu avec l’envie de grandir et de rendre toute la confiance que Laurent et Marlène ont placée en moi. Ce sont des gens en or. Ici, on peut appeler à 3 heures du matin, on sait qu’on sera écouté. C’est pour ça que ça me tient à cœur de réussir. »

Après une préparation prometteuse, ses deux premières sorties en Betclic Élite avaient rappelé que la marche restait haute. Mais Difuidi veut croire que ce match référence marque le vrai départ de sa saison.« Je sais que je peux aider l’équipe. Mais ça passera par le travail, par la constance. Il y aura des hauts et des bas, mais il ne faut pas baisser les bras dans les moments durs, ni s’enflammer quand tout va bien. Tout peut aller vite. »

Ben dis donc quand je lis ce que j'ai souligné gerco, ça m"étonne pas que beaucoup de joueurs se sentent bien ici.
Mais sérieux comment voulez-vous qu'on ne se décroche pas un poumon ou qu'on ne se pète pas la voix en soutenant ce genre de mec, ils sont durs avec nous