dreamgaiden a écrit : ↑jeu. 25 sept. 2025 19:22
Purée j'ai ameuté tout le Facebook du club avec cette histoire
Heureusement ça se termine bien... Vous voyez que la mobilisation ça sert.... Allez on va chercher Macron !!!
Mince je m'égare....
Et tout ça pour aller prendre une branlée à Boulazac !!
Bien joué les gars. Un petit coup de pression et les choses rentrent dans l’ordre. A la limite je préfère les retransmissions sans commentaires sauf si il y a Ali Traoré ou Stephen Brun mais pitié pas Thomas Larrouquis.
dreamgaiden a écrit : ↑jeu. 25 sept. 2025 19:22
Purée j'ai ameuté tout le Facebook du club avec cette histoire
Heureusement ça se termine bien... Vous voyez que la mobilisation ça sert.... Allez on va chercher Macron !!!
Mince je m'égare....
Et tout ça pour aller prendre une branlée à Boulazac !!
e duo Philippe Da Silva - Giovan Oniangue se livre avant la rentrée du SQBB
Installé à Nanterre depuis 2018, Philippe Da Silva tourne une nouvelle page de son histoire. "Excité par ce nouveau challenge", il compte s’appuyer sur Giovan Oniangue pour mettre du cœur à l’ouvrage dans un club qui n’en manque pas. Rencontre avec deux têtes fortes du SQBB version 2025/26.
TEDDY PEREZ
septembre 26, 2025 . 7:01 AM 4 lecture min
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À domicile, Saint-Quentin plus fort que tout
Dans une Betclic Elite à 16 équipes et hautement compétitive, de quoi peut rêver ce nouveau SQBB ? “Nous avons toutes les capacités pour être la bonne surprise”, prévient Philippe Da Silva. Mais le coach reste prudent : “Nous aborderons cette saison match après match [...] Il y aussi une part de vérité que nous ne contrôlons pas. Les blessures, l’enchaînement des matchs qui peut faire la différence sur la perte de confiance.” Mais Saint-Quentin peut s’appuyer sur un allié de taille…
“C’est vraiment notre 6e homme.” S’il y a eu du changement dans l’effectif et sur le banc de Saint-Quentin, une chose ne change pas : “la ferveur du public”. Avant que Philippe Da Silva ne pose ses valises au SQBB, Giovan Oniangue lui avait prévenu de l’amour des supporters de Pierre-Ratte, “rares parmi ceux de Betclic Elite qui se déplacent et font du bruit dans les autres salles”.
“J’étais choqué de voir à quel point ils étaient passionnés”, se rappelle Giovan Oniangue lors de ses premiers matchs sous le maillot du SQBB. Depuis, il a “appris à les connaître” et sait une chose : “Plus on va gagner des matches, mieux ce sera. Ils vont encore nous porter.”
Une motivation supplémentaire qui a convaincu Philippe Da Silva de quitter Nanterre : “Je suis un vrai passionné et ressentir cet engouement tous les jours autour du club, car c’est vraiment le cas dans le centre-ville, c’est génial.” “Ils sont un vrai facteur X”, ajoute le coach qui a déjà vu la capacité des Saint-Quentinois à “mettre la pression sur l’adversaire.”
Da Silva - Oniangue, un nouveau trajet ensemble
Cette saison est aussi l’occasion pour Philippe Da Silva et Giovan Oniangue de se retrouver au sein du même effectif. “C’est une belle histoire, on se connaît depuis longtemps”, note l’aîné des deux. Ils ont évolué ensemble sous le maillot de Paris Levallois lors de la saison 2011-2012, lors de la première (vraie) saison pro du second.
Le technicien franco-portugais s’en rappelle : “Quand je le compare à la génération des espoirs qu’il y avait, c’était peut-être le joueur qui partait un peu en retard. Mais ses qualités de travail, de guerrier, mentales, font que c’est lui qui est en train de durer. Son challenge est de vouloir progresser, repousser ses limites.”
L’entraîneur, qui a aussi duré au plus haut niveau, est “sensible à la longévité” d’Oniangue, qui atteint ainsi les 17 saisons professionnelles dans le championnat de France : “À un certain âge, il faut avoir cette ambition de venir s’entraîner tous les jours. Forcément il prend de l’âge, en plus c’est quelqu’un qui joue beaucoup avec le cœur, avec le physique.”
À 34 ans, le joueur a d’ailleurs reçu toute la confiance de son coach, nous partage-t-il : “Il m’a dit 'Écoute Giovan, tu vas progresser encore.’ C’est important d’entendre ça, en plus j’ai encore les jambes pour.”
“L’histoire du bus”, souvenir commun d’un 10 décembre 2011
Interrogés sur leur passif commun, les deux nous ont partagé dans un large sourire une anecdote savoureuse. Voici “l’histoire du bus”, par Philippe Da Silva :
“Nous étions en déplacement, nous revenions de Cholet où nous avions gagné et ils m’ont oublié à la station service à deux heures du matin. L’intendant n’était pas descendu du bus et avait oublié de compter. Quand je sors de la station service, je vois le bus démarrer mais je pensais que c’était une blague. Finalement, il est bien parti. Je n’avais pas de téléphone, pas de papier. C’est un routier qui m’a pris. Nous avons essayé de passer par ma maman, ma femme, la femme du coach pour arriver finalement à avoir le coach au téléphone. Personne ne s’en était rendu compte car les jeunes, ils sont souvent au fond du bus, d’autres dorment, mettent les casques, regardent un film puis tout le monde n’était pas sorti du bus.”
Après quelques recherches, il semblerait que ce match date du 10 décembre 2011. Philippe Da Silva se souvenait avoir réalisé une bonne rencontre. Confirmation, il avait terminé la partie avec 5 points, 3 rebonds et 6 passes décisives, avec la victoire à la clé.
J'ai retenu ça :....Qui c'est le facteur X ?....C'est nous !!
“Nous aborderons cette saison match après match [...] Il y aussi une part de vérité que nous ne contrôlons pas. Les blessures, l’enchaînement des matchs qui peut faire la différence sur la perte de confiance.” Mais Saint-Quentin peut s’appuyer sur un allié de taille…
“C’est vraiment notre 6e homme.” S’il y a eu du changement dans l’effectif et sur le banc de Saint-Quentin, une chose ne change pas : “la ferveur du public”. Avant que Philippe Da Silva ne pose ses valises au SQBB, Giovan Oniangue lui avait prévenu de l’amour des supporters de Pierre-Ratte, “rares parmi ceux de Betclic Elite qui se déplacent et font du bruit dans les autres salles”.
“J’étais choqué de voir à quel point ils étaient passionnés”, se rappelle Giovan Oniangue lors de ses premiers matchs sous le maillot du SQBB. Depuis, il a “appris à les connaître” et sait une chose : “Plus on va gagner des matches, mieux ce sera. Ils vont encore nous porter.”
Une motivation supplémentaire qui a convaincu Philippe Da Silva de quitter Nanterre : “Je suis un vrai passionné et ressentir cet engouement tous les jours autour du club, car c’est vraiment le cas dans le centre-ville, c’est génial.” “Ils sont un vrai facteur X”, ajoute le coach qui a déjà vu la capacité des Saint-Quentinois à “mettre la pression sur l’adversaire.”
Et l'histoire du bus de Philippe Da Silva, juste énorme
“Nous étions en déplacement, nous revenions de Cholet où nous avions gagné et ils m’ont oublié à la station service à deux heures du matin. L’intendant n’était pas descendu du bus et avait oublié de compter. Quand je sors de la station service, je vois le bus démarrer mais je pensais que c’était une blague. Finalement, il est bien parti. Je n’avais pas de téléphone, pas de papier. C’est un routier qui m’a pris. Nous avons essayé de passer par ma maman, ma femme, la femme du coach pour arriver finalement à avoir le coach au téléphone. Personne ne s’en était rendu compte car les jeunes, ils sont souvent au fond du bus, d’autres dorment, mettent les casques, regardent un film puis tout le monde n’était pas sorti du bus.”
Après quelques recherches, il semblerait que ce match date du 10 décembre 2011. Philippe Da Silva se souvenait avoir réalisé une bonne rencontre. Confirmation, il avait terminé la partie avec 5 points, 3 rebonds et 6 passes décisives, avec la victoire à la clé.
Modifié en dernier par dreamgaiden le ven. 26 sept. 2025 9:36, modifié 1 fois.
Lazuli a écrit : ↑jeu. 25 sept. 2025 21:15
La question étant finalement la suivante : branlée or not branlée ? -40 ou -10 ?
Franchement là, difficile à pronostiquer.....positif ou négatif ? c'est aussi chaud que quand tu souffles dans l'alcootest en serrant les fesses parce que t'as bu une bière et demie, ça peut basculer d'un côté ou de l"autre
Basket-ball (Betclic Élite) : Le Palio s’enflamme pour Boulazac, le SQBB veut souffler la bougie
Pour son grand retour en Betclic Élite, Boulazac s’appuie sur un collectif déjà soudé et un Palio qui n’a besoin que d’une étincelle pour s’embraser. Mais face à la liesse annoncée, le SQBB entend jouer les trouble-fêtes et empêcher le promu de célébrer trop vite.
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Par Anthony Ottou
Publié: 26 Septembre 2025 à 11h00
5 min
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Il y a une semaine, à Roland-Garros, la Supercoupe a donné le ton. Interrogé sur le fait d’avoir enchaîné sans vrai repos après l’EuroBasket, Élie Okobo, l’une des têtes d’affiche de Monaco, a eu une formule qui résume parfaitement l’état d’esprit des joueurs : « Je suis comme un enfant, le sac à dos prêt pour la rentrée. Rappelez-vous, il y a toujours cette excitation quand arrive la rentrée scolaire. C’est pareil, le début de championnat, nous l’attendons tous. »
Après plus de six semaines de préparation, l’impatience est générale. À Saint-Quentin comme dans les quinze autres clubs de Betclic Élite, les corps sont affûtés, les automatismes encore en construction, mais l’envie de plonger enfin dans la saison est immense.
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Certes, ils montent de Pro B, mais ils sont costauds. Ils ont su nous poser des problèmes et nous forcer à jouer sérieux. Vous verrez, ils vont embêter énormément d’équipes
Elie Okobo, Joueur de l’AS Monaco, qui a affronté Boulazac en Supercoupe
Juste après sa métaphore d’écolier impatient, Élie Okobo n’a pas oublié de rendre hommage à Boulazac. Premier obstacle dressé devant l’armada monégasque lors de la Supercoupe, le promu a montré qu’il avait déjà l’étoffe d’un trouble-fête. Sur la feuille, la défaite fut lourde, mais sur le terrain, rien n’a été simple.
« Certes, ils montent de Pro B, mais ils sont costauds. Ils ont su nous poser des problèmes et nous forcer à jouer sérieux. Vous verrez, ils vont embêter énormément d’équipes », soufflait le meneur monégasque.
Ses mots résonnaient quelques heures plus tard. Sur le court Philippe-Chatrier, les Périgourdins faisaient chavirer le public en renversant Paris Basketball. Menés de quatorze longueurs (54-40), ils signaient une seconde mi-temps magistrale, portée par une défense de zone implacable, qui réduisait au silence les coéquipiers de Nadir Hifi.
Le ton est donné : Saint-Quentin est averti. Boulazac n’est pas revenu en Betclic Élite pour jouer les passagers d’un aller-retour express.
« Ce qu’ils ont montré lors de la Supercoupe ne m’a pas surpris, confie Philippe Da Silva, l’entraîneur du SQBB. Bien au contraire. Nous avons suivi toute leur préparation et, malgré les blessures, ils ont livré de très belles prestations. Ce qu’ils ont fait face à Monaco et Paris, c’est dans la continuité. La preuve qu’ils possèdent déjà énormément de qualités. »
Le BDD a tout pour être le SQBB d’il y a 2 ans
Si la défense de zone reste la marque de fabrique d’Alexandre Ménard – l’un des plus fins stratèges défensifs de la division –, c’est bien le collectif qui saute aux yeux.
« La défense de zone a piégé Paris, rappelle Da Silva. Mais attention : Paris n’avait que trois semaines d’entraînement, des Media Days à gérer, et encore peu de vécu collectif et face à la zone c’est. Cela dit, ça n’enlève rien aux qualités de Boulazac. Ils ont toujours su imposer cette défense de zone. En Pro B, déjà, ils avaient posé d’énormes problèmes. »
Mais réduire le BBD à ce seul registre défensif serait une erreur. Le coach saint-quentinois insiste : « Ils possèdent aussi des joueurs de talent, et d’autres vrais role players, capables d’exécuter à la perfection ce qu’on leur demande, dans une grosse ambiance. »
Depuis le début de la préparation et la Supercoupe, Angelo Warner est incandescent : plus de 17 points de moyenne et une efficacité retrouvée. À 33 ans, l’ancien meneur, désormais décalé sur le poste 2 pour l’épargner de la pression des montées de balle, vit une véritable seconde jeunesse.
Le Palio terre d’exploit
À ses côtés, Amit Ebo orchestre le jeu avec brio. Meilleur passeur du championnat lituanien l’an dernier, le meneur israélien conjugue vista et adresse longue distance, formant avec Warner une paire d’arrières redoutables.
Derrière eux, l’expérience continue de parler : Tony Snell, vétéran de 648 matches NBA, apporte son sang-froid et sa longueur, tandis qu’Ousman Krubally, du haut de ses 37 ans, reste une véritable forteresse dans la raquette.
Le tout s’exprime dans une ambiance incandescente au Palio, qui n’a besoin de presque rien pour s’embraser. « Ils n’ont perdu que deux fois l’an dernier à domicile, rappelle Philippe Da Silva. Je connais bien cette salle, cette ville. Ils aiment le basket et ils ont une équipe capable d’enflammer l’atmosphère. À nous de les limiter, d’imposer notre impact défensif et de contrôler le rythme en attaque. Ce n’est jamais simple de voyager, et encore moins d’affronter un promu qui veut célébrer son retour dans l’Élite par une victoire. »
Boulazac prépare la fête : un collectif soudé, des cadres d’expérience et un Palio prêt à s’embraser. Mais dans ce décor de célébration, le SQBB rêve d’endosser le rôle de l’invité indésirable, celui qui débarque sans prévenir et vient éteindre la musique.
BOULAZAC – SAINT-QUENTIN
Ce samedi 27 septembre 2025. Salle : Le Palio.
Arbitres : Jean-Charles Collin, Pierre Landy et Benjamin Boury
BOULAZAC : Amit Ebo, Angelo Warner, Thomas Ville, Tony Snell, Cyrille Eliezer-Vanerot, Ousman Krubally, K.J Williams, Essome Miyem, Théo Magrit et Jacob Grandison.
SAINT-QUENTIN : Lucas Boucaud, Nick Johnson, Loic Schwartz, Liam O’Reilly, Neftali Difuidi, Boris Dallo, Giovan Oniangue, Jordan Caroline, Eddie Ekiyor, Clifton Moore.
Les trois clés de la rencontre
Par A.Ottou
1. Museler les snipers
Alexandre Ménard s’est forgé une réputation de tacticien défensif, mais son équipe n’a rien d’un bloc austère. Boulazac aime partager le ballon, faire circuler, et punir derrière l’arc. Dimanche dernier face à Paris, le BBD a tenté plus de tirs à trois points (43) qu’à deux, et en a converti 14. Une tendance lourde qui fait des Périgourdins une vraie menace extérieure. Pour le SQBB, la première mission sera donc de fermer le périmètre, couper les lignes de passe et empêcher les artilleurs comme Warner, Grandison ou Ebo de prendre feu.
2. Déjouer la zone
C’est la signature d’Alexandre Ménard : une défense de zone bien huilée, éprouvée dès la Pro B et redoutée désormais en Élite. Paris s’y est cassé les dents, et même Monaco a dû s’appuyer sur un Nikola Mirotic inspiré pour trouver la faille. Les Saint-Quentinois savent à quoi s’attendre : patience et lucidité seront indispensables pour ne pas tomber dans le piège. Trouver les bons tirs, multiplier les renversements, mais aussi défendre fort et courir pour profiter des relances, voilà l’antidote pour ne pas subir cette toile d’araignée défensive.
3. Tenir face au Palio
Saint-Quentin connaît la puissance d’une salle en fusion avec Pierre-Ratte. Mais à Boulazac, on peut en dire autant. Pour son retour en Betclic Élite, le Palio (5 200 places) sera plein à craquer et chaque panier du BBD sera célébré comme une victoire. Gérer ces moments d’euphorie, garder le cap et ne pas se laisser emporter par la ferveur adverse seront essentiels. Car si les Axonais parviennent à contrôler leurs nerfs et à imposer leur rythme, ils auront les armes pour faire dérailler la fête du promu.
@dreamgaiden : Bonjour copain ! Ça y est,votre match est affiché sur DAZN : en multiplex ET en solo. Les 2 autres ( dont celui du CSP) ne devraient pas tarder à l'être aussi.
Pierre de a écrit : ↑ven. 26 sept. 2025 13:36
@dreamgaiden : Bonjour copain ! Ça y est,votre match est affiché sur DAZN : en multiplex ET en solo. Les 2 autres ( dont celui du CSP) ne devraient pas tarder à l'être aussi.
Bonne nouvelle !...J'ai regardé tout à l'heure et ce n'était pas le cas.
Bon je vais pouvoir préparer le saucisson
Lazuli a écrit : ↑jeu. 25 sept. 2025 21:12
Bien joué les gars. Un petit coup de pression et les choses rentrent dans l’ordre. A la limite je préfère les retransmissions sans commentaires sauf si il y a Ali Traoré ou Stephen Brun mais pitié pas Thomas Larrouquis.
Lazuli a écrit : ↑jeu. 25 sept. 2025 21:12
Bien joué les gars. Un petit coup de pression et les choses rentrent dans l’ordre. A la limite je préfère les retransmissions sans commentaires sauf si il y a Ali Traoré ou Stephen Brun mais pitié pas Thomas Larrouquis.
Thomas Lagrossetriche tu veux dire
Effectivement la condamnation prud'hommes était de 400 000 euros, et encore à l'époque !
Ça faisait cher de la minute jouée pour le peu qu'on l'a vu sur un terrain pendant ses deux saisons de contrat !