Pourquoi ??
LIGUE 2 SAISON 2025/2026
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Re: LIGUE 2 SAISON 2025/2026
Vous avancez des informations sans avoir décision de la federation.
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Re: LIGUE 2 SAISON 2025/2026
Ennuyée la FFBB ? Pas si sûr, il y a plusieurs solutions :FT87 a écrit : ↑sam. 12 juil. 2025 20:26 A mon avis, la Fédé est très ennuyée car 3 équipes ont des déficits très importants et devraient être reléguées (Asvel, Tarbes et Alençon). Alors comment faire ? Il va tout de même falloir statuer rapidement car vis à vis des joueuses et des supporters cette attente doit être compliquée à supporter et quid alors des clubs qui les remplaceraient (Chartres et ....)
- Si Lyon, Tarbes et Alençon sont rétrogradés en Régionale.
La LF2 reste à 12 clubs (voir le lien ici du compte-rendu du Bureau Fédéral du 22 juin 2025, qui émet cette hypothèse). Et la SIG monte en LF2.
- Si Lyon ou Tarbes est rétrogradé en Régionale, l'autre maintenu en LFB et si Alençon est rétrogradé en Régionale.
La LF2 reste à 12 clubs OU la SIG et Rouen montent en LF2.
- Si Lyon ou Tarbes est rétrogradé en Régionale, l'autre rétrogradé en LF2 et si Alençon est rétrogradé en Régionale.
La LF2 reste à 12 clubs OU la SIG et Rouen montent en LF2.
- Si Lyon et Tarbes sont rétrogradés en LF2 et si Alençon est rétrogradé en Régionale.
La SIG monte en LF2.
- Si Lyon ou Tarbes est rétrogradé en LF2, l'autre maintenu en LFB et si Alençon est rétrogradé en Régionale.
La SIG monte en LF2.
- Si Lyon et Tarbes sont maintenus en LFB et si Alençon est rétrogradé en Régionale.
La SIG monte en LF2.
- Si Lyon et Tarbes sont rétrogradés en Régionale et Alençon maintenu en LF2.
La LF2 reste à 12 clubs OU la SIG et Rouen montent en LF2.
- Si Lyon ou Tarbes est rétrogradé en Régionale, l'autre maintenu en LFB et si Alençon est maintenu en LF2.
La SIG monte en LF2.
- Si Lyon ou Tarbes est rétrogradé en Régionale, l'autre rétrogradé en LF2 et si Alençon est maintenu en LF2.
La SIG monte en LF2.
- Si Lyon et Tarbes sont rétrogradés en LF2 et si Alençon est maintenu en LF2.
- Si Lyon ou Tarbes est rétrogradé en LF2, l'autre maintenu en LFB et si Alençon est maintenu en LF2.
- Si Lyon et Tarbes sont maintenus en LFB et si Alençon est maintenu en LF2.
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Re: LIGUE 2 SAISON 2025/2026
Feytiat vient de présenter son effectif pour la saison à venir avec un budget encore en baisse du fait de l'arrêt d'un important sponsor. Un seul objectif : le maintien et il faudra probablement faire des miracles pour y arriver mais le coach à l'habitude et il sait faire.
A la mène Nganfina qui arrive de Dieppe et Clet de Montbrison
Postes 2/3 Raynaud, Louveton de Montbrison, Dutruel de Genève, Saillard du centre de formation de Montpellier
Postes 4/5 M'Baye, Poulain de Tarbes, MIcheaux (US), Ndiaye de Basket Landes
A la mène Nganfina qui arrive de Dieppe et Clet de Montbrison
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Re: LIGUE 2 SAISON 2025/2026
Effectivement beaucoup de paris pour Feytiat dictés par un micro budget encore en baisse par rapport à l'année dernière, on va espérer un nouveau miracle de nos diablesses, content quand même que MBaye et Raynaud restent en espérant que le reste de la future équipe réalise des miracles sous les ordres du sorcier Sicsic
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Re: LIGUE 2 SAISON 2025/2026
Le Populaire Sports
Feytiat Basket 87 a fait avec les moyens du bord : huit recrues débarquent en Haute-Vienne pour la saison 2025 - 2026.
Alors qu’une demi-douzaine de clubs féminins ont été retoqués par la Commission de Contrôle de Gestion (CCG), Feytiat s’est serré la ceinture pour continuer son aventure en LF2. Avec des moyens réduits, il a tenté des paris pour constituer son effectif dans lequel Arzhelenn Chavoutier ne figure plus.
Le basket féminin va mal. Très mal. Les clubs meurent les uns après les autres. Cela a commencé par Villeurbanne rétrogradé en NF3, puis la CCG a mis des cartons jaunes et des cartons rouges à des bastions du basket féminin comme Tarbes (LFB) et Lyon-ASVEL (LFB), ainsi qu'à Alençon (LF2), Roanne (NF1) et Cherbourg-en-Cotentin (NF1) qui pourraient tous évoluer en Ligue Régionale la saison prochaine . . .
Cela ne sera pas le cas de Feytiat Basket 87 qui, grâce à sa gestion rigoureuse, a passé haut la main son audition : "tant qu’il n’y aura pas de prise de conscience collective, tout cela ne pourra pas durer très longtemps", note le président Stéphane Serve au sujet du basket féminin. "Ici, on n’a jamais surpayé les joueuses car on n’a pas les moyens".
"Ce qui m’inquiète réellement c’est la fuite des meilleures joueuses françaises vers l’étranger", poursuit Cyril Sicsic, son coach. "Pour les salaires, certains disent que c’est la faute des agents. Je pense que c’est la faute des clubs : s’ils mettaient vraiment l’argent qu’ils ont et pas celui qu’ils aimeraient avoir, la gestion serait beaucoup plus saine !".
En raison de la perte d’un important sponsor, le technicien a dû composer avec une masse salariale sensiblement réduite pour composer son effectif 2025 - 2026.
Ainsi, il n’a pu conserver que deux joueuses de l’an dernier (sur dix) : l’arrière Émilie Raynaud (1,83 m, 23 ans) et l’intérieure Stépha M’Baye (1,80 m, 30 ans).
Pour épauler ces deux joueuses référencées en LF2, l’ancien coach de LFB a fait des paris :
. Postes 1 : Nganfina qui arrive de Dieppe et Clet de Montbrison.
. Postes 2/3 : Raynaud, Louveton de Montbrison, Dutruel de Genève, Saillard du centre de formation de Montpellier.
. Postes 4/5 : M'Baye, Poulain de Tarbes, MIcheaux (US) et Ndiaye de Basket Landes.
Feytiat Basket 87 a fait avec les moyens du bord : huit recrues débarquent en Haute-Vienne pour la saison 2025 - 2026.
Alors qu’une demi-douzaine de clubs féminins ont été retoqués par la Commission de Contrôle de Gestion (CCG), Feytiat s’est serré la ceinture pour continuer son aventure en LF2. Avec des moyens réduits, il a tenté des paris pour constituer son effectif dans lequel Arzhelenn Chavoutier ne figure plus.
Le basket féminin va mal. Très mal. Les clubs meurent les uns après les autres. Cela a commencé par Villeurbanne rétrogradé en NF3, puis la CCG a mis des cartons jaunes et des cartons rouges à des bastions du basket féminin comme Tarbes (LFB) et Lyon-ASVEL (LFB), ainsi qu'à Alençon (LF2), Roanne (NF1) et Cherbourg-en-Cotentin (NF1) qui pourraient tous évoluer en Ligue Régionale la saison prochaine . . .
Cela ne sera pas le cas de Feytiat Basket 87 qui, grâce à sa gestion rigoureuse, a passé haut la main son audition : "tant qu’il n’y aura pas de prise de conscience collective, tout cela ne pourra pas durer très longtemps", note le président Stéphane Serve au sujet du basket féminin. "Ici, on n’a jamais surpayé les joueuses car on n’a pas les moyens".
"Ce qui m’inquiète réellement c’est la fuite des meilleures joueuses françaises vers l’étranger", poursuit Cyril Sicsic, son coach. "Pour les salaires, certains disent que c’est la faute des agents. Je pense que c’est la faute des clubs : s’ils mettaient vraiment l’argent qu’ils ont et pas celui qu’ils aimeraient avoir, la gestion serait beaucoup plus saine !".
En raison de la perte d’un important sponsor, le technicien a dû composer avec une masse salariale sensiblement réduite pour composer son effectif 2025 - 2026.
Ainsi, il n’a pu conserver que deux joueuses de l’an dernier (sur dix) : l’arrière Émilie Raynaud (1,83 m, 23 ans) et l’intérieure Stépha M’Baye (1,80 m, 30 ans).
Pour épauler ces deux joueuses référencées en LF2, l’ancien coach de LFB a fait des paris :
. Postes 1 : Nganfina qui arrive de Dieppe et Clet de Montbrison.
. Postes 2/3 : Raynaud, Louveton de Montbrison, Dutruel de Genève, Saillard du centre de formation de Montpellier.
. Postes 4/5 : M'Baye, Poulain de Tarbes, MIcheaux (US) et Ndiaye de Basket Landes.
"L'esprit le plus pénétrant a besoin du secours du temps pour s'assurer par ses secondes pensées de la justesse des premières et acquérir, à l'instar de la nature, la maturité de ses productions !"
Henri François d'Aguesseau (1668-1751).
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Re: LIGUE 2 SAISON 2025/2026
La chambre d'appel valide la décision initial de relégué Alençon en région.
Le club va utiliser le dernier recours auprès du CNOSF.
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Re: LIGUE 2 SAISON 2025/2026
C est pas le club...juste le président
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Re: LIGUE 2 SAISON 2025/2026
C’est très facile de faire un équipe qui gagne à Bercy ,qui chope le titre de Nf1 à crédit. Il a bonne mine maintenant le défilé dans les rues d’Alençon !!!
Encore plus facile de prendre 14 contrats pros et d’aller en 1/2 final des PO de ligue 2 avec des joueuses de LFB et une super us
Et que dire de prendre les 300 € des abonnés pour la saison 2025/26 en sachant que le club ne pourrait pas rembourser.
Un scandale
Et malheureusement ce sont les joueuses qui sont victimes de tout ça !
Encore plus facile de prendre 14 contrats pros et d’aller en 1/2 final des PO de ligue 2 avec des joueuses de LFB et une super us
Et que dire de prendre les 300 € des abonnés pour la saison 2025/26 en sachant que le club ne pourrait pas rembourser.
Un scandale
Et malheureusement ce sont les joueuses qui sont victimes de tout ça !
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Re: LIGUE 2 SAISON 2025/2026
Sud-Ouest
L’USBD Alençon est au bord du précipice. Relégué en régionale pour des raisons financières par la Commission de Contrôle de Gestion de la FFBB, le 19 juin 2025, le club présidé par Christophe Gandini a vu sa sanction être confirmée par la chambre d’appel.
Il l’a appris jeudi 17 juillet en fin d’après-midi, par mail, et ne l’a officialisée que ce samedi 19 juillet par voie de communiqué, après réception de la lettre officielle :
https://www.facebook.com/share/p/1BpHqBVGP6/
Le club ornais, qui présentait un déficit de 260000 euros à l’issue de la saison 2024-2025, n’a pas su convaincre l’instance de sa capacité à redresser son déficit budgétaire. Promu au niveau professionnel il y a un an, il risque la liquidation judiciaire et va déposer un ultime recours devant le Comité National Olympique et Sportif Françis (CNOSF).
L’USBD Alençon est au bord du précipice. Relégué en régionale pour des raisons financières par la Commission de Contrôle de Gestion de la FFBB, le 19 juin 2025, le club présidé par Christophe Gandini a vu sa sanction être confirmée par la chambre d’appel.
Il l’a appris jeudi 17 juillet en fin d’après-midi, par mail, et ne l’a officialisée que ce samedi 19 juillet par voie de communiqué, après réception de la lettre officielle :
https://www.facebook.com/share/p/1BpHqBVGP6/
Le club ornais, qui présentait un déficit de 260000 euros à l’issue de la saison 2024-2025, n’a pas su convaincre l’instance de sa capacité à redresser son déficit budgétaire. Promu au niveau professionnel il y a un an, il risque la liquidation judiciaire et va déposer un ultime recours devant le Comité National Olympique et Sportif Françis (CNOSF).
"L'esprit le plus pénétrant a besoin du secours du temps pour s'assurer par ses secondes pensées de la justesse des premières et acquérir, à l'instar de la nature, la maturité de ses productions !"
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Re: LIGUE 2 SAISON 2025/2026
Sud-Ouest Alençon
https://www.facebook.com/share/p/1GE8dhK3mx/
Romain Pierre : "Pour beaucoup, cette chute semble brutale. Mais quand on prend un peu de recul, elle paraît surtout inévitable.
Un club sportif, ce n’est pas qu’une équipe première. Ce n’est pas une vitrine brillante qu’on astique le week-end venu, ni quelques slogans bien trouvés collés sur des ambitions bancales. Ce n’est pas non plus deux années où les victoires servaient d’écran de fumée à une réalité que beaucoup refusaient de regarder en face. Un club, c’est une colonne vertébrale. Et quand on muscle seulement les bras pour les selfies du week-end, en oubliant les jambes, un jour ou l’autre, on s’écroule.
Ici, tout a été recentré autour de l’équipe fanion. Comme si elle était le club à elle seule. Pendant ce temps-là, d’autres équipes, d’autres bénévoles, d’autres chantiers attendaient… ou quittaient le navire. Certains diront qu’il fallait du renouveau, comme si cela justifiait de remplacer en silence les fondations du club par des éléments plus clinquants mais bien moins solides.
Le plus triste ? Ce n’est pas d’avoir rêvé grand. C’est d’avoir pensé que rêver suffisait. On a remplacé la planification par des slogans, les racines par des promesses, et les piliers par des profils LinkedIn de passage. Et tant que ça gagnait, on faisait mine de ne rien voir.
"On voulait jouer les premiers rôles", affirmaient-ils. Ils y sont parvenus : mais dans le dernier acte d’un naufrage annoncé.
Mais ce n’est pas qu’une affaire de président. C’est aussi l’histoire de tous ceux qui, de près ou de loin, ont cru bon de suivre, de relayer, de cautionner. Par naïveté, par opportunisme, ou simplement parce que “ça faisait du bien à l’image de la ville”. Certains même, forts de leur entre-soi sponsorisé, ont profité de l’élan pour créer leurs propres structures fermées, entre deux opérations de com’, sans vraiment se soucier de l’intérêt général.
Aujourd’hui, on parle de liquidation, de licenciements, de licenciés perdus. Et demain ? Une nouvelle promesse creuse, une belle affiche sur les réseaux, un discours inspiré en réunion publique. L’histoire du serpent qui se mord la queue.
Peut-être qu’il est temps de redescendre d’un étage. Et de reconstruire. Avec ce qu’on a vraiment. Pas avec des rêves hors budget, ni des coachs parachutés, ni des façades brillantes derrière lesquelles tout le monde devine que les murs s'effondrent.
Le sport, c’est vivre avec son territoire, pas au-dessus. C’est durer. Pas simplement briller.
Et puisque les comptes sont désormais sur la table, peut-être que ceux qui ont orchestré tout cela (de la présidence au manager général...) devront, eux aussi, apprendre à rendre des comptes. Même si, comme souvent, ceux qui ont allumé l’incendie ne seront plus là quand il faudra ramasser les cendres".
https://www.facebook.com/share/p/1GE8dhK3mx/
Romain Pierre : "Pour beaucoup, cette chute semble brutale. Mais quand on prend un peu de recul, elle paraît surtout inévitable.
Un club sportif, ce n’est pas qu’une équipe première. Ce n’est pas une vitrine brillante qu’on astique le week-end venu, ni quelques slogans bien trouvés collés sur des ambitions bancales. Ce n’est pas non plus deux années où les victoires servaient d’écran de fumée à une réalité que beaucoup refusaient de regarder en face. Un club, c’est une colonne vertébrale. Et quand on muscle seulement les bras pour les selfies du week-end, en oubliant les jambes, un jour ou l’autre, on s’écroule.
Ici, tout a été recentré autour de l’équipe fanion. Comme si elle était le club à elle seule. Pendant ce temps-là, d’autres équipes, d’autres bénévoles, d’autres chantiers attendaient… ou quittaient le navire. Certains diront qu’il fallait du renouveau, comme si cela justifiait de remplacer en silence les fondations du club par des éléments plus clinquants mais bien moins solides.
Le plus triste ? Ce n’est pas d’avoir rêvé grand. C’est d’avoir pensé que rêver suffisait. On a remplacé la planification par des slogans, les racines par des promesses, et les piliers par des profils LinkedIn de passage. Et tant que ça gagnait, on faisait mine de ne rien voir.
"On voulait jouer les premiers rôles", affirmaient-ils. Ils y sont parvenus : mais dans le dernier acte d’un naufrage annoncé.
Mais ce n’est pas qu’une affaire de président. C’est aussi l’histoire de tous ceux qui, de près ou de loin, ont cru bon de suivre, de relayer, de cautionner. Par naïveté, par opportunisme, ou simplement parce que “ça faisait du bien à l’image de la ville”. Certains même, forts de leur entre-soi sponsorisé, ont profité de l’élan pour créer leurs propres structures fermées, entre deux opérations de com’, sans vraiment se soucier de l’intérêt général.
Aujourd’hui, on parle de liquidation, de licenciements, de licenciés perdus. Et demain ? Une nouvelle promesse creuse, une belle affiche sur les réseaux, un discours inspiré en réunion publique. L’histoire du serpent qui se mord la queue.
Peut-être qu’il est temps de redescendre d’un étage. Et de reconstruire. Avec ce qu’on a vraiment. Pas avec des rêves hors budget, ni des coachs parachutés, ni des façades brillantes derrière lesquelles tout le monde devine que les murs s'effondrent.
Le sport, c’est vivre avec son territoire, pas au-dessus. C’est durer. Pas simplement briller.
Et puisque les comptes sont désormais sur la table, peut-être que ceux qui ont orchestré tout cela (de la présidence au manager général...) devront, eux aussi, apprendre à rendre des comptes. Même si, comme souvent, ceux qui ont allumé l’incendie ne seront plus là quand il faudra ramasser les cendres".
"L'esprit le plus pénétrant a besoin du secours du temps pour s'assurer par ses secondes pensées de la justesse des premières et acquérir, à l'instar de la nature, la maturité de ses productions !"
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Re: LIGUE 2 SAISON 2025/2026
Déjà en N3 et N2 ça vivait au dessus de ses moyens...
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Re: LIGUE 2 SAISON 2025/2026
Et les joueuses on en parle ?
Celles qui ont fait confiance à leurs agents peu scrupuleux n’ayant même pas pris le temps d’investiguer pour connaître l’état des finances de ce club . Celles qui ont cru les belles paroles du fameux président , qui sont toujours dans l’attente de leurs salaires. Je ne parle même pas des joueuses ayant 2 ans de contrats qui ne pourront pas signer ailleurs tant que le dernier jugement du tribunal administratif sera rendu probablement en septembre ou cas où la FFBB suivrait une demande de réintégration du cnosf.
Les dirigeants ont intérêt à trouver une solution novatrice et pécuniaire ou à prier très fort pour sauver la face car je pense qu’ils seront inquiétés juridiquement par pas mal de salariés…
Celles qui ont fait confiance à leurs agents peu scrupuleux n’ayant même pas pris le temps d’investiguer pour connaître l’état des finances de ce club . Celles qui ont cru les belles paroles du fameux président , qui sont toujours dans l’attente de leurs salaires. Je ne parle même pas des joueuses ayant 2 ans de contrats qui ne pourront pas signer ailleurs tant que le dernier jugement du tribunal administratif sera rendu probablement en septembre ou cas où la FFBB suivrait une demande de réintégration du cnosf.
Les dirigeants ont intérêt à trouver une solution novatrice et pécuniaire ou à prier très fort pour sauver la face car je pense qu’ils seront inquiétés juridiquement par pas mal de salariés…
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Re: LIGUE 2 SAISON 2025/2026
Plus je lis d'articles sur Alençon plus je trouve cette situation complètement irrationnelle. Comment lancer un recrutement (une pensée pour Aida Sow) et une campagne d'abonnement avec un tel déficit. Aujourd'hui les supporters qui ont pris un abonnement sont également floués (pour 20K€ au total) avec des salariés non payés à priori. Pour espérer un sauvetage, il aurait fallu que la ville, le département demandent une démission du Comité d'Administration et bien entendu du Président avant d'accorder une subvention supplémentaire et mettre en place une nouvelle équipe.
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Re: LIGUE 2 SAISON 2025/2026
basketbreton a écrit : ↑
Amis alenconnais il va falloir mettre la main au porte feuille pour renflouer les caisses de votre club si vous souhaitez que votre club continue en L2...
Pour ça il faut gagner au loto.... en
fait ça m'aurait bien plu.... virer la direction actuelle et y installer des gens compétents. Mais aujourd'hui il faut trouver 180 000 € si la ville d'Alençon met 80 000.00 €
La je ne vois pas comment le CNOSF pourrait valider un dossier avec une dette à hauteur de 30 % du budget....
En fait le mec est arrivé il y a 2 ans. Il y avait 46 000 de dettes et en 2 ans il l'a multiplié par 6... un mec comme ça dans ma boîte il est viré sur le champs.
Je n'arrive pas à comprendre ces gens qui arrivent pour foutre en l'air le travail de dizaines d'années... tout ça pour se la raconter... en juillet août 2024 le président annonce un budget de 1.150 millions. Puis lors de sa vidéo il évoque 950 000 € de budget pour dépenser 1 million... c'est complètement loufoque... il valide le fait de créer une dette de 50 000 € .... il est totalement azimuté et en plus si on l'écoute le club n'aurait pas perçu toutes les subventions et promesses de dons.... c'est du délire.... mais il ne s'arrête pas là... il valide 14 ou 15 contrats de joueuses... là on atteint les sommets de l'incompétence....
Quel irrespect vis à vis des joueuses de l'équipe phare du club, des adhèrents, des licenciés, des bénévoles, et des supporters, des familles des jeunes joueurs du club !
Ce club ne méritait pas ça. C'est hallucinant.
Amis alenconnais il va falloir mettre la main au porte feuille pour renflouer les caisses de votre club si vous souhaitez que votre club continue en L2...
Pour ça il faut gagner au loto.... en
fait ça m'aurait bien plu.... virer la direction actuelle et y installer des gens compétents. Mais aujourd'hui il faut trouver 180 000 € si la ville d'Alençon met 80 000.00 €
La je ne vois pas comment le CNOSF pourrait valider un dossier avec une dette à hauteur de 30 % du budget....
En fait le mec est arrivé il y a 2 ans. Il y avait 46 000 de dettes et en 2 ans il l'a multiplié par 6... un mec comme ça dans ma boîte il est viré sur le champs.
Je n'arrive pas à comprendre ces gens qui arrivent pour foutre en l'air le travail de dizaines d'années... tout ça pour se la raconter... en juillet août 2024 le président annonce un budget de 1.150 millions. Puis lors de sa vidéo il évoque 950 000 € de budget pour dépenser 1 million... c'est complètement loufoque... il valide le fait de créer une dette de 50 000 € .... il est totalement azimuté et en plus si on l'écoute le club n'aurait pas perçu toutes les subventions et promesses de dons.... c'est du délire.... mais il ne s'arrête pas là... il valide 14 ou 15 contrats de joueuses... là on atteint les sommets de l'incompétence....
Quel irrespect vis à vis des joueuses de l'équipe phare du club, des adhèrents, des licenciés, des bénévoles, et des supporters, des familles des jeunes joueurs du club !
Ce club ne méritait pas ça. C'est hallucinant.