[SQBB] 25/26 victoire contre le BCM

[Lazuli]

Je m'excuse de briser la chaine de condoléances, je présente également les miennes même si je ne connaissais pas ce monsieur.

Je voulais juste m'exprimer sur le match d'hier mais sans synthétiser tout ça par manque de temps donc je balance tout en vrac.

- il va falloir relancer O'Reilly qui traverse une crise de confiance, comment expliquer qu'il marque 20 pts lors du 1er match alors qu'il ne connait ni ses co-équipiers ni les systèmes ?
C'est une nécessité, Johnson ne pourra pas toujours scorer ainsi, on doit trouver des relais.
Hier il n'est pas foncièrement mauvais 7 points 1/2 à 3 points....mais il ne shoote pas assez.
Et tout comme à Chalon, il ne joue pas de la deuxième mi-temps.
Perso je l'aurais relancé quart temps 3.

Un autre sujet, si à la salle on a l'impression parfois qu'on défend mal, pour ceux qui ont DAZN je vous invite à regarder le replay du match en prêtant attention aux phases défensives et vous verrez que les défenses du SQBB sont loin d'être inefficaces.
Vous souvenez vous de cette phase défensive où nous étions dans notre demi-terrain et où nous étions tellement haut qu'il n'y avait aucun joueur DES 2 EQUIPES dans la raquette....c'était juste énorme et ça a duré toute la possession pour se terminer par une récupération de balle.

J' ai bien aimé le match d' Ekiyor, son jeu sans ballon était extra hier.

Par contre du côté négatif, je crois qu'on fini avec 2 fautes le quart temps 4, donc encore 2 fautes à donner qu'on utilise pas.
A à peu près 3 minutes de la fin, on concède un mismatch avec Johnson qui se retrouve à défendre sous le cercle contre l'intérieur adverse....panier....on ne fait même pas faute dès qu'il reçoit le ballon pour une remise en jeu sur le côté alors qu'on a 3 fautes à donner à 3 minutes de la fin....incompréhensible.

On a du mal, le quart temps 4 nous libère, mais c'est aussi le jeu du SQBB et les changements de défense incessants qui ont épuisé le BCM qui pour moi craque physiquement dans le dernier quart.

Le SQBB doit aller confirmer à Limoges son beau match à l'extérieur à Chalon, si on arrive à développer notre jeu de transition rapide et si nous avons un minimum d'adresse extérieure, il y a un coup à faire à Beaublanc.

Pour votre défense, avant ce match vous étiez classé 12eme au défensive rating avec 119 pts sur 100 possessions, et maintenant vous êtes 10ème avec 116,5 pts sur 100 possessions, vous avez du faire une défense correcte, mais pas extraordinaire non plus !

Ben il suffit de lire le score, on encaisse 74 points, donc oui pour moi on a bien défendu, surtout que quand j'échange avec des gens on me dit "on ne défend pas".
Pour moi c'est faux et c'est bien pour ça que j'insiste là dessus.
Jamais nous n'aurons une défense aussi performante qu'avec Mahé, mais dire qu'on ne défend pas est faux.
Pour la moyenne que tu donnes elle n'est pas révélatrice du tout car calculée sur 4 matchs, avec le match de Boulazac où on est complétement absents et où concède 94 points !....ce qui plombe littéralement la stat.

Nos joueurs ont de belles aptitudes à défendre, mais je suis d’accord qu’on n’est loin d’être au top dans ce domaine. On laisse trop de shoots faciles sur des oublis défensifs. Et je réitère hier on perd la bataille du rebond en première mi-temps. Les stats rebonds totaux ne veulent rien dire. Il faut regarder le ratio rebonds pris sur tirs ratés. Nous avons pris 7 rebonds offensifs sur 28 tirs ratés (25%) Gravelines 12 sur 37 tirs ratés (33%). Conclusion : ils nous ont dominé dans la peinture.

[dreamgaiden]

Pour votre défense, avant ce match vous étiez classé 12eme au défensive rating avec 119 pts sur 100 possessions, et maintenant vous êtes 10ème avec 116,5 pts sur 100 possessions, vous avez du faire une défense correcte, mais pas extraordinaire non plus !

Ben il suffit de lire le score, on encaisse 74 points, donc oui pour moi on a bien défendu, surtout que quand j'échange avec des gens on me dit "on ne défend pas".
Pour moi c'est faux et c'est bien pour ça que j'insiste là dessus.
Jamais nous n'aurons une défense aussi performante qu'avec Mahé, mais dire qu'on ne défend pas est faux.
Pour la moyenne que tu donnes elle n'est pas révélatrice du tout car calculée sur 4 matchs, avec le match de Boulazac où on est complétement absents et où concède 94 points !....ce qui plombe littéralement la stat.

Nos joueurs ont de belles aptitudes à défendre, mais je suis d’accord qu’on n’est loin d’être au top dans ce domaine. On laisse trop de shoots faciles sur des oublis défensifs. Et je réitère hier on perd la bataille du rebond en première mi-temps. Les stats rebonds totaux ne veulent rien dire. Il faut regarder le ratio rebonds pris sur tirs ratés. Nous avons pris 7 rebonds offensifs sur 28 tirs ratés (25%) Gravelines 12 sur 37 tirs ratés (33%). Conclusion : ils nous ont dominé dans la peinture.

Non, ton raisonnement est faux parce que là tu es entrain de faire une statistique de rebonds basée sur l'opportunité, je veux bien aller jusque là pour te démontrer que nous n'avons pas été dominé au rebond, mais ça ne se calcule pas comme ça.

Prends un aspirine parce que là on part dans les maths :
Pour calculer ton pourcentage exact de rebonds offensifs (que je vais appeler %O.R) tu dois effectuer l'opération suivante :

%O.R = somme de tes rebonds offensifs /(divisée par) (la somme de tes rebonds offensifs + LES REBONDS DEFENSIFS DE L'adversaire)

Mais tu dois aussi faire la même chose CONCERNANT le rebond défensif.

Calcul de pourcentage de rebonds défensifs basé sur l'opportunité (que je vais appeler %D.R) :

%D.R : somme de tes rebond défensifs / (la somme de tes rebonds défensifs + LES REBONDS OFFENSIFS DE L'adversaire)

Et là tu auras les chiffres exacts de rebonds PAR OPPORTUNITE exploités par les clubs après un match, ce que tu as voulu faire.

Dans l'exemple du match SQBB-BCM tu ne peux pas déduire qu'on a été dominé au rebond car tu ne prends que l'aspect rebonds offensifs en compte, bien entendu le BCM sera meilleur, mais sur l'aspect maitrise du rebond défensif le SQBB sera largement devant, pour le verdict il faut comparer les écarts.

Désolé d'avoir été aussi technique, mais je ne pouvais pas faire autrement, mais tu admettras quand même qu'il faut mieux regarder les rebonds totaux qui sont déjà une indication, même si pour toi elle est sommaire, plutôt que de se faire chier de la sorte.

(si tu fais le calcul transmets moi en MP stp parce que moi j'ai assez bossé pour expliquer ça)

[dreamgaiden]

Bon allez Lazuli, ça m'intriguait trop j'ai fait les calculs :

Rebonds offensifs :
SQBB : 7 : (7 + 19) = 0,269 soit 0,27 X 100 = 27 % d'indice de rebonds off par opportunité.

BCM : 12 : (12 + 24) = 0,333 soit 0,33 X 100 = 33 % d'indice de rebonds off par opportunité.

Rebonds défensifs :

SQBB : 24 : (24 + 12) = 0,66 x 100 = 66 % d'indice de rebonds déf par opportunité.

BCM : 19 : (19 + 7) = 0,73 X 100 = 73 % d'indice de rebonds déf par opportunité.

Conclusion :

Les chiffres te donnent raison, le BCM était au dessus du SQBB au rebond sur ce match, même si pour ma défense, les écarts sont minimes.

2eme conclusion : je préfère regarder les rebonds totaux et ne pas me faire chier !

Bon allez j'vais me coucher !

[gerco]

Johnson, Dallo, Ekiyor : un trio pour rallumer la flamme

Le cœur du combat. Eddie Ekiyor, infatigable, a tout donné des deux côtés du terrain pour rallumer la flamme du SQBB. Gaël Hérissé
Basket-ball (Betclic Élite). Pierre-Ratte a vibré comme aux plus beaux soirs. Porté par Nick Johnson, Boris Dallo et Eddie Ekiyor, le SQBB a retrouvé son âme et décroché sa première victoire. Trois hommes, trois symboles, un même cri : un pour tous, tous pour la victoire.
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Ce succès tant attendu dans le derby porte la marque d’un collectif au niveau et de trois visages forts : Nick Johnson, Boris Dallo et Eddie Ekiyor. À tour de rôle, les trois mousquetaires ont fait sauter le couvercle de plomb. Et soudain, Pierre-Ratte s’est muée en table ronde, tout un peuple enfin réuni dans la même ferveur.
1NICK JOHNSON, LE PATRON
Si aujourd’hui vous demandez qui sont les joueurs les plus influents de Betclic Élite, le nom de Nick Johnson reviendra sans doute plus d’une fois. Vendredi soir, le meneur du SQBB a tenu son rang et plus encore. Du premier panier inscrit en soliste au dernier contre arraché, à la dernière seconde, sur Vafessa Fofana, tout a respiré la maîtrise, le sang-froid et la rage du compétiteur. « Nick a fait du Nick , confie Philippe Da Silva. C’est notre leader, il est dans la continuité de ses quatre premiers matches. Mais ce soir, guidé par Nick tous les garçons ont su répondre présent, notamment dans le dernier acte. »
Oui, la victoire est collective. Mais une équipe, dit-on, est toujours à l’image de son leader. Et quand le patron flambe, tout le groupe s’enflamme avec lui. Avec 23 points, 7 passes décisives et 4 rebonds, Johnson a illuminé la soirée, rappelant que le talent n’a de sens que lorsqu’il inspire les autres.
Dans un Pierre-Ratte incandescent, il a électrisé la salle, enchaîné les tirs venus d’ailleurs, célébré chaque panier comme un cri de délivrance (sans prendre de technique). Il n’a pas dirigé le jeu, il l’a dompté.
2BORIS DALLO,
LE COUTEAU SUISSE
« Vous savez, j’ai connu Boris (Dallo) à l’ASVEL, il était plus à 29 % qu’à ce pourcentage-là (100 % à 6/6 ce soir). Mais c’est le basket. » La pique est signée Jean-Christophe Prat, coach du BCM. Songeur face à cette déclaration, Boris Dallo n’a pas voulu alimenter la polémique : « Je pense qu’il n’y a pas de mauvais joueur, seulement de mauvais contextes. L’ASVEL, c’était il y a deux ans, il s’est passé des choses. Je pense qu’il ne faut pas avoir d’avis arrêtés sur les joueurs ou les coachs. Il faut avancer, maîtriser ce qu’on peut maîtriser. Et ce soir, mon seul but était de tout donner pour aider l’équipe à gagner. » Simple, net et précis, à l’image de son match.
Ce vendredi soir, Boris Dallo portait bien son surnom : Mr Propre . 16 points à 100 % aux tirs, 6 rebonds et 4 passes décisives. Au-delà de sa réussite parfaite, il a incarné l’équilibre du SQBB. Chaque fois qu’il a été appelé, il a apporté stabilité et justesse, sans jamais forcer. Il a laissé le jeu venir à lui, scorant en soliste ou dans le prolongement d’actions parfaitement huilées, toujours en quête de la symphonie juste. Surtout, il forme avec Nick Johnson un duo limpide, où l’un inspire quand l’autre respire.
Remplaçant médical de J.P. Dally jusqu’à Limoges vendredi prochain, il n’est plus un secret que le club aimerait le garder plus longtemps pour suppléer Lucas Boucaud, blessé. « Je suis bien ici, je veux aider l’équipe. S’il y a une possibilité de rester, on en discutera, mais c’est secondaire. Le plus important, c’est Limoges, qui peut être mon dernier match. Le reste, je laisse mes représentants gérer. Ce soir, je suis juste heureux de gagner dans cette ambiance. »
3EDDIE EKIYOR,
LE CŒUR DE L’ÉQUIPE
Dans la chaleur du combat, il est le cœur battant de cette équipe, sa première interception du match a lancé les hostilités puis une passe pour Oniangue en transition. Hyperactif, infatigable soldat, Eddie Ekiyor ne triche jamais. Bourré de défauts aux yeux de certains, essentiel aux yeux des autres, il rappelle que l’énergie, la foi et le don de soi ne se mesurent pas en statistiques.
« Eddie a une nouvelle fois été stratosphérique, avoue Da Silva. Et des deux côtés du terrain. Il représente l’énergie du groupe. Il sait tout faire en défense, progresse en attaque. Il peut encore faire mieux. » À l’image de Loïc Schwartz, Ekiyor fait toutes ces petites choses qu’on ne remarque pas sur la feuille de match : défendre sur les petits, contenir la puissance des grands, relancer un ballon au bon moment.
Son panier avec la faute a lancé le dernier coup de collier, dans un Pierre-Ratte conquis par son énergie. Et, peu à peu, il prend confiance en attaque, s’affirme sans jamais forcer, toujours avec son sourire. Comme quoi, toutes ces heures supplémentaires passées chaque matin aux côtés du staff finissent par faire la différence. À l’image d’un collectif qu’il incarne, et qui ne cesse de grandir.

[gerco]

La fièvre du vendredi soir s’empare de Pierre-Ratte
ANTHONY OTTOU

La joie d’une équipe qui a enfin signé sa première victoire en Betclic Elite.

Gaël Hérissé

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Longtemps, le SQBB a souffert face à un BCM toujours en quête de sa première victoire, mais riche en individualités capables de punir la moindre erreur. Dans le troisième quart-temps, quand Gauthier Denis manque ce tir ouvert dans le corner pour offrir +8 à Gravelines, un frisson parcourt Pierre-Ratte. Le danger est réel, la peur aussi.
Mais le souffle change. Dans le dernier acte, les Axonais reprennent la main. Ils imposent leur rythme, verrouillent le rebond et, surtout, rallument la flamme. Le volcan Pierre-Ratte se réveille, prêt à tout emporter sur son passage. C’est ce qu’on appelle la fièvre du vendredi soir.
« La salle est phénoménale, confie Da Silva. Les gens commencent à voir où nous voulons aller. Les fans aiment voir une équipe qui se bat. Et c’est notre priorité. Tout n’est pas parfait, mais on travaille, très dur tous les jours. Et ce soir, nous sommes récompensés. »
LE COUP TACTIQUE GAGNANT DE DA SILVA
Tout part des deux dernières secondes du troisième quart. Philippe Da Silva envoie Nick Johnson sur le parquet et décale Jordan Caroline au poste 5. Coup de poker gagnant : Johnson conclut sur un panier et offre trois longueurs d’avance à son équipe (58-55). Le coach saint-quentinois maintient ce cinq audacieux, misant sur la vitesse et la mobilité – Johnson, Dallo et Schwartz pour accélérer la relance, Oniangue et Caroline pour écarter le jeu et sortir les grands de la raquette.
Résultat : une défense compacte, une communication retrouvée et une explosion offensive. Trois flèches à trois points signées Caroline, Johnson et Oniangue, puis le panier bonifié d’Eddie Ekiyor, revenu en guerrier pour sceller le sort du match. En 1 minute 23, un 8-0 foudroyant. Et derrière, la salle devient incandescente : chants, clameurs, communion totale. Jean-Christophe Prat prend un temps mort, peut-être un peu tard, mais le mal est fait. Saint-Quentin a frappé, fort et juste.
UNE VICTOIRE FONDATRICE
Tout n’a pas encore été maîtrisé : le manque de communication en première période et quelques errements au rebond ont permis au BCM d’y croire. « On a manqué de communication en première mi-temps et on a été trop souvent dominés au rebond, reconnaît Philippe Da Silva. Mais on a su rectifier le tir après la pause . » Des détails à corriger avant Limoges, vendredi prochain. Mais cette victoire , la première de l’ère Da Silva en Betclic , porte la marque d’un collectif qui avance, d’un public qui se rallume et d’une équipe qui, match après match, gagne les cœurs.

[gerco]

LES ÉCHOS
Boucaud encore à l’arrêt
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BOUCAUD ENCORE
À L’ARRÊT
Toujours gêné par une douleur au dos, le meneur du SQBB poursuit les soins et espère pouvoir reprendre l’entraînement collectif début décembre. Son absence prolongée pousse le staff à réorganiser ses rotations en attendant un retour très attendu dans le groupe.
SOIR DE RECORD POUR NICK JOHNSON
Avec une évaluation de 29 vendredi soir, Nick Johnson a signé son meilleur match en Betclic Élite. Une performance supérieure à toutes celles réalisées sous les maillots de Nanterre ou Cholet.
LOIC SCWHARTZ LE 0
SALUÉ
Vendredi soir, Loïc Schwartz a terminé la rencontre sans inscrire le moindre point. Mais dans le vestiaire, Philippe Da Silva tenait à le féliciter.« Ce soir, je veux rendre hommage à Loïc, confiait le coach. Il n’a pas marqué, mais sa défense en seconde mi-temps a été fabuleuse. Il finit le match avec un +14 quand il est sur le terrain. Je lui ai dit dans le vestiaire : bravo. » Un hommage pour un joueur discret, mais essentiel dans l’équilibre défensif du SQBB.
PLUS PERSONNE INVAINCU
Première défaite pour Nanterre battu à la SIG (85-74) malgré un nouveau gros match de Mathis Dossou Yovo (25 pts, 8 rbds). Monaco s’impose dans le choc à l’Astroballe (98-102) face à l’ASVEL de Pierric Poupet, également défait pour la première fois. Après quatre journées, six équipes affichent un bilan identique : trois victoires pour une défaite.