NF1 POULE A 2023-2024

[Patou]

Où trouver la composition des 2 poules ?

Le communiqué ne dit pas que les poules sont connues aujourd'hui mais qu'elles le seront quand débuteront les matchs amicaux de préparation du club.

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La Nouvelle République Indre

Le Poinçonnet Basket rejouera dans le gymnase de la Forêt en janvier 2025. Encore quelques mois à attendre et le gymnase de la Forêt sera prêt à accueillir de nouveau des matchs de Basket Féminin.

La parenthèse du rapatriement au CTR va se fermer pour Le Poinçonnet Basket qui reviendra dans son antre du gymnase de la Forêt au milieu de la saison prochaine. Une bonne nouvelle annoncée par le club lors de son Assemblée Générale.

Présente pour annoncer la bonne nouvelle, la maire du Poinçonnet a rappelé le long processus qu’a nécessité la remise en service d’un lieu dévasté par l’orage de grêle du 22 mai 2022. Une facture à 4 millions d’euros heureusement largement amortie par les assurances et les subventions des collectivités territoriales (plus de un million d’Euros).

"Le changement de la toiture, avec la pose de bacs en acier plus coûteux, a corsé l’addition", a souligné Danielle Dupré-Ségot, toutefois heureuse du prochain retour du phare sportif de sa commune dans son fief : "Je ne regretterai jamais notre décision d’avoir soutenu le déménagement du club de basket au CTR, même si cela nous a coûté 400.000 euros qu’on ne reverra jamais. Au Poinçonnet, nous n’avons pas de patrimoine historique. Notre patrimoine, c’est le sport et la culture, on y tient", a-t-elle ajouté.

Dans les faits, le club de basket du Poinçonnet aurait pu rentrer plus tôt au bercail, puisque le gymnase de la Forêt flambant neuf ("et aux normes de 2024", précise la maire) devrait être opérationnel mi-octobre. «

"Mais on sera la dernière association sportive de la commune à revenir dans les lieux car on doit attendre la certification ERP (Établissement Recevant du Public) pour revoir un match de basket à la Forêt", précise Dominique Laroche.

Concrètement, il faudra sans doute attendre mi-janvier 2025 pour assister au premier match officiel de l’équipe NF1 du Poinçonnet au gymnase de la Forêt.

"On avait demandé à la FFBB d’adapter le calendrier de notre équipe de NF1 de façon à jouer le dernier match de décembre et le premier match de janvier à l’extérieur, ce qui nous laisserait la trêve hivernale et un peu plus pour bien organiser notre retour", dévoile le Président du Poinçonnet Basket. https://resultats.ffbb.com/championnat/ ... 859&d=9879

L’équipe fanion du Poinçonnet Basket sait que la fenêtre de tir pour monter en Ligue 2 sera considérablement réduite puisque la FFBB a décidé qu'il n’y aura pas de Phase Finale NF1 la saison prochaine. Seule les équipes terminant premières de leur poule à l'issue de la phase régulière accédera à l’antichambre de l’Élite Féminine.

Une décision validée par le Bureau Fédéral de la FFBB le 17 novembre 2023. Principaux arguments de cette réforme qui concernent les championnats masculins et féminins de Nationale 1, 2 et 3 : harmonisation des montées dans toutes les divisions et équité sportive avec l’accession de l’équipe arrivée en tête de sa poule de championnat.

S’il veut intégrer la Ligue 2 au printemps 2025, Le Poinçonnet Basket n’aura donc d’autre choix que de finir en tête de sa poule au soir de la 22ème journée.

Mais est-ce vraiment le plan ? «
"On n’est jamais à l’abri d’une bonne surprise mais on visera plutôt le haut de tableau sans spécifiquement jouer la montée", dit Dominique Laroche.

Les contours du Mercato du Poinçonnet vont dans ce sens, motivés par la diminution drastique de la masse salariale (- 70.000 €) qui a obligé François Ménival à recruter beaucoup d’éléments très jeunes (Hanifi, Rodrigues, Diarra) encore un peu tendres pour faire du Poinçonnet une équipe de pointe, même si le cinq majeur Pillet-Diallo-Grissett-Karamovic-Koita a très fière allure sur le papier.

Un Président heureux de "bientôt retrouver notre cocon, son ambiance et ses conditions de travail" .

Un symbole du nouveau cycle opéré lors de la saison 2024-2025 qui doit permettre le retour à l’excédent du budget après trois exercices déficitaires.

"On accuse un déficit de 22.000 € cette saison, mais il est inférieur à celui de la saison dernière (32.000 €) et on a considérablement allégé notre dette. Tout cela va dans le bon sens et a profité de la fin de cycle dans l’équipe NF1, avec les arrêts et les départs de beaucoup de joueuses, pour réduire la masse salariale de 70.000 €", explique Dominique Laroche.

Avec cette baisse drastique des charges, qui concernent aussi les frais de locations inhérents à la pratique du basket au gymnase du CTR (parquet, tribunes amovibles), Le Poinçonnet Basket table sur un excédent de 56.000 € au terme de la saison 2024-2025 pour un budget global de 475.000 € (526.000 € en 2023-2024).

"Cette gestion rigoureuse des finances va créer les conditions pour pouvoir prétendre à de plus hautes ambitions par la suite", estime le Président qui bâtit patiemment l’édifice, un peu plus d’un an après être arrivé à la barre du club : "On repart sur autre chose, sur un nouveau projet, et c’est emballant. Construire, c’est bien mieux que gérer", conclut-il.

Après le départ de Julia Borde pour devenir coach de Martigues (NF1), le siège d’entraîneur de la réserve du Poinçonnet (NF3) était vacant. C’est Romain Verchel qui s’assiéra dessus la saison prochaine. À 29 ans, ce Parisien de naissance a été officiellement présenté lors de l’AG du club. "Je savais qu’un poste se libérait ici et j’étais à la recherche d’un nouveau projet sportif pour passer un cap dans ma carrière. C’était le projet parfait pour moi, ça matchait super bien avec mon désir", se réjouit-il.

Et Romain Verchel ne débarque pas en terre inconnue au Poinçonnet puisque ces huit dernières années, il officiait au Club sportif de Bourges : "J’ai entraîné pas mal d’équipes dans le club avant de m’occuper des U18 féminines au niveau interrégional ces deux dernières saisons. Je ne saurai dire le nombre de fois que j’ai croisé les équipes du Poinçonnet. Je savais déjà que c’était un club familial et ambitieux, je connaissais ses éducateurs, je sais comment ça fonctionne ici", explique celui qui va devoir guider une réserve pulsée par la génération dorée du cru, ces U18 sacrées championnes interrégionales cette saison.

Un exploit salué à sa juste valeur lors de l’AG.

Mais ce n’est pas tout puisque Romain Verchel va cumuler les jobs et sera aussi l’adjoint de François Ménival aux manettes de l’équipe NF1 : "Ça, en revanche, ça va être une découverte pour moi car j’ai toujours été coach principal. Mais c’est un super challenge et j’ai déjà un bon feeling avec François", dit celui qui suppléera Martial Gotagni dans la fonction. "On aimerait garder Martial au club et on lui a proposé d’entraîner l’équipe U18. On attend sa réponse, il y réfléchit", précise Dominique Laroche, heureux de pouvoir désormais compter sur Romain Verchel : "On a eu plusieurs candidatures mais il nous a séduit par son discours et les valeurs qu’il porte. On compte sur Romain pour nous apporter sa fraîcheur et sa vision du basket", indique le Président du Poinçonnet.

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Colomiers Basket

Départ de Jessica Clémençon.

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La Nouvelle République Indre

Les filles de Le Poinçonnnet Basket prêtes pour un nouveau podium ?

Elles qui restent sur deux troisièmes places consécutives (dans deux poules différentes, ndlr), aimeraient bien renouveler la même performance.
Un effectif régénéré, avec cinq nouvelles joueuses, pourrait le permettre.

Elles ont fait preuve de régularité, dans l’excellence, puisque pour la seconde fois consécutive, elles ont terminé leur saison, en mai dernier, sur la 3ème marche du podium. "C’est encore ce que l’on visera en 2024-2025", assurait leur coach François Ménival avant une séance d’entraînement. "L’objectif que les dirigeants ont fixé est le suivant : jouer le haut du tableau. Ni plus, ni moins".

Ce n’est pas le genre de la maison de crier haut et fort que l’équipe vise la montée et ça tombe bien puisque tel n’est pas le cas : "Il y a des formations mieux armées que nous", indique le coach auquel il n’a pas échappé que Villeurbanne et Monaco, qui avaient terminé aux deux premières places de la Poule A il y a trois mois (mais ont échoué en Phase Finale NF1), seront de nouveau dans la Poule du Poinçonnet.

* "On a des arguments pour se montrer attractifs !".
Avec un budget d’environ 470.000 €, le club savait qu’il ne pouvait se lancer dans un recrutement de grande envergure, mais cela n’a pas découragé François Ménival au moment de reconstruire son effectif : "Je me suis appuyé sur mes propres connaissances et sur un réseau d’agents pour effectuer le recrutement. Ici, on n’a pas de gros salaires à proposer, mais on a des arguments pour pouvoir nous montrer attractifs !".

Les leviers sont simples : l’esprit familial qui règne dans ce club (200 licenciés, majoritairement des féminines) et la quasi-certitude que les joueuses vont progresser.
"En moyenne, on fait huit séances d’entraînement par semaine. C’est pareil, voire plus, que dans certains clubs professionnels. C’est un discours auquel les jeunes peuvent être sensibles".

C’est un en tout cas ce qui a permis d’attirer à l’intersaison des étudiantes comme Lina Rodrigues, Sira Diarra, Sherazad Hanifi, Adeline Labesse et Henda Koita qui ont toutes entre 18 et 22 ans et sont donc encore très perfectibles. "Quand je leur explique qu’Yloann Matima, que nous avons eue pendant quatre saisons, vient de signer professionnelle à Feytiat (Ligue 2), je vois bien que ça leur fait envie !".

* Le travail physique fait partie intégrante de la préparation.
Avec ces cinq jeunes et les trois JIG (joueuses à intérêt général), c’est-à-dire des semi-pros qui ont aussi des missions au club comme le mini-basket ou la communication, à savoir Emma Karamovic, Lele Griset et Goundo Kiluangu, sans oublier Isadora Pillet (amateur, comptable), "ça fait un bon groupe de neuf joueuses", dit François Ménival, sachant qu’à ce niveau-là, surtout dans une saison à 22 matchs seulement (puisque la Phase Finale NF1 a été supprimée), ce devrait être largement suffisant", pense le coach qui va entamer sa sixième saison au Poinçonnet avec un nouvel assistant, Romain Verchel : "Je me plais dans cette ville à taille humaine", assure ce Normand d’origine passé par Caen et Mondeville. "Châteauroux, c’est paisible. C’est un peu loin du littoral, mais j’ai fini par m’y habituer".
Comme à la troisième place du classement !

* Les Matchs Amicaux :

. 24 août : Limoges - USPB.
. 28 août : Clermont - USPB.
. les 31 août et 1er septembre : tournoi de Rouen.
. 4 septembre : USPB - Roanne, à Argenton.
. 7 septembre : Roanne - USPB.
. 11 septembre : USPB - Bourges, au CTR.
. 14 septembre : Sceaux - USPB.

François Ménival a évidemment suivi la Finale féminine du tournoi olympique remportée (67-66) par les États-Unis face à la France : "Les Tricolores sont passées tout près d’un incroyable Exploit ! Franchement elles peuvent être fières de leur parcours et je leur dis Bravo !". Pour le coach poinçonnois, cela s’est joué sur de petits détails, mais pas que . . . "Les Américaines ont dominé la France sur le plan athlétique et sur l’intensité qu’elles mettaient, notamment aux rebonds. L’autre leçon de cette rencontre, c’est qu’on voit de moins en moins de meneuses qui organisent. Maintenant, ce sont toutes des shooteuses. Je ne juge pas : je fais simplement remarquer que les choses évoluent…".

[Patou]

Martigues Sport Basket



Samedi après-midi, l’équipe NF1 s’est rendue à Nickisurf à l’occasion de sa journée de cohésion. Au programme : bodyboard, surf, glissades et beaucoup de gamelles… mais toujours avec le sourire !
Un grand merci à toute l’équipe Nickisurf pour son sympathique accueil ! ! !

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