[SQBB] 25/26 victoire contre le BCM
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Bostonn.02
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dreamgaiden
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Re: [SQBB] 25/26 défaite frustrante à chalon
Peut être Loic qui a parlé de lui ?Bostonn.02 a écrit : ↑mer. 15 oct. 2025 15:43 https://x.com/be_basketfr/status/197843 ... l58e6DRXqg
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gerco
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Re: [SQBB] 25/26 défaite frustrante à chalon
Basket-ball (Betclic Élite). Nick Johnson : « c’était pour moi du chambrage amical »
Nick Johnson, expulsé à Chalon, s’est confié avant le derby face à Gravelines. Entre passion et maîtrise, le meneur américain et le leader de cette équipe, incarne un SQBB en quête d’équilibre, décidé à transformer sa frustration en victoire.
Nick Johnson, le meneur du SQBB, assume sa passion et son geste face à Chalon.
Nick Johnson, le meneur du SQBB, assume sa passion et son geste face à Chalon. - G.H
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Par Anthony Ottou
Publié: 15 Octobre 2025 à 17h45
7 min
Partage :
Nick, votre expulsion fait beaucoup parler depuis quelques jours. Comment l’avez-vous vécue ?
J’ai été surpris, vraiment. Je ne pensais pas que c’était une faute technique. J’ai déjà connu des situations comme ça, où le public te charrie un peu, j’aime ça. C’était, pour moi, « du chambrage amical. » À chaque fois que je touchais le ballon, ils me sifflaient, ils m’ont pris en grippe. Donc quand j’ai mis un panier, j’ai juste réagi un peu. Apparemment trop.
Avec le recul, que retenez-vous de cet épisode ?
Ça fait mal, parce que ça m’a sorti du match. J’ai eu l’impression de laisser tomber mon équipe. Je faisais un bon match et je pense que j’aurais pu faire la différence, dans ce money time. Donc oui, c’est frustrant. Je dois faire mieux, apprendre à m’y attendre et à garder mon calme.
Vous comprenez ceux qui disent : « Avec son expérience, Nick Johnson ne peut pas faire ça » ? Si c’était à refaire ?
Je comprends, oui. Mais je suis quelqu’un de profondément compétitif. J’aime ce jeu, j’y mets tout mon cœur, toute mon énergie. C’est cette passion qui me fait jouer de cette manière, qui me pousse à tout donner. Ce soir-là, je jouais avec cette intensité, cette envie, et c’est aussi pour ça que je faisais un bon match. Bien sûr, je dois mieux gérer certaines émotions, mais pour moi, mettre la main à l’oreille, ce n’était rien de mal. Évidemment, je ne le referai pas, mais honnêtement, je ne pense pas que ça méritait une faute technique.
Je suis quelqu’un de profondément compétitif. J’aime ce jeu, j’y mets tout mon cœur, toute mon énergie. C’est cette passion qui me fait jouer de cette manière, qui me pousse à tout donner.
Vous vous êtes ouvert l’arcade, vous filez au vestiaire, et quelques minutes plus tard, vous revenez sur le parquet, bandeau sur le front, regard de feu… Qu’est-ce qui s’est passé à ce moment-là ?
Exactement (rires). En mode Ninja c’est le mot. Plus sérieusement, oui, c’est vrai, j’étais un peu énervé. Les premières minutes, ils avaient été très agressifs avec moi, ils me pressaient dès les montées de balle. Alors je me suis dit qu’il fallait que je réponde, que je sois encore plus agressif. Quand je suis revenu des vestiaires, je voulais juste tout donner, imposer le rythme, montrer que j’étais là et que rien n’allait être simple pour eux. C’est une bonne équipe, mais ils ne nous faisaient pas peur. On a, nous aussi, de quoi leur faire mal. C’est comme ça que je joue : avec le cœur, avec cette envie de me battre… même quand je saigne un peu.
La meilleure version de Nick Johnson, c’est le passeur ou le scoreur ?
Je pense honnêtement que c’est un peu des deux. Contre Chalon, j’ai laissé passer quelques passes faciles, je le sais. Certaines rencontres ne demandent pas forcément que je marque beaucoup, mais je dois, dans tous les cas, mieux décider, mieux lire le jeu. J’ai eu trop de pertes de balle. Certaines viennent de bonnes défenses, mais d’autres, c’est moi qui force ou qui lis mal la situation. Je dois faire un meilleur travail pour mettre mes coéquipiers dans les bonnes positions, pour leur permettre de scorer… ou le faire moi-même quand il le faut.
L'Aisne nouvelle
Trouvez-vous que le sport est suffisamment présent dans l'enseignement en France ?
Oui, totalement
Oui, plutôt
Non, pas vraiment
Non pas du tout
148 participations
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Votre préparation a été compliquée, mais depuis Boulazac, vous avez pris le leadership sur le terrain ?
La préparation c’est dur. Surtout à 33 ans (rires). Honnêtement, les présaisons, je n’en ai pas fait tant que ça ces dernières années, et à mon âge, ce n’est jamais facile. Deux entraînements par jour, le corps récupère moins vite. Mais c’était nécessaire. On devait installer beaucoup de choses, apprendre à jouer ensemble, surtout avec les jeunes. C’est normal qu’il y ait eu des hauts et des bas, et notre bilan de préparation l’a montré. Mais depuis c’est mieux, et là, avec un seul entraînement par jour, je me sens bien mieux physiquement.
Êtes-vous inquiet après ce début de saison à 0-3 ?
Non, pas vraiment. Il faut savoir prendre le positif comme le négatif. À Boulazac, nous n’avons pas été à notre niveau. Pas bon du tout même. Sans énergie. Mais je ne pense pas qu’être à 0-3 c’est grave, c’est frustrant, évidemment, parce qu’après le match contre l’ASVEL, j’étais déçu. Je pense sincèrement qu’on a été la meilleure équipe ce soir-là. Face à une équipe d’Euroligue, on a répondu présent. À la fin, j’ai perdu un ballon, Liam (O’Reilly) était ouvert dans le corner, j’ai un peu trop réfléchi, et ça nous coûte cher. Et à Chalon, c’est pareil : si on limite les pertes de balle et les rebonds offensifs concédés, on gagne.
Malgré tout, vous semblez confiant pour la suite ?
Oui, complètement. Si on continue à jouer comme sur les trois dernières rencontres, je suis confiant. Il y a beaucoup de positif à retenir. Neftali, par exemple, est une vraie lumière pour nous. Chacun commence à trouver son rôle, à s’affirmer. Il nous reste juste à ajuster quelques détails. Et puis, il faut le dire, on a affronté deux très bonnes équipes. Si on garde cette intensité contre des adversaires un peu moins armés, je pense que le résultat sera tout autre.
À LIRE AUSSI
Basket-ball (Betclic Élite) : Nick Johnson, le héros au bandeau qu’on n’a pas laissé finir
Vous parlez souvent de leadership. Comment se répartissent les rôles dans ce groupe ? Je suis le joueur plus âgé maintenant, donc oui j’aime être un leader. Mon poste le permet aussi et m’oblige à l’être. Mais parfois je laisse les autres s’exprimer. Eddie, par exemple, est quelqu’un de très vocal, et ça me va très bien de le laisser prendre la parole. On a beaucoup de gars qui aiment être présents, qui aiment se mettre en avant, mener les autres, et c’est une bonne chose. On ne peut pas avoir trop de leaders, mais on peut avoir plusieurs voix qui comptent.
Et vous, quel type de leader êtes-vous ?
De mon côté, j’essaie surtout d’apporter du calme quand les situations deviennent tendues. Si on est dans un moment chaud, c’est là que je peux intervenir : poser le jeu, calmer l’équipe, faire la bonne passe ou la bonne parole. Je veux aider mes coéquipiers. On a une équipe jeune, on fait des erreurs, mais en même temps, je ne veux pas brider la jeunesse. Par exemple, Neftali a commencé le match avec deux interceptions de suite ratée – je lui ai un peu crié dessus – puis je me suis ravisé : je lui ai dit « C’est bon, continue, tu vas faire des erreurs, mais joue dur. » Parce que cette fougue, cette insouciance, c’est aussi notre force.
La Betclic Élite regorge d’arrières de très haut niveau. Comment percevez-vous cette densité au poste ?
C’est vrai, c’est une ligue avec de très bons arrières. Il y a du talent partout. J’ai joué contre beaucoup d’entre eux, je les ai regardés pendant des années. Honnêtement, je pense que Mike (James) est le meilleur joueur d’Europe depuis un bon moment. Donc oui, chaque soir, tu dois être prêt, parce qu’en face, il y a toujours un meneur ou un arrière capable de faire basculer le match. C’est ce qui rend le championnat aussi compétitif.
Et vous, où vous situez-vous parmi ces grands arrières ?
Honnêtement, je pense faire partie des meilleurs joueurs d’Europe. Peut-être que je n’ai pas toujours été dans des équipes d’EuroLeague, mais tout le monde ne peut pas y être. Ce n’est pas une question de niveau, plutôt de circonstances. Je vis pour me mesurer aux meilleurs, pour jouer contre eux. J’aime aussi savoir que la défense en face me craint, va tenter des choses. Pour moi, c’est aussi ce qui fait ma force : je peux m’adapter. Si une équipe décide de me cibler, ça me va, je peux faire jouer les autres, créer des situations, trouver des solutions pour faire en sorte d’aider l’équipe par le scoring mais surtout pas la passe. Alors, oui, je prends personnellement ces duels, ces confrontations directes avec les meilleurs. C’est ce qui me pousse à élever mon niveau à chaque match et montrer qui je suis.
À LIRE AUSSI
Basket-ball (Betclic Élite) : les Hauts-de-France, la région la plus passionnée de France ?
Honnêtement, je pense faire partie des meilleurs joueurs d’Europe. Peut-être que je n’ai pas toujours été dans des équipes d’EuroLeague, mais tout le monde ne peut pas y être. Ce n’est pas une question de niveau, plutôt de circonstances.
Avec votre expérience, on sent que vous lisez très vite le jeu. Presque comme un coach. Comment cela se traduit sur le terrain ?
J’ai joué des milliers et des milliers de matches, des milliers de situations donc forcément, tu finis par voir beaucoup de choses différentes. Avec le temps, tu développes des automatismes, des petits repères. On fait toujours le scouting avant les rencontres, on sait comment une équipe va défendre. Alors, dans ma tête, j’essaie d’anticiper : « OK, voilà ce qu’il va faire », et je joue en fonction. J’aime le jeu, scanner les situations. J’aimerais être coach plus tard. Mais au final, tout repose sur l’instinct. Tu tentes de faire la meilleure lecture possible à chaque action. Parfois tu fais le bon choix, parfois non – l’essentiel, c’est de continuer à jouer, de ne jamais douter, car l’erreur fait partie de la vie (rires).
Nick Johnson, expulsé à Chalon, s’est confié avant le derby face à Gravelines. Entre passion et maîtrise, le meneur américain et le leader de cette équipe, incarne un SQBB en quête d’équilibre, décidé à transformer sa frustration en victoire.
Nick Johnson, le meneur du SQBB, assume sa passion et son geste face à Chalon.
Nick Johnson, le meneur du SQBB, assume sa passion et son geste face à Chalon. - G.H
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7 min
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Nick, votre expulsion fait beaucoup parler depuis quelques jours. Comment l’avez-vous vécue ?
J’ai été surpris, vraiment. Je ne pensais pas que c’était une faute technique. J’ai déjà connu des situations comme ça, où le public te charrie un peu, j’aime ça. C’était, pour moi, « du chambrage amical. » À chaque fois que je touchais le ballon, ils me sifflaient, ils m’ont pris en grippe. Donc quand j’ai mis un panier, j’ai juste réagi un peu. Apparemment trop.
Avec le recul, que retenez-vous de cet épisode ?
Ça fait mal, parce que ça m’a sorti du match. J’ai eu l’impression de laisser tomber mon équipe. Je faisais un bon match et je pense que j’aurais pu faire la différence, dans ce money time. Donc oui, c’est frustrant. Je dois faire mieux, apprendre à m’y attendre et à garder mon calme.
Vous comprenez ceux qui disent : « Avec son expérience, Nick Johnson ne peut pas faire ça » ? Si c’était à refaire ?
Je comprends, oui. Mais je suis quelqu’un de profondément compétitif. J’aime ce jeu, j’y mets tout mon cœur, toute mon énergie. C’est cette passion qui me fait jouer de cette manière, qui me pousse à tout donner. Ce soir-là, je jouais avec cette intensité, cette envie, et c’est aussi pour ça que je faisais un bon match. Bien sûr, je dois mieux gérer certaines émotions, mais pour moi, mettre la main à l’oreille, ce n’était rien de mal. Évidemment, je ne le referai pas, mais honnêtement, je ne pense pas que ça méritait une faute technique.
Je suis quelqu’un de profondément compétitif. J’aime ce jeu, j’y mets tout mon cœur, toute mon énergie. C’est cette passion qui me fait jouer de cette manière, qui me pousse à tout donner.
Vous vous êtes ouvert l’arcade, vous filez au vestiaire, et quelques minutes plus tard, vous revenez sur le parquet, bandeau sur le front, regard de feu… Qu’est-ce qui s’est passé à ce moment-là ?
Exactement (rires). En mode Ninja c’est le mot. Plus sérieusement, oui, c’est vrai, j’étais un peu énervé. Les premières minutes, ils avaient été très agressifs avec moi, ils me pressaient dès les montées de balle. Alors je me suis dit qu’il fallait que je réponde, que je sois encore plus agressif. Quand je suis revenu des vestiaires, je voulais juste tout donner, imposer le rythme, montrer que j’étais là et que rien n’allait être simple pour eux. C’est une bonne équipe, mais ils ne nous faisaient pas peur. On a, nous aussi, de quoi leur faire mal. C’est comme ça que je joue : avec le cœur, avec cette envie de me battre… même quand je saigne un peu.
La meilleure version de Nick Johnson, c’est le passeur ou le scoreur ?
Je pense honnêtement que c’est un peu des deux. Contre Chalon, j’ai laissé passer quelques passes faciles, je le sais. Certaines rencontres ne demandent pas forcément que je marque beaucoup, mais je dois, dans tous les cas, mieux décider, mieux lire le jeu. J’ai eu trop de pertes de balle. Certaines viennent de bonnes défenses, mais d’autres, c’est moi qui force ou qui lis mal la situation. Je dois faire un meilleur travail pour mettre mes coéquipiers dans les bonnes positions, pour leur permettre de scorer… ou le faire moi-même quand il le faut.
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Trouvez-vous que le sport est suffisamment présent dans l'enseignement en France ?
Oui, totalement
Oui, plutôt
Non, pas vraiment
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Votre préparation a été compliquée, mais depuis Boulazac, vous avez pris le leadership sur le terrain ?
La préparation c’est dur. Surtout à 33 ans (rires). Honnêtement, les présaisons, je n’en ai pas fait tant que ça ces dernières années, et à mon âge, ce n’est jamais facile. Deux entraînements par jour, le corps récupère moins vite. Mais c’était nécessaire. On devait installer beaucoup de choses, apprendre à jouer ensemble, surtout avec les jeunes. C’est normal qu’il y ait eu des hauts et des bas, et notre bilan de préparation l’a montré. Mais depuis c’est mieux, et là, avec un seul entraînement par jour, je me sens bien mieux physiquement.
Êtes-vous inquiet après ce début de saison à 0-3 ?
Non, pas vraiment. Il faut savoir prendre le positif comme le négatif. À Boulazac, nous n’avons pas été à notre niveau. Pas bon du tout même. Sans énergie. Mais je ne pense pas qu’être à 0-3 c’est grave, c’est frustrant, évidemment, parce qu’après le match contre l’ASVEL, j’étais déçu. Je pense sincèrement qu’on a été la meilleure équipe ce soir-là. Face à une équipe d’Euroligue, on a répondu présent. À la fin, j’ai perdu un ballon, Liam (O’Reilly) était ouvert dans le corner, j’ai un peu trop réfléchi, et ça nous coûte cher. Et à Chalon, c’est pareil : si on limite les pertes de balle et les rebonds offensifs concédés, on gagne.
Malgré tout, vous semblez confiant pour la suite ?
Oui, complètement. Si on continue à jouer comme sur les trois dernières rencontres, je suis confiant. Il y a beaucoup de positif à retenir. Neftali, par exemple, est une vraie lumière pour nous. Chacun commence à trouver son rôle, à s’affirmer. Il nous reste juste à ajuster quelques détails. Et puis, il faut le dire, on a affronté deux très bonnes équipes. Si on garde cette intensité contre des adversaires un peu moins armés, je pense que le résultat sera tout autre.
À LIRE AUSSI
Basket-ball (Betclic Élite) : Nick Johnson, le héros au bandeau qu’on n’a pas laissé finir
Vous parlez souvent de leadership. Comment se répartissent les rôles dans ce groupe ? Je suis le joueur plus âgé maintenant, donc oui j’aime être un leader. Mon poste le permet aussi et m’oblige à l’être. Mais parfois je laisse les autres s’exprimer. Eddie, par exemple, est quelqu’un de très vocal, et ça me va très bien de le laisser prendre la parole. On a beaucoup de gars qui aiment être présents, qui aiment se mettre en avant, mener les autres, et c’est une bonne chose. On ne peut pas avoir trop de leaders, mais on peut avoir plusieurs voix qui comptent.
Et vous, quel type de leader êtes-vous ?
De mon côté, j’essaie surtout d’apporter du calme quand les situations deviennent tendues. Si on est dans un moment chaud, c’est là que je peux intervenir : poser le jeu, calmer l’équipe, faire la bonne passe ou la bonne parole. Je veux aider mes coéquipiers. On a une équipe jeune, on fait des erreurs, mais en même temps, je ne veux pas brider la jeunesse. Par exemple, Neftali a commencé le match avec deux interceptions de suite ratée – je lui ai un peu crié dessus – puis je me suis ravisé : je lui ai dit « C’est bon, continue, tu vas faire des erreurs, mais joue dur. » Parce que cette fougue, cette insouciance, c’est aussi notre force.
La Betclic Élite regorge d’arrières de très haut niveau. Comment percevez-vous cette densité au poste ?
C’est vrai, c’est une ligue avec de très bons arrières. Il y a du talent partout. J’ai joué contre beaucoup d’entre eux, je les ai regardés pendant des années. Honnêtement, je pense que Mike (James) est le meilleur joueur d’Europe depuis un bon moment. Donc oui, chaque soir, tu dois être prêt, parce qu’en face, il y a toujours un meneur ou un arrière capable de faire basculer le match. C’est ce qui rend le championnat aussi compétitif.
Et vous, où vous situez-vous parmi ces grands arrières ?
Honnêtement, je pense faire partie des meilleurs joueurs d’Europe. Peut-être que je n’ai pas toujours été dans des équipes d’EuroLeague, mais tout le monde ne peut pas y être. Ce n’est pas une question de niveau, plutôt de circonstances. Je vis pour me mesurer aux meilleurs, pour jouer contre eux. J’aime aussi savoir que la défense en face me craint, va tenter des choses. Pour moi, c’est aussi ce qui fait ma force : je peux m’adapter. Si une équipe décide de me cibler, ça me va, je peux faire jouer les autres, créer des situations, trouver des solutions pour faire en sorte d’aider l’équipe par le scoring mais surtout pas la passe. Alors, oui, je prends personnellement ces duels, ces confrontations directes avec les meilleurs. C’est ce qui me pousse à élever mon niveau à chaque match et montrer qui je suis.
À LIRE AUSSI
Basket-ball (Betclic Élite) : les Hauts-de-France, la région la plus passionnée de France ?
Honnêtement, je pense faire partie des meilleurs joueurs d’Europe. Peut-être que je n’ai pas toujours été dans des équipes d’EuroLeague, mais tout le monde ne peut pas y être. Ce n’est pas une question de niveau, plutôt de circonstances.
Avec votre expérience, on sent que vous lisez très vite le jeu. Presque comme un coach. Comment cela se traduit sur le terrain ?
J’ai joué des milliers et des milliers de matches, des milliers de situations donc forcément, tu finis par voir beaucoup de choses différentes. Avec le temps, tu développes des automatismes, des petits repères. On fait toujours le scouting avant les rencontres, on sait comment une équipe va défendre. Alors, dans ma tête, j’essaie d’anticiper : « OK, voilà ce qu’il va faire », et je joue en fonction. J’aime le jeu, scanner les situations. J’aimerais être coach plus tard. Mais au final, tout repose sur l’instinct. Tu tentes de faire la meilleure lecture possible à chaque action. Parfois tu fais le bon choix, parfois non – l’essentiel, c’est de continuer à jouer, de ne jamais douter, car l’erreur fait partie de la vie (rires).
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http://sqbbnonofficiel.clicforum.com/index.php
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gerco
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Re: [SQBB] 25/26 défaite frustrante à chalon
Premier derby de la peur ?
prevnext
Ce derby des Hauts-de-France fait déjà figure de premier tournant dans la saison pour les deux équipes. Avec Le Portel, le SQBB et le BCM Gravelines-Dunkerque sont encore à la recherche de leur première victoire. Les Saint-Quentinois sont passés tout près de l’exploit face à l’ASVEL puis à Chalon-sur-Saône, tandis que les hommes de Jean-Christophe Prat ont connu deux entames compliquées contre Paris et Nanterre. Privé de son meilleur joueur, Chris Babb, toujours en attente d’autorisation pour évoluer en Betclic Élite en raison d’un traitement médical suivi aux États-Unis, le BCM a néanmoins enregistré l’arrivée de Neal Quinn, pivot américain de 2,13 m, venu pallier la blessure de Tajuan Agee (tendinite). Dimanche dernier, les Maritimes ont tenu tête à la SIG Strasbourg, signe de progrès notables dans le jeu. Ce derby presque de la peur, entre deux équipes qui cherchent encore leur rythme, vaudra sans doute plus que deux points : un premier souffle d’air, un moyen de se relancer avant que le doute ne s’installe.
prevnext
Ce derby des Hauts-de-France fait déjà figure de premier tournant dans la saison pour les deux équipes. Avec Le Portel, le SQBB et le BCM Gravelines-Dunkerque sont encore à la recherche de leur première victoire. Les Saint-Quentinois sont passés tout près de l’exploit face à l’ASVEL puis à Chalon-sur-Saône, tandis que les hommes de Jean-Christophe Prat ont connu deux entames compliquées contre Paris et Nanterre. Privé de son meilleur joueur, Chris Babb, toujours en attente d’autorisation pour évoluer en Betclic Élite en raison d’un traitement médical suivi aux États-Unis, le BCM a néanmoins enregistré l’arrivée de Neal Quinn, pivot américain de 2,13 m, venu pallier la blessure de Tajuan Agee (tendinite). Dimanche dernier, les Maritimes ont tenu tête à la SIG Strasbourg, signe de progrès notables dans le jeu. Ce derby presque de la peur, entre deux équipes qui cherchent encore leur rythme, vaudra sans doute plus que deux points : un premier souffle d’air, un moyen de se relancer avant que le doute ne s’installe.
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dreamgaiden
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Re: [SQBB] 25/26 défaite frustrante à chalon
C'est plein pour demain.
Je ne sais pas s'il y a des supporters du BCM qui font le déplacement mais grosse ambiance en prévision.
Je ne sais pas s'il y a des supporters du BCM qui font le déplacement mais grosse ambiance en prévision.
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Snono24
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Re: [SQBB] 25/26 défaite frustrante à chalon
Chris baby de retour ce soir contre le sqbb pourvu qu il ne soit pas en feu chez nous et donner la victoire à gravelines .il l à fait l année dernière.
Espérons une victoire ce soir
Espérons une victoire ce soir
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Spalding02
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Re: [SQBB] 25/26 défaite frustrante à chalon
Chris Babb
À moins que vous ayez une relation cachée
SQBB un jour, SQBB toujours !
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Snono24
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Re: [SQBB] 25/26 défaite frustrante à chalon
Oui chris babb désolé pour la faute d'orthographe.
Gros matchce soir
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dreamgaiden
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Re: [SQBB] 25/26 défaite frustrante à chalon
Il l'a fait l'année dernière mais rappelez-vous dans quelles conditions....
Sur leur dernière possession, Il est obligé de prendre un tir casse-croûte sur le buzzer, il fait un air ball.....il se prend la tête à 2 mains, et à retardement un coup de sifflet lui offre 3 lancers qu'il transforme.
Une honte de siffler çà.
Sur le coup je me suis dit :
"Bon je suis loin de l'action, l'arbitre doit avoir raison"
Mais lorsque j'ai vu le replay le soir même à la maison :
Swarthz est devant lui, il ne le touche même pas, et aucunement il n'est dans le cylindre de l'attaquant.
Je te dis, Babb est le premier surpris du coup de sifflet, j'en suis resté bouche bée
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dreamgaiden
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Re: [SQBB] 25/26 défaite frustrante à chalon
Bon, quelques soient nos avis et nos différences d'opinion, ce soir c'est mobilisation générale.
Le club ne s'y trompe pas en réclamant notre soutien et en publiant cette vidéo il y a 1 heure.
https://www.facebook.com/reel/816151608249638
Le club ne s'y trompe pas en réclamant notre soutien et en publiant cette vidéo il y a 1 heure.
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Snono24
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Re: [SQBB] 25/26 défaite frustrante à chalon
Elle fait du bien celle ci.
Un johnson en forme et le sqbb se présent.par contre il faut le garder notre Boris dallo.quelle expérience, qu'elle sérénité, qu'elle vision de jeu ,il apporte un truc de fou à l équipe.
Savourons
Un johnson en forme et le sqbb se présent.par contre il faut le garder notre Boris dallo.quelle expérience, qu'elle sérénité, qu'elle vision de jeu ,il apporte un truc de fou à l équipe.
Savourons
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essm
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Re: [SQBB] 25/26 victoire contre le BCM
Bravo Bravo le sqbb
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Re: [SQBB] 25/26 défaite frustrante à chalon
Il a joué au Partizan, c’est forcément quelqu’un de bien
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Re: [SQBB] 25/26 victoire contre le BCM
Basket-ball (Betclic Élite) : Saint-Quentin rallume la flamme face à Gravelines
Sous l’impulsion d’un Nick Johnson incandescent, le SQBB a fini par faire plier Gravelines dans le derby des Hauts-de-France. Malmené pendant trois quart-temps, Saint-Quentin a su allumer la flamme au moment décisif.
Avec 23 points, 5 rebonds et 7 passes, Nick Johnson a été le héros du derby des Hauts-de-France.
Avec 23 points, 5 rebonds et 7 passes, Nick Johnson a été le héros du derby des Hauts-de-France. - Gaël Hérissé
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Par Anthony Ottou
Publié: 17 Octobre 2025 à 22h46
3 min
Partage :
Un tir à trois points signé Giovan Oniangue, puis quatre points de suite de Nick Johnson (7-2) : Pierre-Ratte s’enflamme. Mais le basket ne se joue jamais d’un seul côté du terrain. Et dans ce premier acte, les Saint-Quentinois peinent à mettre leur défense en place. Chaque erreur de déplacement, chaque oubli de communication se paye cash. En face, les Maritimes répondent avec du répondant et de l’adresse. Vafessa Fofana, Mike Lewis Jr et Valentin Chery prennent confiance, profitant des fautes axonaises sur les tirs et des paniers bonifiés qui s’enchaînent. Après 10 minutes, les deux équipes se rendent coup pour coup (21-23).
Boris Dallo, l’entrée parfaite
Parfait depuis son entrée en jeu, Boris Dallo orchestre à merveille l’attaque saint-quentinoise. Depuis qu’il a posé un pied sur le parquet, pas une fausse note dans sa partition : drive tranchant, jeu au poste bas, passe millimétrée pour le coéquipier démarqué. À tous ceux qui doutent encore de son profil de meneur, voilà la réponse. On se dit alors que le SQBB va enfin prendre les commandes et imposer son tempo (34-33 15e).Mais tant que la défense restera aussi perméable, le virage sera difficile à prendre. Les Maritimes, comme beaucoup d’adversaires depuis le début de saison, continuent surtout de dominer aux rebonds, profitant des secondes chances.
Heureusement, les individualités axonaises tiennent la baraque : Nick Johnson, toujours incandescent, et Eddie Ekiyor, précieux dans l’impact, maintiennent le cap d’un collectif qui cherche à se partager la balle. À la pause, Saint-Quentin vire en tête (43-40), sans avoir encore trouvé la clé de son équilibre.
Au retour des vestiaires, c’est Gravelines qui dicte le tempo. Plus juste dans ses choix, alternant parfaitement le jeu extérieur et intérieur, le BCM prend les commandes (48-52). Mais, comme souvent, Boris Dallo vient remettre de l’ordre dans la maison. Monsieur propre, encore lui, régule le jeu, dose le tempo, éclaire chaque possession. Dans son sillage, toute l’équipe se remet à l’endroit. Et c’est lui, logiquement, qui rend l’avantage aux Saint-Quentinois (54-52, 26e).
Le choix tactique de Philippe Da Silva payant
Derrière, Saint-Quentin retrouve enfin des bases solides. La défense se resserre, le rebond est mieux contrôlé. Seule l’attaque connaît un léger passage à vide. À dix minutes du terme, la première victoire de la saison est à portée de main. Philippe Da Silva tente alors le small ball – et ça fonctionne. C’est désormais le SQBB qui dicte la danse. Pierre-Ratte pousse, gronde, retient son souffle. Et l’explosion arrive dès l’entame du dernier acte : Giovan Oniangue dégaine sa flèche habituelle, Eddie Ekiyor brille, puis Nick Johnson (23 points), de tout son talent, met littéralement le feu aux poudres. Le volcan saint-quentinois est en éruption et Saint-Quentin tient enfin sa première victoire en championnat, au terme d’un derby où tout n’a pas été maîtrisé, mais où le cœur a parlé plus fort que tout.
Sous l’impulsion d’un Nick Johnson incandescent, le SQBB a fini par faire plier Gravelines dans le derby des Hauts-de-France. Malmené pendant trois quart-temps, Saint-Quentin a su allumer la flamme au moment décisif.
Avec 23 points, 5 rebonds et 7 passes, Nick Johnson a été le héros du derby des Hauts-de-France.
Avec 23 points, 5 rebonds et 7 passes, Nick Johnson a été le héros du derby des Hauts-de-France. - Gaël Hérissé
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Par Anthony Ottou
Publié: 17 Octobre 2025 à 22h46
3 min
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Un tir à trois points signé Giovan Oniangue, puis quatre points de suite de Nick Johnson (7-2) : Pierre-Ratte s’enflamme. Mais le basket ne se joue jamais d’un seul côté du terrain. Et dans ce premier acte, les Saint-Quentinois peinent à mettre leur défense en place. Chaque erreur de déplacement, chaque oubli de communication se paye cash. En face, les Maritimes répondent avec du répondant et de l’adresse. Vafessa Fofana, Mike Lewis Jr et Valentin Chery prennent confiance, profitant des fautes axonaises sur les tirs et des paniers bonifiés qui s’enchaînent. Après 10 minutes, les deux équipes se rendent coup pour coup (21-23).
Boris Dallo, l’entrée parfaite
Parfait depuis son entrée en jeu, Boris Dallo orchestre à merveille l’attaque saint-quentinoise. Depuis qu’il a posé un pied sur le parquet, pas une fausse note dans sa partition : drive tranchant, jeu au poste bas, passe millimétrée pour le coéquipier démarqué. À tous ceux qui doutent encore de son profil de meneur, voilà la réponse. On se dit alors que le SQBB va enfin prendre les commandes et imposer son tempo (34-33 15e).Mais tant que la défense restera aussi perméable, le virage sera difficile à prendre. Les Maritimes, comme beaucoup d’adversaires depuis le début de saison, continuent surtout de dominer aux rebonds, profitant des secondes chances.
Heureusement, les individualités axonaises tiennent la baraque : Nick Johnson, toujours incandescent, et Eddie Ekiyor, précieux dans l’impact, maintiennent le cap d’un collectif qui cherche à se partager la balle. À la pause, Saint-Quentin vire en tête (43-40), sans avoir encore trouvé la clé de son équilibre.
Au retour des vestiaires, c’est Gravelines qui dicte le tempo. Plus juste dans ses choix, alternant parfaitement le jeu extérieur et intérieur, le BCM prend les commandes (48-52). Mais, comme souvent, Boris Dallo vient remettre de l’ordre dans la maison. Monsieur propre, encore lui, régule le jeu, dose le tempo, éclaire chaque possession. Dans son sillage, toute l’équipe se remet à l’endroit. Et c’est lui, logiquement, qui rend l’avantage aux Saint-Quentinois (54-52, 26e).
Le choix tactique de Philippe Da Silva payant
Derrière, Saint-Quentin retrouve enfin des bases solides. La défense se resserre, le rebond est mieux contrôlé. Seule l’attaque connaît un léger passage à vide. À dix minutes du terme, la première victoire de la saison est à portée de main. Philippe Da Silva tente alors le small ball – et ça fonctionne. C’est désormais le SQBB qui dicte la danse. Pierre-Ratte pousse, gronde, retient son souffle. Et l’explosion arrive dès l’entame du dernier acte : Giovan Oniangue dégaine sa flèche habituelle, Eddie Ekiyor brille, puis Nick Johnson (23 points), de tout son talent, met littéralement le feu aux poudres. Le volcan saint-quentinois est en éruption et Saint-Quentin tient enfin sa première victoire en championnat, au terme d’un derby où tout n’a pas été maîtrisé, mais où le cœur a parlé plus fort que tout.
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Lazuli
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Re: [SQBB] 25/26 défaite frustrante à chalon
Snono24 a écrit : ↑ven. 17 oct. 2025 22:14 Elle fait du bien celle ci.
Un johnson en forme et le sqbb se présent.par contre il faut le garder notre Boris dallo.quelle expérience, qu'elle sérénité, qu'elle vision de jeu ,il apporte un truc de fou à l équipe.
Savourons
J adore. Boris Dallo c’est Ghost Dog. Il peut jouer 1 2 3 4 et 5. Nick Johnson s affirme en leader de cette équipe. Ouf ! On souffre encore trop sous les panneaux.