[SQBB] 25/26 1er match et défaite à Boulazac

[Lazuli]

Malheureusement comme vous le dites contre l Asvel ça va être plus que compliqué et chalons aussi.
Je ne sais pas où on va aller les chercher le 12 ou 13 victoire pour le maintien.
J espère que l on attendra pas la mi saison pour réagir car il ne faut pas sortir de St cyr ou autre pour s apercevoir que l on s est planté sur certains joueurs et je dirais même plus sur le style de jeu offensif et rapide que l on veut donner avec un des plus petit budget c était infaisable c est bon pour des Monaco paris et asvel.
On peut exister c est en défense c est peut être moins beau mais nous aurions plus de chance pour faire une 4 ème saison en betclic.
Si pas de changement, ou d electro choc ou de changement de style en défendant beaucoup plus dur on y va tout droit malheureusement

Je ne saurais dire à quel point je suis d’accord avec ça. Il faut ouvrir les yeux. Nous n’avons pas de grands talents offensifs dans cette équipe. Au niveau de l’adresse, on a été loin de la plupart de nos adversaires jusqu’à présent. Combien de shoots complètement ouverts ratés même des lay ups samedi. En revanche, tous ces joueurs ont des qualités défensives. Il faudra quoi qu’il arrive changer qq chose à notre secteur intérieur : 41 rbds a 18 samedi. Je ne vais pas faire le surpris : ce n’est que la conséquence prévisible d’un recrutement très léger dans ce domaine.

[dreamgaiden]

Vous voyez tout en noir et vous tombez dans le pessimisme le + total.

Le SQBB va se battre pour son maintien avec Le Portel, BCM, Strasbourg, Boulazac, Nancy....Nous sommes 6.
Mais ça on le savait non ?

Et pour le moment j'ai vu le BCM et Le Portel qui ne sont pas + forts que St Quentin.
Encore une fois la défaillance au rebond ne s'est jamais produite avant, la plupart d'entre vous suivent le basket depuis assez longtemps pour savoir qu'en basket la vérité d'un match n'est pas celle du lendemain.

Et vous avez du voir que le SQBB malgré son énorme défaillance aux rebonds et une adresse insignifiante est revenu à hauteur de son adversaire en troisième quart en comblant un débours de - 14.

On savait tous qu' on était sur une saison de transition et qu'on pouvait certainement nous situer 11/14.
On va quand même pas tout remettre en cause parce qu'on perd à l'extérieur en 1ere journée chez une équipe qui joue sur sa dynamique de montée et qui a garder son ossature et les automatismes qui vont avec.

On ne sera certainement pas les seuls à perdre à Boulazac.

Le maintien va se jouer chez nous, hormis les 3 clubs d'Euroligue, il faut gagner le max de matchs à domicile et encourager l'équipe car c'est là qu'ils vont avoir besoin du public.
Je suis désolé mais je suis obligé de dire ce que je pense, pour moi on a une grosse marge de progression et sur les équipes que j'ai cité le SQBB a sans doute un des 2 plus beaux effectifs sur le papier, et je ne nous vois pas à la dernière place, ni l'avant-dernière.

[gerco]

Saint-Quentin foudroyé d’entrée, rappel brutal de la dure loi de l’Élite

Avec 32 points au compteur, Angelo Warner a été tout simplement trop fort pour le SQBB. BDD
Basket-ball (Betclic Elite). Pour son retour à la réalité de la Betclic Élite, le SQBB a subi la loi d’un Boulazac (94-76) plus combatif et maître de son chaudron. Une première mi-temps sans âme, une réaction trop brève et un Angelo Warner en bourreau : Saint-Quentin a payé cash son manque de combativité.
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Venir défier, pour l’ouverture du championnat, un promu n’a rien d’un cadeau. Surtout lorsque la salle, en transe après quatre années de Pro B, explose de ferveur à chaque ballon arraché, chaque tir réussi. Dans ce chaudron du Palio, le SQBB a vite redécouvert – s’il l’avait oublié en trois mois de vacances – qu’en Betclic Élite, rien ne s’offre : tout se conquiert. La première mi-temps, sans âme, a sonné comme un reniement. Chaque duel pesait comme une pierre, chaque contact résonnait comme une épreuve. Mais au lieu de répondre coup pour coup, Saint-Quentin a laissé filer l’essentiel : la combativité, ce feu intérieur qui forge les victoires. Terne et sans relief, ce premier acte a semblé renier l’identité voulue par Philippe Da Silva. Et les chiffres, cruels, ont scellé le constat. « On a été bouffés, tout simplement, concède Da Silva. 4 1 rebonds à 18. Ils tirent 35 lancers francs, nous 17. Tu ne peux pas gagner en encaissant 94 points, ni en laissant ton adversaire faire 21 sur 24 dans la raquette… Ce n’est pas possible. Nous n’étions pas prêts à nous battre. Tous les chiffres sont le résultat d’un manque de combativité. Boulazac est une forte équipe, bien en place. On savait qu’en venant ici, il fallait être en mesure de les impacter. On n’a pas réussi . »
LA RÉVOLTE EN TROMPE-L’ŒIL
Dos au mur à la pause (51-38, 20 e ), le SQBB est revenu sur le parquet comme métamorphosé, animé d’une rage nouvelle. On aurait dit un boxeur regonflé par les mots du vestiaire, décidé à ne plus subir. Défense plus mordante, rebond mieux contrôlé, adresse enfin retrouvée : en l’espace de six minutes, l’écart s’est effrité comme neige au soleil. Deux missiles de Schwartz, une banderille de Johnson, puis le tir primé d’Oniangue ont ramené les Saint-Quentinois à une possession (60-59, 26 e ). Le Palio a vacillé, l’ombre d’un hold-up flottait dans l’air.
Mais la flamme, aussi vive soit-elle, n’a pas suffi à inverser le destin. « On a encore été dans la réaction… Mais ce n’est pas suffisant, regrettait Oniangue. Il n’y a pas de secret : on a joué quatre minutes, quatre minutes seulement comme il faudrait le faire à chaque instant. Et on revient. Alors je le redis, inutile de parler tactique : il faut être dans l’action, pas dans la réaction. Sinon, tu perds de l’énergie… et tu le payes cash. » Le feu axonais s’est éteint aussi vite qu’il s’était allumé. Mauvais choix, tirs précipités, manque d’alternance : le troisième quart s’est refermé comme un piège (67-61). Et le dernier acte a ramené le SQBB à ses errements du début. « Notre fin de match est à l’image de la rencontre… On avait fait le plus dur pour revenir. Mais on manque trop de lucidité, beaucoup trop. C’est la seule vérité », soupirait Da Silva, amer.
WARNER, BOURREAU ANNONCÉ
Boulazac, lui, n’a rien inventé. Attendus derrière l’arc, les hommes d’Alexandre Ménard ont pris le contre-pied en pilonnant la raquette saint-quentinoise, multipliant les drives pour faire sortir les intérieurs sur les écrans, avant de faire circuler le ballon. Et surtout, en s’offrant une moisson de rebonds offensifs, ils n’ont fait que profiter des largesses laissées par le SQBB. Dans ce registre, un homme a brillé de mille feux : Angelo Warner (32 points). Percées fulgurantes, paniers avec la faute, tirs au moment juste… Le meneur américain a transformé le Palio en son jardin, promenant la défense axonaise comme s’il évoluait sans opposition.
« C’est un fort joueur, mais on l’a bien aidé à être bon… Il a joué comme il le voulait, avec beaucoup de confiance. 32 points, bravo à lui, mais ce n’est pas normal. À l’image de notre rencontre : nous n’avons pas été au rendez-vous. Maintenant, il faut penser à la suite, tout en se remettant chacun face à ses responsabilités », concédait Oniangue.
L’ASVEL EN LIGNE DE MIRE
La suite, tout le monde la connaît : l’Asvel débarque dans six jours à Pierre-Ratte. Six jours pour se dire les choses. Six jours pour redevenir une équipe capable de se battre quarante minutes durant. « Chaque jour est un long process, rappelait Oniangue. Nous sommes les premiers déçus. Il faut bosser encore plus dur, car on l’a vu : la marge est infime. Mais si nous jouons quarante minutes comme ces quelques minutes du troisième quart, nous ne serons pas loin de la vérité. On a pris une claque, ça doit nous mettre face à nos responsabilités. On va se dire les choses, dès lundi. Inutile de s’étaler à chaud. »
Un message prolongé par son coach, le regard noir : « Peut-être qu’une claque réveille. Celle-là fait mal, très mal. Mais je préfère en prendre une que trente. Encore faut-il mettre les moyens et l’envie de ne plus en prendre. »

[gerco]

Les cinq chiffres qui ont condamné le SQBB à Boulazac
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41 À 18 – LE GOUFFRE
AU REBOND
Il résume à lui seul la soirée cauchemar du SQBB : 41 à 18 au rebond. Boulazac a raflé plus du double de rebonds, imposant sa loi dans sa raquette et multipliant les secondes chances. Le symbole est terrible : il a fallu attendre la neuvième minute pour voir le premier rebond saint-quentinois, signé Eddie Ekiyor, alors que le BBD en comptait déjà 11, dont 5 offensifs, soit la totalité des ballons disponibles après leurs tirs ratés. À ce niveau, chaque possession compte, et ces prises supplémentaires ont offert près de 13 points de plus aux locaux. En face, Saint-Quentin n’a capté que 4 rebonds offensifs, trop peu pour s’offrir de véritables opportunités de seconde chance. Avec un tel déséquilibre physique et mental, le SQBB ne pouvait pas espérer rivaliser.
32 – LES POINTS
D’ANGELO WARNER
Pour son baptême en Betclic Élite, Angelo Warner a transformé la soirée en démonstration : 32 points, 4 passes et 33 d’évaluation. Le meneur américain a attaqué la défense saint-quentinoise à sa guise, sans jamais être freiné. Ironie cruelle, il était précisément l’obsession de la semaine et le cœur du plan de match. Rien ne devait lui être simple, il fallait le bousculer, le priver de rythme. Mais dès ses deux premières pénétrations réussies, la tendance était donnée : toute la soirée, Warner s’est promené comme si ces consignes n’avaient jamais existé.
21 SUR 24 – LA LOI
DE LA RAQUETTE
À l’intérieur, Boulazac n’a pas seulement dominé au rebond : il a écrasé le SQBB dans la finition. Les hommes d’Alexandre Ménard ont inscrit 21 paniers sur 24 tentatives dans la raquette, soit 42 points et une réussite quasi parfaite. Percées fulgurantes de Warner, puissance des intérieurs, paniers bonifiés et dureté dans les contacts : les Saint-Quentinois ont subi sans jamais trouver la réponse. Ce chiffre illustre à lui seul l’écart d’impact physique et de présence défensive. Quand l’adversaire s’impose aussi facilement près du cercle, il n’y a pas de match possible.
94 POINTS ENCAISSÉS -
DÉFENSE ABSENTE
Même avec de bonnes séquences offensives – 20 passes décisives, une circulation de balle fluide et un ratio passes/pertes qui témoigne d’une certaine maîtrise – il est impossible d’espérer gagner en encaissant 94 points. Le SQBB a plutôt bien contrôlé la transition adverse, évitant les paniers faciles, mais n’a jamais su, sauf par séquences dans le troisième quart-temps, rendre la vie difficile à son adversaire. Le 25 sur 35 aux lancers francs laissés à Boulazac est révélateur : trop de fautes concédées, trop d’agressivité subie. Tant que l’adversaire pourra scorer sans contrainte, les bonnes intentions offensives resteront anecdotiques.

[Jefai.Popovic]

Je suis un peu surpris, lointain observateur que je suis, de ne pas reconnaitre l'identité du SQBB sur ce premier match.
Est-ce que c'est l'absence de coupe européenne qui vous a mis dans cette situation ?

[MatthieuditTP]

Je suis un peu surpris, lointain observateur que je suis, de ne pas reconnaitre l'identité du SQBB sur ce premier match.
Est-ce que c'est l'absence de coupe européenne qui vous a mis dans cette situation ?

Changement de coach...changement d'identité...

[oliv_from_nice]

L'identité appartient au club et à la ligne du président.
Il avait été annoncé lors des itw de fin de saison avec prache et Mahé qu'ils avaient forgé une identité au club et que ça allait perduré après Mahé.

Aujourd'hui on laisse notre club à un entraîneur qui vient tester pour la première fois sa théorie sur le jeu et qui peut mettre en péril notre survie en elite.

Nous ne sommes pas encore assez structurer pour se permettre des facéties au niveau du jeu.
Budget en baisse : malgré nos bonnes saisons,notre exposition positive dans les medias,l'image de la salle , aucun nouvel apport significatif de mécènes , partenaires privés et de collectivités.

L'autre image du club était aussi de lancer des jeunes à forts potentiels... Ça s'est terni avec la gestion de Nolan et surtout de Diakité qui aurait eu sa place aujourd'hui dans notre équipe (on l'avait signé 3 ans il me semble..).
On a qui aujourd'hui ? Difuidi seulement

Quels possibilités d'avoir plus de ressources ? On est au max avec notre salle et le projet d'un nouveau PDS est au point mort.

À comparer boulazak a beaucoup d'avance sur nous notamment avec leur centre,la salle et l'implication du Périgord..
Beaucoup d'autres clubs evoluent plus vite que nous.

Autant dire que si on descend on sera même pas sur de rester en prob et pour remonter il faudra15 ans peu être...

Avec ce constat : pourquoi prendre autant de risques et tout bouleverser ?

[MatthieuditTP]

L'identité appartient au club et à la ligne du président.
Il avait été annoncé lors des itw de fin de saison avec prache et Mahé qu'ils avaient forgé une identité au club et que ça allait perduré après Mahé.

Aujourd'hui on laisse notre club à un entraîneur qui vient tester pour la première fois sa théorie sur le jeu et qui peut mettre en péril notre survie en elite.

Nous ne sommes pas encore assez structurer pour se permettre des facéties au niveau du jeu.
Budget en baisse : malgré nos bonnes saisons,notre exposition positive dans les medias,l'image de la salle , aucun nouvel apport significatif de mécènes , partenaires privés et de collectivités.

L'autre image du club était aussi de lancer des jeunes à forts potentiels... Ça s'est terni avec la gestion de Nolan et surtout de Diakité qui aurait eu sa place aujourd'hui dans notre équipe (on l'avait signé 3 ans il me semble..).
On a qui aujourd'hui ? Difuidi seulement

Quels possibilités d'avoir plus de ressources ? On est au max avec notre salle et le projet d'un nouveau PDS est au point mort.

À comparer boulazak a beaucoup d'avance sur nous notamment avec leur centre,la salle et l'implication du Périgord..
Beaucoup d'autres clubs evoluent plus vite que nous.

Autant dire que si on descend on sera même pas sur de rester en prob et pour remonter il faudra15 ans peu être...

Avec ce constat : pourquoi prendre autant de risques et tout bouleverser ?

Oui l'identité appartient au club et au président...mais dans ce cas, il faut recruter un coach avec le style de jeu qui correspond à l'identité que veut le club...ce que fait plutôt bien Paris depuis Iisalo...on ne peut pas dire qu'il en soit de même au SQBB...

Après pour les ressources...je ne dirais pas que vous êtes au max...car au SQBB, il me semble que les tarifs sont très peu élevé...il faudrait peut être déjà voir pour les augmenter pour commencer !

[oliv_from_nice]

Et il faut se questionner sur la gestion du depart de Mahé à Nanterre et l'annonce assez tôt dans la saison qui a peu être causé un relâchement de certains joueurs...
Et de cet échange d'entraîneur que Donnadieu a du proposer à prache en pensant que c'était un cadeau et une opportunité d'avoir l'entraîneur très rapidement.

Un peu le sentiment qu'on s'est fait b*iser...

[oliv_from_nice]

Il manque un manager sportif dans notre club

[bb4159]

Il manque un manager sportif dans notre club

Vous n'avez jamais été un club qui s'est structuré sur l'administratif, toute la masse salariale a toujours été priorisée sur le sportif et l'équipe pro. Jusqu'alors avec succès.

Mettre plus d'argent sur l'administratif c'est en avoir moins sur le sportif, c'est un choix.

Pour rappel l'année de votre montée vous aviez une énorme masse salariale pour un promu 1.4M€ ce qui était l'avant dernière MS du championnat mais très proche des équipes du milieu de tableau.
L'an dernier vous êtes passés à près d'1.7M€ 10ème MS du championnat, bien loin des discours de petit budget qu'on entend ici ou là.

Attention ça n'est pas une critique et ce n'est pas pour autant que Mahé n'a pas surperformé par rapport à ces moyens en allant chercher les playoffs chaque année.
Le SQBB n'est pas/plus un club avec de petits moyens dans la division mais un club avec des moyens très honorables.

[kriste02]

Dans l'idéal il faut trouver en urgence un coach défensif, il faut un sorcier. Là il y a erreur de casting. On a vu les matchs de Nanterre l'année dernière, on peut pas dire qu'on savait pas.

[Spalding02]

L'identité appartient au club et à la ligne du président.
Il avait été annoncé lors des itw de fin de saison avec prache et Mahé qu'ils avaient forgé une identité au club et que ça allait perduré après Mahé.

Aujourd'hui on laisse notre club à un entraîneur qui vient tester pour la première fois sa théorie sur le jeu et qui peut mettre en péril notre survie en elite.

Nous ne sommes pas encore assez structurer pour se permettre des facéties au niveau du jeu.
Budget en baisse : malgré nos bonnes saisons,notre exposition positive dans les medias,l'image de la salle , aucun nouvel apport significatif de mécènes , partenaires privés et de collectivités.

L'autre image du club était aussi de lancer des jeunes à forts potentiels... Ça s'est terni avec la gestion de Nolan et surtout de Diakité qui aurait eu sa place aujourd'hui dans notre équipe (on l'avait signé 3 ans il me semble..).
On a qui aujourd'hui ? Difuidi seulement

Quels possibilités d'avoir plus de ressources ? On est au max avec notre salle et le projet d'un nouveau PDS est au point mort.

À comparer boulazak a beaucoup d'avance sur nous notamment avec leur centre,la salle et l'implication du Périgord..
Beaucoup d'autres clubs evoluent plus vite que nous.

Autant dire que si on descend on sera même pas sur de rester en prob et pour remonter il faudra15 ans peu être...

Avec ce constat : pourquoi prendre autant de risques et tout bouleverser ?

Je n'aurais pas dit mieux !
La philosophie de jeu de PDS est sûrement la plus adaptée pour rejoindre un basket moderne, mais il faut du talent offensif pour la mettre en place. Je ne dis pas que nos joueurs soient des peintres, mais sont ils vraiment calibrés pour réussir ??? D'un point de vue personnel, je ne crois pas.
Et l'ADN du club c'était de faire du palais des sports un bastion imprenable avec au moins un minimum de défense.
J'espère sincèrement me tromper, mais je ne vois aucun signe montrant que l'on s'en sortira.

[kristoferthorir]

Pour participer un peu à votre réflexion, à titre de comparaison, pour parler d'un club que j'connais bien, la Chorale de Roanne, sur la saison 2022-2023, avec la 13eme masse salariale de l'Elite (1,6M), Choulet qui savait plutôt bien faire pour orienter son jeu vers l'aspect offensif (15v-19d cette saison là, 91,5 pts marques, 91 encaissés) arrivait à aligner un starting 5 avec Stefan Moody, Ronald March, Kyle Foster, Maxime Roos et Yannis Morin.
On a effectivement pas l'impression que votre roster possède autant de talent à masse salariale plus ou moins comparable pour jouer un basket avec beaucoup de possessions.

Je vous rejoins sur le fait que c'est une prise de risque importante, trouver chaque été des joueurs majeurs avec suffisamment de talent pour assumer ce type de jeu, dans une enveloppe budgétaire malgré tout relativement contrainte, ça peut quasiment conditionner ton maintien si le recrutement est raté, j'vous fait grace de ce qu'il est advenu la saison suivante

[Khasix]

Il manque un manager sportif dans notre club

Vous n'avez jamais été un club qui s'est structuré sur l'administratif, toute la masse salariale a toujours été priorisée sur le sportif et l'équipe pro. Jusqu'alors avec succès.

Mettre plus d'argent sur l'administratif c'est en avoir moins sur le sportif, c'est un choix.

Pour rappel l'année de votre montée vous aviez une énorme masse salariale pour un promu 1.4M€ ce qui était l'avant dernière MS du championnat mais très proche des équipes du milieu de tableau.
L'an dernier vous êtes passés à près d'1.7M€ 10ème MS du championnat, bien loin des discours de petit budget qu'on entend ici ou là.

Attention ça n'est pas une critique et ce n'est pas pour autant que Mahé n'a pas surperformé par rapport à ces moyens en allant chercher les playoffs chaque année.
Le SQBB n'est pas/plus un club avec de petits moyens dans la division mais un club avec des moyens très honorables.

BB4159 a tout résumé sur cette situation… On est un des seuls clubs en France à avoir : location gratuite du Palais des sports, des bénévoles à la buvette, au guichet, nos intendants…
2/3 alternants et un GM qui n’est pas du tout un GM, juste un prêté-nom

On sacrifie tout ça pour une MS qui est très bien, et j’ai envie de vous dire que la dernière saison de Julien Mahé est très décevante… On avait la 8ᵉ MS, des gars comme Robinson qui ont divisé par 3 leur salaire l’année dernière, un énorme prospect, un effectif de 11 joueurs dans la saison… et nous avons fait une saison catastrophique !

Maintenant, critiquer Da Silva au bout d’un match… faut attendre un peu, y’a aussi les joueurs qui sont mauvais

Attendons 3-4 matchs… Puis, si jamais il y a descente, eh bien il faudra structurer le club de A à Z, peut-être même un changement de président car Prash y passe de son temps…

Flo Piétrus cherche à se reconvertir, ou d’autres, en GM rookie. C’est donnant-donnant : ça ne coûte pas cher et lui, il fait son XP avec un bon réseau… Mais bon, c’est pas la philosophie de Prash.,