[SQBB] 25/26 après 5 années Mahestueuses quid de l avenir avec Da Silva ?
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Re: [SQBB] 25/26 après 5 années Mahestueuses quid de l avenir avec Da Silva ?
Basket-ball (Betclic Élite) : Jordan Caroline, la bombe du SQBB prête à faire exploser Pierre-Ratte
Arrivé cet été au SQBB, Jordan Caroline n’est pas seulement un nouveau poste 4. Avec son énergie débordante, son parcours riche de la NCAA à l’étranger et un nom qui résonne comme un hymne pour les tribunes, l’Américain a déjà tout pour devenir l’un des chouchous de Pierre-Ratte.
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Par Anthony Ottou
Publié: 16 Septembre 2025 à 18h30
4 min
Partage :
Sweet Caroline… Ce refrain mythique, repris dans les stades du monde entier, pourrait bien trouver un nouveau souffle à Pierre-Ratte. Les supporters du SQBB, jamais avares de chants, ont peut-être déjà trouvé leur héros désigné : Jordan Caroline.
Le nouvel intérieur saint-quentinois a tout pour devenir l’un des chouchous du public, tant son énergie, son abattage et son sens du sacrifice collent à l’ADN du club. Mais attention : malgré la douceur promise par le titre de la chanson, rien de « sweet » chez ce poste 4 de 1,98 m, véritable boule de muscles et d’explosivité, qui fait vibrer le parquet à chacun de ses impacts.
Avec son énergie, Jordan Caroline a déjà tout pour devenir l’un des chouchous de Pierre-Ratte.
Avec son énergie, Jordan Caroline a déjà tout pour devenir l’un des chouchous de Pierre-Ratte. - G.H.
Le parquet est son terrain d’expression, bien plus que ne l’est sa vie en dehors, où il se montre discret et réservé. Expressif balle en main, démonstratif dans ses célébrations, l’Américain aurait pourtant pu suivre une autre voie. Chez les Caroline, le football américain est une tradition : son grand-père J.C. Caroline a joué dix saisons aux Chicago Bears, son père Simeon Rice reste une référence de la NFL après douze années au plus haut niveau.
Mais Jordan a choisi la balle orange. « J’ai essayé quand j’étais petit, mais je n’ai pas grandi avec mon père. Alors, le basket c’est devenu naturel : tout le monde jouait dans mon quartier. Ça faisait plus de sens… Donc je n’ai jamais eu de pression par rapport à ça, j’ai toujours voulu faire ce sport », explique-t-il.
Une famille de footballeur américain
C’est en NCAA, au sein du championnat universitaire, qu’il a commencé à se forger une identité. Lors de sa dernière saison, il a battu le record de double-doubles en carrière de la Mountain West Conference, jusque-là détenu par Andrew Bogut, ancien numéro 1 de draft NBA. Malgré une Summer League prometteuse avec les Los Angeles Lakers, c’est finalement à l’étranger qu’il a poursuivi son chemin, entre l’Europe et l’Asie.
À LIRE AUSSI
Basket-ball (préparation) : quatre jours loin de chez soi pour forger le collectif
En Espagne, Australie, Japon, Israël, Italie, Caroline a imposé son physique et son sens du scoring. Mais plus encore que les statistiques, ce sont les leçons engrangées qui lui servent aujourd’hui. « Partout où je suis passé, j’ai appris quelque chose, confie-t-il. Et puis, il y a toutes les expériences humaines. C’est quelque chose dont je suis reconnaissant : avoir eu la chance de jouer dans de très bons championnats et de découvrir autant de cultures. »
Oui, je suis clairement un joueur qui joue avec beaucoup d’énergie. Beaucoup de passion. Pour moi, il s’agit surtout de m’ajuster, de trouver ma voie, sans me mettre trop de pression.
Le Japon, notamment, l’a marqué, lui le fan de manga : « Honnêtement, c’est mieux que ce que les gens imaginent. Les étrangers sont toujours de haut niveau, parce que c’est une ligue qui investit beaucoup. Mais il ne faut pas sous-estimer les joueurs japonais : ce sont d’excellents shooteurs. Au final, c’est un environnement idéal pour progresser et s’entraîner. Et puis le Japon, ce pays, sa culture. C’est juste incroyable.»
C’est toute cette expérience que Jordan Caroline entend désormais mettre au service du SQBB. Dès sa nomination, Philippe Da Silva en avait fait une cible prioritaire, persuadé de tenir un joueur capable de faire gagner son équipe. Avec son cœur énorme et son énergie débordante, Caroline possède ce profil qui peut électriser Pierre-Ratte. Mais cette intensité, il doit encore apprendre à la canaliser. L’excès d’envie se traduit parfois par des maladresses, notamment des fautes offensives, fréquentes au cours de la préparation.
« So good, so good » : un refrain taillé pour Caroline
La préparation a toutefois montré ses progrès. Match après match, il a trouvé son rythme et son rôle. « Oui, je suis clairement un joueur qui joue avec beaucoup d’énergie, avoue-t-il. Beaucoup de passion. Pour moi, il s’agit surtout de m’ajuster, de trouver ma voie et de prendre chaque match comme il vient, sans me mettre trop de pression. »
Je pense qu’on a un public incroyable et une équipe talentueuse. On s’entraîne dur et je sais qu’on sera prêt. En tout cas, je donnerai tout pour ce maillot, tout pour que l’on gagne le plus de matches possible et que tout le monde soit heureux à la fin de la saison.
Jordan Caroline
Une philosophie qui lui permet de se nourrir de son environnement : « Quand je vois une salle avec autant d’ambiance, ça me pousse à jouer encore plus fort. Au final, ça rend mon travail beaucoup plus facile. »
Et dans ce rôle, Caroline se sent déjà porté par un public saint-quentinois conquis par son abattage. « On a une belle équipe, j’adore les supporters. Je pense qu’on a un public incroyable et une équipe talentueuse. On s’entraîne dur et je sais qu’on sera prêt. En tout cas, je donnerai tout pour ce maillot, tout pour que l’on gagne le plus de matches possible et que tout le monde soit heureux à la fin de la saison. »
À LIRE AUSSI
Basket-ball (préparation) : week-end sans victoire pour un SQBB qui cherche encore sa voie
Alors, si un jour les supporters de Pierre-Ratte reprennent en chœur le fameux « So good, so good, so good », ce ne sera pas seulement pour l’écho d’une chanson planétaire. Ce sera pour saluer l’énergie et le cœur de Jordan Caroline.
Arrivé cet été au SQBB, Jordan Caroline n’est pas seulement un nouveau poste 4. Avec son énergie débordante, son parcours riche de la NCAA à l’étranger et un nom qui résonne comme un hymne pour les tribunes, l’Américain a déjà tout pour devenir l’un des chouchous de Pierre-Ratte.
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Par Anthony Ottou
Publié: 16 Septembre 2025 à 18h30
4 min
Partage :
Sweet Caroline… Ce refrain mythique, repris dans les stades du monde entier, pourrait bien trouver un nouveau souffle à Pierre-Ratte. Les supporters du SQBB, jamais avares de chants, ont peut-être déjà trouvé leur héros désigné : Jordan Caroline.
Le nouvel intérieur saint-quentinois a tout pour devenir l’un des chouchous du public, tant son énergie, son abattage et son sens du sacrifice collent à l’ADN du club. Mais attention : malgré la douceur promise par le titre de la chanson, rien de « sweet » chez ce poste 4 de 1,98 m, véritable boule de muscles et d’explosivité, qui fait vibrer le parquet à chacun de ses impacts.
Avec son énergie, Jordan Caroline a déjà tout pour devenir l’un des chouchous de Pierre-Ratte.
Avec son énergie, Jordan Caroline a déjà tout pour devenir l’un des chouchous de Pierre-Ratte. - G.H.
Le parquet est son terrain d’expression, bien plus que ne l’est sa vie en dehors, où il se montre discret et réservé. Expressif balle en main, démonstratif dans ses célébrations, l’Américain aurait pourtant pu suivre une autre voie. Chez les Caroline, le football américain est une tradition : son grand-père J.C. Caroline a joué dix saisons aux Chicago Bears, son père Simeon Rice reste une référence de la NFL après douze années au plus haut niveau.
Mais Jordan a choisi la balle orange. « J’ai essayé quand j’étais petit, mais je n’ai pas grandi avec mon père. Alors, le basket c’est devenu naturel : tout le monde jouait dans mon quartier. Ça faisait plus de sens… Donc je n’ai jamais eu de pression par rapport à ça, j’ai toujours voulu faire ce sport », explique-t-il.
Une famille de footballeur américain
C’est en NCAA, au sein du championnat universitaire, qu’il a commencé à se forger une identité. Lors de sa dernière saison, il a battu le record de double-doubles en carrière de la Mountain West Conference, jusque-là détenu par Andrew Bogut, ancien numéro 1 de draft NBA. Malgré une Summer League prometteuse avec les Los Angeles Lakers, c’est finalement à l’étranger qu’il a poursuivi son chemin, entre l’Europe et l’Asie.
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Oui, je suis clairement un joueur qui joue avec beaucoup d’énergie. Beaucoup de passion. Pour moi, il s’agit surtout de m’ajuster, de trouver ma voie, sans me mettre trop de pression.
Le Japon, notamment, l’a marqué, lui le fan de manga : « Honnêtement, c’est mieux que ce que les gens imaginent. Les étrangers sont toujours de haut niveau, parce que c’est une ligue qui investit beaucoup. Mais il ne faut pas sous-estimer les joueurs japonais : ce sont d’excellents shooteurs. Au final, c’est un environnement idéal pour progresser et s’entraîner. Et puis le Japon, ce pays, sa culture. C’est juste incroyable.»
C’est toute cette expérience que Jordan Caroline entend désormais mettre au service du SQBB. Dès sa nomination, Philippe Da Silva en avait fait une cible prioritaire, persuadé de tenir un joueur capable de faire gagner son équipe. Avec son cœur énorme et son énergie débordante, Caroline possède ce profil qui peut électriser Pierre-Ratte. Mais cette intensité, il doit encore apprendre à la canaliser. L’excès d’envie se traduit parfois par des maladresses, notamment des fautes offensives, fréquentes au cours de la préparation.
« So good, so good » : un refrain taillé pour Caroline
La préparation a toutefois montré ses progrès. Match après match, il a trouvé son rythme et son rôle. « Oui, je suis clairement un joueur qui joue avec beaucoup d’énergie, avoue-t-il. Beaucoup de passion. Pour moi, il s’agit surtout de m’ajuster, de trouver ma voie et de prendre chaque match comme il vient, sans me mettre trop de pression. »
Je pense qu’on a un public incroyable et une équipe talentueuse. On s’entraîne dur et je sais qu’on sera prêt. En tout cas, je donnerai tout pour ce maillot, tout pour que l’on gagne le plus de matches possible et que tout le monde soit heureux à la fin de la saison.
Jordan Caroline
Une philosophie qui lui permet de se nourrir de son environnement : « Quand je vois une salle avec autant d’ambiance, ça me pousse à jouer encore plus fort. Au final, ça rend mon travail beaucoup plus facile. »
Et dans ce rôle, Caroline se sent déjà porté par un public saint-quentinois conquis par son abattage. « On a une belle équipe, j’adore les supporters. Je pense qu’on a un public incroyable et une équipe talentueuse. On s’entraîne dur et je sais qu’on sera prêt. En tout cas, je donnerai tout pour ce maillot, tout pour que l’on gagne le plus de matches possible et que tout le monde soit heureux à la fin de la saison. »
À LIRE AUSSI
Basket-ball (préparation) : week-end sans victoire pour un SQBB qui cherche encore sa voie
Alors, si un jour les supporters de Pierre-Ratte reprennent en chœur le fameux « So good, so good, so good », ce ne sera pas seulement pour l’écho d’une chanson planétaire. Ce sera pour saluer l’énergie et le cœur de Jordan Caroline.
mon NOUVEAU forum sur le SQBB :
http://sqbbnonofficiel.clicforum.com/index.php
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Re: [SQBB] 25/26 après 5 années Mahestueuses quid de l avenir avec Da Silva ?
Merci Gerco....Pfff Jordan Caroline qui dit qu'on a un public incroyable alors qu'on a joué qu'un match de préparation à St Quentin contre Bruxelles avec une petite ambiance....en championnat il va avoir une syncope




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Re: [SQBB] 25/26 après 5 années Mahestueuses quid de l avenir avec Da Silva ?
Communication sur le Facebook du club à destination des abonnés :
Les cartes d'abonnement ne sont pas prêtes....procédure à suivre pour vendredi contre Bonn :
https://www.facebook.com/photo/?fbid=13 ... 7761489075
(Attention Fred moi j'ai reçu par mail de Thibaut Ricoux son accord et l'info comme quoi le club a fait le nécessaire donc je pense qu'on peut aller sur nos nouvelles places même si le numéro sur notre document sera différent (moi je vais reprendre le document provisoire du match contre Bruxelles).
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(Attention Fred moi j'ai reçu par mail de Thibaut Ricoux son accord et l'info comme quoi le club a fait le nécessaire donc je pense qu'on peut aller sur nos nouvelles places même si le numéro sur notre document sera différent (moi je vais reprendre le document provisoire du match contre Bruxelles).
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Re: [SQBB] 25/26 après 5 années Mahestueuses quid de l avenir avec Da Silva ?
Merci pour l'info.dreamgaiden a écrit : ↑mer. 17 sept. 2025 20:15 Communication sur le Facebook du club à destination des abonnés :
Les cartes d'abonnement ne sont pas prêtes....procédure à suivre pour vendredi contre Bonn :
https://www.facebook.com/photo/?fbid=13 ... 7761489075
(Attention Fred moi j'ai reçu par mail de Thibaut Ricoux son accord et l'info comme quoi le club a fait le nécessaire donc je pense qu'on peut aller sur nos nouvelles places même si le numéro sur notre document sera différent (moi je vais reprendre le document provisoire du match contre Bruxelles).
J'ai gardé le mail "Billet See Tickets - Abonnement 2025 / 2026 - Confirmation de l'achat" dans lequel il y a un lien qui mène à un document.
Sur ce document c'est le nouveau numéro de place qui est inscrit (32).
Donc oui je pense que l'on peut aller sur nos nouvelles places.
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Re: [SQBB] 25/26 après 5 années Mahestueuses quid de l avenir avec Da Silva ?
ok merci moi je n'avais pas ça, je suis passé par le siège pour l'abo.fredC a écrit : ↑mer. 17 sept. 2025 22:12Merci pour l'info.dreamgaiden a écrit : ↑mer. 17 sept. 2025 20:15 Communication sur le Facebook du club à destination des abonnés :
Les cartes d'abonnement ne sont pas prêtes....procédure à suivre pour vendredi contre Bonn :
https://www.facebook.com/photo/?fbid=13 ... 7761489075
(Attention Fred moi j'ai reçu par mail de Thibaut Ricoux son accord et l'info comme quoi le club a fait le nécessaire donc je pense qu'on peut aller sur nos nouvelles places même si le numéro sur notre document sera différent (moi je vais reprendre le document provisoire du match contre Bruxelles).
J'ai gardé le mail "Billet See Tickets - Abonnement 2025 / 2026 - Confirmation de l'achat" dans lequel il y a un lien qui mène à un document.
Sur ce document c'est le nouveau numéro de place qui est inscrit (32).
Donc oui je pense que l'on peut aller sur nos nouvelles places.
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Re: [SQBB] 25/26 après 5 années Mahestueuses quid de l avenir avec Da Silva ?
Une préparation en souffrance, est-ce grave docteur ?
À dix jours du début de la Betclic Élite, le SQBB affine ses réglages et cherche ses premières certitudes. G.H
Basket-ball (Betclic Élite). Avec une seule victoire en six matches amicaux, le SQBB n’a pas vraiment levé les doutes durant l’été. Faut-il y voir un signal inquiétant ou simplement les symptômes logiques d’un collectif en pleine mutation ? À dix jours du coup d’envoi du championnat, la question reste ouverte.
prevnext
Depuis le 11 août, date de reprise du SQBB, les questions fusent. Certains laissent même poindre une inquiétude grandissante… en oubliant parfois que tout n’était pas toujours rose lors des précédentes préparations. Le départ de Julien Mahé a-t-il marqué la fin d’un cycle en Betclic Élite ? Philippe Da Silva est-il capable de prolonger la dynamique des dernières saisons ? Et surtout, les recrues sont-elles armées pour maintenir le club dans l’élite ? Dans les tribunes comme sur les forums, au bord du parquet comme dans les discussions entre amis, les débats vont bon train. Les inquiétudes sont palpables, même si certains préfèrent patienter et juger à l’aune des premiers matches de championnat.
UNE PRÉPARATION QUI PATINE
Le premier constat n’a pas aidé à dissiper les doutes : une seule victoire en six matches amicaux. Le contenu reste inégal, les certitudes difficiles à dégager. De quoi nourrir le scepticisme ? A preuve du contraire, personne n’est champion de France des matches amicaux et une préparation porte bien son nom : elle ne se mesure pas seulement au tableau d’affichage, mais aussi à la progression collective, aux réglages individuels et à l’alchimie qui se construit dans l’ombre.
La vraie question n’est donc peut-être pas de savoir pourquoi le SQBB perd en présaison… mais bien s’il sera prêt, le 27 septembre prochain, pour le premier rendez-vous officiel face à Boulazac.
Après la défaite contre Dijon à Luxeuil-les-Bains, Philippe Da Silva a été clair. Inquiet ? Pas le moins du monde. « Les gens veulent comparer, les journalistes vont dire que le SQBB n’a pas gagné un match de préparation… Moi, je suis focalisé sur mon équipe. Est-ce qu’elle progresse ? Est-ce qu’elle montre cette volonté d’avancer ensemble ? C’est ça le plus important. Rien ne sert de se poser mille questions. Il faut continuer à avancer et voir le chemin parcouru quand les victoires et défaites compteront vraiment. »
Un discours classique, certes, mais révélateur de la philosophie du technicien. La pré-saison est un laboratoire : tester des associations, observer et voir le vrai visage du groupe, confronter l’équipe à plusieurs scénarios. Est-ce qu’elle s’emballe quand elle gagne ? Est-ce qu’elle se renferme quand elle perd ? Ces six semaines ne servent pas à remplir une colonne « victoires », mais à construire un fil conducteur pour le vrai championnat.
QUAND L’HISTOIRE DONNE RAISON À LA PATIENCE
L’histoire récente du SQBB illustre bien cette idée. Lors du retour en Betclic Élite, la préparation s’était soldée par trois victoires (Le Portel, Bruxelles, Chalon Reims) et trois défaites, après un tournoi compliqué et une défaite face au Mans à Laval. Résultat ? Une saison historique, terminée à la 6 e place avec une participation européenne à la clé.
La saison suivante, le contraste fut saisissant : préparation parfaite, sans la moindre défaite (Bruxelles, Courtrai, Anvers, BCM, Nancy, Nanterre et Bonn) puis un début de championnat canon (Monaco, Le Mans, Nancy). Mais le premier gros tests, à Cholet notamment, ont révélé certaines limites de l’équipe lors des grosses affiches. Résultat final : une 10e place et une élimination précoce en play-in à Dijon. De quoi rappeler que les résultats de septembre ne sont jamais une vérité absolue.
UN NOUVEAU STYLE À ASSIMILER
Le SQBB n’a retrouvé son effectif au complet qu’à Luxeuil-les-Bains. C’est là que les contours du nouveau projet ont commencé à se dessiner. Avec Philippe Da Silva aux commandes, le visage de l’équipe a clairement changé. En attaque, fini le jeu sous contrôle qui privilégiait la patience et la maîtrise du tempo. Place à un basket plus rapide, basé sur le mouvement, la multiplication des possessions et une volonté d’user l’adversaire par le rythme.
La philosophie est tout aussi différente en défense. Là où Julien Mahé construisait ses succès sur une raquette verrouillée et une discipline stricte, son successeur exige davantage d’agressivité sur le porteur de balle. L’objectif : couper les lignes de passe, provoquer des erreurs, récupérer vite le ballon. Mais cette audace a un prix : elle ouvre forcément des espaces dans le dos, que les joueurs doivent apprendre à gérer collectivement.
L’objectif : couper les lignes de passe, provoquer des erreurs, récupérer vite le ballon. Mais cette audace a un prix : elle ouvre forcément des espaces dans le dos, que les joueurs doivent apprendre à gérer collectivement. Ce virage tactique suppose du temps d’adaptation, des automatismes à créer et une confiance à bâtir. Mais il reflète la volonté de Philippe Da Silva : insuffler une nouvelle identité au SQBB, plus verticale, plus intense, plus dérangeante pour l’adversaire.
Ce virage tactique n’est pas anodin. Il suppose du temps d’adaptation, des automatismes à créer et une confiance à bâtir. Mais il reflète la volonté de Philippe Da Silva : insuffler une nouvelle identité au SQBB, plus verticale, plus intense, plus dérangeante pour l’adversaire.
Vendredi, face à Bonn, pour le dernier match de préparation, les Saint-Quentinois devront montrer davantage. Non pas pour tout régler, mais pour se rassurer. Car dans dix jours, à Boulazac, l’heure ne sera plus aux questions. Elle sera aux premières
À dix jours du début de la Betclic Élite, le SQBB affine ses réglages et cherche ses premières certitudes. G.H
Basket-ball (Betclic Élite). Avec une seule victoire en six matches amicaux, le SQBB n’a pas vraiment levé les doutes durant l’été. Faut-il y voir un signal inquiétant ou simplement les symptômes logiques d’un collectif en pleine mutation ? À dix jours du coup d’envoi du championnat, la question reste ouverte.
prevnext
Depuis le 11 août, date de reprise du SQBB, les questions fusent. Certains laissent même poindre une inquiétude grandissante… en oubliant parfois que tout n’était pas toujours rose lors des précédentes préparations. Le départ de Julien Mahé a-t-il marqué la fin d’un cycle en Betclic Élite ? Philippe Da Silva est-il capable de prolonger la dynamique des dernières saisons ? Et surtout, les recrues sont-elles armées pour maintenir le club dans l’élite ? Dans les tribunes comme sur les forums, au bord du parquet comme dans les discussions entre amis, les débats vont bon train. Les inquiétudes sont palpables, même si certains préfèrent patienter et juger à l’aune des premiers matches de championnat.
UNE PRÉPARATION QUI PATINE
Le premier constat n’a pas aidé à dissiper les doutes : une seule victoire en six matches amicaux. Le contenu reste inégal, les certitudes difficiles à dégager. De quoi nourrir le scepticisme ? A preuve du contraire, personne n’est champion de France des matches amicaux et une préparation porte bien son nom : elle ne se mesure pas seulement au tableau d’affichage, mais aussi à la progression collective, aux réglages individuels et à l’alchimie qui se construit dans l’ombre.
La vraie question n’est donc peut-être pas de savoir pourquoi le SQBB perd en présaison… mais bien s’il sera prêt, le 27 septembre prochain, pour le premier rendez-vous officiel face à Boulazac.
Après la défaite contre Dijon à Luxeuil-les-Bains, Philippe Da Silva a été clair. Inquiet ? Pas le moins du monde. « Les gens veulent comparer, les journalistes vont dire que le SQBB n’a pas gagné un match de préparation… Moi, je suis focalisé sur mon équipe. Est-ce qu’elle progresse ? Est-ce qu’elle montre cette volonté d’avancer ensemble ? C’est ça le plus important. Rien ne sert de se poser mille questions. Il faut continuer à avancer et voir le chemin parcouru quand les victoires et défaites compteront vraiment. »
Un discours classique, certes, mais révélateur de la philosophie du technicien. La pré-saison est un laboratoire : tester des associations, observer et voir le vrai visage du groupe, confronter l’équipe à plusieurs scénarios. Est-ce qu’elle s’emballe quand elle gagne ? Est-ce qu’elle se renferme quand elle perd ? Ces six semaines ne servent pas à remplir une colonne « victoires », mais à construire un fil conducteur pour le vrai championnat.
QUAND L’HISTOIRE DONNE RAISON À LA PATIENCE
L’histoire récente du SQBB illustre bien cette idée. Lors du retour en Betclic Élite, la préparation s’était soldée par trois victoires (Le Portel, Bruxelles, Chalon Reims) et trois défaites, après un tournoi compliqué et une défaite face au Mans à Laval. Résultat ? Une saison historique, terminée à la 6 e place avec une participation européenne à la clé.
La saison suivante, le contraste fut saisissant : préparation parfaite, sans la moindre défaite (Bruxelles, Courtrai, Anvers, BCM, Nancy, Nanterre et Bonn) puis un début de championnat canon (Monaco, Le Mans, Nancy). Mais le premier gros tests, à Cholet notamment, ont révélé certaines limites de l’équipe lors des grosses affiches. Résultat final : une 10e place et une élimination précoce en play-in à Dijon. De quoi rappeler que les résultats de septembre ne sont jamais une vérité absolue.
UN NOUVEAU STYLE À ASSIMILER
Le SQBB n’a retrouvé son effectif au complet qu’à Luxeuil-les-Bains. C’est là que les contours du nouveau projet ont commencé à se dessiner. Avec Philippe Da Silva aux commandes, le visage de l’équipe a clairement changé. En attaque, fini le jeu sous contrôle qui privilégiait la patience et la maîtrise du tempo. Place à un basket plus rapide, basé sur le mouvement, la multiplication des possessions et une volonté d’user l’adversaire par le rythme.
La philosophie est tout aussi différente en défense. Là où Julien Mahé construisait ses succès sur une raquette verrouillée et une discipline stricte, son successeur exige davantage d’agressivité sur le porteur de balle. L’objectif : couper les lignes de passe, provoquer des erreurs, récupérer vite le ballon. Mais cette audace a un prix : elle ouvre forcément des espaces dans le dos, que les joueurs doivent apprendre à gérer collectivement.
L’objectif : couper les lignes de passe, provoquer des erreurs, récupérer vite le ballon. Mais cette audace a un prix : elle ouvre forcément des espaces dans le dos, que les joueurs doivent apprendre à gérer collectivement. Ce virage tactique suppose du temps d’adaptation, des automatismes à créer et une confiance à bâtir. Mais il reflète la volonté de Philippe Da Silva : insuffler une nouvelle identité au SQBB, plus verticale, plus intense, plus dérangeante pour l’adversaire.
Ce virage tactique n’est pas anodin. Il suppose du temps d’adaptation, des automatismes à créer et une confiance à bâtir. Mais il reflète la volonté de Philippe Da Silva : insuffler une nouvelle identité au SQBB, plus verticale, plus intense, plus dérangeante pour l’adversaire.
Vendredi, face à Bonn, pour le dernier match de préparation, les Saint-Quentinois devront montrer davantage. Non pas pour tout régler, mais pour se rassurer. Car dans dix jours, à Boulazac, l’heure ne sera plus aux questions. Elle sera aux premières
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Re: [SQBB] 25/26 après 5 années Mahestueuses quid de l avenir avec Da Silva ?
Bonn, une fabrique de talents européens
ANTHONY OTTOU
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Ce n’est peut-être qu’un match amical, mais la venue de Bonn à Pierre-Ratte n’est pas anodine. Le club allemand s’est taillé, ces dernières années, une solide réputation de pépinière de talents.
On se souvient d’abord de Parker Jackson-Cartwright : après avoir brillé au SQBB, il a poursuivi son ascension en Allemagne avant de rejoindre l’ASVEL. Mais l’apogée est venu en 2023, quand Tuomas Iisalo sur le banc et TJ Shorts sur le parquet ont emmené Bonn sur le toit de l’Europe, aux côtés de Tyson Ward et Collin Malcolm. Quelques mois plus tard, ce noyau se retrouvait… à Paris, propulsant le club de la capitale sur le devant de la scène française et européenne.
Les exemples ne manquent pas. Noah Kirkwood a porté le maillot de Bonn avant de découvrir la Betclic Élite avec le SQBB. Glynn Watson, considéré l’an passé au BCM comme l’un des meilleurs meneurs américains du championnat, s’est envolé depuis vers l’ASVEL et l’Euroligue. Quant à Darius McGhee, brillant durant la préparation avec Bourg-en-Bresse, il a lui aussi fait ses classes à Bonn, dans la lignée de cette filière à succès. Robert Flemming Jr, joueur star du SLUC Nancy a aussi brillé l’an dernier à Bonn.
Vendredi soir, au-delà du test pour les Saint-Quentinois, ce sera peut-être l’occasion d’apercevoir sur le parquet de Pierre-Ratte un ou plusieurs des futurs grands noms du basket européen.
ANTHONY OTTOU
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Ce n’est peut-être qu’un match amical, mais la venue de Bonn à Pierre-Ratte n’est pas anodine. Le club allemand s’est taillé, ces dernières années, une solide réputation de pépinière de talents.
On se souvient d’abord de Parker Jackson-Cartwright : après avoir brillé au SQBB, il a poursuivi son ascension en Allemagne avant de rejoindre l’ASVEL. Mais l’apogée est venu en 2023, quand Tuomas Iisalo sur le banc et TJ Shorts sur le parquet ont emmené Bonn sur le toit de l’Europe, aux côtés de Tyson Ward et Collin Malcolm. Quelques mois plus tard, ce noyau se retrouvait… à Paris, propulsant le club de la capitale sur le devant de la scène française et européenne.
Les exemples ne manquent pas. Noah Kirkwood a porté le maillot de Bonn avant de découvrir la Betclic Élite avec le SQBB. Glynn Watson, considéré l’an passé au BCM comme l’un des meilleurs meneurs américains du championnat, s’est envolé depuis vers l’ASVEL et l’Euroligue. Quant à Darius McGhee, brillant durant la préparation avec Bourg-en-Bresse, il a lui aussi fait ses classes à Bonn, dans la lignée de cette filière à succès. Robert Flemming Jr, joueur star du SLUC Nancy a aussi brillé l’an dernier à Bonn.
Vendredi soir, au-delà du test pour les Saint-Quentinois, ce sera peut-être l’occasion d’apercevoir sur le parquet de Pierre-Ratte un ou plusieurs des futurs grands noms du basket européen.
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Re: [SQBB] 25/26 après 5 années Mahestueuses quid de l avenir avec Da Silva ?
Enfin un article où on apprend des choses intéressantes dans l' AN.
L'article me donne raison sur mon post de lundi où je disais que nous ne sommes plus du tout sur le même basket et la même philosophie de jeu prônés par Julien Mahé, mais sur un rythme et un jeu de transition hyper rapide avec des possessions de balle très courtes, d'après moi ça ne pouvait fonctionner que si nous étions au point collectivement au niveau des automatismes.
Donc oui nous avons besoin de temps....prions pour être prêts le + tôt possible.
En défense d'après l'article le but est d'exercer une forte pression sur le porteur, couper les lignes de passes et récupérer le ballon le + vite possible....ça peut expliquer pourquoi, sur certaines phases, nos intérieurs sont si loin du cercle.
Je ne sais pas pour vous mais moi ça se rapproche vraiment du basket que je préfère avec un jeu "vivant" porté par un rythme rapide qui use l'adversaire lui laissant peu de temps pour le placement défensif.
Aux antipodes du basket de Julien Mahé....
(Pas du tout une critique, ça serait vraiment ingrat de ma part vu ce qu'il nous a apporté, et surtout pour avoir parlé une fois quelques minutes avec lui j'adore ce mec....mais une constatation).
Je peux vous assurer que si PDS concrétise son projet de jeu, on ne va pas s'ennuyer lors des matchs à domicile.
Je me dois aussi de dire, qu'avec cette confirmation, je comprends très bien le recrutement qui a été effectué, on a beaucoup parlé de point de fixation dans la raquette, ce n'est pas compatible avec ce style de jeu et ça ne servirait à rien, on a besoin d'intérieurs très rapides, véloces et très mobiles comme.....Ekiyor et Moore (vous voyez que le recrutement est bien en phase).
Voir déjà demain soir contre une grosse équipe si on a réussi à progresser sur la constance.....enfin un match potable sur les quatre quarts temps ?
L'article me donne raison sur mon post de lundi où je disais que nous ne sommes plus du tout sur le même basket et la même philosophie de jeu prônés par Julien Mahé, mais sur un rythme et un jeu de transition hyper rapide avec des possessions de balle très courtes, d'après moi ça ne pouvait fonctionner que si nous étions au point collectivement au niveau des automatismes.
Donc oui nous avons besoin de temps....prions pour être prêts le + tôt possible.
En défense d'après l'article le but est d'exercer une forte pression sur le porteur, couper les lignes de passes et récupérer le ballon le + vite possible....ça peut expliquer pourquoi, sur certaines phases, nos intérieurs sont si loin du cercle.
Je ne sais pas pour vous mais moi ça se rapproche vraiment du basket que je préfère avec un jeu "vivant" porté par un rythme rapide qui use l'adversaire lui laissant peu de temps pour le placement défensif.
Aux antipodes du basket de Julien Mahé....
(Pas du tout une critique, ça serait vraiment ingrat de ma part vu ce qu'il nous a apporté, et surtout pour avoir parlé une fois quelques minutes avec lui j'adore ce mec....mais une constatation).
Je peux vous assurer que si PDS concrétise son projet de jeu, on ne va pas s'ennuyer lors des matchs à domicile.
Je me dois aussi de dire, qu'avec cette confirmation, je comprends très bien le recrutement qui a été effectué, on a beaucoup parlé de point de fixation dans la raquette, ce n'est pas compatible avec ce style de jeu et ça ne servirait à rien, on a besoin d'intérieurs très rapides, véloces et très mobiles comme.....Ekiyor et Moore (vous voyez que le recrutement est bien en phase).
Voir déjà demain soir contre une grosse équipe si on a réussi à progresser sur la constance.....enfin un match potable sur les quatre quarts temps ?
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Re: [SQBB] 25/26 après 5 années Mahestueuses quid de l avenir avec Da Silva ?
Dans ce que tu décris, ça laisse penser que votre coach, veut mettre en place le mêle style de jeu qui est pratiqué à Bourg en Bresse...Je confirme, ce basket, quand il est réussi, est plaisant à voir jouer !dreamgaiden a écrit : ↑jeu. 18 sept. 2025 12:56 Enfin un article où on apprend des choses intéressantes dans l' AN.
L'article me donne raison sur mon post de lundi où je disais que nous ne sommes plus du tout sur le même basket et la même philosophie de jeu prônés par Julien Mahé, mais sur un rythme et un jeu de transition hyper rapide avec des possessions de balle très courtes, d'après moi ça ne pouvait fonctionner que si nous étions au point collectivement au niveau des automatismes.
Donc oui nous avons besoin de temps....prions pour être prêts le + tôt possible.
En défense d'après l'article le but est d'exercer une forte pression sur le porteur, couper les lignes de passes et récupérer le ballon le + vite possible....ça peut expliquer pourquoi, sur certaines phases, nos intérieurs sont si loin du cercle.
Je ne sais pas pour vous mais moi ça se rapproche vraiment du basket que je préfère avec un jeu "vivant" porté par un rythme rapide qui use l'adversaire lui laissant peu de temps pour le placement défensif.
Aux antipodes du basket de Julien Mahé....
(Pas du tout une critique, ça serait vraiment ingrat de ma part vu ce qu'il nous a apporté, et surtout pour avoir parlé une fois quelques minutes avec lui j'adore ce mec....mais une constatation).
Je peux vous assurer que si PDS concrétise son projet de jeu, on ne va pas s'ennuyer lors des matchs à domicile.
Je me dois aussi de dire, qu'avec cette confirmation, je comprends très bien le recrutement qui a été effectué, on a beaucoup parlé de point de fixation dans la raquette, ce n'est pas compatible avec ce style de jeu et ça ne servirait à rien, on a besoin d'intérieurs très rapides, véloces et très mobiles comme.....Ekiyor et Moore (vous voyez que le recrutement est bien en phase).
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Re: [SQBB] 25/26 après 5 années Mahestueuses quid de l avenir avec Da Silva ?
Je ne vois pas assez de matchs de Bourg pour pouvoir faire le parallèle mais comme je sais que tu es un supporter de la JL tu es mieux placé que moi pour en parler.MatthieuditTP a écrit : ↑jeu. 18 sept. 2025 13:32Dans ce que tu décris, ça laisse penser que votre coach, veut mettre en place le mêle style de jeu qui est pratiqué à Bourg en Bresse...Je confirme, ce basket, quand il est réussi, est plaisant à voir jouer !dreamgaiden a écrit : ↑jeu. 18 sept. 2025 12:56 Enfin un article où on apprend des choses intéressantes dans l' AN.
L'article me donne raison sur mon post de lundi où je disais que nous ne sommes plus du tout sur le même basket et la même philosophie de jeu prônés par Julien Mahé, mais sur un rythme et un jeu de transition hyper rapide avec des possessions de balle très courtes, d'après moi ça ne pouvait fonctionner que si nous étions au point collectivement au niveau des automatismes.
Donc oui nous avons besoin de temps....prions pour être prêts le + tôt possible.
En défense d'après l'article le but est d'exercer une forte pression sur le porteur, couper les lignes de passes et récupérer le ballon le + vite possible....ça peut expliquer pourquoi, sur certaines phases, nos intérieurs sont si loin du cercle.
Je ne sais pas pour vous mais moi ça se rapproche vraiment du basket que je préfère avec un jeu "vivant" porté par un rythme rapide qui use l'adversaire lui laissant peu de temps pour le placement défensif.
Aux antipodes du basket de Julien Mahé....
(Pas du tout une critique, ça serait vraiment ingrat de ma part vu ce qu'il nous a apporté, et surtout pour avoir parlé une fois quelques minutes avec lui j'adore ce mec....mais une constatation).
Je peux vous assurer que si PDS concrétise son projet de jeu, on ne va pas s'ennuyer lors des matchs à domicile.
Je me dois aussi de dire, qu'avec cette confirmation, je comprends très bien le recrutement qui a été effectué, on a beaucoup parlé de point de fixation dans la raquette, ce n'est pas compatible avec ce style de jeu et ça ne servirait à rien, on a besoin d'intérieurs très rapides, véloces et très mobiles comme.....Ekiyor et Moore (vous voyez que le recrutement est bien en phase).
Voir déjà demain soir contre une grosse équipe si on a réussi à progresser sur la constance.....enfin un match potable sur les quatre quarts temps ?
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Re: [SQBB] 25/26 après 5 années Mahestueuses quid de l avenir avec Da Silva ?
Beaucoup de monde à priori demain soir car d'après une connaissance il ne restait qu'une cinquantaine de places dispos en billetterie à 16 H, comme quoi malgré une prépa compliquée sur le plan des résultats.
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Re: [SQBB] 25/26 après 5 années Mahestueuses quid de l avenir avec Da Silva ?
Mouais, d'accord concernant son recrutement, dont les intérieurs.
Mais...
Pour le moment, je continue à penser, que même avec un style de jeu rapide, en transition, que nos 2 intérieurs restent légers pour la Betclic.
Nous n'allons pas être en contre attaque systématiquement !
Alors oui, une fois bien huilé, cet effectif nous fera lever de nos sièges avec de grosses actions, mais suffiront elles pour nous faire gagner des matchs !??
J'ai envie d'y croire, mais pour l'instant je suis sceptique
Mais...
Pour le moment, je continue à penser, que même avec un style de jeu rapide, en transition, que nos 2 intérieurs restent légers pour la Betclic.
Nous n'allons pas être en contre attaque systématiquement !
Alors oui, une fois bien huilé, cet effectif nous fera lever de nos sièges avec de grosses actions, mais suffiront elles pour nous faire gagner des matchs !??
J'ai envie d'y croire, mais pour l'instant je suis sceptique

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Re: [SQBB] 25/26 après 5 années Mahestueuses quid de l avenir avec Da Silva ?
Oui je te rejoins spalding02 une fois rodé nous aurons de belles contre attaque mais une fois le jeu posé on est trop léger.
C'est sur nous aurons des difficultés à l intérieur en terme de puissance, de rebonds ,nous n avons pas défense dissuasive.
J espère me tromper mais j ai peur d en prendre 10 pts ou 15 pts demain soir.
C est retransmis sur ma tele ?
C'est sur nous aurons des difficultés à l intérieur en terme de puissance, de rebonds ,nous n avons pas défense dissuasive.
J espère me tromper mais j ai peur d en prendre 10 pts ou 15 pts demain soir.
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Re: [SQBB] 25/26 après 5 années Mahestueuses quid de l avenir avec Da Silva ?
Après le départ de Julien Maé vers Nanterre, qui avait bâti depuis cinq ans l’identité de notre club (collectif, défense, solidarité, jeu dur et courageux), c’est Philippe Da Silva qui prend les rênes du SQBB. Ancien adjoint à Nanterre, il débarque chez nous avec une expérience limitée en tant que coach principal, et c’est lui qui a assuré le recrutement cet été, avec un budget bien plus restreint que celui qu’il avait connu.
Le problème, c’est qu’il veut imposer une philosophie de jeu complètement différente : un basket offensif, rapide, basé sur la transition et les interceptions, avec une défense très individuelle et agressive sur le porteur. Sur le papier, ça peut sembler séduisant… mais à Saint-Quentin, on n’a ni les moyens ni les profils pour jouer comme ça. Nos intérieurs sont mobiles, certes, mais trop petits et pas assez combatifs dans la raquette face aux gaillards de Betclic Élite.
Résultat : une préparation qui ne rassure pas, avec seulement des défaites et un jeu qui paraît loin d’être au point. Et surtout, on a le sentiment que le club abandonne ce qui faisait sa force : donner leur chance à des jeunes prospects, miser sur la défense et sur l’esprit d’équipe, et faire vibrer une ville ouvrière où l’on attend avant tout des joueurs qu’ils se battent et mouillent le maillot.
Pour moi, ce virage est dangereux. Avec un petit budget, on ne peut pas se permettre de jouer aux apprentis sorciers : on doit rester fidèles à notre identité, quitte à évoluer par petites touches, mais pas la balayer d’un coup. J’ai peur que ce choix mette en difficulté le club dès cette saison, et je ne comprends pas que la direction ait pris un tel risque.
Le match a boulazak est déjà important pour le panier average..