too much a écrit : ↑lun. 27 mai 2024 12:57
Apparemment toujours pas de nouvelles au BCSP Rezé ou Rezé BCSP.
Les dossiers de candidature des divisions régionales sont toujours en cours d'instruction.
De sources multiples, les jeunes Frances seraient refusés (aucune confirmation officiel de la part du club) mais aucun autre club n'en veut car cela coûte trop cher.
Les essais de rezéennes se multiplient dans les clubs du département (et hors département) et il ne va certainement pas rester beaucoup de joueuses.
Cela dit que ce soit en départemental ou en régional, le futur club risque d'avoir un gros budget (beaucoup de sponsors resteraient malgré tout) pour le niveau où il évoluera.
Les sponsors qui n’ont pas payé leurs engagements pour la dernière saison ?
quote]
Ce sont surtout les prévisions utopiques de nouveaux partenariats et un budget du coup chimérique (validé par la fédération) qui ont accentué fortement les dettes récupérées lors de la fusion avec le NRB.
Par contre, il se dit qu'effectivement certains sponsors voyant la tournure des évènements auraient "décalé" leur générosité pour la prochaine saison.
Ce ne sont que des rumeurs mais des rumeurs persistantes.
too much a écrit : ↑lun. 27 mai 2024 12:57
Apparemment toujours pas de nouvelles au BCSP Rezé ou Rezé BCSP.
Les dossiers de candidature des divisions régionales sont toujours en cours d'instruction.
De sources multiples, les jeunes Frances seraient refusés (aucune confirmation officiel de la part du club) mais aucun autre club n'en veut car cela coûte trop cher.
Les essais de rezéennes se multiplient dans les clubs du département (et hors département) et il ne va certainement pas rester beaucoup de joueuses.
Cela dit que ce soit en départemental ou en régional, le futur club risque d'avoir un gros budget (beaucoup de sponsors resteraient malgré tout) pour le niveau où il évoluera.
Les sponsors qui n’ont pas payé leurs engagements pour la dernière saison ?
quote]
Ce sont surtout les prévisions utopiques de nouveaux partenariats et un budget du coup chimérique (validé par la fédération) qui ont accentué fortement les dettes récupérées lors de la fusion avec le NRB.
Par contre, il se dit qu'effectivement certains sponsors voyant la tournure des évènements auraient "décalé" leur générosité pour la prochaine saison.
Ce ne sont que des rumeurs mais des rumeurs persistantes.
Too much je ne suis pas sur du tout que le NRB ai laissé des dettes lors de la reprise par le BCSP mais plutôt l’inverse
Les sponsors qui n’ont pas payé leurs engagements pour la dernière saison ?
quote]
Ce sont surtout les prévisions utopiques de nouveaux partenariats et un budget du coup chimérique (validé par la fédération) qui ont accentué fortement les dettes récupérées lors de la fusion avec le NRB.
Par contre, il se dit qu'effectivement certains sponsors voyant la tournure des évènements auraient "décalé" leur générosité pour la prochaine saison.
Ce ne sont que des rumeurs mais des rumeurs persistantes.
Too much je ne suis pas sur du tout que le NRB ai laissé des dettes lors de la reprise par le BCSP mais plutôt l’inverse
Si, il restait bien des dettes, sinon je pense que le NRB n'aurait pas accepté la fusion car l'entente était loin d'être cordiale.
Par contre, la dette a depuis explosé.
too much a écrit : ↑mar. 28 mai 2024 17:48
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Ce sont surtout les prévisions utopiques de nouveaux partenariats et un budget du coup chimérique (validé par la fédération) qui ont accentué fortement les dettes récupérées lors de la fusion avec le NRB.
Par contre, il se dit qu'effectivement certains sponsors voyant la tournure des évènements auraient "décalé" leur générosité pour la prochaine saison.
Ce ne sont que des rumeurs mais des rumeurs persistantes.
Too much je ne suis pas sur du tout que le NRB ai laissé des dettes lors de la reprise par le BCSP mais plutôt l’inverse
Si, il restait bien des dettes, sinon je pense que le NRB n'aurait pas accepté la fusion car l'entente était loin d'être cordiale.
Par contre, la dette a depuis explosé.
Bonne nouvelle pour le BCSP la liste montée et soutenue par M. Vigouroux a ete élue au comité de Loire Atlantique de Basket Ball.
Cela va faire un soutien de poids pour une évolution favorable pour le BCSP.
Too much je ne suis pas sur du tout que le NRB ai laissé des dettes lors de la reprise par le BCSP mais plutôt l’inverse
Si, il restait bien des dettes, sinon je pense que le NRB n'aurait pas accepté la fusion car l'entente était loin d'être cordiale.
Par contre, la dette a depuis explosé.
Bonne nouvelle pour le BCSP la liste montée et soutenue par M. Vigouroux a ete élue au comité de Loire Atlantique de Basket Ball.
Cela va faire un soutien de poids pour une évolution favorable pour le BCSP.
Merci pour l'info !
Après pour la saison prochaine, ça va être compliqué quand même :
Plus de joueuses N1.N3, U18 France toutes en partances.
Les seniors R2 sont quasiment déjà également toutes en partances (1 seule ne sait pas encore ce qu'elle fait) , même les U18 inter-régions sont pratiquement toutes sur le départ et pour certaines parlent même d'arrêter le basket.
En même temps ce club recrutait en NF2, N1 des joueuses étrangères chaque année, jouait au dessus de ses moyens et bien souvent faussé le championnat. A un moment là roue qui va tourner...
Comment le club de basket de Rezé créé en 1927 en est arrivé à pareil fiasco ? Tenter de le comprendre, c’est entrer dans la guerre intestine qui oppose toujours l’ex-président Emmanuel Lécuyer au responsable du sponsoring, Bertrand Vigouroux, membre actif de l’association de relève fraîchement créée.
Il joue depuis qu’il est tout petit au BCSP. Emmanuel Lécuyer a démissionné en novembre 2023 de son poste de président du BCSP avec un regret : « N’avoir pas été assez exigeant sur le sponsoring. »
En janvier 2024, son trésorier quittait le club aussi. Les membres du bureau actuel parlent d’« abandon ». Après plusieurs mois de silence, l’ancien président explique les raisons qui l’ont poussé à démissionner et son analyse sur la mort imminente du club.
Presse Océan : Comment en est-on arrivé là ?
Emmanuel Lecuyer : « En quatre ans de présidence, j’ai toujours dit que notre mode de financement était dangereux car il ne reposait que sur un seul financeur, Bertrand Vigouroux. Avant moi, il avait déjà présidé le club pendant six ans. Il y a quatre ans, il a souhaité que je reprenne les rênes. Tout s’est bien passé jusqu’en septembre dernier quand il a fallu renflouer la trésorerie. Dès juillet, avec d’autres bénévoles, on a compris que quelque chose ne lui avait pas plu : il ne nous adressait plus la parole. On n’a jamais pu savoir quoi. Au moment où on démissionne, avec mon trésorier, on pense sincèrement que c’est nous le problème, et on se dit qu’avec notre départ, au moins, il donnera les sous au club. Mais il ne l’a pas fait… Aujourd’hui, il raconte qu’il n’était pas au courant de ce prévisionnel. Pourtant, on a un virement de 80 000 € de lui, daté de juin 2022, validant sa présence… »
Dans un récent courrier aux parents, le bureau par intérim du BCSP chiffre le déficit à 287 000 € « Sauf qu’à la rentrée de septembre 2024, le’’trou’’ n’était que de 65 700 €, dont 60 000 € que je suis allé demander à notre partenaire principal, Bertrand Vigouroux. Il n’a jamais voulu nous verser cette somme. Donc aujourd’hui, il nous met tout sur le dos et parle d’un trou abyssal sauf que c’est lui qui l’a créé ! Tout découle de la fusion de notre équipe première avec le NRB (CSP Nantes)*décidée en juin 2021. Fin de saison 2022, le club est descendu (et a disparu). Il était acté que le BCSP récupérait la comptabilité du CSP avec un mois d’intervalle dans la clôture de nos exercices. On a récupéré les coûts de fonctionnement importants de ce club en même temps que ses déficits : l’équivalent d’un mois de salaire de l’ensemble des joueuses à passer dans notre compta. C’était prévu. Le CSP avait 200 000 € de fonds propres qui devaient permettre de payer les joueuses jusqu’à fin avril. Pour le reste, notre partenaire financier nous avait dit, dans le cadre du budget prévisionnel, qu’il comblerait. »
Indirectement, cette fusion est donc responsable de la mort de la « Saint-Paul » ?
« Cette fusion, c’était une évidence. La mairie de Rezé donne 70 000 € de subvention aux clubs de Ligue 2. En fusionnant avec un autre club de Nantes métropole, on devenait métropolitain et la subvention passait à 300 000 €. On avait tout intérêt à la faire. »
Tout ce qui arrive aujourd’hui serait donc la faute de ce seul sponsor ?
« Non et il faut le rappeler, il a sauvé le club à plusieurs reprises, il a été un réel moteur pour les filles avec 10 000 idées à la seconde. Et moi, dans tout cela, j’étais l’élément modérateur. Au final, j’ai été son pion, tout le monde le sait ! J’étais le président, oui, mais l’ensemble des contrats avec les filles, c’est lui qui les a négociés. La secrétaire les rédigeait et moi je les signais, c’est mon erreur. Aujourd’hui, je lis dans la presse qu’il réfute tout, qu’il se présente comme simple bénévole ! Qu’il essaie de remonter un deuxième club et qu’il va y arriver… Mais c’est du délire ! Comme anciens dirigeants, on va sans doute être interdits de gestion par le tribunal mais, lui, il a les mains propres ! »
Vous lui en voulez ?
« Oui, le club était très sain. Il savait qu’en ne mettant pas cet argent il condamnait le club. Quand je vois qu’aujourd’hui, auprès des parents, il nous met tout sur le dos, j’hallucine. Personnellement, je n’ai jamais eu accès aux comptes. La seule décision d’investissement que j’ai prise c’est d’acheter une friteuse. Il a le droit de ne plus vouloir donner. Pas de rompre ses engagements et de mettre tout le monde, comme ça, dans la merde. Quand je vous dis que je suis navré, c’est un petit mot en fait. On est dégoûté. »
Contacté, Bertrand Vigouroux n’a pas souhaité répondre à ces accusations : « Je m’en fous complètement. Que M. Lecuyer s’exprime, ça ne m’intéresse pas. Moi je n’ai rien à dire. »
Le CSP Nantes, qui a existé une saison en Ligue 2 (2021-2022), est la fusion du Nantes-Rezé Basket, pensionnaire de Ligue féminine et alors relégué, et de l’équipe première du BCSP Rezé
Le tribunal a acte la liquidation du club. Le club de Basket de Saint Paul va disparaitre
Mercredi 12 juin, les membres du bureau du Basket-club Saint-Paul de Rezé (Loire-Atlantique) ont annoncé à ses adhérents la liquidation judiciaire du club. Éprouvé par une série de difficultés, le BCSP va disparaître au profit d’une autre structure, lancée par les parents La décision de justice quant à l’avenir du Basket-club Saint-Paul (BCSP) de Rezé est tombée mardi 11 juin. « Le tribunal d’instance a acté, hier, la liquidation du club. Les dirigeants n’ont donc plus de droits. Le mandataire va procéder à la liquidation judiciaire », a annoncé le bureau du club, mené par Stéphane Boyer, président par intérim, dans un communiqué à destination des adhérents, bénévoles et parents, ce mercredi 12 juin.
Au gymnase Arthur-Dugast, si le couperet est tombé, ce n’était pas une surprise. Le club faisait face à une série de crises : des conflits internes, des difficultés financières avec un déficit estimé à 287 000 €. En procédure de cessation de paiements depuis le 24 mai, une première audience pour statuer sur le futur du club, dont l’équipe fanion évolue en National Féminine 1, a eu lieu mardi 4 juin.
« Nous vous informons qu’un groupe de parents bénévoles ont entamé des démarches pour créer un nouveau club de basket sur Rezé, qui est officiellement reconnu par la préfecture », ajoute le bureau du BCSP, dans leur communiqué. La décision du transfert des droits administratifs d’un club à l’autre doit être prise par la Fédération française de basket-ball, attendue le 30 juin, mais ses équipes n’auront pas accès au championnat de France.
Binôme a écrit : ↑jeu. 13 juin 2024 17:32
Article Ouest France du jour
Le tribunal a acte la liquidation du club. Le club de Basket de Saint Paul va disparaitre
Mercredi 12 juin, les membres du bureau du Basket-club Saint-Paul de Rezé (Loire-Atlantique) ont annoncé à ses adhérents la liquidation judiciaire du club. Éprouvé par une série de difficultés, le BCSP va disparaître au profit d’une autre structure, lancée par les parents La décision de justice quant à l’avenir du Basket-club Saint-Paul (BCSP) de Rezé est tombée mardi 11 juin. « Le tribunal d’instance a acté, hier, la liquidation du club. Les dirigeants n’ont donc plus de droits. Le mandataire va procéder à la liquidation judiciaire », a annoncé le bureau du club, mené par Stéphane Boyer, président par intérim, dans un communiqué à destination des adhérents, bénévoles et parents, ce mercredi 12 juin.
Au gymnase Arthur-Dugast, si le couperet est tombé, ce n’était pas une surprise. Le club faisait face à une série de crises : des conflits internes, des difficultés financières avec un déficit estimé à 287 000 €. En procédure de cessation de paiements depuis le 24 mai, une première audience pour statuer sur le futur du club, dont l’équipe fanion évolue en National Féminine 1, a eu lieu mardi 4 juin.
« Nous vous informons qu’un groupe de parents bénévoles ont entamé des démarches pour créer un nouveau club de basket sur Rezé, qui est officiellement reconnu par la préfecture », ajoute le bureau du BCSP, dans leur communiqué. La décision du transfert des droits administratifs d’un club à l’autre doit être prise par la Fédération française de basket-ball, attendue le 30 juin, mais ses équipes n’auront pas accès au championnat de France.
C’est absolument désolant que l’ego de dirigeants incompétents soient responsable de cette issue.
Honte à ces personnes
Trith aura une grosse équipe la saison prochaine et jouera à coup sur la montée au vue des recrues :
Sbahi ex Sceaux poste 1
Bakabadio ex Sceaux poste 2/3
Niang ex Escaudain poste 5
Hirigoyen ex Villerbanne poste 4
Ajouté Plust, Basque, Kapinga, Mahobah, Wiart ..
Je m'interroge quand même
Mais d'où sort le budget pour aligner une équipe pareille ??????????
