[SQBB] 25/26 après 5 années Mahestueuses quid de l avenir avec Da Silva ?

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De l’insouciance à la maturité, l’heure de revanche de Neftali Difuidi

En pleine extension, Neftali Difuidi (n°9) s’élève vers le cercle pour claquer un dunk spectaculaire, image de sa puissance et de son nouveau statut au SQBB.G.H
Basket-ball (Betclic Élite). Après un premier passage en demi-teinte au SQBB, marqué par l’insouciance et l’impatience, Difuidi revient transformé. Plus mature, l’ailier entend faire de cette saison en Betclic Élite le théâtre de sa véritable explosion.
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Ce mercredi matin, tandis que ses coéquipiers peaufinent les derniers réglages avant l’envol pour Luxeuil-les-Bains, Neftali Difuidi n’a d’horizon que les marches de Pierre-Ratte. Monter. Descendre. Recommencer. Un ballet éreintant, presque initiatique. Car derrière cette sanction légère, Philippe Da Silva imprime déjà sa marque : l’exigence, mais aussi la conviction intime que son joueur est prêt à exploser.
UN POTENTIEL HORS NORME
« Neftali est un joueur que je suis depuis longtemps , confiait Da Silva à son arrivée. Très vite, j’ai voulu travailler avec lui. On a échangé, il sait ce que j’attends de lui, mais il sait aussi à quel point je crois en lui. Son potentiel est hors norme. Et c’est pour ça que je suis derrière son dos. Je veux qu’il aille là où il mérite d’aller ».
Ce potentiel, le vestiaire saint-quentinois le découvre un peu plus chaque jour. Mais Giovan Oniangue, lui, l’avait pressenti bien avant. Le capitaine du SQBB a pesé dans son retour, et son regard sur le jeune ailier est teinté de bienveillance. « C’est mon grand frère », souffle Neftali, admiratif. Car Oniangue a été témoin de ses premiers pas enPro à Orléans lors de la saison 2020-2021 : un gamin débordant de talent, insouciant, dominateur chez les Espoirs, mais trop impatient, comme s’il voulait bousculer le temps et brûler les étapes.
Aujourd’hui, le regard du capitaine décèle autre chose : une énergie canalisée, une maturité en construction. « Neftali peut accomplir de grandes choses, analyse Oniangue. S’il est à l’écoute, s’il comprend la direction que le staff veut lui donner, il peut aller très haut. Plus haut qu’il ne l’imagine. Il revient avec un statut totalement différent. Désormais, il a des responsabilités. Il doit impacter. On aura besoin de lui. »
Ce constat trouve un écho dans son parcours. En 2021-2022, Difuidi avait goûté à la Pro B sous les ordres de Julien Mahé. Une saison en clair-obscur, faite de fulgurances et de creux, marquée par un trou d’air au printemps… avant une renaissance en play-offs, face à Vichy. Ce soir-là, malgré la défaite, il inscrit 17 points. Comme une révolte intime, une promesse muette : Je reviendrai.
PARTIR POUR MIEUX REVENIR
Il est pourtant parti. Un passage compliqué à Orléans, puis deux saisons à Denain où il s’est métamorphosé. Là-bas, il a grandi, assumé, gagné en maturité. « J’ai passé un cap à Denain, reconnaît Difuidi. J’ai pris conscience de beaucoup de choses. J’ai gagné en responsabilités. Aujourd’hui, découvrir la Betclic Élite avec le maillot du SQBB, c’est une chance incroyable. Parce que ce club me correspond. Et parce que je suis entouré de gars que je connais depuis longtemps, comme Lucas ou Giovan. Mais aussi de nouveaux venus qui sont, franchement, des gars en or. On peut réaliser de grandes choses ».
Avec 14,7 points et 4,4 rebonds de moyenne en Pro B l’an passé, Difuidi s’est imposé comme l’un des meilleurs à son poste. Attaquant dans l’âme, il est aussi capable de devenir une première arme défensive. « Nef me fait penser à Yakuba Ouattara, souffle Da Silva. Sauf qu’il a encore plus de potentiel offensif. Il peut tirer, dribbler, passer. Et en plus, il défend. C’est un monstre physique. On l’a vu au tournoi du Portel : 12 interceptions sur le week-end, tout en brisant des défenses par son jeu offensif. Cela dit tout de sa capacité. En préparation, il est concentré, appliqué, à l’écoute. »
Sur la Côte d’Opale, il s’est en effet montré sous son meilleur jour : 15 points de moyenne, des éclairs spectaculaires, mais surtout une envie de défendre les yeux dans les yeux contre les meilleurs adversaires. « Philippe et l’équipe attendent que j’apporte tout ce que je peux en défense, explique-t-il. J’ai toujours eu cette envie de voler des ballons (1,4 interception de moyenne l’an dernier). Aujourd’hui, on me demande aussi d’être constant en attaque. À moi de continuer ainsi. Je me sens bien en préparation… mais le plus dur commence. Le but est d’élever encore mon niveau tout au long de la saison. »
Un défi à la mes

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Sous le regard affûté d’Éric Lecomte
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Préparateur physique du SQBB, Éric Lecomte connaît sans doute mieux que quiconque les forces et les failles de Neftali Difuidi. Déjà présent lors de son premier passage à Saint-Quentin, il n’a jamais cessé de suivre de près son évolution. Observateur attentif, presque mentor dans l’ombre, il mesure aujourd’hui le chemin parcouru «Par rapport à 2021, Neftali a énormément gagné en maturité dans son approche du métier, observe Éric Lecomte. Il a appris à mieux gérer son sommeil, sa récupération, et il a aussi progressé dans sa compréhension du jeu. Chez nous, il avait déjà laissé entrevoir, notamment en play-offs, les prémices de son potentiel. Mais l’année suivante, à Orléans, a été terrible pour lui : il a perdu une saison. Heureusement, à Denain, les responsabilités qui lui ont été confiées lui ont permis de continuer à développer son jeu et de grandir. Aujourd’hui, on retrouve un joueur prêt à performer au niveau Betclic. En revanche, il traîne trois années de déficit en matière de prise en charge physique. C’est un retard qu’il devra combler dès cette saison pour espérer, rapidement, évoluer sur les plus grandes scènes. Dès le mois de juin, il a suivi un programme personnalisé à distance pour arriver au bon poids et commencer à développer l’explosivité naturelle qu’il a en lui.»

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J avais encore été déconnecté et plus moyen de retrouver mon mot de passe heureusement que l iPhone sauvegarde tout

Je sais pas comment tu fais pour toujours oublier tes mots de passe ...'j'ai le même depuis 2011

[gerco]

J avais encore été déconnecté et plus moyen de retrouver mon mot de passe heureusement que l iPhone sauvegarde tout

Je sais pas comment tu fais pour toujours oublier tes mots de passe ...'j'ai le même depuis 2011

je ne sais pas comment cela se fait que j ai été déconnecté et c est le modérateur qui m a donné un nouveau mot de passe mais plus moyen de le retrouver

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Vous vous demandez qui a la meilleure détente parmi les joueurs du SQBB ?

Le Facebook du club vous donne la réponse :

https://www.facebook.com/sqbbofficiel/v ... 0409642312

L'ambiance est au beau fixe ....tu me diras quand tu mets Ekiyor, Difuidi et Boucaud ensemble ça doit pas être triste vu leur réputation d'animateurs de vestiaires

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Basket-ball (Betclic Élite) : À Saint-Quentin, Nick Johnson veut inspirer, protéger et faire gagner

Dernière recrue du SQBB, Nick Johnson, meneur au CV prestigieux a choisi Saint-Quentin pour écrire un nouveau chapitre. Guide dans le vestiaire et moteur sur le parquet, il entend inspirer ses coéquipiers, protéger les siens et porter son équipe vers la victoire.
À 31 ans, Nick Johnson met son expérience et sa voix au service du collectif du SQBB.
À 31 ans, Nick Johnson met son expérience et sa voix au service du collectif du SQBB. - GH
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Par Anthony Ottou
Publié: 12 Septembre 2025 à 12h14
5 min
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Une semaine après la rentrée scolaire, Nick Johnson a découvert un nouveau rituel : accompagner ses deux petites filles devant leur école à Saint-Quentin. Première rentrée en France pour elles, symbole fort pour lui. Le meneur américain n’imaginait pas se lancer dans l’aventure saint-quentinoise sans sa famille à ses côtés.

Les deux premières semaines, il les a pourtant vécues seul, dans une ville encore étrangère. Puis Philippe Da Silva lui a accordé la possibilité de repartir les chercher. « Depuis, je me sens installé, heureux, prêt à tout faire pour gagner », souffle-t-il. La vie de famille, la stabilité, les repères du quotidien : autant de clés pour celui qui veut donner le meilleur de lui-même sur le parquet.


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Un CV prestigieux, une responsabilité immense

Car si Nick Johnson reste un père attentif à la maison, il incarne aussi ce rôle protecteur chaque jour à l’entraînement. Dernière recrue choisie par le coach portugais, il n’est pas seulement une pièce supplémentaire du puzzle : il est sans doute l’un des plus beaux CV de l’histoire du SQBB, peut-être même le plus prestigieux jamais vu à Pierre-Ratte. Sa responsabilité est immense. Une bonne partie de la réussite de la saison reposera sur ses épaules, sur son expérience et son sens du jeu.

Je suis quelqu’un de très vocal. Dans toutes les équipes où j’ai joué, ça a toujours été mon rôle.
Nick Johnson
« Je suis quelqu’un de très vocal. Dans toutes les équipes où j’ai joué, ça a toujours été mon rôle », explique-t-il. À 32 ans, il fait désormais partie des cadres les plus âgés du vestiaire, derrière seulement Giovan Oniangue et Loïc Schwartz. Ce statut, il l’assume pleinement : « J’essaie simplement de transmettre un peu de vécu, un peu de sagesse. J’aime cette équipe. Tout le monde avance dans le même sens, on veut construire quelque chose de grand. À nous de faire en sorte d’y arriver. »

Un parcours forgé par l’adversité

Et du vécu, Johnson en a à revendre. Formé dans l’exigeant championnat universitaire américain, passé par la NBA puis par l’Europe, il a découvert tous les niveaux : Euroligue, BCL, Eurocup. Mais son chemin n’a pas toujours été linéaire.

Avant de retrouver Da Silva à Saint-Quentin, sa carrière avait pris une tournure compliquée à Cholet. Quelques mois plus tôt, lors de la saison 2023-2024, il avait tenté l’expérience en Israël, vite écourtée, rattrapé par le climat de guerre et l’impossibilité d’y faire venir sa famille. Dans les Mauges, la malchance s’est poursuivie : blessures aux ischio-jambiers, au mollet, puis la rupture du tendon d’Achille. « C’était une période compliquée, reconnaît-il. Mais ce genre d’épreuve forge un joueur. Je suis tombé, puis revenu sept mois et demi plus tard, en pleine forme. »


L'Aisne nouvelle
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Cette capacité à se relever est devenue sa marque de fabrique. Aujourd’hui, il insiste : il est en bonne santé, et sa motivation est intacte. « Chaque saison est un nouveau défi. L’an dernier, je revenais de blessure et j’ai terminé la saison en Pologne. où j’ai réussi à faire de belles choses. Cette fois, on a une équipe jeune, avec beaucoup de joueurs qui veulent prouver des choses. »

Ce genre d’épreuve forge un joueur. Je suis tombé, puis revenu sept mois et demi plus tard, en pleine forme.
Nick Johnson
Une relation forte avec Da Silva

Le rôle de guide, Nick Johnson l’assume sans détour. « J’ai joué dans beaucoup d’endroits, à différents niveaux, donc j’essaie d’aider quand je le peux. C’est aussi pour ça que je suis venu ici. Phil et moi nous nous faisons confiance, nous partageons la même vision, et je pense qu’on a tous les deux un vrai sens du jeu. Cela peut beaucoup aider. »

Sur son entraîneur, qu’il a côtoyé à Nanterre en 2019 puis lors de la saison 2021-2022, il pose un regard complice : « Il faisait déjà beaucoup de choses qu’un coach principal fait lorsqu’il était à Nanterre. Aujourd’hui, il a plus de responsabilités, il ne peut plus se concentrer autant sur les petits détails. Mais il a cette passion du jeu et l’envie de réussir ici, à Saint-Quentin. Avec lui, on peut toujours échanger. »

C’est un joueur capable de faire gagner son équipe par son talent, mais aussi par la passe et par un QI basket largement au-dessus de la moyenne.
Philippe Da Silva, entraîneur du SQBB
Un sentiment partagé par Philippe Da Silva lui-même : « Quand on cherchait un meneur, je savais que Nick était le joueur qu’il nous fallait. On a beaucoup travaillé ensemble à Nanterre, on a échangé, et je connais son impact. C’est un joueur capable de faire gagner son équipe par son talent, mais aussi par la passe et par un QI basket largement au-dessus de la moyenne. Je suis heureux de le retrouver ici, à Saint-Quentin. »

À travers son expérience et sa voix, Nick Johnson s’impose déjà comme le leader sur le parquet et surtout dans le vestiaire. Il veut être le relais de Philippe Da Silva et l’un des moteurs d’une équipe en pleine construction. Dans une saison où le SQBB devra apprendre vite, sa maturité et sa détermination pourraient bien faire toute la différence.

Nick Johnson – Bio express

2014-2015 : Rockets de Houston / Rio Grande Valley Vipers (NBA & G-League) 2015-2016 : Spurs d’Austin (G-League) 2016-2017 : Bayern Munich (Allemagne) 2017-2018 : Spurs d’Austin – Champion G-League et MVP des finales 2018-2019 : Wisconsin Herd (G-League) 2019 : Nanterre 92 (France) 2019-2021 : Türk Telekomspor (Turquie) 2021-2022 : Nanterre 92 (France) 2022-2023 : Beijing Ducks (Chine) 2023-2024 : Hapoël Holon (Israël) 2024 : Cholet Basket (France) Janvier 2025 : Trefl Sopot (Pologne)

Des modèles gravés dans la peau

Par Anthony Ottou
Nick Johnson, meneur américain au CV prestigieux, affiche fièrement ses nombreux tatouages, témoins de son histoire et de ses inspirations.
Nick Johnson, meneur américain au CV prestigieux, affiche fièrement ses nombreux tatouages, témoins de son histoire et de ses inspirations.
Nick Johnson ne se nourrit pas seulement de son vécu. Ses modèles l’accompagnent au quotidien, littéralement gravés sur sa peau. Sur son mollet, Kobe Bryant. « Mon père vient de Los Angeles, j’ai grandi en le regardant jouer, c’était mon idole. C’est son approche du jeu qui m’a marqué. Je pense que mon côté combatif vient de là. À l’entraînement, je veux toujours rivaliser. S’il y a une faute sifflée et que je ne suis pas d’accord, je vais le dire haut et fort. L’idée, c’est de toujours être dans la compétition, quoi qu’il arrive. »

Comme lui, Kobe a connu une rupture du tendon d’Achille, dont il est revenu plus fort, symbole de résilience. Un destin qui fait forcément écho au parcours de Johnson.

Un autre tatouage attire l’attention : celui de Barack Obama. « En grandissant aux États-Unis, on ne savait pas vraiment comment me définir. Mon père est noir, ma mère est blanche, et beaucoup pensaient même que j’étais Mexicain. Mais peu importe : aux yeux des gens, j’étais une personne de couleur. Dans le pays, tu pouvais rêver d’être astronaute, basketteur, rappeur… Mais Obama a été le premier à montrer aux enfants qu’ils pouvaient même devenir président. Pour moi, il est une véritable source d’inspiration. »

De l’inspiration à la transmission

De Kobe Bryant à Barack Obama, Nick Johnson ne manque pas de figures inspirantes. Mais désormais, c’est lui qui veut incarner ce rôle. À Saint-Quentin, le meneur entend mettre son vécu et sa force de caractère au service du collectif, impacter le vestiaire et inspirer non seulement ses coéquipiers, mais aussi tout un public derrière lui.

[dreamgaiden]

Objectif du tournoi de ce week-end selon le coach Philippe Da Silva :

"Se jauger contre des équipes de Betlic, continuer à travailler défensivement, on a eu de très bon passages devant le BCM, on doit reproduire ça sur de + longues périodes et se discipliner aussi bien défensivement qu'offensivement.

Il est très satisfait de voir l'équipe au complet et dans de bonnes dispositions, Johnson ayant bénéficié d'une absence autorisée a rapatrié sa petite famille sur St Quentin et Loic Swarthz est revenu de l'Euro.

Encore 2 semaines pour travailler afin d'être prêts pour l'ouverture du championnat.

[dreamgaiden]

Spalding : j'ai vu que la feuille de match de SQBB-BCM était à disposition, elle n' a été rajoutée que dernièrement.
Johnson : 15 pts 7 pd fait d'après les stats plutôt un gros match.....as-tu eu cette impression dans les tribunes ou pas ?

[Spalding02]

Spalding : j'ai vu que la feuille de match de SQBB-BCM était à disposition, elle n' a été rajoutée que dernièrement.
Johnson : 15 pts 7 pd fait d'après les stats plutôt un gros match.....as-tu eu cette impression dans les tribunes ou pas ?

Franchement, non.
J'avais trouvé le niveau de jeu très faible que je n'ai pas vu un joueur sortir du lot..... comme quoi !

[dreamgaiden]

Spalding : j'ai vu que la feuille de match de SQBB-BCM était à disposition, elle n' a été rajoutée que dernièrement.
Johnson : 15 pts 7 pd fait d'après les stats plutôt un gros match.....as-tu eu cette impression dans les tribunes ou pas ?

Franchement, non.
J'avais trouvé le niveau de jeu très faible que je n'ai pas vu un joueur sortir du lot..... comme quoi !

Merci.

[gerco]

À quinze jours du grand départ, le SQBB passe la vitesse supérieure

Le SQBB a pris la direction de Luxeuil pour un stage de trois jours, prélude à un tournoi relevé face à Dijon, Strasbourg et Chalon. GH
Basket-ball (Préparation). Les joueurs de Philippe Da Silva vont disputer un tournoi relevé face à trois clubs de Betclic Élite. L’occasion de se tester, mais aussi de renforcer une dynamique collective encore fragile. Premier élément de réponse, ce samedi à 16h30 face à L’Elan Chalon
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Mercredi matin, le bus du SQBB a pris la route de Luxeuil. Au programme : trois jours de stage intensif mêlant séances d’entraînement, récupération dans les eaux thermales et temps de cohésion entre joueurs. Une parenthèse studieuse avant d’entrer dans le vif du sujet : un tournoi relevé face à trois formations de Betclic Élite : la JDA Dijon, la SIG Strasbourg et l’Élan Chalon.
MOMENT CLÉ
DANS LA PRÉPARATION
Une étape charnière ? Philippe Da Silva préfère tempérer : « Charnière ? Je ne sais pas… Mais une chose est sûre : nous sommes à mi-parcours. Après quatre rencontres, l’heure est venue d’affronter pour la première fois deux formations de l’élite, avec seulement vingt-quatre heures de récupération entre elles. C’est un test grandeur nature, une nouvelle occasion de mesurer les réactions, l’endurance et le caractère de l’équipe. »
L’OCCASION DE SE JAUGER FACE
À DES ÉQUIPES D’ÉLITE
Dimanche dernier, les Axonais avaient déjà glané une victoire précieuse en petite finale du tournoi des Hauts-de-France. L’adversité monte d’un cran dans les Mauges. Pour ce tournoi Loic Schwartz revient de l’Euro où malheureusement il n’a pas pu rejoindre Riga pour la phase finale. Mais le malheur des uns fait le bonheur des autres même si Da Silva aurait aimé voir revenir son arrière Belge le plus tard possible. « Je suis content qu’il soit de retour, indique Da Silva. Avec Loïc, nous sommes dix. Cela permet enfin d’avoir l’équipe au complet et surtout les vraies oppositions à l’entraînement. Je ne remets pas en cause l’investissement des jeunes, bien au contraire, ils n’ont cessé de faire les choses bien, mais récupérer Loïc et le voir assimiler rapidement nos principes, c’est une très bonne chose. »
UN GROUPE QUI APPREND À SE PARLER ET SE DIRE LES CHOSES
Au-delà des résultats, c’est dans le vestiaire que le SQBB a montré des signes encourageants. Après la défaite contre le BCM, les leaders Giovan Oniangue et Nick Johnson ont ouvert la voie au dialogue. Le reste du groupe a suivi.« Ces discussions montrent que malgré les premières défaites, les gars ont envie de corriger le tir. Et dès le lendemain, on a vu des progrès. Ce groupe a peu de vécu, et chacun aurait pu rejeter la faute sur l’autre. Mais au contraire, tout le monde s’est exprimé, tout le monde avance pour que l’équipe gagne. C’est, je l’espère, un gage de réussite », insiste Da Silva.
Samedi, l’Élan Chalon se dressera sur la route des Saint-Quentinois. Les Bourguignons d’Elric Delord, septièmes l’an passé et candidats à la BCL, offriront une première opposition de taille. « Pour l’instant, on se concentre sur nous, conclut Da Silva . Ces quelques jours passés en vase clos doivent nous permettre de forger cette vie de groupe indispensable pour avancer. »

[gerco]

William Pfister, retour aux sources avec la SIG Strasbourg
ANTHONY OTTOU

Après cinq saisons à Saint-Quentin, William Pfister ouvre un nouveau chapitre à la SIG Strasbourg.

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Capitaine du SQBB la saison dernière, William Pfister a tourné cet été une page marquante de sa carrière. Après cinq années intenses passées dans l’Aisne, où il aura incarné le soldat exemplaire et apprécié, l’intérieur a rejoint la SIG Strasbourg.
Un choix qui résonne comme un retour aux sources : l’Alsacien retrouve sa ville natale, dans un club lui aussi en reconstruction. Comme Saint-Quentin, la SIG repart d’une feuille blanche et cherche à poser les bases d’un nouveau cycle. Et ce week-end pourrait bien avoir des allures de retrouvailles : dimanche, Pfister pourrait croiser son ancien club, le SQBB, selon l’évolution du tournoi.
Jusqu’ici, la préparation réussit aux Strasbourgeois, auteurs de quatre victoires pour une seule défaite. Ce samedi soir (19h30), les hommes de la SIG défient la JDA Dijon pour leur deuxième match. Une belle occasion de revoir Pfister sous ses nouvelles couleurs, mais aussi de découvrir l’une des paires d’arrières les plus explosives du championnat : Marcus Keene et Mike Davis Jr.

[gerco]

𝗝𝗼𝘂𝗿 𝗱𝗲 𝗺𝗮𝘁𝗰𝗵

Première opposition face à l’Elan Chalon dans ce Lux’Trophy.

16h30
Palais des Sports - Luxeuil

Match à suivre sur la chaîne Youtube : Comtoise Radio

#Ensemble

[Spalding02]

Spalding : j'ai vu que la feuille de match de SQBB-BCM était à disposition, elle n' a été rajoutée que dernièrement.
Johnson : 15 pts 7 pd fait d'après les stats plutôt un gros match.....as-tu eu cette impression dans les tribunes ou pas ?

Franchement, non.
J'avais trouvé le niveau de jeu très faible que je n'ai pas vu un joueur sortir du lot..... comme quoi !

Merci.

En même temps, j'ai raté une bonne partie du 1er quart.
Et il me semble que c'est dans le ce quart temps qu'ils ont mieux joué

[RedArmy71]

Voici le lien pour regarder le match opposant nos équipes à 16h30 : https://m.youtube.com/@ComtoiseRadio?fb ... JzjUN8n74w