Re: [SOUFFELWEYERSHEIM BC] 2013-2014 En Pro B !
Posté : sam. 08 mars 2014 10:30
retour sur la belle et précieuse victoire de Souffel hier soir à Denain dont on restera la bête noire cette saison, avec mention spéciale à Daviin Davis et Jacques Alingue :
http://www.basket-souffel.fr/actu-pro-b ... -tete.html
et la Voix du Nord :
"BASKET-BALL PRO B: Souffelweyersheim, l'épouvantail qui hante les soirées denaisiennes
Par moments inerte, incapable de répondre au problème défensif que lui a de nouveau posé Souffel, Denain a chuté (63-75) pour la quatrième fois de la saison contre ce promu dont la bobine ne lui revient décidément pas. Devant tant d'impuissance, les joueurs ont fini par baisser les bras dans le troisième quart-temps, et ça, c'est plus inquiétant.
Imaginez une Pro B ramenée à seize clubs, sans Châlons-Reims et Souffelweyersheim. Denain en serait aujourd'hui à 16 victoires et 9 défaites. Avec des si, on propulserait Voltaire en Euroligue. Sauf que la réalité, hier, a rattrapé les joueurs de Fabrice Courcier, battus pour la quatrième fois en quatre matches par leur bête noire. « Qu'on soit dans la difficulté face à un club comme Châlons-Reims, dont le budget dépasse largement le nôtre, on peut le concevoir », admet l'entraîneur. Quelque part, on sent bien qu'il envie la recette appliquée par Souffel, qui « continue, année après année, à mener son travail, fait de plaisir, d'engagement sur le terrain, de partage ».
Ce n'est pas forcément le cas de Denain, dont les limites réapparaissent sitôt que la pente s'élève. L'équipe n'avait pourtant pas si mal commencé, même si Souffel, d'entrée, verrouilla tout, à commencer par la peinture, dont elle avait choisi, comme les fois précédentes, d'interdire l'accès à Brandon Brown. L'Américain s'en accommoda au début en s'éloignant du cercle (15-11, 8e), mais il finit par tourner en rond, et toute l'équipe avec lui (29-34, 20e).
Rentrés frustrés aux vestiaires, les Denaisiens ne firent malheureusement pas grand-chose de cette frustration. « Des émotions positives, dans ce groupe, on n'en a pas », trancha Fabrice Courcier, furieux que les ego prennent le dessus sur la logique de groupe. Voltaire coula à pic dans le troisième quart-temps, mangé dans les duels défensifs et sans inspiration offensive (44-64, 31e). La réaction qui fut la sienne dans l'ultime période (55-66, 37e) n'inquiéta pas outre mesure Souffel. C'est malgré tout là-dessus que l'entraîneur entend construire la suite, alors que les quatre matches à venir s'annoncent musclés (Aix-Maurienne, Evreux, Hyères-Toulon, Boulogne-sur-Mer)."
http://www.basket-souffel.fr/actu-pro-b ... -tete.html
et la Voix du Nord :
"BASKET-BALL PRO B: Souffelweyersheim, l'épouvantail qui hante les soirées denaisiennes
Par moments inerte, incapable de répondre au problème défensif que lui a de nouveau posé Souffel, Denain a chuté (63-75) pour la quatrième fois de la saison contre ce promu dont la bobine ne lui revient décidément pas. Devant tant d'impuissance, les joueurs ont fini par baisser les bras dans le troisième quart-temps, et ça, c'est plus inquiétant.
Imaginez une Pro B ramenée à seize clubs, sans Châlons-Reims et Souffelweyersheim. Denain en serait aujourd'hui à 16 victoires et 9 défaites. Avec des si, on propulserait Voltaire en Euroligue. Sauf que la réalité, hier, a rattrapé les joueurs de Fabrice Courcier, battus pour la quatrième fois en quatre matches par leur bête noire. « Qu'on soit dans la difficulté face à un club comme Châlons-Reims, dont le budget dépasse largement le nôtre, on peut le concevoir », admet l'entraîneur. Quelque part, on sent bien qu'il envie la recette appliquée par Souffel, qui « continue, année après année, à mener son travail, fait de plaisir, d'engagement sur le terrain, de partage ».
Ce n'est pas forcément le cas de Denain, dont les limites réapparaissent sitôt que la pente s'élève. L'équipe n'avait pourtant pas si mal commencé, même si Souffel, d'entrée, verrouilla tout, à commencer par la peinture, dont elle avait choisi, comme les fois précédentes, d'interdire l'accès à Brandon Brown. L'Américain s'en accommoda au début en s'éloignant du cercle (15-11, 8e), mais il finit par tourner en rond, et toute l'équipe avec lui (29-34, 20e).
Rentrés frustrés aux vestiaires, les Denaisiens ne firent malheureusement pas grand-chose de cette frustration. « Des émotions positives, dans ce groupe, on n'en a pas », trancha Fabrice Courcier, furieux que les ego prennent le dessus sur la logique de groupe. Voltaire coula à pic dans le troisième quart-temps, mangé dans les duels défensifs et sans inspiration offensive (44-64, 31e). La réaction qui fut la sienne dans l'ultime période (55-66, 37e) n'inquiéta pas outre mesure Souffel. C'est malgré tout là-dessus que l'entraîneur entend construire la suite, alors que les quatre matches à venir s'annoncent musclés (Aix-Maurienne, Evreux, Hyères-Toulon, Boulogne-sur-Mer)."