qu'est-ce que tu regardes à la tivi ?

[Gavia arctica]

je regarde Gunfight at the OK Corral pour la n-ième fois…

le monde comme on aimerait peut-être tant qu’il soit mais qu’il n’est pas, évidemment… dans les bledpaums ça voulait dire quelque chose - dans les cités ça ne veut plus rien dire…les héros sont devenus des zéros…

j’aime les durs mous…

et je chante avec la même voix que Frankie Laine…

[Bagouvic]

L'homosexualité refoulée est une interprétation possible tant le rapport fusionnel entre les deux personnages semble aller au-delà du sentiment amical, mais j'y vois aussi une autre interprétation possible, celle de l'envie du personnage principal lorsque son pote sort avec la fille pour une brève liaison, envie que l'on peut voir comme étant de la jalousie, mais aussi de la peur de ce qu'il pourrait advenir s'il devait sortir du cocon de la relation liant les deux potes, peur du vide, mais aussi l'envie et la peur de le voir réussir ce que lui n'arrive absolument pas à réaliser à savoir se projeter dans un couple qu'il n'arrive absolument pas à concevoir au-delà d'un idéalisme éthéré probablement parce que sa relation avec sa mère le bouffe totalement....

Perso je n’y ai pas vraiment vu de sous-texte ambiguë autour de sentiments refoulés ou d’une relation potentiellement autre qu’amicale voire fraternelle, même si c’est peut être le cas. Les sentiments et réactions sont souvent très proches entre l’amoureux éconduit et l’ami délaissé. Tout ceci accentué par le fait que les deux vivent effectivement dans un cocon, unité de lieu, toujours le même bled, les mêmes ruelles, la même petite place où se réunir le soir, même petite bande de potes, et même habitant qu’on croise avec ses jeux à gratter. Comme s’ils étaient dans une même grande maison à ciel ouvert, mais en vase clos, presque une petite cellule familiale en quelque sorte.

Il y a un effet miroir entre les deux. Le plus âgé vit comme un grand adolescent attardé, qui fait du surplace, et tout ce qu’il reproche au plus jeune n’est que le reflet de ses propres carences, peurs, manques, derrière l’apparence de la tchatche… L’oisiveté, la passivité, le manque de maturité, ça le concerne surtout lui, alors que le plus jeune semble moins disposé à se satisfaire de sa situation et plus enclin à évoluer, sortir du nid. Ceci en contradiction avec les apparences des deux et du jeu des acteurs évidemment, qui incarnent très bien cela.

Ce qui m’a aussi fait penser à quelque chose comme de l’amitié quasi fraternelle c’est la fin, le jeune qui sait sur qui il peut compter dans les pires circonstances et qui est là pour lui. Et le plus âgé qui, un peu comme un grand frère qui tance, raille, bouscule le cadet, mais au fond l’aime, parait certes un peu touché par le départ du p’tit mais sans doute heureux de le voir avancer, ce qui n’est sans doute pas étranger au fait que lui-même au final, certes mesurément, évolue aussi en accomplissant un peu de ce dont il parlait sans jamais vraiment le mettre en pratique.

[visiteur]

Suis pas nécessairement en désaccord avec ce que tu écris, mais il n'empêche que la relation amoureuse du cadet fait sortir de ses gonds l'aïné... Je ne suis pas un très grand spécialiste des rapports fraternels, mais je ne suis pas sûr que lorsque quelque chose de cette nature se produit entre frangins, on ait affaire à ce type de réactions, dans la majeure partie des cas....

Il me semble aussi, si ma mémoire est bonne, que le départ du cadet pour l'armée est quelque chose de programmé depuis l'origine, indépendamment de l'histoire qui se déroule sous nos yeux, donc nécessairement la relation entre les deux à vocation à évoluer prochainement, ce n'est donc pas cette peur qui le pousse à agir comme il le fait au moment où la fille entre dans la relation...

C'est peut être la conjonction de ces deux évènements qui fait que l'aîné sort un peu de sa trajectoire (en tout cas de celle que l'on perçoit dans le film), mais l'apparition de la fille dans cette relation est loin d'être neutre dans le scénario et l'évolution de leurs rapports humains le temps de l'amourette, même si ce ne sera au final qu'une parenthèse...

[Gavia arctica]

kramer vs kramer…

c’est nul et inintéressant…

c’est aussi ce que j’avais pensé à sa sortie…

j’aime pas les caricatures…sauf si elles sont annoncées comme telles…

[Bagouvic]

Vu sur Canal, Le Règne Animal film ayant reçu plusieurs Césars.
Sentiment mitigé, pas trop compris les critiques dithyrambiques. Pas que le film soit mauvais, mais de là à en faire des tonnes, ça m'étonne (et ça rime ).

C’est un mélange de genres qui pioche par ci par là en ayant sa propre originalité, mais qui me laisse une impression bancale, comme si le réal ne trouvait pas trop de direction. On a la relation d’un père protecteur à l’égard de son fils, la mutation lente que ce dernier va subir sans jamais être démonstrative (ce qui n’est pas plus mal), des humains-animaux rejetés et persécutés qui font un peu penser à une parabole sur le sort des migrants et plus largement des étrangers (thème qu’on voit assez régulièrement dans le cinéma français), la question de la mère dont il faut faire un deuil sans mort. On a une gendarme jouée par Adele Exarchopoulos dont le personnage est malheureusement pour elle totalement creux.

Bref, un méli-mélo d’idées et de thèmes pas inintéressants mais convenus, avec un côté allégorique dans ce monde qui se peuple de mutants dont on ne sait pas grand-chose. Le côté un peu inclassable ne me gêne pas du tout, au contraire, mais du mal à cerner ce qu’est réellement le fil conducteur, s’il y a une intention plus profonde ou si c’est juste ça, apporter une originalité artificielle via le côté fantastique (lui même volontairement très vidé de son côté fantastique pour s’inscrire dans un univers réaliste) à une histoire finalement qui sent le déjà vu et pas spécialement traitée avec quelque chose de plus novateur ou singulier que si on se passait de cette histoire de mutants.

[visiteur]

Je suis beaucoup plus sévère que toi sur cette daube politiquement correcte sans intérêt cousue de fil blanc sans surprise, le discours convenu de la différence avec les pauvres mutants et ceux qui sont encore humains qui se scindent entre les bons qui acceptent et ceux qui rejettent...

Manichéen, caricatural, l'idée, pour originale qu'elle soit est totalement galvaudée, et le pire, véritablement le pire de l'histoire qui montre l'étendue de la daube c'est que des acteurs pourtant vraiment très bons comme Romain Duris ou Adèle Exarchopoulos sont d'une platitude sans nom...

Quand je pense à la critique de l'inénérable Léa Salamé sur France Gaucho parlant de la performance du jeune espoir Paul Kircher, j'en pleure encore de rire... Non que le jeune homme soit dénué de talent, mais son rôle dans le film de Cathérine Breillat était autrement plus intéressant que dans ce truc inepte....

[visiteur]

Suis tombé complètement par hasard ce jour sur un film d'Alfred Hitchcock que je n'avais jamais vu, diffusé actuellement sur Arte, et très mal traduit par la loi du Silence alors que le titre original est infiniment plus explicite, I confess....

Ce n'est pas un chef d'oeuvre comme le maître en a tant réalisé, mais de là à être tombé dans un tel anonymat, je trouve ça bizarre... Déjà parce qu'il est porté par Montgomery Clift, ensuite parce que c'est quand même bien foutu... Peut être un tantinet manichéen, sans doute un peu grandiloquent dans la chute finale, un procès en cours d'Assises mal fagôté avec un jugement peu probable, mais malgré tout, l'intrigue est quand même bien menée...

Soit donc un prêtre récemment ordonné à l'issue de la guerre qui recueille la confession d'un individu de nationalité allemande dans son presbytère avec sa femme et qui par un soir tard vient se confesser à lui et lui avoue le meurtre crapuleux d'un avocat chez qui il travaille une fois par semaine... En sortant de chez l'avocat, deux témoins ont aperçu un homme portant une soutane...
Pas très compliqué de comprendre comment le prêtre va être accusé, ne pourra pas parler car lier par le secret de la confession et comprendre aussi que le projet était largement prémédité.... Mais la façon dont le maitre monte son histoire très bien foutue....


Vu là aussi par hasard le Grand Meaulnes, roman d'adolescence que j'avais beaucoup apprécié, que chaque année je me promets de relire et qui prend la poussière négligemment depuis un bail.... J'y ai retrouvé la beauté des paysages ruraux décrits par Fournier, le fantastique d'une rencontre improbable et si marquante qui va marquer Meaulnes, en revanche, plus aucun souvenir de la fin du film, je me demande même si c'était dans le roman, mais plus aucun souvenir de la chute de ce dernier.... Raison de plus pour le relire... bientôt.... L'occasion de revoir Marielle....

L'été dernier de Catherine Breillat m'a laissé circonspect... L'histoire d'un inceste entre une belle mère et son beau fils, beau fils en question assez peu innocent, on dira mature sur les relations avec les femmes... Circonspect parce qu'on a du mal à vraiment croire à cette histoire, une femme du bareau qui se laisse séduire par un mineur sous son toit et celui du père de l'ado... Que Madame s'ennuie auprès de Monsieur plus très frais quand un jeune éphèbe au ventre plat se trouve là, passe encore... Mais que l'histoire prenne ces proportions.... Certes la passion itou, mais justement on ne la sent pas trop la passion et on sent encore moins la volonté de destruction du jeune homme qui va se retrouver éconduit, Madame tient à son confort plus qu'à ses moments fugaces enjoués....


Enfin 2 Nolan pour le prix d'un...

Enfin vu The Dark Knight, vraiment remarquable, dans le genre un must, un Batman sur la défensive, presque éprouvé, un Joker remarquable, totalement dingo, n'ayant plus la moindre conscience du bien et du mal, un grand malade, un héros de société civile auquel on aimerait croire, qui prend le coeur de l'ex énamouré de Batman et ne peut se remettre de sa disparition.... Un monde crépusculaire dont on a bien du mal à croire à la fin que de l'aube va le sortir de la nuit.... Le meilleur de la série en tout cas de ceux que j'ai vus.....

Il en est d'Oppenheimer un peu la même chose que pour Anatomie d'une Chute côté français, oscarisé en veux-tu en voila et pas vraiment compris une telle hype, même si le film a des qualités indéniables, mais le genre a sans doute des contingences qui limitent un peu la portée d'un flim...

Du mal déjà à rentrer dans une histoire qui est filmée sur plusieurs plans, la guerre, avant, après, l'histoire d'un procès et de manipulations politiques... C'est long, mais c'est vrai qu'il y'a de la matière...

L'interprétation de l'acteur principal est très bonne, elle arrive à faire comprendre les doutes d'un homme face à une découverte dont on n'a pas encore mesuré toutes les conséquences pour l'histoire de l'humanité.... Il permet aussi de voir l'étendue de sa complexité, de la façon dont le génie n'a que peu de prise sur les contingences politiques, les questions qu'il peut être amené à se poser et sa difficulté à ne pas faire preuve de naïveté face au prosaïsme des choses...
Cette course contre la montre, les doutes, la décision finale d'utiliser l'arme à Hirochima puis Nagasaki....

Une phrase d'Albert Einstein qu'Oppenheimer semblait ne pas avoir en haute estime mais dont il aimait à consulter l'avis. Sur l'hypothèse de la réaction en chaîne, hypothèse théorique dont on s'est posé la question de savoir si elle n'était que théorique ou si cela conduirait à la catastrophe (à savoir que l'explosion entrainerait l'éradication de l'atmosphère et donc de toute forme de vie possible sur la planète), Tonton Albert lui répond négligemment de prévenir les nazis s'ils prouvent que la théorie est juste pour qu'aucun des protagonistes ne l'utilise jamais...

Il est bien évident que dans l'esprit d'Einstein, les nazis n'auraient bien évidemment aucun scrupule à rayer de la surface de la planète toute vie humaine s'ils en avaient eu le pouvoir et la certitude d'être vaincus.... Même si la théorie s'est avérée infondée, il reste que bien évidemment l'utilisation d'armes nucléaires dans un conflit amené à dégénérer par un pouvoir dont la logique serait celle des nazis reste plus que jamais dramatiquement d'actualité....

[Gavia arctica]

oui très bon ce hitchcock…

incroyable tout ce que tu as trouvé d’autre après…

étonné que tu n’aies pas plutôt regardé les Molières…

[Bagouvic]

Oppenheimer je l'ai trouvé vraiment très bon. Après c'est un bopic de 3 heures donc par définition faut se le farcir, mais je n'ai pas senti le temps passer. Comme d'hab' avec Nolan mise en scène au top, montage idem. Les différents sujets entre la vie d'Oppenheimer (scientifique, sympathisant communiste, etc), sa personnalité, son rôle essentiel dans le projet Manhattan puis le contexte de la chasse aux sorcières et l’ostracisation, c'est très prenant, bien équilibré, même si ça n'évite pas toujours certains écueils sur la phase "accusation". Cela dit je n'avais qu'une connaissance lointaine de l'après bombe, j'ai appris pas mal de choses sur le personnage.

Cillian Murphy toujours très bon, Robert Downey Jr est excellent aussi.

J'étais resté sur ma faim avec les deux derniers Nolan, depuis Interstellar que j'avais adoré. Dunkerque ne m'avait pas emballé plus que ça, et j'avais trouvé Tenet moyen, beaucoup d'effets pour pas grand chose. Son dernier, je ne sais pas s'il mérite la pluie d'Oscars, c'est secondaire au fond, mais c'est un film dans le très haut du panier.

[visiteur]

C'est sans doute la phase "politique" qui m'a barbé en fait, je suis d'accord sur le fait que la phase scientifique, recherche, contexte de la guerre est bien menée, ficelée...
Difficile de faire un film sur le gars en question sans l'exposer, mais j'ai trouvé ça tellement mineur par rapport au reste que ça m'a fait l'effet d'un boulet que la seule force du reste n'emporte pas totalement, car c'est loin d'être un détail....

Tenet m'est sorti de l'esprit, Interstellar aussi, je ne sais d'ailleurs plus qui est l'un et l'autre....

En revanche Insomnia à l'époque m'avait l'effet d'une gifle et lui je l'ai toujours en tête... et j'avais aussi beaucoup apprécié Memento

[Bagouvic]

Memento m'avait bien plu aussi, très astucieux. Insomnia aussi j'avais aimé. Il a la grosse qualité de sortir des sentiers battus du thriller vu et revu, parce qu'il prend des directions très originales qu'on voit très peu, avec la bavure et toute l'ambiguïté morale qui suit, ainsi que la "relation" flic/tueur, et celle du vieux flic/jeune flic et les illusions vite perdues, très bien écrite aussi. Un film de flic qui cherche un tueur, où la découverte du tueur et la résolution de l'enquête devient vite secondaire, c'est diablement malin.

Pour différencier Tenet et Interstellar, le second se passe dans l'espace essentiellement, le premier je sais plus, j'ai oublié et j'ai pas compris grand chose ni retenu quoi que ce soit
J'aime beaucoup la SF dans ses différents courants, et Interstellar je m'étais régalé. Pas spécialement un film profond même si les dilemmes moraux sont intéressants, ou complexe (enfin c'est une complexité technique scientifique, et encore bien vulgarisée), peut être un des films de Nolan où l'écriture des personnages est la plus simple, mais vu deux fois et complètement transporté par le spectacle. C'est subjectif mais ce film je trouve que c'est un peu comme les Spielberg ou Lucas époque Indy, E.T, Star Wars, etc, c'est tellement bien raconté, tellement bien mis en image, y'a tellement de plans top, McConaughey est excellent comme très souvent, même la musique de Zimmer est bien.

[Gavia arctica]

l’eurovision…

[Loncha71]

Les fléchettes sur la 21

[visiteur]

Pour différencier Tenet et Interstellar, le second se passe dans l'espace essentiellement, le premier je sais plus, j'ai oublié et j'ai pas compris grand chose ni retenu quoi que ce soit
J'aime beaucoup la SF dans ses différents courants, et Interstellar je m'étais régalé. Pas spécialement un film profond même si les dilemmes moraux sont intéressants, ou complexe (enfin c'est une complexité technique scientifique, et encore bien vulgarisée), peut être un des films de Nolan où l'écriture des personnages est la plus simple, mais vu deux fois et complètement transporté par le spectacle. C'est subjectif mais ce film je trouve que c'est un peu comme les Spielberg ou Lucas époque Indy, E.T, Star Wars, etc, c'est tellement bien raconté, tellement bien mis en image, y'a tellement de plans top, McConaughey est excellent comme très souvent, même la musique de Zimmer est bien.

J'ai vu qu'Interstellar était en rediff, j'ai donc revu, p.... 10 ans quand même...
Je m'en souvenais bien finalement, mais je comprends pourquoi j'avais décroché, j'ai du mal avec les 3 dimensions alors avec la 4ème et la 5ème qui en plus sont physiques, j'ai eu du mal à suivre...
Mais oui, c'est bien joué, on se laisse un porter par le scénario et absorber par le trou noir....
Mais bon, au final l'amour qui sauve tout en message abordable du film, t'es un peu fleur bleue quand même non?....

Bon du coup Tenet lui n'est pas en redif, c'est beaucoup plus récent, mais j'ai revu la bande annonce et j'ai reconnu la tronche de l'acteur principal... Bon l'histoire a l'air beaucoup plus concrète, à part ma mémoire, y'a pas de trou noir, mais d'après ce que j'ai compris ça voyage aussi dans le temps, il doit avoir avec un problème avec la fuite du temps le père Nolan....

[Bagouvic]

J'ai vu qu'Interstellar était en rediff, j'ai donc revu, p.... 10 ans quand même...
Je m'en souvenais bien finalement, mais je comprends pourquoi j'avais décroché, j'ai du mal avec les 3 dimensions alors avec la 4ème et la 5ème qui en plus sont physiques, j'ai eu du mal à suivre...
Mais oui, c'est bien joué, on se laisse un porter par le scénario et absorber par le trou noir....
Mais bon, au final l'amour qui sauve tout en message abordable du film, t'es un peu fleur bleue quand même non?....

Oui j'avoue j’aime les films de Meg Ryan

C'est pour ça que je dis que c'est spécialement un film profond, le fond de l'histoire est bateau. Mais j'ai vu ce film comme du cinéma de l’émerveillement, comme certains classiques des années 80-90 par ex de Spielberg ou d'autres. C'est du grand spectacle, mais sans le badaboum abrutissant qu'on voit trop souvent, sans esbrouffe foireuse sur l'intelligence et la profondeur du scénar et des protagonistes, sans tentative lourdingue d'humour mal amené mal dosé. C'est du très bel ouvrage, ça ne révolutionne rien, mais je trouve que c'est tellement bien foutu, même la dose de bons sentiments, l'amour filial, c'est un peu convenu mais bien écrit et parfois touchant (j'ai pas pleuré ).

Tenet il est sur Netflix, mais il sera surement dispo de nouveau prochainement sur Canal. Faudrait que je retente le coup, dans mon souvenir autant Interstellar j'avais pas essayé de comprendre vraiment la fin avec les dimensions je m'étais laissé porter, autant Tenet au bout d'un moment je pigeais plus rien et j'avais un peu lâché.