Basket Info

Mimil a écrit : ↑ven. 26 déc. 2025 17:35

Bostonn.02 a écrit : ↑ven. 26 déc. 2025 17:27 Et Le Portel qui a l’air de bien s’en sortir contre Cholet

Si vous commencez a compter sur cholet pour vous en sortir , c'est que vous êtes vraiment mal barré !!

Je me suis dit la même chose quand ça parlait d eito ici

Khasix a écrit : ↑ven. 26 déc. 2025 19:08

gerco a écrit : ↑ven. 26 déc. 2025 18:04 On gagne … la 2 eme mi temps

En tout notre CM nous a bien fait rire

La com du club est sacrément désastreuse…

Et notre Pedro qui est gentillement en arrêt de travail doit bien rire de la situation pareil de Philippe Da Silva…
Les 2 sont payés

Bah si Pedro est en arrêt de travail il perçoit des indemnités journalières sécurité sociale et il n'est donc pas à la charge du club.
De plus, il peut être en arrêt pour un réel problème de santé.

Quant à Philippe Da Silva, si il n'a pas été trouvé d'accord, normal qu'il soit payé, il a signé un contrat de travail non ?
Donc que ce soit lui ou un autre, tout salarié a des droits, et heureusement.

dreamgaiden a écrit : ↑ven. 26 déc. 2025 19:17

Khasix a écrit : ↑ven. 26 déc. 2025 19:08

gerco a écrit : ↑ven. 26 déc. 2025 18:04 On gagne … la 2 eme mi temps

En tout notre CM nous a bien fait rire

La com du club est sacrément désastreuse…

Et notre Pedro qui est gentillement en arrêt de travail doit bien rire de la situation pareil de Philippe Da Silva…
Les 2 sont payés

Bah si Pedro est en arrêt de travail il perçoit des indemnités journalières sécurité sociale et il n'est donc pas à la charge du club.
De plus, il peut être en arrêt pour un réel problème de santé.

Quant à Philippe Da Silva, si il n'a pas été trouvé d'accord, normal qu'il soit payé, il a signé un contrat de travail non ?
Donc que ce soit lui ou un autre, tout salarié a des droits, et heureusement.

La sécu va jamais prendre l’intégralité… y’a un seuil de 3K et après le club se débrouille…
Mais Phillipe y’aura pas d’accord il est aussi en convalescence…

Tu payes logement + voiture + le reste… pour des gars qu’ils servent à rien au club…

Toute façon on va remplacer personne, donc faut prier pour finir 15 eme, puis battre les Pro B mais pour moi c’est impossible

Cette année les matchs les plus excitants ça sera contre Denain en playoffs Pro B si on a de la chance

On finira dernier, Le Portel ça joue mieux que nous !

Spalding02 a écrit : ↑ven. 26 déc. 2025 19:46 On finira dernier, Le Portel ça joue mieux que nous !

Je viens de changer d’avis, Eito vient de signer jusqu’à la fin de saison avec Boulazac, donc le match le + excitant ça sera SQBB-Boulazac le 4 avril

Khasix a écrit : ↑ven. 26 déc. 2025 19:32

dreamgaiden a écrit : ↑ven. 26 déc. 2025 19:17

Khasix a écrit : ↑ven. 26 déc. 2025 19:08

En tout notre CM nous a bien fait rire

La com du club est sacrément désastreuse…

Et notre Pedro qui est gentillement en arrêt de travail doit bien rire de la situation pareil de Philippe Da Silva…
Les 2 sont payés

Bah si Pedro est en arrêt de travail il perçoit des indemnités journalières sécurité sociale et il n'est donc pas à la charge du club.
De plus, il peut être en arrêt pour un réel problème de santé.

Quant à Philippe Da Silva, si il n'a pas été trouvé d'accord, normal qu'il soit payé, il a signé un contrat de travail non ?
Donc que ce soit lui ou un autre, tout salarié a des droits, et heureusement.

La sécu va jamais prendre l’intégralité… y’a un seuil de 3K et après le club se débrouille…
Mais Phillipe y’aura pas d’accord il est aussi en convalescence…

Tu payes logement + voiture + le reste… pour des gars qu’ils servent à rien au club…

Toute façon on va remplacer personne, donc faut prier pour finir 15 eme, puis battre les Pro B mais pour moi c’est impossible

Je sais bien que c'est plafonné j'ai travaillé 35 ans dans ce domaine avec des assistances salariés aux prud'hommes.
Mais bon ton assistant est pas payé 10 000 euros mensuels.
Encore on serait dans le foot....
Et puis de toute façon la législation et le code du travail ça s'applique à tous on peut en rire mais on ne peut pas tenir le club responsable de ça.
Vu les résultats Prache était de toute façon obligé d'accepter la mise en retrait de PDS.
Et ensuite choisir Bartecheky ça semblait pertinent.

Et il en pense quoi notre président ?
Ce serait intéressant de savoir !
Caroline, Barber ???
Aucune com ! Elle est à l'image de l'équipe..... transparente !

Basket-ball (Betclic Élite) : les maux ont dépassé les mots, et c’est bien là le problème

Au cœur d’une nouvelle prestation sans relief, le SQBB a une fois encore mis en lumière un malaise qui dépasse le simple cadre sportif. L’urgence n’est plus seulement celle du résultat, mais bien celle d’une prise de conscience collective.
Meilleur marqueur du SQBB avec 18 points, Neftali Difuidi a tenté de maintenir son équipe à flot dans une soirée compliquée.
Meilleur marqueur du SQBB avec 18 points, Neftali Difuidi a tenté de maintenir son équipe à flot dans une soirée compliquée. - SQBB

Par Anthony OTTOU
Publié: 26 Décembre 2025 à 21h45
3 min
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À la sortie des vestiaires, quelque chose pesait sur les Saint-Quentinois. Ce vendredi 26 décembre laissera des traces. Les regards sont fuyants, les silences lourds, chacun avançant seul, comme sur le terrain quelques minutes plus tôt. Une équipe qui marche dispersée, des corps présents mais un collectif absent. Colère, frustration, lassitude : tout se mélange, sans jamais se transformer en réaction. Le malaise est là, visible, presque palpable.

Un malaise qui ne date pas d’hier

Quatre mois que la saison a commencé, et quatre mois que le SQBB traîne ce trouble diffus, cette impression persistante d’un projet qui n’avance pas au même rythme que les discours. Quatre mois de signaux faibles ignorés, de dysfonctionnements tolérés, de rendez-vous manqués.


À Antarès, le SQBB a manqué de tout pour sa dernière sortie de l’année, laissant le MSB s’installer sans jamais être réellement inquiété.
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Basket-ball (Betclic Élite) : sans souffle ni âme, le SQBB s’enlise lors de sa dernière sortie de l’année
Rien ne s’effondre brutalement, mais tout semble exploser lentement. Et pendant que le temps passe, les mêmes questions reviennent, sans réponse claire, sans inflexion visible. « Il n’y a pas d’âme. Rien du tout, confie un membre du staff. On doit changer, comment je ne sais pas. On se sent seul. Mais il va falloir trouver. Et que tout le monde s’interroge sur le pourquoi, depuis le début, cette équipe est comme ça ? Pourquoi cette équipe ne se comporte pas comme une équipe professionnelle, tout simplement et où nous voulons mettre le club l’an prochain ? »

Pourquoi cette équipe ne se comporte pas comme une équipe professionnelle, tout simplement ?
Que ce soit au Mans, à Strasbourg, ou même à domicile face à la plupart des adversaires, le SQBB a exposé ses lacunes. Les lister ne servirait plus à grand-chose. Chercher à comprendre pourquoi ? Il est sans doute déjà trop tard pour les explications. Les failles sont là, visibles, installées – et elles ne disparaîtront pas par miracle.

Mais au-delà des manques techniques ou tactiques, une inquiétude domine : le SQBB ne ressemble plus à une équipe. Un constat lourd, partagé, qui alerte Éric Bartecheky, lui aussi à court de solutions. « Il n’y a rien chez nous. On a des joueurs présents, mais qui ne dégagent rien. Certains montrent de l’agressivité, s’en prennent aux autres, aux arbitres. Je préfère ça, presque. Mais le cœur de l’équipe n’y est pas… Le chantier est immense. Un minimum de fierté. Je fais des erreurs, je les assume, mais je ne peux pas me battre à la place des joueurs sur le parquet. Je ne peux pas… Et certains ne veulent pas se battre. »

Les maux ont dépassé les mots

Arrivé à la rescousse, Éric Bartecheky se heurte à un mur, à une absence de réaction persistante. Son équipe est dominée, semaine après semaine. Privé de Jordan Caroline, il n’a pas non plus pu compter sur Anthony Cat Barber, pas en capacité de jouer pour d’autres raisons. Mais ces absences ne suffisent plus à expliquer ce qui se joue. Car au-delà du score et de l’image, une nouvelle fois désastreuse, le SQBB se retrouve face à une réalité bien plus profonde. Trop de dérives se sont installées en dehors du cadre strictement sportif. Des manquements répétés, des écarts tolérés, qui finissent inévitablement par se voir sur le terrain.« Trop de joueurs manquent de professionnalisme, trop de règles du haut niveau ne sont pas respectées », glisse, le technicien axonais. un constat amer, qui dépasse largement le simple match.

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Sans jamais pointer qui que ce soit, Éric Bartecheky laisse pourtant entendre que le problème est systémique. Désormais, la question n’est plus seulement de savoir comment gagner un match. Elle est de savoir qui est réellement prêt à assumer ce que représente ce championnat. À en accepter les règles, les contraintes, les sacrifices. À comprendre que, quand l’urgence est là, plus rien n’est négociable.

Basket-ball (Betclic Élite) : sans souffle ni âme, le SQBB s’enlise lors de sa dernière sortie de l’année

À Antarès, le Saint-Quentin Basket-Ball a livré une prestation sans relief pour sa dernière sortie de l’année. Trop friable, trop permissif et dépourvu d’élan collectif, le SQBB s’est logiquement enfoncé, laissant au Mans le champ libre et de lourdes questions à l’orée d’un mois de janvier décisif.
À Antarès, le SQBB a manqué de tout pour sa dernière sortie de l’année, laissant le MSB s’installer sans jamais être réellement inquiété.
À Antarès, le SQBB a manqué de tout pour sa dernière sortie de l’année, laissant le MSB s’installer sans jamais être réellement inquiété. - SQBB

Par Anthony OTTOU
Publié: 26 Décembre 2025 à 19h56
3 min
Partage :




Cette saison, la Ligue nationale de basket avait inscrit une journée de Noël à son calendrier. Au Mans, le Saint-Quentin Basket-Ball a pris l’initiative très au sérieux. Pendant quarante minutes, les hommes d’Éric Bartecheky ont distribué les cadeaux avec une générosité presque confondante, offrant au MSB tout le confort nécessaire pour valider, sans frisson, sa qualification pour la Leaders Cup – sans même avoir à forcer son talent.

Le père Noël est passé en Antarès 1 jour trop tard

Pour sa dernière sortie de l’année, le SQBB est resté fidèle à son visage de cette première partie de saison, match de préparation compris. Celui d’un groupe incapable, de se transcender quand l’adversité se dresse. Et encore plus, loin de ses bases, Saint-Quentin prend l’eau au premier clapot, vacille à la moindre houle et sombre avant même que la mer ne se lève vraiment.

Tant que l’on ne jouera pas avec plus de fierté, on n’arrivera à rien.

Pas celle qui renverse les grands navires aguerris – de toute façon, le SQBB navigue aujourd’hui à bord d’une frêle embarcation, ballottée au moindre courant. L’absence de Jordan Caroline (voir par ailleurs), touché par un mal de ventre, n’a fait que compliquer une équation déjà fragile.

Comme à Strasbourg six jours plus tôt, Saint-Quentin a laissé son adversaire s’installer dès l’entre-deux. Impossible d’être compétitif quand on inscrit seulement quatre points en six minutes. Impossible d’espérer faire douter qui que ce soit quand, dès le premier quart-temps, on perd neuf ballons dont cinq sur les sept premières attaques. Et plus encore quand on laisse le MSB évoluer dans son élément naturel : vitesse, mouvement, ballon qui circule sans résistance.

Vendredi, Eric Bartecheky revient à Antarès, là où il y a 7 ans, il a écrit la plus belle page de son histoire.
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Très vite, les hommes de Guillaume Vizade ont mis le SQBB dans les cordes (19-10), avant d’enfoncer le clou dans un deuxième acte à sens unique. À la pause (51-32), les Axonais étaient déjà hors de portée, bien trop peu concernés pour espérer exister « Tant que l’on ne jouera pas avec plus de fierté, on n’arrivera à rien, reconnaît Neftali Difuidi. Ce soir, on ne peut rien retenir. On accepte trop de choses, on joue sans envie, sans connexion. C’est dur de parler après ce genre de match. »

Une nouvelle fois, le SQBB est passé tout près de la faute professionnelle.

Jouer avec fierté ? Non. Jouer comme une équipe de Betclic Élite, simplement. Par séquences, l’écart a semblé abyssal, comme si trois, voire quatre classes séparaient les deux formations. Le Mans n’a rien révolutionné. Mais tout un collectif était concerné, impliqué, aligné autour d’une évidence simple : le basket est un sport, mais aussi un métier, avec ce qu’il exige de rigueur, d’investissement et de constance.

Je me mets aussi en cause : pour l’instant, je n’arrive pas à faire gagner cette équipe. C’est la première fois que je vis ça dans ma carrière.
Eric Bartecheky, entraîneur du SQBB
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À l’inverse, Saint-Quentin a donné le sentiment d’avoir oublié les bases. L’engagement n’a pas suivi. L’intensité non plus. Dans ces conditions, impossible d’exister, encore moins de rivaliser. Le constat est brutal, et il dépasse largement le simple résultat. Mettre un lay-up, communiquer, faire une passe : des gestes élémentaires qui, quand l’envie disparaît, deviennent des montagnes.« Être joueur professionnel, ce n’est pas seulement avoir un contrat, c’est se donner les moyens, chaque jour, de bien faire les choses, confie Éric Bartecheky. Ce soir, nous avons joué sans envie, comme à Strasbourg. Je savais que la mission serait compliquée, mais je ne pensais pas trouver un groupe dans un tel état mental. Je me mets aussi en cause : pour l’instant, je n’arrive pas à faire gagner cette équipe. C’est la première fois que je vis ça dans ma carrière. »

Une trêve pour se regarder enfin en face et peut-être prendre des décisions

Sans jamais forcer leur talent, Trevor Hudgins et Johnny Berhanemeskel ont navigué sans contrainte dans les lignes axonaises. Et lorsque l’adresse se faisait capricieuse, Wilfried Yeguete ou Tashawn Thomas prenaient le relais, gobant les rebonds avec la facilité de petits fours au moment du rab. Résultat : 20 rebonds offensifs et 46 points encaissés dans la raquette. En face, Nick Johnson a encore tenté d’être au four et au moulin, épaulé par un Neftali Difuidi de plus en plus affirmé dans son rôle, tandis que Giovan Oniangue retrouvait un soir d’adresse.

Focus SQBB dans l’émission du 4 décembre 2025.
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Trop peu, pourtant, pour masquer l’essentiel : avec si peu d’envie et si peu de hargne, cette équipe n’effraie personne – si ce n’est, peut-être, ceux qui continuent de l’aimer. Désormais, le calendrier offre au SQBB sept jours de pause. Sept jours sans match, loin des parquets, loin de Saint-Quentin, loin du tumulte. Sept jours pour reprendre souffle… et surtout pour se regarder en face. Avant de se retrouver et d’attaquer un mois de janvier décisif.

Mais cette coupure doit servir à bien plus qu’à récupérer. Elle impose une seule question, simple et implacable : qui veut vraiment être cette équipe – et à quel prix est-elle prête à se battre pour jouer en Betclic Élite ?

"A l'inverse, Saint-Quentin a oublié les bases".

C'est bien ce que je disais, il faudrait tout leur réapprendre comme des minimes.

Hé les gars, arrêtons de débattre.

Sur : c'est le coach
Ou : les joueurs n'ont pas le niveau.

ça n'a rien à voir avec tout ça.

Lisez ENTRE LES LIGNES le 1er article :

C'est clair comme de l'eau de roche : CE GROUPE EST POURRI DE L'INTERIEUR.

Voilà pourquoi ils ne jouent pas en équipe et pourquoi ils sont en faillite collective !

« Il n’y a pas d’âme. Rien du tout, confie un membre du staff. On doit changer, comment je ne sais pas. On se sent seul. Mais il va falloir trouver. Et que tout le monde s’interroge sur le pourquoi, depuis le début, cette équipe est comme ça ? Pourquoi cette équipe ne se comporte pas comme une équipe professionnelle, tout simplement et où nous voulons mettre le club l’an prochain ? »

Très très très inquiétant, peut-être que c'est notre préparateur physique qui a dit ça

et ça doit pas être jolie aux entrainements

[quote=dreamgaiden
Et ensuite choisir Bartecheky ça semblait pertinent.
[/quote]

Ben non. Ce n'est pas et n'était pas pertinent.
Prache joue avec le feu. Il a deux salariés inutiles qui vont être payés au moins à 50% par son club puis éventuellement par un contrat de prévoyance quand la sécurité sociale arrêtera d'indemniser.
Et il va chercher un nouveau coach ce qui semble avoir détruit le peu d'envie qu'avaient retrouvée les joueurs au départ de PDS.
Le club finira cette saison en élite 2, c'est écrit sportivement. Pas dit que ce soit pire financièrement.

Mahé parti, c'est plus qu'un coach qui manque. C'est une analyse pertinente du sport de haut niveau.

Le SQBB est globalement une structure amateure, sa place n'est pas en ligure professionnelle.

La Nationale 1, c'est d'aujourd'hui ce qui ressemble le mieux à la structuration du SQBB.

Le public a beau être l'un des meilleurs de France, ça ne suffira pas à sauver le club.

Comme cette chimère de salle plus grande qui n'a jamais été envisagée sérieusement.

Je me demande encore comment les même gars ont réussi à se transcender contre Cholet