[SQBB 2025-2026]défaite au Mans

[JACQUART]

Tout à été dit ou presque sur cette énorme déception de samedi soir.
Je rajouterai juste une chose : Dijon a fini la rencontre avec 3 joueurs majeurs à 4 fautes.
Comment avons-nous réussi à les laisser sur le terrain jusqu'au bout?
Pour moi c'est incompréhensible
Et enfin que se passe t- il avec Dally qui n'est rentré sur le terrain que quelques secondes??

[dreamgaiden]

Ah oui effectivement tu as raison de souligner ça aussi.
Pour Dally je ne vois que deux solutions.

Soit il est court physiquement
Soit il ne donne pas satisfaction à l'entrainement.

[JACQUART]

Espérons pour Dally que cela ne soit pas un flop de plus car nous aurions bien besoin de lui dans la raquette

[Lazuli]

Il joue presque autant qu’à Dijon. Moi aussi je me suis posé la question. Il n’est pas rentré contre Paris ni l’ASVEL. Je me trompe ? S’il est hors de forme alors qu’il a repris depuis un mois, c’est inquiétant non ? Je ne vois pas un entraîneur qui vient à peine d’arriver mettre un joueur sur le banc sans l’avoir testé. Donc il doit ressentir des gênes qui l’empêchent de jouer.

[dreamgaiden]

Si Paris il a joué
C'est pas 8 minutes ?
C'est lui qui met le premier 3 points quand on mène 3-0 ?

[Lazuli]

Oui il a joué contre Paris 11mn 5 pts. Dingue ! J’ai du le confondre avec un autre joueur. Je ne m’étais pas rendu compte qu’il avait joué.

[Spalding02]

Ah oui effectivement tu as raison de souligner ça aussi.
Pour Dally je ne vois que deux solutions.

Soit il est court physiquement
Soit il ne donne pas satisfaction à l'entrainement.

Étrange comme situation en effet.
Surtout que pour le coup, Oniengue joue 4 et qu'il ne fait guère mieux que Dally.
Ce n'est pas un problème de comportement, puisqu'il est réputé pour être exemplaire comme joueur.
Donc peut-être encore juste physiquement, ou encore une gêne !?

[dreamgaiden]

La défaite à domicile contre Dijon va coûter très très cher.

2 recrues attendues au BCM très prochainement selon JC Prat dans un article de Bebasket d'hier.

[gerco]

Basket-ball (Betclic Élite). Giovan Oniangue : « le groupe n’a pas lâché Philippe, mais il fallait un vrai cadre »

Giovan Oniangue revient sur le début de saison très compliqué : personne n’a lâché Philippe Da Silva, mais le manque de cadre et de communication a pesé. Pour lui, avec l’arrivée d’Éric Bartecheky, l’équipe retrouve enfin de la structure.
Giovan Oniangue, lucide sur le début de saison, pointe le manque de cadre avant l’arrivée d’Éric Bartecheky.
Giovan Oniangue, lucide sur le début de saison, pointe le manque de cadre avant l’arrivée d’Éric Bartecheky.

Par Anthony OTTOU
Publié: 19 Décembre 2025 à 10h23
5 min
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Giovan, cette défaite face à Dijon a laissé des traces. Avec un peu de recul, est-elle désormais digérée par le groupe ?

Il faut toujours un peu de temps. Mais dès lundi, Éric (Bartecheky) est arrivé avec l’envie de nous faire avancer. Ce n’est pas simple, car c’est un match que nous avions en main et une défaite comme celle-là fait forcément très mal. Aujourd’hui, le regard est tourné vers l’avenir. Trois gros rendez-vous nous attendent, et nous devons tout faire pour en remporter au moins un. Surtout, nous devons continuer d’y croire, à commencer dès dimanche face à la SIG qui est une grosse équipe.

En début de saison, vous nous disiez que cette équipe avait peu de marge. Aujourd’hui, le constat est clair : la première partie de saison est manquée. Vous attendiez-vous à en arriver là ?


On l’avait senti très tôt, dès la préparation : ça ne prenait pas vraiment et, au final, notre marge de manœuvre était très faible. Il fallait absolument que nous soyons une équipe qui joue ensemble. Et ce n’est pas le cas. On n’a pas le talent individuel pour compter sur un joueur. Il faudra faire un vrai bilan en fin d’année, bien sûr. On a laissé filer des matchs qu’on aurait dû gagner et c’est extrêmement frustrant. Mais on n’a pas le temps de ressasser le passé. L’important, c’est ce qui arrive : trois matchs avant la trêve, puis les suivants. À nous de nous projeter et de répondre sur le terrain.

Comment vivez-vous, à titre personnel, cette instabilité sur le banc avec le départ de Philippe puis de Pedro et l’arrivée d’Éric ? Auriez-vous aimé une saison plus stable ?

C’est certain, je ne m’attendais pas à vivre une telle saison… Mais malgré tout, j’ai beaucoup d’espoir pour cette équipe. Je sais qu’elle a le potentiel pour faire de belles choses. On a des joueurs capables de s’adapter à ce que le coach va nous proposer, à différentes situations. Si l’équipe continue de progresser, je pense sincèrement qu’on peut en laisser au moins deux derrière nous au classement. Pour cela il faut avancer ensemble, en équipe.

Il fallait absolument que nous soyons une équipe qui joue ensemble. Et ce n’est pas le cas. On n’a pas le talent individuel pour compter sur un joueur.
En mettre deux derrière est donc devenu l’objectif ?

C’est l’objectif. Il faut être réaliste : aujourd’hui, on est dans le bas du classement et on doit en mettre deux dernière nous. Mais je sais que nous sommes capables, qu’on peut faire plus. Maintenant, c’est à nous de créer cette alchimie ensemble. Il faut que ça prenne. Et pour ça, on doit travailler collectivement. Je sais qu’Éric fait les choses comme il faut pour nous y amener. À nous de bien comprendre ses principes, son jeu, et de les appliquer pour que ça fonctionne et de le suivre.


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Pourquoi cela n’a-t-il pas fonctionné avec Philippe Da Silva ? Est-ce un échec collectif ou des responsabilités individuelles ?

Je ne dirais pas que c’est uniquement la faute de Philippe. Ce serait trop facile de rejeter tout sur le coach. Bien sûr, il a sa part de responsabilité en tant que leader, mais les joueurs en ont aussi. Il y a probablement eu un manque de communication et de compréhension des deux côtés. Des principes de jeu pas adaptés à notre équipe, tout simplement. À un moment, ça ne passait plus, et il fallait une petite rupture pour essayer de relancer les choses. Cela a fonctionné contre Cholet…

Et justement, la victoire contre Cholet, après le départ de Philippe Da Silva, est-ce que ce n’est pas la preuve que le groupe avait lâché le coach ?

Je ne pense pas que le groupe ait lâché Philippe. Le vrai problème, c’était un manque de communication et de compréhension : des rôles de chacun, de la hiérarchie et de la discipline nécessaire pour cette équipe. On a souvent tenté d’échanger, il y a eu je pense un manque de remise en question de la part des deux parties, c’est comme ça, ses idées n’étaient pas mauvaises, mais elles ne nous correspondaient pas. Nous avons besoin d’un cadre clair pour fonctionner correctement. Sans structure, même de bons joueurs ne peuvent pas s’exprimer pleinement.

Je connais Eric depuis Pau, et je peux témoigner de son travail acharné : je viens à la salle à 8 heures, et lui est déjà là à 7h30-7h45.
C’est donc ce cadre et cette discipline que vous espérez voir Éric Bartecheky instaurer dans l’équipe ?

C’est vrai, le travail est encore en cours. On ne change pas les choses du jour au lendemain. Eric est en train d’instaurer ce cadre, que ce soit en défense ou en attaque. Beaucoup d’aspects et de manières de faire doivent évoluer. Avant, on jouait un peu n’importe comment sur les transitions ou dans notre façon de construire le jeu. Aujourd’hui, par exemple, pour les contre-attaques, on sait quand les lancer, sinon on pose le jeu et on laisse les meneurs décider. Ce sont ces petites choses qui nous manquaient. Grâce à lui, il y a beaucoup plus de fluidité : chacun touche le ballon, se sent impliqué et comprend le système. Je connais Eric depuis Pau, et je peux témoigner de son travail acharné : je viens à la salle à 8h, et lui est déjà là à 7h30-7h45. Il met énormément d’énergie et de rigueur pour que ça fonctionne. Je crois en lui, comme je sais qu’il croit en l’équipe. On a plus le choix, on doit se maintenir.

[gerco]

Basket-Ball (Betclic Élite) : Pedro Nuno Monteiro absent à Strasbourg, un avenir incertain au SQBB

Pedro Nuno Monteiro sera absent du banc dimanche à Strasbourg. Arrivé en début de saison pour épauler Philippe Da Silva, son avenir au SQBB s’écrit désormais en pointillé.
Pedro Nuno Monteiro, absent à Strasbourg, voit désormais son avenir s’écrire loin de l’Aisne.
Pedro Nuno Monteiro, absent à Strasbourg, voit désormais son avenir s’écrire loin de l’Aisne. - Gaël Hérissé

Par Anthony OTTOU
Publié: 19 Décembre 2025 à 12h30
1 min
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Ce dimanche à Strasbourg, Pedro Nuno Monteiro ne sera pas présent sur le banc aux côtés d’Éric Bartecheky et de Dominique Roinard. Le club lui a accordé une absence pour raisons personnelles.

Giovan Oniangue, lucide sur le début de saison, pointe le manque de cadre avant l’arrivée d’Éric Bartecheky.
À lire aussi
Basket-ball (Betclic Élite). Giovan Oniangue : « le groupe n’a pas lâché Philippe, mais il fallait un vrai cadre »
S’agit-il d’un départ définitif du staff ? À ce stade, la réponse reste incertaine, même si les questions se multiplient.

Un nouveau feuilleton sur le banc

Arrivé à l’intersaison pour occuper le rôle d’assistant de Philippe Da Silva — une fonction qu’il n’avait jusque-là jamais véritablement exercée dans sa carrière — Pedro Nuno Monteiro a dû naviguer dans une situation particulièrement instable. Le départ de Da Silva, avec qui il entretenait une relation proche et avec qui il avait évolué en sélection portugaise, a bouleversé ses repères.

[Spalding02]

"ses idées n’étaient pas mauvaises, mais elles ne nous correspondaient pas"
"Nous avons besoin d’un cadre clair pour fonctionner correctement."
Tout est dit !!!

[nono02]

Une saison d’ores et déjà éprouvante ,j’espère un peu plus de stabilité après la trêve et une phase retour d’un autre niveau.
Je me satisferai amplement d’un maintien (14 éme) mais pour cela l’équipe va devoir sérieusement se retrousser les manches.
Aujourd’hui il va falloir recruter un adjoint .
On paye cher le recrutement raté de Da Silva qui risque de mettre en péril le SQBB.

[dreamgaiden]

@Spalding :

"Je ne dirais pas que c’est uniquement la faute de Philippe. Ce serait trop facile de rejeter tout sur le coach. Bien sûr, il a sa part de responsabilité en tant que leader, mais les joueurs en ont aussi."

Tout est dit et je ne lâcherais pas
Il était dit ici que tout nos problèmes venaient de PDS, et c'est bien contre ça que je m'élevais, qu'il ait une part de responsabilité, je ne le nie pas.
D'ailleurs j'étais bien contre le départ d' Oreilly, j'ai bien écris que pour moi ça ne servait à rien.
Et arrêtes de remettre à chaque fois une pièce dans la machine

En attendant, pour le moment on a Bartecheky et ce n'est guère mieux et crois moi après ce que j'ai vu de son coaching contre Dijon :
(Remettre Johnson en 1 en début de 3eme quart alors que ça fonctionnait si bien avec Barber-Boucaud-Barber à la mène, avec cette config on a joué notre meillleur basket et on a gagné notre + large quart temps)....en 5 minutes terminé, et la gestion des 4-5 dernières possessions alors qu'on revient à -6, je n'en parle même pas je m'en suis déjà expliqué....ma confiance en a pris un sacré coup, parce que celle-là c'est bien pour lui.

Je rajoute son histoire d'arrière manquant en conférence de presse qui est totalement rocambolesque

1) le mec est là depuis 3 semaines, aucune remarque sur l'effectif après les matchs contre Paris et l' ASVEL.
Il perd un match CRUCIAL à domicile contre Dijon, amputé rappelons le d' Holston et Narace et là :
"Oui mais bon il nous manque un arrière pour scorer et créer du jeu"

Ah Bon ?
Si tu mets Barber et Boucaud à leur poste, en arrière tu as :
Johnson-Difuidi.
C'est pas des scoreurs ?
Et Johnson ? Donc il ne crée pas de jeu ...Pourquoi le mettre en poste 1 samedi dans ce cas ?
ça m'a bien fait marrer.

2) 2eme point :
On ne recrute pas un coach en 5 minutes, il y a très certainement eu plusieurs entretiens.
En dehors du contexte, du projet de jeu, tu ne me feras pas croire qu'il n'a pas posé la question :
"Est-ce que j'ai la possibilité de faire une retouche à l'effectif ?"

Donc la réponse il la connait très bien, alors balancer l'histoire de l'arrière manquant franchement...à part pour se dédouaner en public je n'en vois pas l'utilité.

Je ne sais pas s'il nous maintiendra, j'espère, mais en tout cas j'en attendais quand même autre chose, je ne peux pas te dire le contraire.
Des coachs qui sont venus pour une mission commando il y en a eu (Vucevic, Mahé période COVID, Gamess...), et dès leurs premiers matchs tu as eu un changement flagrant des joueurs sur le terrain.
Là que dalle comme nous l'ont montré les deux derniers quarts.
Avant on jouait 3 quarts temps/4....maintenant contre Paris, l'ASVEL et Dijon c'est 2/4 !
On ne peut pas dire qu'on progresse.

[dreamgaiden]

Une saison d’ores et déjà éprouvante ,j’espère un peu plus de stabilité après la trêve et une phase retour d’un autre niveau.
Je me satisferai amplement d’un maintien (14 éme) mais pour cela l’équipe va devoir sérieusement se retrousser les manches.
Aujourd’hui il va falloir recruter un adjoint .
On paye cher le recrutement raté de Da Silva qui risque de mettre en péril le SQBB.

Ce n'est pas un problème d'effectif, mais d'alchimie collective.
Les joueurs l'ont pourtant assez expliqué dans la presse : (Boucaud, Johnson, et Oniangue).

Quand on bat Cholet ou Nancy, qu'on remonte 15 points à Boulazac ou 14 à Monaco, personne ne met en doute l'effectif.
Le SQBB est classé actuellement 14 avec dans ses rangs uns des meilleurs scoreurs du championnat (Johnson) et uns des touts meilleurs rebondeurs (Caroline).

Encore une fois, regardes l'effectif de nos concurrents directs BCM, Le Portel, Boulazac et tu verras que l'effectif du SQBB sur le papier tient largement la route.
Quand tu te trompes sur 1 ou 2 joueurs sur un effectif de 10, on ne peut pas parler de recrutement raté, c'est le lot de toutes les équipes.

[Spalding02]

Je ne crois que ce que je vois....et que je lis !
Oniengue dit qu'il y avait un problème de compréhension, un manque de cadre,et que le jeu proposé ne collait pas à l'équipe.... donc oui, PDS est fautif.
Et je ne lâcherai pas non plus
2 vraies bourriques