NF3 POULE E 2023/2024

[Fenek]

Le week end dernier, lourde défaite d’orvault -34 contre Carquefou pnf. Ca risqué d’être compliqué pour Orvault

[basketbreton]

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Basket. En NF2 et NF3, les cinq clubs vendéens font face à la nouveauté

Entre nouveaux coaches, nouveau banc et un Smash isolé dans la poule bretonne, les cinq équipes vendéennes qui évoluent en NF2 et NF3 font face à la nouveauté.

Un fait important a déjà secoué la NF3 : le forfait général de Sandillon, situé près d’Orléans. Mais, dans une poule déjà petite (12 équipes et donc 11), cela ne fait plus que trois formations à laisser derrière pour la relégation.

L’objectif premier des quatre équipes NF3 de Vendée est d’ailleurs le maintien, et un maintien rapide. À commencer par Les Herbiers, qui par ce forfait ne débuteront que dans dix jours : « On ne jouera pas d’équipes reléguées de N2, relève coach Davy Soubeyrand. Mon groupe reste jeune, un peu plus homogène, avec une année d’expérience. »

Après avoir été repêchés, Riez/Vie et son coach Miguel Relet ont, eux, une revanche à prendre. « Mon groupe est élargi. Dans le travail, on avance plus vite. Ça va être costaud avec des équipes réserves. »

Changement d’entraîneur à Chantonnay/Saint-Germain, avec la venue de Cyril Herbaut, qui était de l’aventure NM3 d’une saison des Moutiers/Lay. « On a trois recrues, le groupe s’est élargi. Je connaissais le secteur féminin et, ici, le club me correspond. » Il prend la place de Quentin Tumoine qui a migré au Smash, succédant à Christian Andorin.

Le Smash est l’unique Vendéen de sa poule : « Un peu déçu de tomber en poule bretonne, et un peu dans l’inconnu, concède Quentin Tumoine. L’équipe a changé à 50 %, j’essaye d’intégrer les jeunes. » Mariame Dia (enceinte) reviendra en deuxième partie et Justine Jolly a mis un terme à sa carrière.

En NF2, après Romain Garde, c’est Marine Souverain qui coachera l’équipe Espoirs de La Roche, non concernée par la relégation : « On n’a que des U18, annonce-t-elle. Je suis garante de la philosophie de jeu de Romain (responsable du centre), et j’apporte ma touche perso. »

Samedi, 14 h 30. NF2 : La Roche – Trégueux/Langueux.
Dimanche, 15 h 30. NF3 : Riez/Vie – Olivet ; Saran – Chantonnay/Saint-Germain ; Rennes Asptt – Smash. Exempt : Les Herbiers.

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Basket – NF3. Plus de 40 ans après, revoilà la JF Cholet !

Fraîchement promues à l’échelon national, les féminines de la Jeune France de Cholet vont retrouver un niveau qu’elles n’avaient plus connu depuis plus de 40 ans. Autant dire une éternité. Une belle récompense pour un groupe qui va une nouvelle fois s’appuyer sur la continuité et la passion pour espérer se maintenir en fin de saison. Premier match de N3 ce dimanche 17 septembre contre Orvault.
Les filles de la JF viennent d’enchaîner deux montées.

« Je ne veux pas dire de bêtises mais je crois que ça remonte à la saison 1979-1980 », lâche Manu Herbreteau quand il s’agit de se remémorer la dernière fois que le club était apparu à ce niveau. « En tout cas, c’est historique et c’est une bonne chose pour la Jeune France ! »

Déjà promue en Régionale 1 la saison dernière, après deux ans à jouer le haut de tableau en R2, mais privée d’accession en raison du Covid-19, la Jeune France n’a pas tardé pour gravir l’échelon supérieur. « L’année dernière, on visait un top 5 et on ambitionnait éventuellement de voir plus haut dans quelques saisons, mais finalement ça s’est fait directement », poursuit le technicien choletais, au club depuis neuf saisons et qui a accompagné de nombreuses joueuses du groupe dans cette belle aventure. « C’est une belle récompense pour les filles qui sont là depuis le début avec moi de pouvoir goûter à ce niveau-là. »
« On sait jouer avec nos tripes »

Cette saison encore, le groupe devrait rester stable. Seule Orane Lemonnier revient au club, elle qui était allée faire ses gammes du côté de Cholet Basket en U18 et en Prénationale. « On aura un groupe de 10 joueuses avec quatre réservistes, précise Manu Herbreteau. Je n’ai pas voulu trop modifier l’effectif parce que la continuité et la stabilité, c’est ce qui fait notre force. On se connaît très bien et je pense que ça va être un vrai atout. On sait très bien qu’on n’a pas le meilleur effectif du championnat, mais on a cette passion et cette envie qui nous animent. On sait jouer avec nos tripes et parfois ça fait la différence contre des équipes mieux armées. »

Engagée dans la poule E avec notamment la réserve de Saumur ou encore Cholet Basket, la JF sera le petit poucet et aura fort à faire pour espérer se maintenir. « On arrive avec beaucoup d’humilité. On sait qu’il y a potentiellement quatre équipes qui peuvent descendre donc on va prendre du plaisir et découvrir ce niveau, tout en essayant d’éviter que cette belle histoire ne soit qu’un one-shot. » Plus de 40 ans après, la JF Cholet va donc écrire une nouvelle page de son histoire en Nationale 3. Début du championnat ce dimanche, à domicile contre Orvault.

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Belle victoire de saumur 82 à 66.Rennes menait 31/10 à la fin du 1er quart

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Basket. Smash Vendée, un choix naturel pour Quentin Tumoine

Après quatre saisons à Chantonnay-Saint-Germain, le futur trentenaire a pris la direction du Smash où il s’occupait déjà des jeunes, toujours en N3F.
Quentin Tumoine dispute sa première saison comme entraîneur de Smash Vendée.


« On s’est maintenus les quatre saisons, sans oublier le Covid. Il y avait une super ambiance dans le groupe. » Arrivé en 2019, Quentin Tumoine a quitté le banc de Chantonnay-Saint-Germain pour celui du Smash.

Déjà en charge des jeunes smasheuses, des U11F à U18F, entraîneur également des U18 région, il a logiquement pris la tête de l’équipe fanion. « Les planètes se sont alignées, il fallait tenter l’aventure. À la CSG, je ne voulais pas faire la saison de trop. C’est constructif de renouveler les personnes », présente-t-il.
« Notre style de jeu reste défensif »

Son nouveau club a recruté Marine Baudriller (poste 1, 27 ans, Orvault NF3, ex-garnachoise) et Lisa Barassé (poste 3, 28 ans, Saint-Herblain PNF). Lennie Landreau (poste 3, 18 ans) a intégré l’effectif. Papa d’un enfant d’1 an et demi et )30 ans dans 2 semaines, il a arrêté l’arbitrage, lui qui sifflait jusqu’en NF2 et NM3. « Ma compagne Marjolaine est aussi arbitre, elle continue, cette année elle arbitre en NF1 et NM2. »

La saison a débuté par une défaite à l’ASPTT Rennes, 53-43 dimanche 17 septembre : « Nous étions inexistants en première mi-temps, avec -18 à la pause. On y a cru en revenant à -8… C’est une fausse note, je reste un peu frustré. À court terme notre style de jeu reste défensif. » Le Smash aura l’occasion de se rattraper dimanche face à… Rennes, l’Avenir cette fois-ci, sans oublier plus tard Rennes CPB et Rennes PA. Soit quatre formations du chef-lieu de l’Ille-et-Vilaine, dans une poule bretonne où les Nord-vendéennes seront isolées. « Il va manquer les belles affiches, mais il faut faire preuve d’engagement. »
Le programme vendéen du week-end

Samedi, 17 h 15, NF2 : La Glacerie – La Roche.

Dimanche, 15 h 30, NF3 : Smash – Rennes Avenir ; Les Herbiers – Riez/Vie. Exempt : Chantonnay/Saint-Germain.

[basketbreton]

sur le jeu proposé par Saumur dimanche dernier, il n'y a pas photo : le club peut légitimement les cinq premières places voir plus suivant les renforts en N2. Dimanche dernier, Jagline a survolé les débats alors qu'elle avait jouée la veille au soir à Tarbes en N2 en faisant gagner son équipe. Par contre, Rennes CPB a beaucoup déçu. les objectifs sont-ils trop élevés?

[mopett49]

sur le jeu proposé par Saumur dimanche dernier, il n'y a pas photo : le club peut légitimement les cinq premières places voir plus suivant les renforts en N2. Dimanche dernier, Jagline a survolé les débats alors qu'elle avait jouée la veille au soir à Tarbes en N2 en faisant gagner son équipe. Par contre, Rennes CPB a beaucoup déçu. les objectifs sont-ils trop élevés?

Je crois que Rennes CPB vient de montrer que fallait pas les enterrer trop vite

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sur le jeu proposé par Saumur dimanche dernier, il n'y a pas photo : le club peut légitimement les cinq premières places voir plus suivant les renforts en N2. Dimanche dernier, Jagline a survolé les débats alors qu'elle avait jouée la veille au soir à Tarbes en N2 en faisant gagner son équipe. Par contre, Rennes CPB a beaucoup déçu. les objectifs sont-ils trop élevés?

Je crois que Rennes CPB vient de montrer que fallait pas les enterrer trop vite

En même temps, la JF Cholet, elles ont pas fini de prendre des toises cette année, a mon avis...

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Basket-ball. N3F : Orvault Sports a démarré sa reconstruction

Nouvel entraîneur, effectif remodelé à 70 % : les Orvaltaises entament cette saison de zéro et réalistes.
Orvault espère ouvrir son compteur dimanche.

"J’ai la chance de n’avoir aucune pression. Le club sait que ce sera compliqué. " Sébastien Gavrel, le nouvel entraîneur d’Orvault sports, démarre cette saison entre espérance et lucidité. Il faut dire que l’équipe fanion orvaltaise repart de très loin.

Car malgré un exercice 2022-2023 réussi comptablement et conclu par un maintien serein, le groupe avait explosé.

Des problèmes relationnels qui ont débouché sur le départ du coach, Hans Léric Da Silva, et de sept joueuses. Autant dire qu’à la Frébaudière, l’OSB et le nouveau technicien ont dû tout, ou presque, reconstruire.
Aux trois éléments restés, quatre joueuses mutées – trois seulement étant autorisé, l’une d’elles doit rester hors du groupe le dimanche -, une non-mutée et une dernière étant attendue cette semaine se sont greffées au projet.

Reste que dans de telles conditions, recréer alchimie et cohésion prend du temps. Une situation qui n’a pas effrayé Sébastien Gavrel. Celui qui a passé, notamment, quinze années à Carquefou en tant que joueur – jusqu’en N2 -, s’est tourné vers le coaching il y a cinq ans à Basse-Loire (R2, R1), en garçons.

" Le projet me tient à cœur, c’est un challenge, développe-t-il. Coacher des féminines, je voulais tenter l’expérience. Dans le jeu et la psychologie, c’est différent, l’approche également. Et je ne regrette pas mon choix. "

À Orvault, avec un groupe jeune, " de 21, 22 ans de moyenne d’âge et très sympa mais dans l’apprentissage, l’objectif est le maintien et ce sera déjà très bien ".

Et l’entraîneur de 43 ans, malgré deux défaites inaugurales contre Cholet JF (53-44) et l’ASPTT Rennes (44-51) au scénario identique, reste confiant.
« Plutôt rassurant »

" On ne joue qu’une mi-temps et il y a un peu de regrets. Pour l’instant, on est à réaction mais il y a le potentiel. On a la chance de pouvoir progresser, c’est plutôt rassurant. "
Il attend ainsi un premier succès comme déclic. " On doit recréer une dynamique, il y a de la perte de confiance, évoque Gavrel. Une victoire nous ferait un bien fou, ce serait une prise de conscience pour se dire qu’on a le potentiel pour se maintenir. "

Dans cette optique, le rendez-vous de dimanche 1er octobre 2023, à l’Avenir de Rennes, également fanny après deux journées, pourrait être la bonne occasion.

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Et si Pleyber Christ remontait en N2...

A l'heure actuelle, le club finisterien est premier de son championnat en ayant battu notamment St Rogatien pourtant prétendu leader. Ultra dépendant de l'ancienne joueuse de LFB, Corre qui marque 60% des points de son équipe a chaque match, l'équipe Pleyberienne tiendrait elle sur le long terme.
A l'inverse, le CPB Rennes se réveille alors que Rennes PA tombe dans le piège du promu Choletais.
Saumur qui peut également prétendre au podium après ses victoires contre les grosses cylindrées de la poule.
A l'inverse, L'équipe Rennaise de L'avenir semble déjà hors course avec sa défaite dans le match des mal classé alors que l'équipe brestoise devrait remonter avec le retour de ses blessées.

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Basket-Ball. N3F : Orvault SB-Saint-Rogatien, un derby unique en N3F

Dimanche 8 octobre 2023, Orvault, en reconstruction, reçoit à 15h30 la Saint-Rogatien, valeur sûre de la division, dans un derby entre deux formations se cherchant encore.
Orvault va tenter d’ouvrir son compteur à domicile.

Fait récurrent ces dernières saisons dans une division qui a compté quatre équipes du département dans la même poule et Vertou reversée dans la poule D, le duel Orvault – Saint-Rogatien sera, cette année, le seul derby à se mettre sous la dent. Et si les acteurs l’admettent " cela a toujours une saveur différente ", selon l’assistant coach nantais Thibaud Malet et Sébastien Gavrel, le technicien d’OSB, les deux équipes sont surtout tournées vers elles en ce début de saison.
« C’est un peu un match différent, une ambiance différente avec de la tension »

" C’est un peu un match différent, une ambiance différente avec de la tension, souligne l’Orvaltais. On va se concentrer sur nous, derby ou pas, il faut aller en chercher un à la maison. " Orvault, avec un effectif chamboulé cette année, repart de loin. Mais le premier succès à l’Avenir de Rennes (57-67) pourrait servir de déclic à son équipe (8e après 3 journées) espère Sébastien Gavrel. " Il est hyper important dans la bataille pour le maintien et dans les têtes. Les filles savaient qu’elles pouvaient faire mieux. "

Alors l’entraîneur local souhaite de la continuité : " Garder l’état d’esprit combatif vu depuis trois semaines poursuivre sur notre intensité défensive ".

Car il le sait, ses joueuses vont se frotter à une formation référencée de la poule E. À la Saint-Rogatien, après avoir échoué à accéder à la N2 lors de l’ultime journée la saison dernière, " il a fallu digérer " raconte Thibaud Malet. Avec un effectif là aussi remodelé – trois départs pour deux arrivées -, deux victoires pour une défaite après prolongation, la Saint-Rogatien (4e) est " un peu en avance sur ce qu’on estimait dans le jeu " et semble passée à autre chose. Pas de quoi, malgré tout, s’emballer.
« On se teste encore »

" On n’a pas affiché d’objectif, c’est un nouveau groupe et on se teste encore ", souligne l’adjoint de Thierry Moullec. Les Nantaises pourraient toutefois idéalement se lancer en cas de succès dimanche à la Frébaudière.

Elles qui pourraient retrouver leur intérieure Haana Anger, absente depuis le début d’exercice. " Ça va être un match sympa à jouer même si, avec tous les changements de joueuses, il y aura peut-être moins d’adversité, poursuit le technicien de la Saint-Ro. Nous, on attend surtout une capacité à défendre ensemble, c’est la priorité. Car en attaque, on construit encore. "

N3F (4e j.) : Orvault – Saint-Rogatien (salle de la Frébaudière) ; Les Herbiers – Vertou dimanche à 15h30.

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TELEGRAMME : Pleyber-Christ en route pour la N2.


Les raisons du début de saison en fanfare de Pleyber-Christ
Les nord finistériennes, revenues victorieuses de Cholet, compilent cinq succès en autant de rencontres depuis le début de saison. Éléments d’explications sur ce retour tonitruant dans les championnats nationaux.
Kelly Corre apporte toute son expérience, et son talent, au groupe de Christophe Bodénès, leader de N3.

N3F. Pleyber-Christ
Une dynamique de feu

Leader de son groupe de N3, et invaincu depuis mi-janvier après avoir réalisé une poule retour canon en Prénationale, Pleyber-Christ surfe sur la vague du succès. « Ce n’est pas le fruit du hasard », estime Christophe Bodénès, le coach nord finistérien. « Les filles travaillent et s’impliquent beaucoup avec une envie commune. Nous avons toujours ce besoin d’aller plus loin, comme ce week-end à Cholet. Nous n’y faisons pas notre plus beau match mais nous allons l’emporter avec nos valeurs après prolongation. »

Kelly Corre, le facteur X

L’ex-professionnelle, forcément attendue à ce niveau, répond présent en termes de statistiques. Mais pas seulement. « Kelly est une joueuse fantastique qui nous apporte énormément dans la vie de groupe, c’est un bonheur de l’entraîner et de la coacher », relève Christophe Bodénès, qui ne tarit pas d’éloges sur sa recrue. « Elle est déterminée, bienveillante et chaleureuse, une leader dans l’âme qui se bat sur chaque ballon. Nous avons gagné en rigueur et en sérénité offensive avec elle. »

Un collectif performant, mais perfectible

L’osmose est en très bonne voie entre les joueuses historiques (Croguennec, Corbel, Dohollou…), les éléments en devenir (les sœurs Le Duff, Quéré) et les cadres expérimentées (Le Fé, Corre). Un collectif qui a fait ses preuves depuis le début de saison, et qui dispose encore d’une belle marge de progression selon le coach. « Nous travaillons dur pour progresser. Quatre joueuses sont arrivées et nous avons un nouvel équilibre à trouver. Nous n’avons pas de réel objectif dans ce championnat, si ce n’est de pérenniser le club en N3. » C’est bien parti…

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TELEGRAMME
N3F : le CPB Rennes peut-il stopper Pleyber-Christ ?


Le premier qui reçoit le deuxième du classement : c’est un choc au sommet qui opposera Pleyber-Christ au CPB Rennes, dimanche après-midi.
N3F. Pleyber-Christ - CPB Rennes, dimanche (15 h 30) salle Jean Coulon

Opposé à son dauphin, dimanche, le Pleyber-Christ BC va passer au révélateur face à un adversaire décidé à mettre un terme à l’invincibilité des promues nord-finistériennes. Mais la dynamique des joueuses de Christophe Bodénès est telle que la tâche s’annonce compliquée pour des Rennaises qui arrivent pourtant avec de sérieux arguments, dont un parcours initial entaché d’une seule défaite. C’était à Saumur (66-88), pour l’ouverture, une sortie de route salvatrice puisque les Rennaises restent sur cinq victoires d’affilée à l’heure de défier le leader.

« Rennes, qui a annoncé vouloir monter en début de saison, s’est bien renforcé. Cette équipe est complète et se connaît bien », relève Christophe Bodénès, qui aura à faire à la fois à la meilleure attaque et à la meilleure défense du groupe. Le décor est planté, avec un adversaire semblant à même de jouer les trouble-fête, à la salle Jean Coulon, face à des Pleybériennes forcément en confiance après un début d’exercice d’excellente facture.

Pour Christophe Bodénès, l’essentiel reste de continuer à avancer pas à pas. « Nous avançons sur notre plan de jeu, et nous nous concentrons sur cela avec l’envie de conserver notre invincibilité à domicile. Nous sommes conscients qu’il s’agit là d’un premier tournant de la saison pour bien figurer dans ce championnat dans lequel nous souhaitons nous maintenir le plus rapidement possible. »

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Match à trois pour la montée en Pleyber, Rennes CPB et Saumur. la montée de Saumur dépendant également de la montée de son équipe 1ere en N1.

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TELEGRAMME
NF3 : l’ESL Brest s’incline dans les derniers instants face à Saint-Rogatien Nantes

Les Brestoises ont mené toute la rencontre mais elles ont subi en fin de match et elles enregistrent leur 5e défaite en 7 journées. L’ESL Brest méritait mieux.
Les Brestoises se sont inclinées contre l’équipe nantaise de Saint-Rogatien.
NF3 (7e journée). Saint-Rogatien Nantes - ESL Brest : 76-70

À l’image de leur entame de match, les Finistériennes sont impliquées et contrôlent le tempo. Moal (22 points), précieuse à mi-distance, permet à Brest de creuser le premier écart (20-11, 10’). Solidaires en défense et présentes aux rebonds, les Brestoises ont la main sur le match (27-13, 14’) puis elles résistent à la réaction ligérienne. L’ESL Brest est devant à la pause (38-31). En seconde période, les Nantaises mettent sous pression les Bretonnes mais l’adresse à 3 pts, notamment de Plet et Moal, offre toujours +3 (56-53) à l’entame de la dernière période.
« C’est très frustrant »

Les Brestoises vont finir par craquer dans les dernières minutes. Le manque de profondeur de banc (36 points à 9) fait défaut à l’ESL qui manque de fraîcheur en fin de rencontre. Une nouvelle défaite pour l’ESL, rageant pour le le coach breton Philippe Le Goff : « C’est très frustrant car comme la semaine face à Rennes (2e) on fait un bon match et on perd parce que l’on manque de lucidité en fin de rencontre. Les filles ne sont pas récompensées de leurs efforts car elles y ont mis du cœur. J’espère que cet état d’esprit payera sur le long terme car même si nous aujourd’hui on perd à nouveau nous sommes dans le vrai ».

La fiche technique

Les quart-temps : 11-20, 20-18, 23-20, 21-12.

Arbitres : Mme Guilbaud et M. Joulin.

SAINT-ROGATIEN NANTES : Granson (4 points), Fricaud (11), Tanguy (12) Djiadjei (7), Anger (13) ; Silliau (5), Trichereau (16), Chemineau (8), Bourserie. Entraîneur : Michel Moullec.

ESL BREST : Roudaut (8), Moal (22), Plet (12), Le Corvic (10), Joublin (9), Saint Jal (2), Février (6), Vasseur, Le Nea (1). Entraîneur : Philippe Le Goff.