[SQBB] 25/26 enfin est ce un électrochoc ?
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Snono24
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Re: [SQBB] 25/26 encore une défaite à la maison
Quand tu écoute l 'aisne nouvelle c est le messie le mec .
J'espère que l on attend pas de trop de ce joueur car voilà la pression et on risque de faire quelques déçu encore.
Je pense que l on en attend de trop du gars il ne pourra pas tout révolutionner à lui seul.
C est une philosophie de jeu qu il va falloir changer.
Je maintien et il va falloir defendre sinon le ball trop a 3 pts ça va durer qu un temps
J'espère que l on attend pas de trop de ce joueur car voilà la pression et on risque de faire quelques déçu encore.
Je pense que l on en attend de trop du gars il ne pourra pas tout révolutionner à lui seul.
C est une philosophie de jeu qu il va falloir changer.
Je maintien et il va falloir defendre sinon le ball trop a 3 pts ça va durer qu un temps
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gerco
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Re: [SQBB] 25/26 encore une défaite à la maison
Basket-ball (Betclic Élite) : Nick Johnson, en première ligne dans la tempête
Face à une nouvelle défaite et aux fissures qui s’élargissent autour du collectif, Nick Johnson a assumé une fois de plus son rôle de leader. Le vétéran du SQBB, lucide et direct, appelle à une réaction immédiate avant un match déjà décisif pour la suite.
Giovan Oniangue, Loïc Schwartz et Nick Johnson, les cadres du SQBB, tentent de trouver des réponses au cœur de la tourmente.
Giovan Oniangue, Loïc Schwartz et Nick Johnson, les cadres du SQBB, tentent de trouver des réponses au cœur de la tourmente.
Par Anthony OTTOU
Publié: 16 Novembre 2025 à 19h30
3 min
Partage :
Nick Johnson n’a rien édulcoré, ni cherché la moindre parade. Il s’est présenté en conférence de presse le visage fermé, marqué par la fatigue et une profonde déception.
« Je n’ai jamais perdu autant de matchs de ma vie, je n’ai jamais connu ça. Il faut remonter à quand j’avais 8 ou 10 ans… C’est tellement frustrant. Je ne sais même pas quoi dire. Je dois juste revenir, travailler, et faire en sorte que les choses changent, que ça s’améliore. »
À LIRE AUSSI
Basket-ball (Betclic Élite) : un nouveau soir sans réponse pour le SQBB
Pris à la gorge dès sa première montée de balle par Mohammad Amini, il a retrouvé ce qu’il affronte chaque week-end : une pression constante, une volonté claire de l’isoler du reste du collectif, pour lui rappeler que chaque mètre parcouru serait un calvaire.
L’arrivée d’Anthony Barber doit l’aider à être libéré d’une partie de ce poids.« Le changement doit m’aider à avoir moins de pression. Un danger différent. Mais je dois toujours mettre des tirs – c’est mon travail : créer du jeu, marquer, faire ce qu’il faut pour l’équipe. »
Nos passages à vide sont plus longs que ceux des autres, et c’est ce qui nous tue.
Nick Johnson
Nick Johnson ne se dérobe jamais
Dès son arrivée au club, Nick Johnson a assumé ses responsabilités. Leader naturel, guide du vestiaire, il ne se cache jamais lorsque le navire prend l’eau. Au contraire : il s’expose, il parle, il assume. Et samedi soir, encore une fois, il n’a pas fui. Au retour des vestiaires, le SQBB a sombré, comme trop souvent cette saison. Johnson ne s’est pas dédouané : « Malheureusement, nos passages à vide à nous sont beaucoup plus longs que ceux des autres, et c’est ce qui nous plombe. On démarre la deuxième mi-temps et, en quelques actions, l’écart passe de cinq à douze points. Et seulement après, on recommence à se battre. »
Cette lucidité, il la porte aussi sur son rôle : « Et j’en prends la responsabilité : je suis le joueur le plus expérimenté de l’équipe. Après le match de Coupe, j’étais énervé. On n’a pas été à la hauteur, tout comme ce soir. Pour une raison que j’ignore, on arrive à se mettre au niveau contre Monaco ou l’ASVEL… mais pas contre ce genre d’adversaires. On n’est pas censés battre Monaco ou l’ASVEL, c’est la vérité. Et c’est presque facile de jouer contre eux : tout le monde a des ambitions. Même à 32 ans, je sais que je peux jouer contre n’importe qui. Mais ces matchs-là, on ne les aborde pas de la bonne manière. C’est quelque chose qu’on doit régler, les vingt personnes du groupe. »
L'Aisne nouvelle
1/10
SCORE: 0/0
Quel festival païen est à l’origine d’Halloween ?
Beltane
Samhain
Imbolc
13 participations
Politique de confidentialité
Entre lucidité et besoin d’un électrochoc
Interrogé sur la nécessité d’une réunion entre joueurs, Johnson n’a pas éludé la question. « On n’a pas un mauvais groupe, pas de problèmes de personnalité. Mais on doit trouver une solution, parce que ça ne fonctionne pas comme ça. »
Son discours ne vise personne, si ce n’est lui-même : « Je peux en faire plus, c’est certain. J’ai toujours dit que quand tu pointes quelqu’un du doigt, tu en as trois qui se pointent vers toi. Donc après chaque match, chaque entraînement, je me demande : qu’est-ce que j’ai fait ? Qu’est-ce que je dois faire mieux ? S’il faut que je fasse davantage, très bien. J’assume cette responsabilité aussi. »
Pour une raison que j’ignore, on arrive à se mettre au niveau contre Monaco ou l’ASVEL… mais pas contre ce genre d’adversaires. On n’est pas censés battre Monaco ou l’ASVEL, c’est la vérité.
Un ton très clair : Johnson ne fuit rien, n’accuse personne, mais refuse de laisser le groupe s’enfoncer sans secouer les consciences.
Face à une nouvelle défaite et aux fissures qui s’élargissent autour du collectif, Nick Johnson a assumé une fois de plus son rôle de leader. Le vétéran du SQBB, lucide et direct, appelle à une réaction immédiate avant un match déjà décisif pour la suite.
Giovan Oniangue, Loïc Schwartz et Nick Johnson, les cadres du SQBB, tentent de trouver des réponses au cœur de la tourmente.
Giovan Oniangue, Loïc Schwartz et Nick Johnson, les cadres du SQBB, tentent de trouver des réponses au cœur de la tourmente.
Par Anthony OTTOU
Publié: 16 Novembre 2025 à 19h30
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Nick Johnson n’a rien édulcoré, ni cherché la moindre parade. Il s’est présenté en conférence de presse le visage fermé, marqué par la fatigue et une profonde déception.
« Je n’ai jamais perdu autant de matchs de ma vie, je n’ai jamais connu ça. Il faut remonter à quand j’avais 8 ou 10 ans… C’est tellement frustrant. Je ne sais même pas quoi dire. Je dois juste revenir, travailler, et faire en sorte que les choses changent, que ça s’améliore. »
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Pris à la gorge dès sa première montée de balle par Mohammad Amini, il a retrouvé ce qu’il affronte chaque week-end : une pression constante, une volonté claire de l’isoler du reste du collectif, pour lui rappeler que chaque mètre parcouru serait un calvaire.
L’arrivée d’Anthony Barber doit l’aider à être libéré d’une partie de ce poids.« Le changement doit m’aider à avoir moins de pression. Un danger différent. Mais je dois toujours mettre des tirs – c’est mon travail : créer du jeu, marquer, faire ce qu’il faut pour l’équipe. »
Nos passages à vide sont plus longs que ceux des autres, et c’est ce qui nous tue.
Nick Johnson
Nick Johnson ne se dérobe jamais
Dès son arrivée au club, Nick Johnson a assumé ses responsabilités. Leader naturel, guide du vestiaire, il ne se cache jamais lorsque le navire prend l’eau. Au contraire : il s’expose, il parle, il assume. Et samedi soir, encore une fois, il n’a pas fui. Au retour des vestiaires, le SQBB a sombré, comme trop souvent cette saison. Johnson ne s’est pas dédouané : « Malheureusement, nos passages à vide à nous sont beaucoup plus longs que ceux des autres, et c’est ce qui nous plombe. On démarre la deuxième mi-temps et, en quelques actions, l’écart passe de cinq à douze points. Et seulement après, on recommence à se battre. »
Cette lucidité, il la porte aussi sur son rôle : « Et j’en prends la responsabilité : je suis le joueur le plus expérimenté de l’équipe. Après le match de Coupe, j’étais énervé. On n’a pas été à la hauteur, tout comme ce soir. Pour une raison que j’ignore, on arrive à se mettre au niveau contre Monaco ou l’ASVEL… mais pas contre ce genre d’adversaires. On n’est pas censés battre Monaco ou l’ASVEL, c’est la vérité. Et c’est presque facile de jouer contre eux : tout le monde a des ambitions. Même à 32 ans, je sais que je peux jouer contre n’importe qui. Mais ces matchs-là, on ne les aborde pas de la bonne manière. C’est quelque chose qu’on doit régler, les vingt personnes du groupe. »
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Interrogé sur la nécessité d’une réunion entre joueurs, Johnson n’a pas éludé la question. « On n’a pas un mauvais groupe, pas de problèmes de personnalité. Mais on doit trouver une solution, parce que ça ne fonctionne pas comme ça. »
Son discours ne vise personne, si ce n’est lui-même : « Je peux en faire plus, c’est certain. J’ai toujours dit que quand tu pointes quelqu’un du doigt, tu en as trois qui se pointent vers toi. Donc après chaque match, chaque entraînement, je me demande : qu’est-ce que j’ai fait ? Qu’est-ce que je dois faire mieux ? S’il faut que je fasse davantage, très bien. J’assume cette responsabilité aussi. »
Pour une raison que j’ignore, on arrive à se mettre au niveau contre Monaco ou l’ASVEL… mais pas contre ce genre d’adversaires. On n’est pas censés battre Monaco ou l’ASVEL, c’est la vérité.
Un ton très clair : Johnson ne fuit rien, n’accuse personne, mais refuse de laisser le groupe s’enfoncer sans secouer les consciences.
mon NOUVEAU forum sur le SQBB :
http://sqbbnonofficiel.clicforum.com/index.php
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gerco
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Re: [SQBB] 25/26 encore une défaite à la maison
Basket-ball (Betclic Élite) : un nouveau soir sans réponse pour le SQBB
Sans solution face à Nancy (72-84), le SQBB a encore montré ses limites. Une défaite de plus qui met en lumière un collectif en perte d’équilibre et des signaux d’alerte désormais impossibles à ignorer.
Échanges tendus entre Oniangue et Johnson, symbole d’une équipe en quête de repères.
Échanges tendus entre Oniangue et Johnson, symbole d’une équipe en quête de repères. - GH
Par Anthony OTTOU
Publié: 16 Novembre 2025 à 14h05
4 min
Partage :
Que cette soirée fut pénible. À aucun moment le SQBB n’a semblé en mesure de prendre le contrôle, ni même d’installer le moindre frisson. L’ambiance, elle, était bien loin des grandes nuits qui ont fait vibrer Pierre-Ratte. Saint-Quentin n’est plus lui-même : quelque chose s’est fissuré, presque imperceptiblement, mais profondément.
Les gens viennent à la salle pour voir une équipe qui se bat, qui se donne à fond. Ce soir, on joue cinq minutes, les cinq dernières.
Philippe Da Silva
Car ce samedi, face à Nancy, dans une rencontre d’une importance capitale, le SQBB a flanché. Il n’a jamais vraiment existé, dominé par une formation plus solide, plus sûre de ses forces, comme tant d’équipes qui, aujourd’hui, semblent évoluer un cran au-dessus des Saint-Quentinois.
Les sifflets, les « mouillez le maillot » descendus des tribunes ont résonné longuement. Des réactions difficiles à entendre, et pas simples à comprendre pour tout le monde, mais qui disent aussi le malaise ambiant et l’inquiétude qui grandit autour de cette équipe. « Cette réaction du public est normale, confie Philippe Da Silva en fin de rencontre. Les gens viennent à la salle pour voir une équipe qui se bat, qui se donne à fond. Ce soir, on joue cinq minutes, les cinq dernières. On mérite ces sifflets, on mérite d’avoir la salle contre nous. Maintenant, on verra la suite et notre réaction. »
Le lien se rompt, le jeu aussi
Voir la suite ? C’est, hélas, le même scénario semaine après semaine. Les discours promettent un rebond, un sursaut, une réaction… mais la réalité raconte tout autre chose. Les joueurs, le staff, chacun semble lutter dans son propre couloir, cherchant à sauver sa part de territoire plutôt qu’à reconstruire un collectif. Le fil commun se perd, les intentions se dispersent, et au lieu d’un groupe uni, on voit une addition d’individualités qui peinent à parler la même langue. Une situation qui, match après match, pèse un peu plus lourd sur les épaules de tout le monde.
« Tant qu’on ne sera pas une équipe, tant que certains continueront à se dire que leur problème est plus important que celui du voisin, on n’avancera pas », glisse un membre du staff, lucide et fataliste.
Pourtant, Nancy n’a rien eu à inventer ce samedi. Aucun coup de génie, aucun pari tactique. Simplement une équipe qui a appliqué son plan sans dévier, méthodiquement. Autour de son duo annoncé comme la clé de la rencontre, Phlandrous Fleming Jr et Landers Nolley II ont contrôlé le match du début à la fin, sans être réellement inquiétés. Leur ascendant s’est affirmé dès le retour des vestiaires : Saint-Quentin, encore dans le coup à la pause (40-46), a encaissé un 15-2 sec, sans réponse.
L'Aisne nouvelle
1/10
SCORE: 0/0
En quelle année a été créée la première « Journée du Goût » ?
1985
1990
1995
32 participations
Politique de confidentialité
« On a changé des choses depuis plusieurs semaines,analyse froidement Enzo Goudou-Sinha. On se fait plus confiance, on joue des deux côtés du terrain. Au retour des vestiaires, Fleming, Nolley II ou Stéphane (Gombault) ont pris les choses en main, mais je pense que c’est tout le collectif qui s’est mis au niveau. »
Tant qu’on ne sera pas une équipe, tant que certains continueront à se dire que leur problème est plus important que celui du voisin, on n’avancera pas.
Comme à Limoges, comme contre Nanterre, le SQBB a de nouveau cédé à ce moment-là. Plus de rythme, plus d’adresse, plus de cohésion. Une équipe immobile face à des adversaires qui, eux, ont simplement exploité ce qui leur était offert : pertes de balle sur remise en jeu, absence de repli, oublis défensifs répétés. Fleming, Nolley et Gombauld ont déroulé, sans forcer. En un quart-temps, Nancy avait réglé l’affaire (53-75, 30e), laissant le SQBB sans réaction et sans véritable argument.
À LIRE AUSSI
Basket-ball (Betclic Élite) : Cat Barber, un renfort offensif pour sortir le SQBB de la tourmente
Perdu pour perdu, Saint-Quentin a disputé le dernier acte comme il aurait dû aborder la rencontre : avec de la discipline, de l’intensité, et un minimum de cohésion. Ne concéder que 9 points en dix minutes prouve que cette équipe peut défendre. Mais l’effort est arrivé trop tard, bien trop tard pour changer quoi que ce soit.
Des signaux faibles, mais pas inexistants
Si Eddie Ekiyor a su tirer son épingle du jeu, avec 20 points et 8 rebonds, il l’a surtout fait dans une forme de solitude. Et c’est bien là que se situe le problème : des éclats individuels, parfois, mais jamais une réponse collective. Tant que Saint-Quentin ne jouera pas en équipe du premier au dernier ballon, le scénario se répétera.
Ce match n’a rien appris. Il n’a fait que confirmer ce que tout le monde voit depuis des semaines : le SQBB s’enfonce. Mais rien n’est irrémédiable.
Il reste du temps, des matches et une salle qui demande seulement à s’enflammer de nouveau. À Saint-Quentin de saisir cette chance avant qu’elle ne lui échappe.
Sans solution face à Nancy (72-84), le SQBB a encore montré ses limites. Une défaite de plus qui met en lumière un collectif en perte d’équilibre et des signaux d’alerte désormais impossibles à ignorer.
Échanges tendus entre Oniangue et Johnson, symbole d’une équipe en quête de repères.
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Par Anthony OTTOU
Publié: 16 Novembre 2025 à 14h05
4 min
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Que cette soirée fut pénible. À aucun moment le SQBB n’a semblé en mesure de prendre le contrôle, ni même d’installer le moindre frisson. L’ambiance, elle, était bien loin des grandes nuits qui ont fait vibrer Pierre-Ratte. Saint-Quentin n’est plus lui-même : quelque chose s’est fissuré, presque imperceptiblement, mais profondément.
Les gens viennent à la salle pour voir une équipe qui se bat, qui se donne à fond. Ce soir, on joue cinq minutes, les cinq dernières.
Philippe Da Silva
Car ce samedi, face à Nancy, dans une rencontre d’une importance capitale, le SQBB a flanché. Il n’a jamais vraiment existé, dominé par une formation plus solide, plus sûre de ses forces, comme tant d’équipes qui, aujourd’hui, semblent évoluer un cran au-dessus des Saint-Quentinois.
Les sifflets, les « mouillez le maillot » descendus des tribunes ont résonné longuement. Des réactions difficiles à entendre, et pas simples à comprendre pour tout le monde, mais qui disent aussi le malaise ambiant et l’inquiétude qui grandit autour de cette équipe. « Cette réaction du public est normale, confie Philippe Da Silva en fin de rencontre. Les gens viennent à la salle pour voir une équipe qui se bat, qui se donne à fond. Ce soir, on joue cinq minutes, les cinq dernières. On mérite ces sifflets, on mérite d’avoir la salle contre nous. Maintenant, on verra la suite et notre réaction. »
Le lien se rompt, le jeu aussi
Voir la suite ? C’est, hélas, le même scénario semaine après semaine. Les discours promettent un rebond, un sursaut, une réaction… mais la réalité raconte tout autre chose. Les joueurs, le staff, chacun semble lutter dans son propre couloir, cherchant à sauver sa part de territoire plutôt qu’à reconstruire un collectif. Le fil commun se perd, les intentions se dispersent, et au lieu d’un groupe uni, on voit une addition d’individualités qui peinent à parler la même langue. Une situation qui, match après match, pèse un peu plus lourd sur les épaules de tout le monde.
« Tant qu’on ne sera pas une équipe, tant que certains continueront à se dire que leur problème est plus important que celui du voisin, on n’avancera pas », glisse un membre du staff, lucide et fataliste.
Pourtant, Nancy n’a rien eu à inventer ce samedi. Aucun coup de génie, aucun pari tactique. Simplement une équipe qui a appliqué son plan sans dévier, méthodiquement. Autour de son duo annoncé comme la clé de la rencontre, Phlandrous Fleming Jr et Landers Nolley II ont contrôlé le match du début à la fin, sans être réellement inquiétés. Leur ascendant s’est affirmé dès le retour des vestiaires : Saint-Quentin, encore dans le coup à la pause (40-46), a encaissé un 15-2 sec, sans réponse.
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« On a changé des choses depuis plusieurs semaines,analyse froidement Enzo Goudou-Sinha. On se fait plus confiance, on joue des deux côtés du terrain. Au retour des vestiaires, Fleming, Nolley II ou Stéphane (Gombault) ont pris les choses en main, mais je pense que c’est tout le collectif qui s’est mis au niveau. »
Tant qu’on ne sera pas une équipe, tant que certains continueront à se dire que leur problème est plus important que celui du voisin, on n’avancera pas.
Comme à Limoges, comme contre Nanterre, le SQBB a de nouveau cédé à ce moment-là. Plus de rythme, plus d’adresse, plus de cohésion. Une équipe immobile face à des adversaires qui, eux, ont simplement exploité ce qui leur était offert : pertes de balle sur remise en jeu, absence de repli, oublis défensifs répétés. Fleming, Nolley et Gombauld ont déroulé, sans forcer. En un quart-temps, Nancy avait réglé l’affaire (53-75, 30e), laissant le SQBB sans réaction et sans véritable argument.
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Perdu pour perdu, Saint-Quentin a disputé le dernier acte comme il aurait dû aborder la rencontre : avec de la discipline, de l’intensité, et un minimum de cohésion. Ne concéder que 9 points en dix minutes prouve que cette équipe peut défendre. Mais l’effort est arrivé trop tard, bien trop tard pour changer quoi que ce soit.
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Si Eddie Ekiyor a su tirer son épingle du jeu, avec 20 points et 8 rebonds, il l’a surtout fait dans une forme de solitude. Et c’est bien là que se situe le problème : des éclats individuels, parfois, mais jamais une réponse collective. Tant que Saint-Quentin ne jouera pas en équipe du premier au dernier ballon, le scénario se répétera.
Ce match n’a rien appris. Il n’a fait que confirmer ce que tout le monde voit depuis des semaines : le SQBB s’enfonce. Mais rien n’est irrémédiable.
Il reste du temps, des matches et une salle qui demande seulement à s’enflammer de nouveau. À Saint-Quentin de saisir cette chance avant qu’elle ne lui échappe.
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Re: [SQBB] 25/26 encore une défaite à la maison
Accueil
Sport région
Basket-ball : Anthony « Cat » Barber, le félin attendu pour réveiller Saint-Quentin
Anthony « Cat » Barber découvre la grisaille de Saint-Quentin avec une mission claire : redonner du rythme et de l’inspiration à une attaque en panne. Meneur globe-trotter, surnommé « le Chat » par sa sœur, il devra rapidement retomber sur ses pattes pour offrir au SQBB l’élan dont il a tant besoin.
Anthony « Cat » Barber lors de son premier entraînement avec le SQBB, déjà concentré sur sa mission.
Anthony « Cat » Barber lors de son premier entraînement avec le SQBB, déjà concentré sur sa mission. - GH
Le nouveau meneur américain du SQBB, Anthony Barber, prêt à bondir dans le grand bain face à Cholet.
Le nouveau meneur américain du SQBB, Anthony Barber, prêt à bondir dans le grand bain face à Cholet. - GH
Par Anthony OTTOU
Publié: 18 Novembre 2025 à 15h40
1 min
Partage :
Il y a quelques jours à peine, Anthony « Cat » Barber profitait encore du soleil éclatant de Cancún, au Mexique. Désormais, c’est sous le ciel gris et les températures hivernales de Saint-Quentin qu’il s’apprête à écrire un nouveau chapitre de sa carrière. Interrogé sur ce contraste saisissant, le meneur garde son calme : « Voyager fait partie de ce métier. Il faut savoir s’adapter. »
Consultez l’actualité en vidéo
Et Barber d’ajouter, avec curiosité : « C’est la première fois que je viens en France, je vais découvrir. J’ai joué dans plusieurs pays, plusieurs championnats, et j’ai toujours su m’adapter. »
Un meneur globe-trotter en quête d’adaptation
Cette faculté d’adaptation, il devra la mettre en pratique sans attendre. Car ce n’est pas seulement une équipe qui l’accueille, mais tout un club, une ville et un public qui placent en lui leurs espoirs. Sa mission est claire : redonner du souffle à une attaque axonaise en panne d’inspiration depuis le début de saison. « J’aime créer pour moi, mais aussi pour les autres. Je veux m’intégrer dans cette équipe, aider les gars à retrouver la victoire, mettre des tirs et les mettre en position d’en réussir. Je veux créer du liant, mais aussi assumer mes responsabilités. »
À LIRE AUSSI
Basket-ball (Betclic Élite) : Cat Barber, un renfort offensif pour sortir le SQBB de la tourmente
Le SQBB souffre d’un manque de rythme, de percussion et de réussite. Autant de domaines où l’Américain est attendu comme une bouffée d’air frais. L’entraîneur Philippe Da Silva en est convaincu : « Il a de la vitesse. Il vient tout juste d’atterrir, cela fait quelques semaines qu’il n’a pas joué, mais je suis certain qu’il va rapidement nous apporter des choses. »
Il a de la vitesse. Il vient tout juste d’atterrir, cela fait quelques semaines qu’il n’a pas joué, mais je suis certain qu’il va rapidement nous apporter des choses.
Après avoir pris connaissance des systèmes de jeu, Anthony « Cat » Barber a participé à la séance d’entraînement du jour. Aux côtés de Nick Johnson, il a pu tester ses automatismes avec celui qui devrait devenir son partenaire privilégié sur le parquet, les deux étant appelés à partager les responsabilités de la mène. « Hier, j’ai échangé avec le coach, explique Barber. Il m’a présenté la situation et m’a dit que l’équipe avait besoin d’un autre créateur, d’une nouvelle menace offensive. Il m’a surtout dit que l’équipe a besoin que je sois moi-même. Je ferai en sorte de répondre à ces attentes. »
Trois jours pour bondir dans le grand bain
Dès samedi, le meneur américain portera le maillot frappé du phénix pour sa première apparition face à Cholet. Une entrée en matière loin d’être anodine : Nathan De Sousa, Gérald Ayayi ou encore TJ Campbell imposent une pression extrême qui pourrait en déstabiliser plus d’un. D’autant que Barber n’aura que quelques entraînements dans les jambes avant de plonger dans le grand bain. Mais l’intéressé ne se dérobe pas : « Ce ne sera pas facile, mais je vais tout donner pour aider l’équipe, qui a besoin de victoire. Dans le basket, il faut savoir arriver en cours de saison, changer d’équipe et se mettre immédiatement au combat. En tout cas, je donnerai tout ce que je peux. »
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À LIRE AUSSI
Basket-ball (Betclic Élite) : Nick Johnson, en première ligne dans la tempête
Il lui reste trois jours pour se préparer avant son premier rendez-vous avec le public saint-quentinois. « Ce serait la plus belle des choses de pouvoir aider l’équipe à gagner dès ma première soirée ici. C’est contre une grosse équipe certes, mais il faudra tout donner », confie « Cat ». Un surnom qui en dit long : « Cat », le chat, celui que sa sœur lui avait donné enfant. Et comme le félin, il devra faire preuve d’agilité, car Saint-Quentin espère que son nouveau meneur saura retomber sur ses pattes et griffer la rencontre de son empreinte dès samedi soir.
Sport région
Basket-ball : Anthony « Cat » Barber, le félin attendu pour réveiller Saint-Quentin
Anthony « Cat » Barber découvre la grisaille de Saint-Quentin avec une mission claire : redonner du rythme et de l’inspiration à une attaque en panne. Meneur globe-trotter, surnommé « le Chat » par sa sœur, il devra rapidement retomber sur ses pattes pour offrir au SQBB l’élan dont il a tant besoin.
Anthony « Cat » Barber lors de son premier entraînement avec le SQBB, déjà concentré sur sa mission.
Anthony « Cat » Barber lors de son premier entraînement avec le SQBB, déjà concentré sur sa mission. - GH
Le nouveau meneur américain du SQBB, Anthony Barber, prêt à bondir dans le grand bain face à Cholet.
Le nouveau meneur américain du SQBB, Anthony Barber, prêt à bondir dans le grand bain face à Cholet. - GH
Par Anthony OTTOU
Publié: 18 Novembre 2025 à 15h40
1 min
Partage :
Il y a quelques jours à peine, Anthony « Cat » Barber profitait encore du soleil éclatant de Cancún, au Mexique. Désormais, c’est sous le ciel gris et les températures hivernales de Saint-Quentin qu’il s’apprête à écrire un nouveau chapitre de sa carrière. Interrogé sur ce contraste saisissant, le meneur garde son calme : « Voyager fait partie de ce métier. Il faut savoir s’adapter. »
Consultez l’actualité en vidéo
Et Barber d’ajouter, avec curiosité : « C’est la première fois que je viens en France, je vais découvrir. J’ai joué dans plusieurs pays, plusieurs championnats, et j’ai toujours su m’adapter. »
Un meneur globe-trotter en quête d’adaptation
Cette faculté d’adaptation, il devra la mettre en pratique sans attendre. Car ce n’est pas seulement une équipe qui l’accueille, mais tout un club, une ville et un public qui placent en lui leurs espoirs. Sa mission est claire : redonner du souffle à une attaque axonaise en panne d’inspiration depuis le début de saison. « J’aime créer pour moi, mais aussi pour les autres. Je veux m’intégrer dans cette équipe, aider les gars à retrouver la victoire, mettre des tirs et les mettre en position d’en réussir. Je veux créer du liant, mais aussi assumer mes responsabilités. »
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Le SQBB souffre d’un manque de rythme, de percussion et de réussite. Autant de domaines où l’Américain est attendu comme une bouffée d’air frais. L’entraîneur Philippe Da Silva en est convaincu : « Il a de la vitesse. Il vient tout juste d’atterrir, cela fait quelques semaines qu’il n’a pas joué, mais je suis certain qu’il va rapidement nous apporter des choses. »
Il a de la vitesse. Il vient tout juste d’atterrir, cela fait quelques semaines qu’il n’a pas joué, mais je suis certain qu’il va rapidement nous apporter des choses.
Après avoir pris connaissance des systèmes de jeu, Anthony « Cat » Barber a participé à la séance d’entraînement du jour. Aux côtés de Nick Johnson, il a pu tester ses automatismes avec celui qui devrait devenir son partenaire privilégié sur le parquet, les deux étant appelés à partager les responsabilités de la mène. « Hier, j’ai échangé avec le coach, explique Barber. Il m’a présenté la situation et m’a dit que l’équipe avait besoin d’un autre créateur, d’une nouvelle menace offensive. Il m’a surtout dit que l’équipe a besoin que je sois moi-même. Je ferai en sorte de répondre à ces attentes. »
Trois jours pour bondir dans le grand bain
Dès samedi, le meneur américain portera le maillot frappé du phénix pour sa première apparition face à Cholet. Une entrée en matière loin d’être anodine : Nathan De Sousa, Gérald Ayayi ou encore TJ Campbell imposent une pression extrême qui pourrait en déstabiliser plus d’un. D’autant que Barber n’aura que quelques entraînements dans les jambes avant de plonger dans le grand bain. Mais l’intéressé ne se dérobe pas : « Ce ne sera pas facile, mais je vais tout donner pour aider l’équipe, qui a besoin de victoire. Dans le basket, il faut savoir arriver en cours de saison, changer d’équipe et se mettre immédiatement au combat. En tout cas, je donnerai tout ce que je peux. »
L'Aisne nouvelle
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Il lui reste trois jours pour se préparer avant son premier rendez-vous avec le public saint-quentinois. « Ce serait la plus belle des choses de pouvoir aider l’équipe à gagner dès ma première soirée ici. C’est contre une grosse équipe certes, mais il faudra tout donner », confie « Cat ». Un surnom qui en dit long : « Cat », le chat, celui que sa sœur lui avait donné enfant. Et comme le félin, il devra faire preuve d’agilité, car Saint-Quentin espère que son nouveau meneur saura retomber sur ses pattes et griffer la rencontre de son empreinte dès samedi soir.
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Snono24
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Re: [SQBB] 25/26 encore une défaite à la maison
C est tout le mal que l on peut lui souhaiter. Nous aider à rebondir, créer du collectif, d'amener de la menace afin de libérer d'autre joueurs, de pouvoir distribuer quelques caviars à nos intérieurs.
J'espere, j espère.
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gerco
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Re: [SQBB] 25/26 encore une défaite à la maison
Da Silva se met en retrait c est son adjoint qui prend sa place il y en a qui vont être content
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nono02
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Snono24
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Re: [SQBB] 25/26 encore une défaite à la maison
Eh ben ça bouge dis donc je pensais pas à ce point.
Après il y aura peut être un accord entre le club et PDS.
Mon petit doigt me dit que Éric bartecheky serait peut être prêt à faire sa valise .
Après il y aura peut être un accord entre le club et PDS.
Mon petit doigt me dit que Éric bartecheky serait peut être prêt à faire sa valise .
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MatthieuditTP
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Spalding02
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Re: [SQBB] 25/26 encore une défaite à la maison
Opération sauvetage du SQBB, c'est pas ambitieux
Si mission accomplie, 1 an de + pour qualif en Euroligue....
Moi j'lui vendrai comme ça
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Spalding02
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Re: [SQBB] 25/26 encore une défaite à la maison
Bah au moins c'est tout à son honneur !
Modifié en dernier par Spalding02 le mer. 19 nov. 2025 12:45, modifié 1 fois.
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essm77
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Re: [SQBB] 25/26 encore une défaite à la maison
Et un autre Éric ? Un Éric qui aime la défense !
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Spalding02
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Re: [SQBB] 25/26 encore une défaite à la maison
Pourquoi pas, mais il ne faudrait pas qu'il coach l'année de trop !
Modifié en dernier par Spalding02 le mer. 19 nov. 2025 13:04, modifié 1 fois.
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nono02
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