[SQBB] 25/26 changement de coach est ce suffisant ?

[MatthieuditTP]

Ça ne sera pas non plus john roberson il a reprolonge à hyènes toulon.
C est dommage il était pas mal c était peut être le plan A ou B.
Tant que nous n arrivons pas au plan Q on n arrivera peut être à s en sortir.

Après il a reprolongé que de 15 jours...vous n'êtes plus à 15 jours près !

[Spalding02]

Ça ne sera pas non plus john roberson il a reprolonge à hyènes toulon.
C est dommage il était pas mal c était peut être le plan A ou B.
Tant que nous n arrivons pas au plan Q on n arrivera peut être à s en sortir.

[Spalding02]

Ça ne sera pas non plus john roberson il a reprolonge à hyènes toulon.
C est dommage il était pas mal c était peut être le plan A ou B.
Tant que nous n arrivons pas au plan Q on n arrivera peut être à s en sortir.

Après il a replonger que de 15 jours...vous n'êtes plus à 15 jours près !

On est plus à 2 défaites près

[oliv_from_nice]

Peu être le choix d'un meneur pour repositionner en 2 nick Johnson à la place de reilly.

Tout ce que j'ai dit de manière très explicite avant le début de saison se réalise aujourd'hui.
L'erreur vient du changement radical de paradigme sur l'identité du club décidé par Laurent prache.
C'est une de ses plus grosses erreurs qui malheureusement peut amener à la chute brutale du club...
Il fallait rester humble et garder cette identité qui nous aurait permis de se stabiliser,se structurer et de rechercher d'autres sponsors.
L'équipe qui aurait pu jouer un autre basket avec un vrai talent est celle de l'année dernière.
L'équipe de cette année ne peut pas jouer la montée en pro b.

Ça fait mal au cœur car si on descend on va chuter loin. Avec peu de chances de revenir un jour.
Trop de clubs se structurent, des grandes salles,des grandes villes, le basket Americain et son show arrive en europe.

Des villes comme st Quentin seront destinées à la n1 ou au mieux prob.

Il y a des municipales qui arrivent, l'intérêt des supporters est de savoir qui veut maintenir un sport co de haut niveau et d'y mettre les moyens en financement et en infrastructures.

[Khasix]

Sur le terrain c'est un papa, il emmène tout le monde avec lui.
Et du coup jonhson pouvait passer en deux, c'était pas déconnant.
Après j Imagine que vous proposiez pas énormément financièrement ?

Oui financièrement, c'est vraiment la merde....

-3% de budget par rapport à l’année dernière
-1% pour la masse salariale

On peut dire qu’on est au même niveau que l’année dernière.

PDS a eu une belle enveloppe quand même, on voit surtout qu’il s’est tourné vers des joueurs qui avait un nom (Nick, Caroline, Ekyor) et qui coûtent cher

Les chiffres annoncés via LNB sont fakes
Hormis Nick aucun joueur nest une folie bien au contraire.

Pour Robertson dans 2 mois il jouera avec une équipe qui jouera certainement l’Europe…
Il ne souhaite pas rejoindre le dernier de Betclic toute la saison

[essm77]

Oui financièrement, c'est vraiment la merde....

-3% de budget par rapport à l’année dernière
-1% pour la masse salariale

On peut dire qu’on est au même niveau que l’année dernière.

PDS a eu une belle enveloppe quand même, on voit surtout qu’il s’est tourné vers des joueurs qui avait un nom (Nick, Caroline, Ekyor) et qui coûtent cher

Les chiffres annoncés via LNB sont fakes
Hormis Nick aucun joueur nest une folie bien au contraire.

Pour Robertson dans 2 mois il jouera avec une équipe qui jouera certainement l’Europe…
Il ne souhaite pas rejoindre le dernier de Betclic toute la saison

Il ne souhaitait en effet pas nous rejoindre. Le fond de la classe s'est intéressé à lui.

[Spalding02]

Dally encore absent demain.
Rechute de sa blessure au mollet.

[gerco]

Basket-ball (Betclic Élite) : retour à la case infirmerie pour Jean-Philippe Dally

Victime d’une rechute au mollet, l’ailier saint-quentinois ne sera pas présent pour la réception de Nancy. Déjà absent à Monaco puis en Coupe de France, Jean-Philippe Dally voit son retour une nouvelle fois repoussé.
Touché au mollet depuis la préparation, Jean-Philippe Dally doit encore patienter avant de retrouver le parquet avec le SQBB.
Touché au mollet depuis la préparation, Jean-Philippe Dally doit encore patienter avant de retrouver le parquet avec le SQBB. - G.H

Par Anthony OTTOU
Publié: 14 Novembre 2025 à 16h15
1 min
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Il devait effectuer son retour sur le Rocher. Mais les sensations n’étaient pas bonnes pour Jean-Philippe Dally, qui n’a finalement pas pu aider ses coéquipiers. Resté en civil lors du match de Coupe de France, il ne sera pas non plus en tenue ce samedi face à Nancy. « Il n’a pas de bonnes sensations », confie Philippe Da Silva.

Touché au mollet lors du dernier match de préparation face à Bonn – sur une action où il s’est stoppé net –, l’international ivoirien peine à retrouver l’intégralité de ses moyens. Revenu tard cet été après l’AfroBasket, J-P Dally travaille sans relâche, tout comme le staff médical, pour retrouver sa forme optimale.

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Reste à savoir s’il pourra reprendre avant la trêve internationale… ou s’il serait plus raisonnable de profiter de cette période – durant laquelle la Côte d’Ivoire ne joue pas – pour se régénérer pleinement.

[Snono24]

Dally dit qu il n à pas de bonnes sensations un peu comme nous quoi.
J ai pas de bonnes sensations pour la suite
Ça pue pour demain encore j espère le tromper et qu ils vont se dépouiller sur le terrain .

[gerco]

Basket-ball (Betclic Élite) : face à Nancy, le SQBB veut recoller, se retrouver et se relever

Avec une seule victoire en sept journées, Saint-Quentin n’a plus vraiment le choix. À l’heure de recevoir Nancy, le SQBB veut s’offrir bien plus qu’un simple succès : un point d’appui pour repartir, renouer avec son public et surtout, retrouver son identité collective.


Par Anthony OTTOU
Publié: 15 Novembre 2025 à 06h00
4 min
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1 – Une pression ? Comme d’habitude.

Avec une seule victoire au compteur, la pression monte autour du SQBB, qui n’a plus vraiment le choix : il faut s’imposer pour éviter de s’enfoncer davantage dans une spirale négative. Pour le coach comme pour les joueurs, cette pression fait partie du quotidien. « La pression ? Chaque match il y a une certaine pression. Même quand nous sommes allés à Monaco, malgré notre statut d’outsider, nous avions la pression. C’est le sport de haut niveau qui veut ça. On ne veut décevoir personne et on joue chaque rencontre pour la gagner. Alors on n’y arrive pas tout le temps et aujourd’hui c’est délicat. Il faudra jouer ce match avec l’envie de donner le meilleur de nous-mêmes. Montrer du caractère comme à Monaco, où nous avons refusé d’abandonner. Et pareil à Mulhouse : dans une fin de match mal engagée, on a réussi à revenir puis à l’emporter. Je ne pense pas au pire, je suis une personne qui ne lâche pas et je ne lâcherais rien. »

2 – Nancy, un concurrent direct ? … Peu importe.

À la question de savoir si Nancy et le SQBB jouent le même championnat – celui du maintien –, la réponse est nette : ce n’est pas le sujet.« Je ne sais pas. Ce qui est certain, c’est que peu importe l’adversaire, on doit faire en sorte de mieux jouer. Je n’ai pas la prétention de dire qui sont les équipes de notre championnat et ni quel est le notre. Je respecte chacun de mes adversaires. On doit gagner des rencontres, c’est indéniable. C’est une équipe que nous avons déjà affrontée en Coupe de France et contre laquelle nous avions bien réussi. Elle possède beaucoup de talent et va très vite vers l’avant. »


3 – Un adversaire à deux visages

Nancy, c’est une puissance offensive impressionnante, capable d’emballer un match en quelques actions. Mais c’est aussi une équipe qui peut s’exposer défensivement.« C’est un groupe composé de très forts joueurs individuels. Une équipe très physique, avec une vraie qualité de vitesse. Ils aiment jouer les 1 contre 1, tirer en première intention. Le moindre retard, ils veulent en profiter. La moindre brèche, ils s’y engouffrent. Si on les laisse prendre confiance, jouer à leur rythme, cela devient compliqué. Ce sera à nous d’imposer notre jeu, et de manière collective. Prendre nos responsabilités, des tirs dans le bon timing. Je le répète : quand nous tombons dans nos travers d’individualisme, on n’arrive à rien. »

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4 – Défendre, contrôler, accélérer

Pour ne pas subir le tempo nancéien, le SQBB connaît la recette : maîtrise, discipline, et sens du collectif. « Il faudra prendre soin du ballon pour ne pas leur offrir des situations de relance, tout en profitant des espaces pour jouer en transition. Défensivement, ils aiment être sur les lignes de passe et jouent beaucoup les interceptions. Mais tout partira de notre défense, de notre capacité à stopper leurs métronomes. Derrière, on pourra jouer notre jeu d’attaque en essayant d’alterner, mais avec l’idée principale de mettre de la vitesse pour les forcer à défendre. Tout part de notre état d’esprit. Que ce soit à Monaco ou face à Mulhouse, on a été capables de se montrer connectés, les cinq sur le terrain. Ça passe par là : par l’envie de défendre ensemble, d’aider son coéquipier. »

5 – Rendre une copie digne du public

Au-delà du résultat, ce match doit être celui de la reconquête : reconquête de confiance, de cohérence… et de communion avec la salle. Les sifflets entendus après Nanterre ont marqué les esprits. Cette équipe a besoin de soutien, mais le public attend aussi une équipe qui se bat. C’est donnant-donnant. « Même si certains en doutent, mon équipe a du talent. On a des joueurs en mesure de sortir de la boîte. Mais il y a au quotidien de la compétitivité, donc je ne suis pas surpris de les voir refuser la défaite. Maintenant, on doit gagner en championnat pour que les joueurs soient récompensés. Surtout à domicile, où notre dernière sortie n’a pas été au niveau. On doit une revanche à notre public, au moins dans l’engagement. Montrer du respect pour le club. Et le public attend ça : des joueurs qui se battent. Je sais que l’on travaille, je sais que les joueurs sont touchés par ce début de saison. Maintenant c’est à nous d’aller le chercher, avec l’ego, le caractère, peu importe. »

[gerco]

La chose la plus importante reste l’équipe »
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6 minutes contre Nanterre, 4 minutes face à Monaco et 0 face à Mulhouse. Liam O’Reilly semble ne plus entrer dans les plans de Philippe Da Silva. Certains confrères parlent d’un départ, la seule chose qui est certaine c’est qu’il fait partie encore de l’effectif du SQBB. Les résultats du moment forcent à penser qu’il y aura un ajustement au sein de l’effectif même si Philippe Da Silva botte en touche. « Je ne peux rien dire à ce sujet, confie le technicien. Tant que Liam est dans l’effectif je compte sur lui. Que ce soit sur un temps de jeu de 2, 5 ou 20 minutes, je ne peux pas vous le dire car je ne parle pas de temps de jeu avec mes joueurs, jamais. C’est avant tout lui ce qu’il doit dégager, par son comportement, sa volonté d’aider l’équipe. Je n’ai pas aimé certaines choses à Monaco, que je garderai pour moi. Et j’ai fait le choix de ne pas l’utiliser contre Mulhouse car pour moi la chose la plus importante reste l’état d’esprit envers l’équipe. »

[gerco]

Nolley II et Fleming Jr, le duo à haut risque du SLUC Nancy
Dans les colonnes de L’Est Républicain ANTHONY OTTOU
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, Sylvain Lautié appelait à la mesure. Conscient du début de saison en dents de scie de son équipe, le technicien lorrain dénonçait la pression qui entoure parfois le SLUC. Il rappelait surtout que Nancy n’a pas les moyens des géants de la Betclic Élite : avec une masse salariale de 1,73 million d’euros, le club reste loin des standards de Monaco ou de Paris.
Néanmoins, Nancy n’a pas passé l’été les poches vides. Certes, on est loin des extravagances monégasques ou parisiennes, des Mike James, Nikola Mirotic ou Nadir Hifi. Mais le SLUC a tout de même sorti le chéquier. Landers Nolley II, Phlandrous Fleming Jr et Stéphane Gombault ne vivent pas d’amour et d’eau fraîche : chacun émarge au-delà des 100 000 euros nets par an. Preuve que, même sans jouer dans la cour des millionnaires, Nancy sait encore se payer quelques beaux joujoux.
LANDERS NOLLEY II, L’HOMME QUI PREND FEU CHAQUE SOIR
Meilleur marqueur de Betclic Élite (21,3 points de moyenne), il laisse derrière lui une traînée de braises à chaque passage. Tout passe par lui. Nolley est le joueur qui dégaine le plus du championnat : 15 tirs par match, dont 7 à trois points, et 8 lancers francs tentés par rencontre. Les chiffres sont éloquents : 32,5 % d’USG, soit près d’une possession sur trois qui se termine dans ses mains. Un aimant à ballons, une menace permanente, un casse-tête pour toutes les défenses. Seul Strasbourg a réussi à le contenir sous la barre des 20 points (18).
Comment l’arrêter ? Difficilement. Il faut accepter qu’il ait beaucoup de tirs, beaucoup d’occasions, et donc beaucoup d’impact. Nancy n’est pas une équipe de passes, mais une équipe d’éclats. Et Nolley en est l’étincelle principale. La solution ? L’épuiser, le contester sur chaque mouvement, ne jamais lui laisser un tir ouvert. Même si, avec 40 % de réussite sur ses tirs contestés, il a déjà prouvé qu’il pouvait punir les défenses les plus disciplinées.
PHLANDROUS FLEMING JR,
LE FUNAMBULE QUI EFFRAIE
Toujours en équilibre, entre la grâce et la foudre. Capable de briser une défense sur un pas de côté, de renverser un match sur une fulgurance. Fleming avance sur son fil avec cette assurance tranquille qui rend fous les défenseurs. Il ne parle pas beaucoup, mais son basket, lui, fait du bruit.
Lors de la venue de Nancy à Pierre-Ratte en Coupe de France, il avait été le seul à surnager dans la déroute, terminant avec 29 points. Comme Nolley, il aime avoir le ballon en main et prendre ses responsabilités, avec 11 tirs par match dont 6 derrière l’arc. Mais à la différence de son compère, il s’inscrit davantage dans la dynamique collective. Ce n’est pas un meneur de formation, mais il endosse le rôle avec une vraie justesse : 5 passes décisives de moyenne, un sens du tempo affirmé et cette capacité rare à alterner entre éclat individuel et lecture du jeu. Comment l’arrêter ? En coupant le lien. Moins il est connecté à ses coéquipiers, plus il s’isole. Et quand la frustration prend le dessus, il force davantage. D’ailleurs, les chiffres parlent d’eux-mêmes : sur les sept premiers matches de la saison, chaque fois qu’il a pris plus de dix tirs, Nancy ne s’est imposé qu’une seule fois – face à Boulazac.

[gerco]

LES ÉCHOS
Hommage à René Houdry
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HOMMAGE
À RENÉ HOUDRY
Ancien membre du comité directeur du club et bénévole dévoué auprès de l’équipe professionnelle, René Houdry s’est éteint cette semaine. Figure fidèle du SQBB, il a œuvré pendant de nombreuses années pour le bien du club et de ses joueurs. Une minute d’applaudissements lui sera rendue en hommage ce samedi soir, avant la rencontre face à Nancy.
NOLAN TRAORÉ DÉBUTE FORT EN G-LEAGUE
Premiers pas réussis pour Nolan Traoré en G-League avec les Capital City Go-Go (Washington). Le jeune meneur formé à Saint-Quentin a inscrit 12 points lors de sa première rencontre, puis 15 lors de la suivante. Un début prometteur pour celui qui espère poursuivre sur cette lancée et, à terme, retrouver la NBA.

[Spalding02]

Bon, maintenant on sait que O'Reilly et PDS ne s'entendent pas.
Mais malgré celà, il prend le risque de ne pas l'utiliser et de se priver d'une rotation et fatigue les autres pouvant aller jusqu'à la blessure.
Tout en sachant qu'il manque déjà Dally et Boucaud (mais remplacé par Dallo) il préfère jouer à 8

[JACQUART]

Il est clair que nous commençons sérieusement à être handicapés par les blessures et le fait qu'O'Reilly ne met plus un pied sur le parquet.
C'est un élément bien entendu à prendre en considération et qui mérite de l'indulgence de la part des supporters et de nous même sur le forum.
La situation est déjà assez délicate comme ça.
Soyons derrière eux au maximum.