Basket Info

certains clubs ne vont pas réengager leur équipe notamment en N3 et N2, c'est le cas du Poinconnet qui se pose la question pour son équipe réserve.

Pa de champion, pas de montée, pas de relégation en Allemagne (postup.fr). On ne sera donc pas les seuls à suivre cette approche si cela se confirme.

Et pour certains la question d'avoir un budget en L2 se pose déjà du côté dñe Mondeville et Angers...

OUEST FRANCE : LA CRISE A MONDEVILLE

USO Mondeville. Manuel Françoise quitte la coprésidence du club

Moins d’un an après son arrivée à la tête de l’USO Mondeville (Ligue 2 féminine de basket-ball), Manuel Françoise a annoncé sa démission ce lundi. Il invoque des raisons professionnelles, mais confirme que des tensions sont apparues en interne ces dernières semaines.

« Si les gens ne changent pas de mentalité, je ne vois pas ce club remonter en Ligue féminine », estime Manuel Françoise

Une saison (blanche) et puis s’en va. Moins d’un an après avoir pris la coprésidence (avec Olivier Liberge) de l’USO Mondeville, Manuel Françoise a annoncé sa démission ce lundi. L’homme, salarié de l’entreprise Sedelka-Europrom, invoque en premier lieu « des raisons professionnelles ». Et poursuit : « C’est de plus en plus compliqué d’allier les deux activités et ça le sera encore plus après la crise que l’on traverse ».

L’annonce de l’arrêt définitif de la saison, effectuée dimanche par la Fédération française de basket-ball, a accéléré un départ devenu inévitable après que des tensions internes sont apparues ces derniers mois. « Il y a un an, les dirigeants sont venus nous chercher pour changer les choses, raconte Manuel Françoise. Mais ce club n’est pas prêt au changement. Je pensais arriver dans un club professionnel. Avec du recul, force est de constater que je suis arrivé dans une association sportive communale. »

Olivier Liberge : « Ce qui m’intéresse, c’est l’avenir »

Manuel Françoise, qui avait fait de la montée en Ligue féminine sa priorité, souhaitait faire bouger les lignes, changer les mentalités. Il s’est heurté à un mur, à des dirigeants historiques attachés au fonctionnement et aux valeurs de l’USO Mondeville. Certaines de ses sorties ont été mal perçues en interne, comme à la Mairie, le principal soutien financier du club.

« Nous n’étions pas en phase sur les perspectives de développement, sur la communication, sur les changements sportifs, économiques, administratifs, énumère Manuel Françoise. Comme je ne suis pas plus fort que le club, je préfère partir. Sans être fâché avec qui que ce soit. »

Très impliqué dans le club depuis l’été dernier, Mathias Sanfaute, secrétaire général, a également annoncé sa démission.

Olivier Liberge reste seul à la tête du club. Pour l’instant. « Ce départ ne va pas changer grand-chose dans le fonctionnement du club, estime ce dernier, qui n’a pas l’intention de quitter le club. L’institution USO Mondeville courait avant nous et courra encore après. Nous ne sommes que de passage. Ce qui m’intéresse, c’est l’avenir, la manière dont on va aborder la saison prochaine. Les jeunes joueuses vont rester avec nous et j’ai la conviction qu’on ne sera pas moins fort la saison prochaine. Au club, on a besoin de compétences, de personnes ayant du réseau, du recul, de l’écoute… »

Les membres du bureau s’entretiendront ce lundi soir en visioconférence pour acter ces démissions. Le conseil d’administration pourrait se réunir dans les jours ou semaines à venir pour élire un ou deux nouveaux présidents.

Y pas qu’à Mondeville qu’il va y avoir du grabuge . Mais ce pb du statut de Mondeville ne date pas d’hier : Coudray est un peu ( ou bcp ? ) parti car le club n’a pas pu ( ou pas voulu ? ) se donner les moyens de ses ambitions . Avoir le meilleur centre de formation de France ne suffit pas pour rester en Lfb…On peut penser logiquement ,vu les circonstances exceptionnelles ,que la fédé va prolonger d’un an l’autorisation de garder un centre de formation à Mondeville . Mais là aussi ce n’est pas ça qui leur permettra de remonter en Lfb …Mondeville a toujours voulu être un club formateur et c’est tout à leur honneur mais ça ne suffit pas ou plus pour performer et forcément ce centre absorbe une partie des moyens du club . Si tu sors des pépites et que tu arrives à les garder why not mais une super jeune joueuse ne va pas vouloir végéter longtemps en lf2 ;

pour moi je le redis , la solution aurait été le retour à 14 clubs pour saison prochain. Pas de descente cette année , on garde le classement à mi-mars, on fait monter 2 equipes lf2, donc par ricochet 2 equipes de N1 vers la LF2 et je pense qu'on aurait moins de mécontents. Le passage à 14 implique 4 matchs de plus pour chaque équipe. On supprime pré-open (soit 2 matchs pour les tenors) , on supprime l'open qui bloque les joueuses pendant 3 jours et on retombe sur nos pieds. Je ne pense pas qu'une telle solution pénalise les équipes qui font les coupes d'europe. Si il y a une chose qu'il faudrait revoir en priorité c'est la direction de la LFB qui fait n'importe quoi. Open/coupe de france dans salles vides, décisions repoussées...IL y a du ménage à faire pour ces gens bien loin du terrain. Je crois savoir que la majorité des clubs opterait pour le retour à 14, mais tous les clubs n'ont pas le même poids au sein de la fédé

mosquito a écrit : ↑mar. 31 mars 2020 14:04 pour moi je le redis , la solution aurait été le retour à 14 clubs pour saison prochain. Pas de descente cette année , on garde le classement à mi-mars, on fait monter 2 equipes lf2, donc par ricochet 2 equipes de N1 vers la LF2 et je pense qu'on aurait moins de mécontents. Le passage à 14 implique 4 matchs de plus pour chaque équipe. On supprime pré-open (soit 2 matchs pour les tenors) , on supprime l'open qui bloque les joueuses pendant 3 jours et on retombe sur nos pieds. Je ne pense pas qu'une telle solution pénalise les équipes qui font les coupes d'europe. Si il y a une chose qu'il faudrait revoir en priorité c'est la direction de la LFB qui fait n'importe quoi. Open/coupe de france dans salles vides, décisions repoussées...IL y a du ménage à faire pour ces gens bien loin du terrain. Je crois savoir que la majorité des clubs opterait pour le retour à 14, mais tous les clubs n'ont pas le même poids au sein de la fédé

Tout à fait d'accord !

mosquito a écrit : ↑mar. 31 mars 2020 14:04 pour moi je le redis , la solution aurait été le retour à 14 clubs pour saison prochain. Pas de descente cette année , on garde le classement à mi-mars, on fait monter 2 equipes lf2, donc par ricochet 2 equipes de N1 vers la LF2 et je pense qu'on aurait moins de mécontents. Le passage à 14 implique 4 matchs de plus pour chaque équipe. On supprime pré-open (soit 2 matchs pour les tenors) , on supprime l'open qui bloque les joueuses pendant 3 jours et on retombe sur nos pieds. Je ne pense pas qu'une telle solution pénalise les équipes qui font les coupes d'europe. Si il y a une chose qu'il faudrait revoir en priorité c'est la direction de la LFB qui fait n'importe quoi. Open/coupe de france dans salles vides, décisions repoussées...IL y a du ménage à faire pour ces gens bien loin du terrain. Je crois savoir que la majorité des clubs opterait pour le retour à 14, mais tous les clubs n'ont pas le même poids au sein de la fédé

Tu vas déjà faire 6 mécontents en LF2 (places 3 à 8 ) à qui on a expliqué en septembre que le vainqueur des PO montait.....pour subitement changer la règle du jeu en leur disant "désolé les gars mais finalement les 1er et 2ème de la saison régulière vont monter". En matière d'iniquité.....
Soit on va au bout du championnat avec les règles fixées initialement, soit on arrête tout, mais on ne pénalise pas certains au détriment d'autres. Au moins là, tout le monde est logé à la même enseigne, même si on peut regretter que le championnat n'aille pas à son terme.
Et pour la NF1, on n'a même pas les 4 équipes des phases finales de mémoire, donc en choisir 2 reviendrait là aussi à changer la règle du jeu en cours de route. Un club 2ème de NF1 à l'instant T devait se dire "tranquille, on est bien, il faut au moins garder cette place pour jouer notre chance en phases finales et potentiellement espérer monter en LF2" : sauf que là tu lui dirais "désolé mais en fait on change la règle et ta 2ème place ne servira à rien parce que seuls les 1ers vont monter". Ceux qui se plaignent de la décision de la FFBB et de l'injustice créée pour certains clubs (souvent les 1ers de poules) en créeraient ainsi d'autres (qui toucheraient plus de clubs) à travers cette approche.

Pour le passage à 14, au delà du calendrier, on peut s'interroger aussi sur le niveau d'ensemble que l'on souhaite pour la LFB. Tarbes et Nantes rament cette saison (au même niveau globalement que le promu Charnay), si on ajoute 2 clubs avec des moyens forcément limités qui risquent (sans grande surprise) de ramer aussi, on va vers un nivellement par le bas qui ne serait pas souhaitable à mes yeux pour la compétitivité du championnat.

Récolet a écrit : ↑mar. 31 mars 2020 14:17
mosquito a écrit : ↑mar. 31 mars 2020 14:04 pour moi je le redis , la solution aurait été le retour à 14 clubs pour saison prochain. Pas de descente cette année , on garde le classement à mi-mars, on fait monter 2 equipes lf2, donc par ricochet 2 equipes de N1 vers la LF2 et je pense qu'on aurait moins de mécontents. Le passage à 14 implique 4 matchs de plus pour chaque équipe. On supprime pré-open (soit 2 matchs pour les tenors) , on supprime l'open qui bloque les joueuses pendant 3 jours et on retombe sur nos pieds. Je ne pense pas qu'une telle solution pénalise les équipes qui font les coupes d'europe. Si il y a une chose qu'il faudrait revoir en priorité c'est la direction de la LFB qui fait n'importe quoi. Open/coupe de france dans salles vides, décisions repoussées...IL y a du ménage à faire pour ces gens bien loin du terrain. Je crois savoir que la majorité des clubs opterait pour le retour à 14, mais tous les clubs n'ont pas le même poids au sein de la fédé
Tout à fait d'accord !

Ce n'est pas possible pour les clubs français qui jouent l'Euroligue. Il y aurait trop de matchs pour être compétitifs face aux autres équipes européennes qui jouent cette compétition.C'est déjà assez compliqué comme çà avec le quotas des étrangères qui sont limitées en France.
Quand nous étions dans cette configuration là avant, le titre de champion se disputait entre les 4 premiers de la phase régulière. Demi finale 1er contre le 4 ème et le 2ème contre le 3ème puis finale aux meilleurs des 3 manches.
Si retour à 14 clubs, il faudrait arrêter les plays offs, ce qui voudrait dire que ceux qui sont classés de la 5 ème à la 8 ème de la phase régulière ont leur saison terminée.

Bon pour ceux qui ne m'avaient pas lu...On sait depuis le mois de janvier que les les Pré-Open et l'Open ne sont plus d'actualités...D'ailleurs la première journée pour 2020-2021 est fixée au week-end du 19/20 septembre 2020

gala18 a écrit : ↑mar. 31 mars 2020 14:57
Récolet a écrit : ↑mar. 31 mars 2020 14:17
mosquito a écrit : ↑mar. 31 mars 2020 14:04 pour moi je le redis , la solution aurait été le retour à 14 clubs pour saison prochain. Pas de descente cette année , on garde le classement à mi-mars, on fait monter 2 equipes lf2, donc par ricochet 2 equipes de N1 vers la LF2 et je pense qu'on aurait moins de mécontents. Le passage à 14 implique 4 matchs de plus pour chaque équipe. On supprime pré-open (soit 2 matchs pour les tenors) , on supprime l'open qui bloque les joueuses pendant 3 jours et on retombe sur nos pieds. Je ne pense pas qu'une telle solution pénalise les équipes qui font les coupes d'europe. Si il y a une chose qu'il faudrait revoir en priorité c'est la direction de la LFB qui fait n'importe quoi. Open/coupe de france dans salles vides, décisions repoussées...IL y a du ménage à faire pour ces gens bien loin du terrain. Je crois savoir que la majorité des clubs opterait pour le retour à 14, mais tous les clubs n'ont pas le même poids au sein de la fédé
Tout à fait d'accord !
Ce n'est pas possible pour les clubs français qui jouent l'Euroligue. Il y aurait trop de matchs pour être compétitifs face aux autres équipes européennes qui jouent cette compétition.C'est déjà assez compliqué comme çà avec le quotas des étrangères qui sont limitées en France.
Quand nous étions dans cette configuration là avant, le titre de champion se disputait entre les 4 premiers de la phase régulière. Demi finale 1er contre le 4 ème et le 2ème contre le 3ème puis finale aux meilleurs des 3 manches.
Si retour à 14 clubs, il faudrait arrêter les plays offs, ce qui voudrait dire que ceux qui sont classés de la 5 ème à la 8 ème de la phase régulière ont leur saison terminée.

Les championnats espagnols , turques , italiens sont à 14 clubs , ils font des PO , ils ont une coupe , une supercoupe ( Turquie , Italie ) et certains ont même un open( Italie ) je ne vois pas où est le PB par rapport à ces pautres pays ?! Supprimons les préopen et laissons les clubs s'organiser pour leur matchs amicaux de présaison . Perso qd personne ne monte tous les monde est pénalisé , mieux vaut une ou des montées sur des critères bancales que pas de montée du tout .Après tirons le bilan de l'open : positif ou pas en matière de fréquentation , d'audience dans les media . Il n'y a que le nombre de spectateurs qui compte , ça permet normalement de faire venir des journalistes pour lancer la saison . Si le but n'est pas considérer comme atteint alors OK on stoppe les frais .

basketbreton a écrit : ↑mar. 31 mars 2020 11:26 OUEST FRANCE : LA CRISE A MONDEVILLE

USO Mondeville. Manuel Françoise quitte la coprésidence du club

Moins d’un an après son arrivée à la tête de l’USO Mondeville (Ligue 2 féminine de basket-ball), Manuel Françoise a annoncé sa démission ce lundi. Il invoque des raisons professionnelles, mais confirme que des tensions sont apparues en interne ces dernières semaines.

« Si les gens ne changent pas de mentalité, je ne vois pas ce club remonter en Ligue féminine », estime Manuel Françoise

Une saison (blanche) et puis s’en va. Moins d’un an après avoir pris la coprésidence (avec Olivier Liberge) de l’USO Mondeville, Manuel Françoise a annoncé sa démission ce lundi. L’homme, salarié de l’entreprise Sedelka-Europrom, invoque en premier lieu « des raisons professionnelles ». Et poursuit : « C’est de plus en plus compliqué d’allier les deux activités et ça le sera encore plus après la crise que l’on traverse ».

L’annonce de l’arrêt définitif de la saison, effectuée dimanche par la Fédération française de basket-ball, a accéléré un départ devenu inévitable après que des tensions internes sont apparues ces derniers mois. « Il y a un an, les dirigeants sont venus nous chercher pour changer les choses, raconte Manuel Françoise. Mais ce club n’est pas prêt au changement. Je pensais arriver dans un club professionnel. Avec du recul, force est de constater que je suis arrivé dans une association sportive communale. »

Olivier Liberge : « Ce qui m’intéresse, c’est l’avenir »

Manuel Françoise, qui avait fait de la montée en Ligue féminine sa priorité, souhaitait faire bouger les lignes, changer les mentalités. Il s’est heurté à un mur, à des dirigeants historiques attachés au fonctionnement et aux valeurs de l’USO Mondeville. Certaines de ses sorties ont été mal perçues en interne, comme à la Mairie, le principal soutien financier du club.

« Nous n’étions pas en phase sur les perspectives de développement, sur la communication, sur les changements sportifs, économiques, administratifs, énumère Manuel Françoise. Comme je ne suis pas plus fort que le club, je préfère partir. Sans être fâché avec qui que ce soit. »

Très impliqué dans le club depuis l’été dernier, Mathias Sanfaute, secrétaire général, a également annoncé sa démission.

Olivier Liberge reste seul à la tête du club. Pour l’instant. « Ce départ ne va pas changer grand-chose dans le fonctionnement du club, estime ce dernier, qui n’a pas l’intention de quitter le club. L’institution USO Mondeville courait avant nous et courra encore après. Nous ne sommes que de passage. Ce qui m’intéresse, c’est l’avenir, la manière dont on va aborder la saison prochaine. Les jeunes joueuses vont rester avec nous et j’ai la conviction qu’on ne sera pas moins fort la saison prochaine. Au club, on a besoin de compétences, de personnes ayant du réseau, du recul, de l’écoute… »

Les membres du bureau s’entretiendront ce lundi soir en visioconférence pour acter ces démissions. Le conseil d’administration pourrait se réunir dans les jours ou semaines à venir pour élire un ou deux nouveaux présidents.

Le mot crise est un peu fort, le budget sera quasi le même pour la saison prochaine. C'est toujours difficile une coprésidence dans le sport. Concernant les tension il y en a comme dans tout les club, Le conseil administration restera quasi le même. Le seul reproche que je fais concernant Manuel Françoise c'est d'avoir annoncé la monté en ligue féminine avant même de début de la saison en ayant 3 joueuses blessé donc deux trés importante. Le problème aussi c'est de vouloir tout changer d'un seul coup d'ou les tension, il aurait fallu changer les chose petit à petit.
j'ai Manuel Françoise par Messenger ce matin, c'est pas les tension avec le bureau ou avec la mairie qui le fait quitté la présidence mais plus pour raison professionnel..

Concernant le départ du secrétaire c'est pour des raison professionnel

fredFC a écrit : ↑mar. 31 mars 2020 13:32 Y pas qu’à Mondeville qu’il va y avoir du grabuge . Mais ce pb du statut de Mondeville ne date pas d’hier : Coudray est un peu ( ou bcp ? ) parti car le club n’a pas pu ( ou pas voulu ? ) se donner les moyens de ses ambitions . Avoir le meilleur centre de formation de France ne suffit pas pour rester en Lfb…On peut penser logiquement ,vu les circonstances exceptionnelles ,que la fédé va prolonger d’un an l’autorisation de garder un centre de formation à Mondeville . Mais là aussi ce n’est pas ça qui leur permettra de remonter en Lfb …Mondeville a toujours voulu être un club formateur et c’est tout à leur honneur mais ça ne suffit pas ou plus pour performer et forcément ce centre absorbe une partie des moyens du club . Si tu sors des pépites et que tu arrives à les garder why not mais une super jeune joueuse ne va pas vouloir végéter longtemps en lf2 ;

Concernant Hervé Coudray il n'est pas parti à cause de cela, il était en fin de contrat et à voulu tenter sa chance dans d'autre club.

Concernant le moyens de ses ambitions c'est un ancien sponsors qui ( apporter plus de 350 000 €) qui à voulu supprimer le centre de formation pour garder seulement l'équipe premières, il a même voulu supprimer le secteur amateur, ceux qui lui à fallu qu'il c'est retrouvé seul contre le bureau, et même seul contre l'ancien Président Daniel Dufour. D'ailleurs l'ancien sponsors continu de nous faire chier en menaçant le futur sponsors qui veulent venir ou à menacer les familles des sponsors ceux que je trouve sa complètement con, car il voulait que les sponsors viennent dans le club ou il est maintenant.

D'ailleurs avec l'ancien président on a fini dans le rouge financièrement en voulant jouer une coupe d’Europe , même avec un effectif moins consistant en qualité

Concernant le centre de formation on à déjà eu l'accords de la fédé pour le prolonger , on a eu l'accord avant même la saison qui vient de ce terminer.
Concernant le centre, elle sont logé dans un ancien dortoir réaménager en 5 chambre de 3, une parti cuisine, une parti communal pour qu'elle puisse manger, douche et sanitaire situé juste au dessus un restaurant scolaire qui nous à était donner par la mairie . (La mairie paye juste l'eau). Concernant le transport des jeunes pour le championnat , elles sont conduite en mini bus par des bénévoles du club, seul le péages sont payer par un sponsors (armée de terre, et armé de l'air).

D'ailleurs 3 des 4 jeunes pousses qui faisait parti du groupe de ligue 2 signeront un contrat de 3 ans (dans les jours qui viennes à cause de confinement) plus année en option si le club monte en ligue féminine.

Juste pour vous rappeler quand ligue 2 , il faut obligatoirement 4 joueuse de moins de 22 ans formé en france, en étrangères il faut ( une UE, et hors UE).

Pour que Mondeville puisse consolider son budget, il faut inverser la tendance entre sponsors public (mairie, région) et sponsors privé d'ailleurs Manuel Françoise est venu pour cela. Dans le club entre les deux présidents: Manuel Françoise était en charge de trouver de nouveau sponsors privé, l'autre président était en charges des relation avec la fédé ou sponsors public et autre club (transfert).

C'étais le bon temps :
https://www.youtube.com/results?search_ ... %253D%253D
l'USVO allait dominé Bourges encore quelque années ....avant d'exploser en plein vol c'est le syndrome d'Icare .

fredFC a écrit : ↑mar. 31 mars 2020 16:07 C'étais le bon temps :
https://www.youtube.com/results?search_ ... %253D%253D
l'USVO allait dominé Bourges encore quelque années ....avant d'exploser en plein vol c'est le syndrome d'Icare .

Avec l’argent de certains sponsors partis vers le VAFC, club de foot qui s’est cassé la gueule quelques années plus tard
Le Saint Amand basket est un club pro honorable et sympa mais on est loin du Valenciennes-Orchies de jadis

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