[SQBB] 25/26 -24 à la maison contre Nanterre

[Spalding02]

Putain j'ai pris mon pied
C'était trop beau à voir, un collectif bien huilé, du beau jeu, rien à dire merci coach Da Silva pour cette parodie de basket.... encore un bon moment

[Bostonn.02]

La tribune en centrale qui a du mal à taper dans les mains quand les BP leur demandent mais qui s’autorise à siffler l’équipe en fin de match, joli !

[BIZET]

Avant tout il faut aussi retenir la prestation de Nanterre, c'est une très bonne équipe avec une belle profondeur de banc, a chaque fois que votre équipe revenait au score , Nanterre remettait un coup d'accélérateur .Vous avait une équipe qui devrait s'en sortir sans problème

[Bostonn.02]

Avant tout il faut aussi retenir la prestation de Nanterre, c'est une très bonne équipe avec une belle profondeur de banc, a chaque fois que votre équipe revenait au score , Nanterre remettait un coup d'accélérateur .Vous avait une équipe qui devrait s'en sortir sans problème

On s’en sortira quand on arrivera à enchaîner les défenses et qu’on aille pas plus vite que la musique en attaque, mais notre équipe n’a pas été construite pour ça …

Si on change de coach il devra se débrouiller avec une équipe offensive, et le meilleur profil c’est peut-être JDC mais je ne sais pas si il est libre, il me semble que oui

[Bostonn.02]

Et la buvette bordel, une CATASTROPHE ça met 2min par client pour servir 2 bières p*t**n

[dreamgaiden]

Une soirée cauchemardesque digne d'Halloween !!

[kriste02]

PDS au demeurant très sympathique n'est pas, comme prévu, l'homme de la situation. C'est une erreur de casting, ça peut arriver, tout le monde peut se tromper.

[Bostonn.02]

PDS au demeurant très sympathique n'est pas, comme prévu, l'homme de la situation. C'est une erreur de casting, ça peut arriver, tout le monde peut se tromper.

Le président a toujours eu la baraka depuis qu’il est là, peut être que la chance est entrain de tourner

[dreamgaiden]

ça mérite un débat ces prochains jours.

Mais enfin c'est pas le coach qui rate des paniers faciles, qui rate un dunk tout fait ou qui donne la balle à l'adversaire....10 ballons perdus rien qu'en première mi-temps.

Je sais bien que c'est + facile d'incriminer un seul mec que 7 ou 8 joueurs mais quand même....moi ce soir j'en veux + aux joueurs, c'est quand même un jeune qui monte de Pro B qui tient l'équipe offensivement.

OU SONT LES CADRES ???

Oniangue, Swarthz et Caroline ?....9 points à eux 3, ridicule.

Et O'Reilly ? C'est le seul reproche que je ferais à PDS.
Il joue 5 mn 49 !
Faut m'expliquer pourquoi alors qu'Oniangue et Swarthz sont dans le dur, il n'est pas relancé.
T'es en grosse difficulté offensive, t'as un arrière scoreur US qui essuie le banc.

Si c'est pour faire ça, autant le couper !

[Bostonn.02]

ça mérite un débat ces prochains jours.

Mais enfin c'est pas le coach qui rate des paniers faciles, qui rate un dunk tout fait ou qui donne la balle à l'adversaire....10 ballons perdus rien qu'en première mi-temps.

Je sais bien que c'est + facile d'incriminer un seul mec que 7 ou 8 joueurs mais quand même....moi ce soir j'en veux + aux joueurs, c'est quand même un jeune qui monte de Pro B qui tient l'équipe offensivement.

OU SONT LES CADRES ???

Oniangue, Swarthz et Caroline ?....9 points à eux 3, ridicule.

Et O'Reilly ? C'est le seul reproche que je ferais à PDS.
Il joue 5 mn 49 !
Faut m'expliquer pourquoi alors qu'Oniangue et Swarthz sont dans le dur, il n'est pas relancé.
T'es en grosse difficulté offensive, t'as un arrière scoreur US qui essuie le banc.

Si c'est pour faire ça, autant le couper !

J’avoue qu’en 1ère mi-temps, sans les dunks ratés et les passes de merde qui donnent des contre-attaques facile, on est peut-être devant au lieu d’être à -8

J’ai regardé le scoreboard a la mi-temps, 6 points sur 39 pour le secteur intérieur, on manque d’alternance

[kristoferthorir]

Si on change de coach il devra se débrouiller avec une équipe offensive, et le meilleur profil c’est peut-être JDC mais je ne sais pas si il est libre, il me semble que oui

JDC est effectivement libre mais j'en parlais justement y'a quelques temps sur votre topic, pour des masses salariales à peu prés équivalentes, je trouve qu'il avait nettement plus de talent offensif à disposition à Roanne (je parle de son dernier passage évidemment). Je trouve quand même, en sortant du débat sur le coach, qu'à la lecture des rosters en début de saison on a du mal à imaginer que Nanterre a un poil moins de masse salariale que vous.
Tout ça pour dire, "équipe offensive" je serais moins catégorique que ça quoi, pas certain qu'un coach arriverait à faire mettre 85 pts régulièrement à ce roster

[gerco]

Le SQBB sombre face à Nanterre et touche le fond

Neftali Difuidi et les saint-quentinois n’ont pas réussi à tenir le rythme imposé par Nanterre.Gaël Hérissé
Basket-ball (Betclic Élite) Portés par l’émotion des retrouvailles avec Julien Mahé, les Axonais ont vite déchanté. Privés d’inspiration offensive, ils ont été étouffés par Nanterre (65-89). Une soirée qui laisse plus de doutes que de certitudes avant le déplacement à Monaco.
prevnext
On le savait, on l’attendait, et Pierre-Ratte ne s’est pas trompée : c’est sous un déluge d’applaudissements que Julien Mahé a traversé la salle. Retrouvailles, sourires, tapes dans le dos… l’avant-match avait des allures de retour aux sources. Mais pendant que l’émotion se joue sur le banc francilien, un autre revenant vit une histoire inversée : Nick Johnson, lui, affronte son ancien club. Et comme depuis le début de la saison, le meneur du SQBB est en mission. 8 points en quelques minutes, attitude de patron, envie de tout porter. Mais, trop souvent, il est seul à mener la croisade. Car si la zone en défense perturbe Nanterre, si l’intensité est là, les Axonais se sabotent eux-mêmes. Trop de pertes de balle, trop de munitions offertes à Senglin. Résultat : Nanterre vire en tête après dix minutes (20-23). Défensivement, le SQBB répond présent : des stops, de l’activité, et même la bataille du rebond remportée – fait assez rare pour être souligné. Mais en attaque, la balle circule moins. Nanterre impose son rythme, joue simple, joue juste. Donta Scott punit à chaque opportunité, sans fioritures, mais avec efficacité (24-31). Saint-Quentin recolle pourtant, porté par Johnson et Difuidi (33-36, 15 e ). On croit alors à la bascule, au moment qui emporterait toute la salle. Mais le même démon revient : les pertes de balle.
En cette soirée d’Halloween, elles hantent les Axonais. Dix ballons perdus à la pause, 16 points offerts sur contre-attaque. Impossible d’espérer mieux dans ces conditions.
À LA PAUSE, LA QUESTION N’EST PAS « PEUVENT-ILS ? » MAIS « Y CROIRONT-ILS ? »
Et pour renverser un match, il faut scorer les choses simples. Un dunk raté, deux hooks manqués, un lay-up de Dallo qui glisse sur l’arceau… et Saint-Quentin reste muet trois minutes. Nanterre s’envole (39-53).
Un frisson revient : deux tirs de Difuidi, un long deux points de Moore (47-54). Pierre-Ratte veut y croire. Mais ce brin de folie, doit se transformer en confiance. Saint-Quentin doit imposer son basket, celui qu’il est capable de jouer, pas d’inventer. Mais Mahé coupe l’euphorie, pose un temps mort, recentre les siens. Nanterre repart, frappe au rebond, verrouille en défense, et Dussoulier enfonce le clou au buzzer (53-67, 30 e ).
Calme en apparence sur son banc, Julien Mahé, lui, vibre intérieurement. Il réussit le coup parfait : il cible Nick Johnson, ordonne à ses hommes de lui couper tout espace, toute création, toute lumière. Et le plan fonctionne. Le meneur saint-quentinois ne marque plus, ne distribue plus. Et avec lui, tout le jeu du SQBB s’éteint. Comme à Limoges, la rupture arrive au pire moment (56-76, 34e).Cette fin de match est dure. Dure parce que c’est Nanterre. Dure parce que c’est l’ancien maître des lieux de retour en vainqueur. Dure parce que son empreinte, indélébile, n’a jamais été aussi visible qu’en cette soirée. Dure parce qu’on sent une équipe blessée, qui doute, qui ne joue plus avec la confiance promise cet été. Dure, enfin, parce qu’on la croyait capable de faire tomber n’importe qui, n’importe où. Mais s’arrêter là serait trop simple. Car au-delà du score, il reste une certitude : cette équipe va devoir prouver qu’elle a du cœur. Elle a un public qui ne lâche pas, qui ne l’a pas lâchée hier. Si elle a touché le fond ce soir, c’est peut-être pour mieux rebondir demain…

[gerco]

LES ÉCHOS
Anciens complices
prev
ANCIENS COMPLICES
Entre Nick Johnson et Jérémy Senglin, il y a plus qu’un simple respect de joueurs : une vraie complicité née à Nanterre, où ils avaient disputé 47 matches côte à côte. Ce vendredi, les deux anciens partenaires se sont retrouvés… cette fois en adversaires.
TRAORÉ VERS LA G-LEAGUE
Nolan Traoré (19 ans) a été envoyé par Brooklyn Nets en direction des Long Island Nets (G-League) afin de gagner du temps de jeu et de progresser dans un environnement adapté.
BEL HOMMAGE
Pierre-Ratte a eu une émotion particulière ce vendredi. Le SQBB et ses supporters ont rendu hommage à Noël Benoit, disparu le 18 octobre. Le président des Renards Blancs, figure emblématique restera comme l’une des plus belles étoiles du kop bleu et blanc.

[gerco]

Basket-ball (Betclic Élite) : Pierre-Ratte a tremblé, mais pas pour les bonnes raisons

Saint-Quentin voulait vibrer. Il a déraillé. Battu lourdement par Nanterre (65-89), le SQBB a laissé apparaître un manque de liant, de certitudes et de réponses. Le public s’interroge, les joueurs doutent, et une question domine : dans quelle direction va ce collectif ?
À l’image de Clifton Moore, le SQBB a souffert dans l’impact.
À l’image de Clifton Moore, le SQBB a souffert dans l’impact. - GH
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Par Anthony Ottou
Publié: 1 Novembre 2025 à 07h30
3 min
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On appelle ça un cauchemar. Pas celui qui réveille en sursaut, mais celui qui s’installe lentement, sans qu’on puisse l’arrêter. Et ce vendredi 31 octobre, soir d’Halloween, il a choisi son décor : Pierre-Ratte.



Consultez l’actualité en vidéo
La salle était prête pour les frissons, mais pas ceux-là. Prête pour l’émotion, mais pas dans cette forme-là. Et le SQBB, lui, a pris la soirée de plein fouet : 65 points inscrits, 89 concédés, 26 d’écart.


« On n’a pas répondu présent, martèle Philippe Da Silva. C’était un match important pour nous, pour le club, et les joueurs n’ont pas respecté cela. » Des chiffres qui ne racontent pas seulement une défaite, mais un match qui file, une soirée qui échappe.

Et comme si cela ne suffisait pas, le scénario s’est offert sa touche de cruauté : sur le banc d’en face, l’ancien architecte des rêves, Julien Mahé. Celui qui, ici, avait dessiné une montée, rassemblé une ville, écrit quelques-unes des plus belles pages du club.

Trois minutes de bonheur, pas une de plus…

Pourtant, la salle y a cru. Trois minutes, pas plus. Un départ parfait. Et au milieu, Nick Johnson en mode règlement de comptes : 8 points en un éclair, le regard fermé, la mission claire. Pas de nostalgie, pas de sourire. Juste un message : on ne traite pas un joueur comme lui à la légère. Deux saisons à Nanterre, une sortie sans égards. Ce soir-là, il avait choisi de répondre sur le parquet.

On n’a pas répondu présent. C’était un match important pour nous, pour le club, tout le monde attendait ça et les joueurs n’ont pas respecté cela.
Philippe Da Silva, entraîneur du SQBB
Mais le basket, parfois, a le sens du retournement brutal. Trois phrases murmurées par Mahé, deux rotations, une défense resserrée sur Nick Johnson – forcé de lâcher le ballon – une attaque ajustée pour découper la zone de Da Silva, puis efficace face aux ajustements. Et tout s’est éteint. Lentement. Comme dans un film d’horreur où le courant saute juste avant que le monstre n’apparaisse.


L'Aisne nouvelle
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« On se connaît par cœur. Certains Saint-Quentinois savent comment je fonctionne, et chez nous, quatre joueurs ont joué pour Philippe Da Silva », résume Mahé, presque clinique. Avant d’enchaîner : « On savait qu’il y aurait de l’alternance. On a commencé jeune, il a fallu s’ajuster, être patient en attaque, couper Nick Johnson du reste de l’équipe. On fait un bon match, tout le monde a répondu présent. C’est une victoire collective, et je tiens à féliciter l’ensemble de mes joueurs. »

Derrière cette dernière phrase, il y a une réalité qu’on ne peut plus éviter : pendant que Nanterre suivait son fil, déroulait son basket, Saint-Quentin, lui, n’a pas perdu le sien : il ne l’a jamais posé. Dès que ça se durcit, dès que le jeu est contesté, l’équipe souffre. Bien sûr, la vérité du mois d’octobre n’est jamais celle du mois de mai, mais elle est implacable aujourd’hui, et elle dit une chose simple : le SQBB est loin. Loin au classement. Loin dans le jeu. Loin de son identité. Loin de ce qu’il prétendait être. Cette équipe devait vendre chèrement sa peau, défendre chaque ballon comme un morceau de vie, incarner le combat, la générosité, le sacrifice. Elle devait jouer avec le cœur. Et pour l’instant, ce cœur bat – mais pas au bon rythme.

Un constat froid : Saint-Quentin est loin du compte

Le groupe ne répond pas aux attentes. Ni celles du staff. Ni celles du public. Ni des siennes. Trop d’actions désordonnées. Trop d’initiatives isolées. Trop peu de confiance. Et quand on parle du groupe, ce n’est pas pour viser un nom ou un poste : c’est tout le monde. Du premier au dernier. De l’entraîneur au douzième homme. Chacun porte sa part. Même si, comme toujours, le réflexe naturel est de se protéger, de se dissocier de la défaite, le constat est limpide : tant que le « je » l’emportera sur le « nous », rien ne changera. « On n’a aucun liant, aucun jeu, assume Da Silva. On ne joue pas ensemble. Plus depuis un moment. C’est ma responsabilité de faire en sorte que ça change. »

On n’a aucun liant, aucun jeu. On ne joue pas ensemble. Plus depuis un moment. C’est ma responsabilité de faire en sorte que ça change.
Philippe Da Silva, entraîneur du SQBB
Alors que faire ? Tout changer ? Impossible, quand on porte l’un des plus petits budgets de Betclic Élite. Tout remettre en question ? Après six journées, ce serait peut-être un peu prématuré. Il reste donc une seule option : se regarder en face, accepter les manques et enclencher une remise en question collective. Pas théorique. Pas déclarative. Réelle.

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Parce qu’au bout du compte, le basket ne ment jamais : une équipe qui décide vraiment de se relever finit toujours par y arriver. Mais encore faut-il décider.

Une page qui ne voulait pas vraiment se tourner, maintenant, c’est fait

Julien Mahé en fond de scène, Philippe Da Silva en pleine lumière : à Pierre-Ratte, l’histoire n’a pas encore changé d’acte.
Julien Mahé en fond de scène, Philippe Da Silva en pleine lumière : à Pierre-Ratte, l’histoire n’a pas encore changé d’acte. - G.H.
Derrière cette défaite, il n’y a pas seulement un score. Il y a une vérité qu’on préférerait ne pas dire tout haut : la page n’était pas tournée. Comme un ex qui réapparaît, non pas pour revenir, mais pour rappeler qu’il a déjà avancé. Oui, le SQBB souffre. Oui, le jeu se cherche. Oui, le doute mord, et la peur s’installe dans les têtes. Et ce vendredi soir, l’ombre de Julien Mahé n’a jamais été aussi présente.

Il faut peut-être accepter l’évidence : aujourd’hui, Julien Mahé ne reviendra pas et Saint-Quentin est à sa place. Pas là où il rêvait d’être, pas là où son public aimerait le voir, mais là où son basket le met. Et ce n’est pas une disgrâce : d’autres ont connu les mêmes cernes, les mêmes certitudes qui tombent, les mêmes soirs où tout vacille.

Ils s’en sont relevés. Parce qu’une saison n’est jamais un verdict en octobre. Saint-Quentin doit trouver sa nouvelle identité. Avec d’autres visages, d’autres équilibres, mais le même socle : la cohésion et le don de soi. Ce club n’a jamais grandi dans la facilité. Son histoire n’a jamais commencé dans la lumière, mais dans la réaction. Et maintenant, la question n’est plus de savoir comment il est tombé, mais si tout le monde est prêt à le relever.

[Snono24]

Hier je n'ai pas pu voir le match étant a un concert.je me suis je vais le mettre samedi après midi.
Et quand je vois vos commentaire et l article de l ' AN on se rend compte que c est la crise on va pas tourner au tour du pot.
Il faut changer rapidement o reilly et certainement par la suite moore et croisons les doigts pour finir 13 ème.
Déçu d en arrive la après tout le travail de fait