Poule A 2024-2025

[Patou]

Victoire de Franconville à Reims : 71-68

Le match se disputait sur le parquet de Franconville.

[Patou]

Champagne Basket Féminin

Communiqué Officiel

En raison de la retransmission TV du match de foot : Reims - PSG, notre 1er match de championnat NF1 face à Sceaux, est décalé au dimanche 22/09 à 15h30, salle René Tys.

#Pétillantes #CBF #NF1

[Patou]

Matchs amicaux de préparation du jour :

- 16h
. Geispolsheim - SIG 2

- 19h
. Colomiers - Feytiat (LF2)

- 20h
. Monaco - Nice (LF2)
. Limoges - Bordeaux
. Sceaux - Le Poinçonnnet

[Patou]

SI Graffenstaden

PRÉ-SAISON NF1

Victoire de nos joueuses sur le parquet de Freiburg pour le dernier match de préparation !
Place au championnat la semaine prochaine !

Allez la SIG !

#SIGFamily

[Patou]

Limoges - Bordeaux : 51 - 46
(18-17, 30-26, 40-32, 51-46)

[drazenmirabelle]

Limoges - Bordeaux : 51 - 46
(18-17, 30-26, 40-32, 51-46)

Grosses défenses ou maladresse ?

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Colomiers - Feytiat : 73 - 83

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Grosses défenses ou maladresse ?

Match amical.

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La Nouvelle République Indre

Pour leur dernier match de préparation avant la reprise du championnat, les joueuses de François Ménival sont tombées (81-66) hier à Sceaux. "Mais il n’y a rien d’inquiétant" selon le coach.

Il y a une semaine, Le Poinçonnet avait rassuré en parvenant à s’imposer (48-61) à Roanne grâce à une deuxième mi-temps de qualité.
La soirée d'hier pourrait avoir jeté un nouveau voile de doute. . . mais François Ménival a un autre discours : "je suis satisfait car on s’est rassuré sur certains points comme l’engagement, l’agressivité, la défense ou la relance. Et on a validé certains de nos acquis".

Alors les 81 pts encaissés, s'ils peuvent inquiéter, ne le seraient pas vraiment car les Poinçonnoises ont lâché le score dans le QT4 après avoir tenu la comparaison avec Sceaux pendant 30 minutes.

Sans Emma Karamovic et avec une Goundo Diallo peu utilisée, le jeune effectif indrien était devant au score à la pause. "Le résultat final m’importe peu car j’ai vu des choses qui me plaisent", ajoute le coach avant de dresser le bilan de la préparation : "On avance de manière intéressante, surtout pour un groupe aussi jeune et qui se découvre".

À vérifier s’il sera prêt, le 21 septembre prochain, lors de la première journée et la réception de Graffenstaden.

[Patou]

Code Sport Monaco et La Gazette de Monaco

C’est un jour historique pour le basket féminin monégasque puisque Monte-Carlo Société des Bains de Mer et Monaco Basket Association, représentés par les présidents Stéphane Valeri et Éric Elena, ont signé ce matin une convention de "partenariat longue durée" au Casino de Monte-Carlo. Des infrastructures de haut niveau seront mises à disposition des joueuses d’Olga Tarasenko dès cette saison. La coach de l'équipe monégasque a profité de l’occasion pour présenter son roster 2024-25, dirigé par la capitaine Lucie Laroche, dans lequel figure 5 nouvelles recrues. Le premier match de championnat NF1 (troisième division française) se disputera samedi soir à l’Annonciade face aux Espoirs du BLMA.

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[joolvm]

^^ ah, super , Demontoux est toujours là

[Patou]

Entendu sur Monaco Info, la capitaine de l'effectif 2024-2025 de Monaco BA : Lucie Laroche : "on a gagné nos 4 matchs de préparation (dont celui face à Nice, ndlr) et on est donc très confiantes pour notre 1er de championnat, à domicile ce samedi".

[Patou]

Journée 1 du 21/09 :

https://resultats.ffbb.com/championnat/ ... 989859&p=1

[Patou]

La Nouvelle République Indre

Le Poinçonnet Basket 2024-2025 : ambitieux mais pas trop !

Aux portes de la Phase Finale NF1 et de la Ligue 2 lors des deux précédents exercices, Le Poinçonnet Basket vise à nouveau le haut du panier pour la saison 2024-2025. Mission possible mais pas simple avec un effectif remodelé et considérablement rajeuni qui conserve cependant des fondations solides avec ses locomotives Grissett, Pillet et Kiluangu.

Au moment où Le Poinçonnet Basket va débuter son championnat NF1, une question s’impose d’emblée : quel arbre cache son retour programmé dans son cocon de la Forêt cette saison ? "Je suis très content de retrouver notre gymnase, qui ressemble plus à une vraie salle de basket, avec une ferveur du public qui s’entend plus que dans le CTR", se réjouit à l’avance François Ménival.

Sauf que d’ici "ce grand jour" (probablement lors de la réception de Roanne le 1er février 2025), la moitié du championnat aura été disputée, suffisant pour se faire une idée précise de son rang exact.

Car à la veille du grand saut de ce samedi 21 septembre, avec la réception de Graffenstaden au CTR, tout pronostic est hasardeux et délicat concernant cette équipe qui ne ressemble plus vraiment à celle qui a campé dans les cimes du classement, ces deux saisons.

"L’ambition du club, c’est de finir dans le haut du tableau. Pour moi, le haut de tableau c'est le Top 5 du classement final. Je pense qu’on devrait être dans les objectifs fixés. Est-ce qu’on sera plus près du 1 ou du 5 ? Je ne sais pas, c’est très compliqué de me prononcer" admet son coach qui reste dans l’expectative face à une concurrence forcément aiguisée par l’unique strapontin qui mènera à l’étage supérieur puisque désormais seule la première place de la Poule à l'issue de la saison régulière permettra l'accession en Ligue 2 (la Phase Finale NF1 ayant été supprimé par la FFBB).

Si François Ménival, coach du Poinçonnet Basket, hésite, c’est aussi parce qu’il ne connait pas encore précisément le niveau que peut atteindre son nouvel effectif, délesté en grande partie d’expérience (M’Baïkoua, Cloarec, Mipoka, Borde) et renforcé par un bataillon de jeunes au maigre bagage (Rodrigues, Diarra, Hanifi, Labesse), hormis le renfort de la Suédoise Emma Karamovic, seule véritable plus-value d’apparence sur le papier : "Le petit cran qui peut nous faire mieux performer, il va tenir en la progression des jeunes, reconnaît le technicien normand. C’est le pari qu’on fait cette saison".

François Ménival va donc devoir pianoter avec doigté pour tirer le meilleur d’un groupe à la maturité diverse.

Pari forcé par le rabotage de la masse salariale dédiée à l’équipe première, environ 70.000 € de moins par rapport à la saison dernière : "Le club veut remettre le budget à l’équilibre et le premier secteur d’économie était l’équipe NF1. C’est ainsi et je suis satisfait de notre recrutement avec moins de moyens", souligne Ménival.

Dès lors, sauf explosion d’une ou deux jeunes de la rotation, il est évident que la performance du Poinçonnet va être suspendue à la forme de ses leaders. "Je dois faire attention à deux choses : faire en sorte de maintenir le niveau de performance de LeLe Grissett, Isadora Pillet, Emma Karamovic, Goundo Kiluangu et faire franchir des paliers aux cinq autres", résume l’entraîneur poinçonnois.
Mine de rien, c’est un petit chantier pour les basketteuses du Poinçonnet qui auront surtout le regard tourné vers l’Est - Sud-Est, cette saison.

[Patou]

La Nouvelle République Indre

Emma Karamovic, la "Madame Plus" de Le Poinçonnet Basket cette saison, est une joueuse polyvalente et la Recrue Phare de l’intersaison. La Suédoise de 28 ans sera un élément déterminant dans la saison du club indrien qui débutera sa saison 2024-2025, ce samedi 21 septembre, avec la réception de Graffenstaden.

Emma Karamovic aime le basket et les voyages, deux passions qui font sa vie et son bonheur. À 28 ans, la grande Suédoise (1,84 m) a déjà vécu sur trois continents et dans cinq pays différents, au fil de sa carrière dans l'univers de la balle orange.

De son pays natal au Pays basque espagnol, où elle jouait la saison dernière pour le club de Domusa, en passant par les États-Unis, l’Allemagne, l’Islande et l’Australie, la native de Boras a déjà beaucoup roulé sa bosse. "Quand j’étais jeune et que j’ai compris que je pourrais faire carrière dans le basket, j’ai fait une liste de pays dans lesquels j’aimerais jouer et la France en faisait partie", dit-elle.

Désir qu’elle va assouvir cette saison au Poinçonnet, dont elle est la recrue majeure de l’été pour former un binôme d’ailières dévastateur aux côtés de LeLe Grisset, MVP NF1 en titre. "Emma est un peu comme LeLe. Ce sont deux joueuses de grande taille qui peuvent tout faire sur le parquet et qui vont me donner l’opportunité d’avoir une palette tactique très large", précise François Ménival.

Débarquée dans l’Indre, dès la reprise de l’entraînement, le 12 août dernier, Emma Karamovic s’est vite fondue dans le décor poinçonnois. "On a un super groupe et ça blague beaucoup entre nous, c’est important à mes yeux pour la vie de groupe', assure celle qui a appris à être prévoyante, l’expérience aidant.

"Dans ma carrière, j’ai croisé tellement de joueuses qui ont vécu des expériences difficiles car elles arrivaient dans un mauvais contexte sans le savoir. Alors, quand François m’a contactée, j’étais excitée mais je me suis d’abord renseignée sur le club. Dès que j’ai compris que c’était un bon environnement, j’ai signé. Pour bien jouer au basket, il faut être bien dans sa tête", appuie celle qui a remporté la Ligue 2 espagnole la saison dernière avec son club basque.

Elle n’en espère pas moins en découvrant la troisième division française. "On peut gagner le championnat, c’est le but. Mais chaque chose en son temps. Tout ce que je sais, c’est que nous avons une équipe avec des filles qui ont des qualités différentes. En les combinant comme il faut, on peut faire de grandes choses", estime la Suédoise, impatiente de relever ce nouveau challenge. "Je sais que le basket pratiqué en France est très différent de celui des autres pays f'Europe, très physique et très rapide. Mais c’est cool et je suis prête !".

Mais peut-être pas dès la journée d’ouverture, ce samedi 21 septembre, avec la réception de Graffenstaden . . .
Gênée par une blessure musculaire à la cuisse, Emma Karamovic n'a pas disputé les deux derniers matchs de préparation du Poinçonnet. Préservée pour mieux réussir son entrée ?