NF3 POULE E 2024-2025

[Fenek]

La poule 2025 2026 devrait ressembler à celle de cette année, Vitré remplacera l’Avenir et peut être que Montgermon remplacera Lorient. La seguiniere pourrait bien se maintenir et les 3 équipes qui descendent pourraient être remplacées par les montées de PDL.

[basketbreton]

attention le club de Vitré est actuellement en train de gérer ses problèmes financiers avec son équipe garçon en N1 et pas sûr que le club accepte d'engager son équipe fille en N3 et se mettre une balle dans le pied au niveau financier.

[basketbreton]

OF
Basket. Grez-Neuville fait le grand saut en Nationale 3 féminine

Pour la première fois de son histoire, l’ESSJ Grez-Neuville va s’inviter à l’échelon national et découvrir la Nationale 3 féminine, dès l’été prochain. Une marche supplémentaire que le club aborde sereinement.
L’ESSJ Grez-Neuville découvrira les joutes de la Nationale 3 à partir de septembre prochain.

L’idée leur trottait dans la tête en début de saison. Sans en faire une obsession. Sans se mettre une pression démesurée. Au terme d’une campagne 2024-2025 solide, les joueuses de Grez-Neuville ont finalement arraché le précieux sésame pour accéder à la Nationale 3. Du jamais vu aux portes du Haut-Anjou. " On l’avait prévu dans le projet club ", explique Hervé Dublé le président de l’ESSJ. " Mais dans trois ou quatre ans. Pas dès cette année ", sourit le dirigeant, loin d’être déboussolé par cette perspective. Si le gouffre entre Pré-Nat et N3 peut impressionner, à Grez-Neuville, on l’envisage sans trembler. L’habitude peut-être d’avoir gravi les étapes pas à pas, ces derniers temps. Comme il y a deux ans, lors de la montée de l’équipe féminine au plus haut niveau régional.

Hervé Dublé : « Monter une équipe qui pourra durer dans le temps »

Artisan de cette progression, l’entraîneur Marvin Menant a su tirer le meilleur de son groupe tout au long de l’exercice. Ce ticket pour la N3, " c’est une très bonne chose pour le club ", admet le coach qui partira sous d’autres cieux à l’intersaison (voir ci-dessous). " Pour tout ce que les filles ont donné. Tous les sacrifices. Elles ont été plus régulières cette saison. Collectivement, on a réussi quelque chose. On valide le projet. "

Un effectif constitué d’éléments biberonnés au club. Depuis des lustres pour certaines joueuses, comme la capitaine Anne-Cécile Bellanger, 32 ans et une première licence à l’ESSJ signée en 1999 en catégorie U9. Évoluer en N3, " c’était assez inespéré pour moi ", dit-elle ravie. Elle qui a connu toutes les promotions de l’équipe sénior depuis… la Départementale 3 ! " L’année prochaine, ce sera encore une autre expérience. Ce sera une nouvelle aventure. On a beaucoup travaillé pour en arriver là. " Et terminer la saison actuelle à la 3e place de leur poule de Pré-Nationale. Malgré quelques petits creux au cœur de l’hiver. " On a toujours su se relancer et notre cohésion d’équipe a permis de nous remobiliser ", souligne Anne-Cécile Bellanger. " On retient surtout le collectif et tout le public derrière nous. On a joué à 11 cette saison avec le public. "

Désormais, l’état-major du club va se pencher sur le futur proche. Car la Nationale 3 demande forcément quelques ajustements. " Il y aura quelques frais supplémentaires ", convient Hervé Dublé. " On essaiera de faire en sorte que les filles soient dans les meilleures conditions. Mais nos partenaires nous ont contactés et sont déjà prêts à nous aider un peu plus. Donc il n’y a pas d’inquiétude. On espère aussi que la mairie nous aidera un peu plus (sourire). "

Quant à l’équipe, hormis sur le banc (l’assistante Virginie Vignais ne sera pas non plus de la partie), ce ne sera pas la révolution de palais. Pour le moment, seule Romane Sodreau, au club depuis l’âge de 5 ans, a fait ses adieux. " Potentiellement, il y aura une ou deux recrues. Mais le but à Grez-Neuville, c’est toujours de garder l’ossature historique des joueuses formées chez nous ", insiste Hervé Dublé. " L’idée sera aussi d’intégrer les U18 région petit à petit dans l’effectif pour arriver à monter une équipe qui pourra durer dans le temps. " Et ne pas effectuer un simple aller-retour en N3. " On verra ce que ça donne. Pas de pression (sourire). À nous de prendre tout ce qu’il y a à prendre ", s’enthousiasme Anne-Cécile Bellanger. Pour s’installer en Nationale 3. Pas plus. " Le plafond de verre, on y est ", conclut humblement Hervé Dublé. Même si, incontestablement, Grez-Neuville va changer de dimension. Et pourquoi pas écrire un nouveau chapitre glorieux de l’histoire du club.

À savoir : Maxime Cesbron comme futur coach

Assistant de David Gautier à l’UF Angers (en Ligue 2 et en Ligue Féminine) puis à l’Asvel (Ligue Féminine) jusqu’en 2024, Maxime Cesbron (36 ans) va succéder à Marvin Menant sur le banc de Grez-Neuville pour guider l’équipe en Nationale 3 féminine. " Marvin part pour un projet à Paris ", indique le président Hervé Dublé. " Du coup, on a cherché et on a trouvé Maxime Cesbron qui est quelqu’un d’un peu connu dans le milieu (sourire). On a discuté et le projet l’intéressait dans un club familial. Dès ce lundi, on va se rencontrer et la transition va se faire tranquillement. On a de la chance. " Le tacticien originaire de Beaupréau aura donc pour mission principale de tenter de maintenir Grez-Neuville en N3, la saison prochaine.

[basketbreton]

OF
Après l’accession, les basketteuses de l’Aurore Vitré visent la coupe

Après avoir décroché l’accession en Nationale 3, les basketteuses de l’Aurore Vitré en Ille-et-Vilaine vont à la conquête de la coupe de Bretagne samedi 7 juin 2025 à Auray (Morbihan). Un doublé est espéré !
Les seniors filles de l’Aurore basket-ball.

« Les filles ont à cœur de bien finir leur saison. On s’est pris au jeu de la coupe au fil des tours. Il faut maintenant gravir une dernière marche pour aller chercher un trophée que le club n’a pas remporté depuis dix ans », observe Florian Houeix, l’entraîneur vitréen, qui va emmener, samedi soir, un groupe de douze joueuses pour aller défier Ploufragan. « C’est l’occasion de récompenser des filles qui s’investissent dans le projet féminin du club. »


« Une ambiance, une atmosphère »

Face à Ploufragan, une équipe de Régionale 2 entraînée par un ancien joueur de l’Aurore, Benjamin Bourserie, il faudra réussir une grosse finale. Rien ne sera facile. « On va partir avec un handicap de sept points puisque l’on évolue une division au-dessus de notre adversaire. L’objectif premier sera d’être concentré sur notre jeu et développer notre jeu rapide. La coupe, c’est une ambiance et une atmosphère différente. Les filles ont hâte d’y être. »

L’équipe vitréenne constituée de jeunes basketteuses bien encadrées par des éléments d’expérience a toutes les cartes en main pour aller chercher la coupe de Bretagne. Rendez-vous à 17 h 30, samedi 7 juin, à Auray (Morbihan), avec sans doute de nombreux supporters vitréens dans la salle pour pousser leur équipe vers la victoire.

[Fenek]

A priori l’équipe 2 de Lamboisieres refuse la montée, cela va offrir la montée à la CTC du vignoble qui a eu 12 défaites cette année …..

[basketbreton]

A l'image du 3 ou 4eme de NF2 qui est sollicité pour monter en NF1 ...

[basketbreton]

OF
Basket. Nationale 3 F : Emmanuel Coeuret, ex-coach de Nantes Rezé, rebondit à la Saint-Rogatien

Entraîneur des filles de Nantes Rezé (Ligue féminine) de 2012 à 2020, Emmanuel Coeuret va prendre en charge les filles de N3 de la Saint-Rogatien. En attendant de trouver un autre club…
Emmanuel Coueret, ici en 2013 avec les filles de Nantes Rezé.
C’est une tête bien connue des amateurs de basket de la région qui débarque chez les féminines de la Saint-Rogatien (Nationale 3). En effet, Emmanuel Coeuret - ex-entraîneur des filles de Nantes Rezé (Ligue féminine) de 2012 à 2020 - va remplacer la saison prochaine Steven Trouillet.
Depuis sa longue expérience au NRB, le technicien de 55 ans officiait chez les hommes. Il sort tout juste d’une expérience de coach adjoint à l’Elan Chalon (Elite). Il est passé aussi au Paris basket et à Orléans.
Emmanuel Coeuret se donne quelques mois pour trouver un autre club professionnel et un autre défi plus important.

[Skarbek44]

OF
Basket. Nationale 3 F : Emmanuel Coeuret, ex-coach de Nantes Rezé, rebondit à la Saint-Rogatien

Entraîneur des filles de Nantes Rezé (Ligue féminine) de 2012 à 2020, Emmanuel Coeuret va prendre en charge les filles de N3 de la Saint-Rogatien. En attendant de trouver un autre club…
Emmanuel Coueret, ici en 2013 avec les filles de Nantes Rezé.
C’est une tête bien connue des amateurs de basket de la région qui débarque chez les féminines de la Saint-Rogatien (Nationale 3). En effet, Emmanuel Coeuret - ex-entraîneur des filles de Nantes Rezé (Ligue féminine) de 2012 à 2020 - va remplacer la saison prochaine Steven Trouillet.
Depuis sa longue expérience au NRB, le technicien de 55 ans officiait chez les hommes. Il sort tout juste d’une expérience de coach adjoint à l’Elan Chalon (Elite). Il est passé aussi au Paris basket et à Orléans.
Emmanuel Coeuret se donne quelques mois pour trouver un autre club professionnel et un autre défi plus important.

Super nouvelle pour le club de la St RO mais du coup le coach actuel, il devient quoi ?

[basketbreton]

Basket-ball. Saint-Pavin veut s’installer sur la durée en Nationale 3 féminine

Maintenu après une saison 2024-2025 éprouvante, Saint-Pavin souhaite s’inscrire durablement en NF3. Plusieurs changements doivent s’opérer.
Toute la saison, les Vertes de Saint-Pavin, ici Marie Gloaguen, ont couru après le maintien, non sans plusieurs pépins physiques.

Plus d’un mois après le renouvellement de leur bail en NF3 la saison 2025-2026, Guillaume Coulbaut et les dirigeants manceaux de Saint-Pavin ont vite dressé le bilan de la saison écoulée et se sont rapidement projetés sur la suivante. « Le bilan est forcément mitigé. Au-delà des objectifs fixés en début de saison où on visait le top 5, le côté mitigé vient du fait que l’on a dû batailler jusqu’à l’avant-dernier match pour assurer le maintien », explique le coach sarthois. Il estime que cette fin de saison aurait pu être évitée. « On aurait dû et pu prendre certains matches si nous avions montré plus de caractère. C’est un soulagement en tout cas d’avoir validé notre maintien, surtout dans la formule actuelle du championnat, ce qui est loin d’être évident, avec quatre descentes. Nous avons manqué trop de choses pour vivre une autre saison. En plus de l’aspect basket, c’est un manque de caractère. »
Une équipe remaniée

L’autre paramètre qui a donné des difficultés aux Pavinoises, ce sont les blessures. Et notamment le long arrêt d’Assa Kanouté, le pivot des Vertes. « La blessure d’Assa a pesé dans notre équilibre et dans notre dissuasion intérieure, admet l’entraîneur. On a souffert de cette fragilité dans ce secteur durant toute la saison, car Assa s’est blessée dès le 3e match de championnat. »

Pour la saison prochaine, qui débutera le 21 septembre, Saint-Pavin fait peau neuve ou presque. Majenaba Dramé, Manon Ballon et Marie Verneau disent stop et seront remplacées par les promotions en interne de Luna Plaquet et Alisson Ballon, mais aussi par les arrivées de l’expérimentée Pauline Routaboul (Ouistreham, NF3) et de Juliette Mauclair (Alençon, NF3) qui retrouvera son ancien entraîneur des U18F aux JS Coulaines.

Guillaume Coulbaut attendra de ses joueuses un caractère plus affirmé, mais surtout la prise de recul nécessaire afin de ne pas réitérer les erreurs du passé. « On devra être plus performants à domicile, être plus sereins, prévient-il. Mais aussi progresser, en tant que groupe, dans le combat. Pour s’assurer un maintien le plus tôt possible, notre défense devra conduire notre jeu d’attaque. » Les erreurs servent à aussi tirer des leçons. Et les Mancelles doivent maintenant montrer qu’elles ont compris pour offrir une saison aboutie et moins stressante.

Effectif 2025-2026

J. Heuzard, L. Portier, M. Gloaguen, E. Marreau, C. Joyeux, A. Kanouté, H. Benmamoud, A. Ballon, L. Plaquet, P. Routaboul, J. Mauclair

Départs : M. Dramé (arrêt), M. Ballon (arrêt), M. Verneau (arrêt)

Arrivées : A. Ballon (Saint-Pavin, équipe 2), L. Plaquet (Saint-Pavin, équipe 2), P. Routaboul (Le Mans SOM), J. Mauclair (Alençon, NF3)

[basketbreton]

Rennes Avenir confirme sa montée en N2 et cherche une meneuse pour l'année prochaine alors que le club sera encore limité financièrement l'année prochaine et que 2 autres clubs rennais seront alignés en N3 (CPB Rennes et Montgermont). Une fois de plus, il n'y aura pas d'alliance entre les clubs avec le risque évident d'un aller retour en N3 dans un an pour le club rennais.

[Fenek]

À Carquefou arrivent Lou Ann Briand ( riez vie et Valence en Espagne)et Ines Hamindet (Douvres)
Alexia Ivala (St Rogatien) et Pechart (Rennes Cpb) signent à Rennes avenir.
Des news de Rennes Cpb ???

[basketbreton]

OF
N3 Basket-ball. Les féminines de Grez-Neuville en N3, la folle ascension continue

Après une saison terminée à la troisième place de leur poule en Prénationale, les séniors féminines de l’ESSJ Grez-Neuville évolueront en Nationale 3 la saison prochaine, une première dans l’histoire du club. Cette équipe continue de gravir les échelons, et sera récompensée par l’arrivée de l’entraîneur Maxime Cesbron, passé par l’Ufab et l’Asvel.
Grez-Neuville fête sa montée en N3 après le dernier match à domicile, le 25 mai.

Ce n’était peut-être pas attendu. Il n’empêche que c’est désormais bien réel. L’équipe première féminine de Grez-Neuville vient de valider sa montée en Nationale 3, au terme d’un bouquet final exceptionnel, le 25 mai à domicile face aux Fréchets de Saint Nazaire (75-37). Pour leur deuxième saison en Prénationale, les joueuses de Marvin Menant, passées par la Départementale 3 en 2010, gravissent rapidement les échelons. "On avait redéfini le projet du club l’année dernière. L’idée était d’envisager une montée d’ici deux, trois, ou quatre ans, mais c’est arrivé plus tôt que prévu", savoure le président, Hervé Dublé.

Maxime Cesbron, un coach plein d’ambitions

Et comme une bonne nouvelle n’arrive jamais seule, l’entraîneur Maxime Cesbron, originaire de Beaupréau, sera sur le banc grez-neuvillois à partir de la saison prochaine. L’ancien adjoint de David Gautier à l’ASVEL, aussi passé par l’UFAB, a été séduit par le projet du club du Haut-Anjou. "Ce n’est pas très loin de chez moi. C’est un club familial, tout en ayant des objectifs de compétition", expose le principal intéressé. Des objectifs sportifs, il y en a. Car si le club a atteint la meilleure division de son histoire, ce n’est pas l’aboutissement du projet.

Hors de question de faire le tant redouté ascenseur au niveau inférieur après une montée historique. Le futur tacticien l’a bien compris, et se montre même très audacieux. "Pour moi, viser le maintien n’est pas un objectif. Il faut peut-être tenter un top 5. Je pense qu’il faut être ambitieux pour motiver les joueuses", explique-t-il.


Au vu de son expérience, nul doute qu’il sera entendu par son groupe. D’ailleurs, c’est sûrement ça, la clé de voûte de cette équipe. Un vestiaire soudé, majoritairement composé de joueuses formées au club. Et pour l’année prochaine, pas question de changer de formule.

"L’idée est de garder la même ossature. 80 % de l’effectif actuel restera inchangé", assure Cesbron. En plus des deux recrues pour renforcer le groupe, la montée de quelques joueuses U18 dans l’équipe première est aussi dans les plans du président, pour préparer le futur de l’ESSJ. Et perpétuer l’ADN de ce club : poursuivre la folle ascension avec des joueuses issues de la formation.

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1ere recrue au Rennes CPB : tiphanny Tempette poste 1 1m70 (Nice PNF, ex Chesnay Versailles N2)

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OF
Basket-ball. N3F : « Ce défi m’intéressait », avance Gallienne, nouveau coach du Pays de Laval

Pour la saison 2025-2026, Émilien Gallienne est le nouveau coach du Pays de Laval Basket. L’occasion de faire connaissance avec lui et de faire le point sur ses projets et ambitions avec l’équipe mayennaise en N3F.
Au club depuis 2019, Émilien Gallienne est le nouveau coach du Pays de Laval Basket pour l’équipe N3F en 2025-2026.

Entretien

Pour la saison 2025-2026, Émilien Gallienne, 28 ans, est le nouveau coach du Pays de Laval Basket. L’occasion de faire connaissance avec lui et de faire le point sur ses projets et ambitions.

Quel a été votre parcours comme joueur ?

J’ai commencé en U12 à Bonchamp. Après, j’ai évolué au niveau régional en U15 en entente avec Argentré puis avec Évron en U18. J’ai continué 3 ans à Evron (R3M). En 2019, je suis arrivé à l’US Laval (R2M puis Prénationale). Mon parcours de joueur va s’arrêter pour des raisons familiales (il vient d’être papa avec Amélie Pavé, joueuse du PLB).

Et comme entraîneur ?

Je suis arrivé comme entraîneur un peu par hasard à Bonchamp, où on m’a invité à prendre en charge les U13M. J’ai vite accroché et lors de mes années à Evron, j’ai passé mes diplômes fédéraux. Puis en 2019, j’ai commencé au PLB avec les U13F puis U15 et U18 avant de repartir cette saison avec les U13, qui viennent de terminer championnes régionales. J’ai également participé aux sélections départementales, comme assistant de Davy Soubeyrand sur la génération 2007, puis comme coach en titre sur les 2011.
« Première mission ? Élever le niveau d’intensité »

Comment vous êtes-vous retrouvé à la tête de la N3F ?

Jeff Guilleux avait la volonté de prendre du recul. J’avais l’ambition de reprendre cette équipe. Conjointement, on en est venu à s’entendre pour que je devienne le coach principal, lui conservant des fonctions d’assistant. Ce défi m’intéressait.

Comment sont répartis les rôles ?

Jeff aura un rôle d’assistant sur les matches à domicile et sur un entraînement par semaine. Jean Clavreul sera mon 1er assistant, il sera là sur une majorité de séances et sur toutes les rencontres. Donc on a pas mal de missions à se répartir sur la préparation des rencontres et la gestion des entraînements. On pourra compter sur leur expérience. L’idée est qu’on apporte chacun nos qualités, qui sont complémentaires.

Quels sont vos objectifs ?

Le premier objectif c’est forcément de se maintenir sportivement et le plus rapidement possible. Mais on a surtout un objectif de faire progresser les joueuses. Ma première mission sera d’élever le niveau d’intensité, d’énergie, dont on peut faire preuve. Essayer de consacrer plus de temps au développement individuel et à la préparation physique, pour mettre les outils derrière nos ambitions. Et enfin, continuer d’intégrer les jeunes.

Ça suppose d’augmenter la quantité d’entraînement ?

On reste sur deux séances semaine parce que malgré tout, j’ai des joueuses qui sont mamans aussi. Les jeunes s’entraîneront trois fois. Au lieu d’augmenter le nombre de soir, j’augmente le temps de pratique hebdomadaire d’environ 1 h.
À découvrir

À quoi va ressembler votre effectif ?

On aura un groupe de 12 joueuses. Toutes continuent sauf Deschamps (arrêt), Rousseau (blessure). Letessier revient et Diakhité a toujours la volonté de faire partie du groupe, mais ne peut pas physiquement pour l’instant. Arrivent Coline Billaud (Andard-Brain) et Luna Désert (Nord Mayenne) deux joueuses de 2005.

[basketbreton]

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Basket-ball. Promu en Nationale 2, l’Avenir de Rennes voit l’horizon s’éclairer

Alors qu’il a fallu attendre la décision du gendarme financier du basket français, l’Avenir de Rennes a vu sa montée en N2 validée, au cœur du mois de juin. Une « récompense » alors que le club veut voler de ses propres ailes.

Lise Djapo et l’Avenir de Rennes ont validé leur accession en N2.

Au terme d’une saison remarquable, le club de l’Avenir de Rennes s’offrait sportivement une montée en Nationale 2. Un championnat quitté une saison plus tôt, la faute aux difficultés financières, alors rétrogradé en Nationale 3.

Cette saison encore le suspense était au rendez-vous. La DNCCG, gendarme financier du basket, allait scruter et étudier le dossier de l’Avenir de Rennes afin de déterminer si les conditions financières étaient respectées. Le 13 juin tombait la décision d’accepter l’accession du club en Nationale 2 pour la plus grande joie de la présidente de l’Avenir de Rennes, Johanna Ghozland. « C’est un soulagement évident pour tout le club, à la fois pour les joueuses, les bénévoles, les membres du bureau… Cette décision valorise notre travail tout au long de cette saison. »

En effet, il y a eu lors de cet exercice quelques remaniements et ajustements, comme elle l’explique. « Il a fallu, déjà, accepter cette situation, pas simple pour les joueuses qui avaient gagné sur le terrain le droit d’être en NF2. Puis au niveau du club avec les nouveaux locaux, un nouveau bureau. Il fallait une remise à niveau essentielle pour repartir sur des bases saines. »

Une priorité lorsque le côté financier est mis à mal. Les subventions ont clairement chuté et aujourd’hui, nombreuses sont les structures qui en souffrent. Néanmoins, la situation de l’Avenir de Rennes est stable et a permis de recevoir l’aval de la fédération pour évoluer à nouveau en NF2. « Nous avons établi un bilan comptable et un projet financier qui visaient l’équilibre. Il est atteint et cela nous a offert la possibilité de retrouver la Nationale 2. Les efforts de chacun ont été récompensés. »

Dans la foulée une autre information a filtré : celle de sortir du cadre de l’URB (l’Union Rennes Basket). Un souhait émis par la volonté de donner une plus grande place au pôle féminin, précise Johanna Ghozland. « Nous étions les fondateurs de ce projet avec le Rennes PA. Mais au fil des saisons, il est devenu difficile de créer des pôles de formation et de haut niveau à la fois en catégories féminines et masculines. Le choix a été fait de notre côté de sortir de cette union pour nous recentrer sur le club et nos objectifs de formations des plus jeunes. Et de développer le haut niveau, notamment féminin. »

Avec le retour en Nationale 2 et une volonté d’asseoir l’équilibre du club, souhaitons que le futur soit propice aux envies de L’Avenir de Rennes Basket.