moi j'en suis incapable


Modérateur : Modérateurs Pro B
Oui ,je comptais également sur sa participation collective . Pour Paul-Lou , je ne pense pas qu'il sera opérationnel pour demain soir
Paul-Lou avait déjà apporté la saison dernière, il devrait confirmer cette saison, c'est un poste 2 complet .RICO 29 a écrit : ↑lun. 14 sept. 2020 20:38 non pour demain c'est mort, il vaut mieux qu'il prenne son temps.Je ne sais pas si tu t'en souviens mais j'avais parlé de lui comme le facteur X pour cette saison car je pensais qu'après sa blessure à CAEN il allait retrouver son niveau de 3 ans en arrière et ainsi soulager David ....de plus il bon défenseur et et peut nous "claquer" des 3 points comme le 1 er match contre Nantes
Merci d'avoir partagé cet article Clemgo20.Clemgo20 a écrit : ↑lun. 14 sept. 2020 22:11 Ah ah me voilà un peut tard mais voici le fameux article de OF
Basket-ball. Béliers de Kemper : Avec Varanauskas, c’est la rentrée de la classe
Les Béliers de Kemper lancent officiellement leur saison, ce mardi soir (20 h), à Poitiers, pour la première journée de la Leaders Cup Pro B. Après une préparation mitigée, l’Ujap va compter sur son meneur, le Lituanien Ovidijus Varanauskas, pour lui permettre de franchir des paliers. Portrait d’un homme de classe, qui a roulé sa bosse.
La cartographie du basket mondial escorte son lot de représentations. Les Ricains sont relax, les Espagnols forts en gueule… et les Lituaniens froids et distants. Denrée rare en Pro B, les meneurs baltes se présentent en fait à contre-courant de ce qu’est l’ADN de la division. Ou le muscle vaut parfois plus que le QI basket.
En ce sens, Ovidijus Varanauskas, le néo-patron très cérébral des Béliers de Kemper, n’est-il pas censé trancher ? « Je sais pourquoi je suis venu, sourit Ovi, dans un anglais qui roule allègrement les r. Je suis un joueur de systèmes. C’est la chose la plus importante qui soit, que de savoir qui vous êtes, et comment vous allez pouvoir jouer. » La froideur cacherait en fait une forme d’humble assurance.
« J’ai quelques regrets »
Avec l’ex-grand espoir du Lietuvos Rytas, l’un des clubs rivaux du grand Zalgiris Kaunas (le PSG à la mode lituanienne), l’Ujap ne peut pas encore se vanter d’avoir réussi son coup. En revanche, il y a fort à parier qu’elle ne se soit pas totalement plantée. S’il est un terme qui puisse qualifier l’ex-international U16, U18 et U20 (3e des championnats d’Europe 2007), il serait à chercher du côté d’une forme de fiabilité sous tous les aspects. Son shoot est cadencé (49 % à 3 points l’an passé avec Mamak, en Turquie), son sens de la passe reconnu, et sa maîtrise du rythme sa marque de fabrique. Le tout escorte une forme de classe et d’esthétisme, à l’heure où l’Ujap répète largement ses gammes, après une préparation mitigée.
Amoureux de la France, déçu par son expérience italienne (il a joué à Varèse), Varanauskas demeure, aussi, un éternel espoir qui ne s’est pas perdu, mais qui est rentré dans le rang. « J’ai quelques regrets. J’ai été un grand espoir, mais vous savez, en Lituanie, il y a un jeu assez malhonnête qui consiste, pour certains coaches des équipes nationales, à prendre des joueurs qui évoluent dans le club dans lequel vous entraînez… »Aussi, Ovipréfère-t-il retenir la longue maturation dans son pays. Mais à partir de ma saison à Rouen (en 2017-2018), je ne regrette rien.
Même pas son chemin de croix limougeaud. En Haute-Vienne, le Lituanien a pu retrouver un temps la touffeur des salles baltes, lui qui a connu les joutes européennes (avec Varèse en 2016-2016 puis avec le CSP l’an passé). Il n’a en fait trouvé qu’une voie de garage, au point que son nom avait circulé sur les bords de l’Odet, dès novembre, quand Laurent Foirest et l’Ujap pleuraient la blessure du Bulgare Stanimir Marinov. « Pour lui, ce n’était pas le bon moment pour nous rejoindre », se rappelle le coach quimpérois.
Finalement, le prêt du Strasbourgeois Ludovic Beyhurst avait eu raison des dernières projections de Varanauskas dans la moiteur de Beaublanc. A l’inverse, le meneur a conservé l’idée de donner suite à la main tendue de Quimper. Et de celle d’un coach qu’il a toujours observé, sinon admiré. « Pour moi, Foirest, ça veut d’abord dire la finale des Jeux de Sydney », opine celui qui se voit bien s’asseoir sur un banc à son tour, le Veleda à la main. Un jour. « Comme lui, poursuit Varanauskas, je n’ai jamais aimé le basket run and gun (en gros, le basket fait de choix en première intention). » Quimper et Varanauskas sont sans doute faits pour s’entendre.
mick29 a écrit : ↑mar. 15 sept. 2020 14:21 Ewan Le Carour ( 18 ans , poste 1/2 ) intègre le groupe PRO des Béliers .. Il rejoint Adrien Sclear ( 18 ans poste 4 ) . J'ai bien aimé l'apport de ses 2 jeunes lors des matchs amicaux
. Les Béliers KEMPER dispose maintenant d'un effectif de 12 joueurs . Paul-Lou a repris l'entrainement , on devrait le revoir cnotre Nantes en leader's cup .
L'équipe a acquis des petits automatismes durant les matchs amicaux , je pense que les Béliers devraient etre compétitif ce soir , contre une équipe de Poitiers qui a complètement changé de visage . On va revoir Thomas Prost en PRO B , avec plaisir