[BÉLIERS KEMPER UJAP] 2020 / 2021 - (21V / 13D)

[Clemgo20]

Faut voir avec le club

[mick29]

un live de prévu dimanche ?

Peut etre qu'on pourra voir le match en tribune à Concarneau , en respectant les gestes barrières , distanciation et port du masque .

[mick29]

200 spectateurs max . J'ai assisté aux deux matchs amicaux de foot de l'US Concarnoise contre Granville et Saint-Brieuc , dans 2 petits stades Trégunc et Melgven , tout c'est très bien passé , tous les spectateurs ont bien respecté les consignes sanitaires . Si les clubs de basket commencent à jouer tout leurs matchs amicaux à huis clos , on est mal barré pour la suite de la saison ! C'est envoyer des mauvais signes aux supporters des clubs de basket , ainsi qu'a la LNB , genre les clubs sont incapables de gérer la crise sanitaire et préfère jouer à huis clos !!! D'ailleurs pourquoi le match contre Nantes s'est joué à huis clos ( capacité de la salle 4100 places ) . Que je sache les spectateurs ne sont pas en contact avec les joueurs et la jauge des rassemblement en milieu confiné est de 5000 spectateurs ... A chacun d'etre responsable et de respecter les consignes sanitaires .

[mick29]

Faut voir avec le club

Ouvrir une billetterie en ligne du club , en limitant la capacité à 200 places par exemple , la salle à Concarneau est assez petite . L'idéal aurait été de jouer à Quimper ou à Lorient , les salles peuvent recevoir plus de monde .

[mick29]

En plus le revetement du parquet de la salle de Concarneau , il n'est pas top . Risque de blessures pour les béliers et les joueurs du CEP Lorient .

[RICO 29]

le Télégramme de Samedi annonce 450 places pour le match , la billetterie est déjà ouverte et l'ouverture des portes est "envisagée" pour 16h30

[mick29]

le Télégramme de Samedi annonce 450 places pour le match , la billetterie est déjà ouverte et l'ouverture des portes est "envisagée" pour 16h30

Ah ok , autant pour moi , comme je n'achète pas la presse . 450 places , en respectant la distanciation , ça ma parait beaucoup pour une petite salle comme à Concarneau !

[RICO 29]

ce soir match NANTERRE-CHALON.REIMS retransmission sur le facebook du club de NANTERRE à 17h30 l'occasion de revoir L DUSSOULIER....

[Clemgo20]

Pas de diffusion prévu dimanche à moins qu'un particulier souhaite le faire ...

[mick29]

Pas de diffusion prévu dimanche à moins qu'un particulier souhaite le faire ...

Merci pour l'info Clemgo 20 . .

[Clemgo20]

Article Ouest France :

Basket-ball. Béliers de Kemper : C’est déjà un autre Ryan Reid…

A bientôt 34 ans, Ryan Reid entame sa deuxième saison dans le Finistère. Son confinement en Floride a eu du bon : le pivot américano-jamaïcain a retrouvé le Finistère avec une sacrée collection de kilos en moins sur la balance, par rapport à l’an passé…

Et soudain, les doutes ont pu germer à nouveau… Non utilisé samedi dernier lors du cours revers des Béliers à Nantes, pour le premier volet amical de pré-saison du club quimpérois, fallait-il en déduire que Ryan Reid avait posé le pied en France hors de forme ? On arrête de suite : c’est un grand non ! Le pivot américano-jamaïcain, simplement touché au pied (et qui sera de nouveau opérationnel dimanche à Concarneau face à Lorient) va bien. Plus que bien même.

Mieux que l’an dernier, pour le sûr, quand l’assistance s’était rapidement fait une idée de ce que fut l’été du Floridien… Débarqué avec 10 kilos de trop (a minima), avec le niveau de (mé)forme que cela pouvait induire, Reid attirait les railleries, voire le scepticisme. Des réserves qui n’avaient d’ailleurs pas disparu après la Leaders Cup Pro B, que l’ex-Nancéien avait traversée telle une ombre pataude (2,5 d’éval en 20’).

Dix kilos de moins que l’an dernier !
À l’aune de sa seconde saison en Finistère, Reid a balayé les doutes en profitant du confinement floridien pour casser de la cloison, dans sa maison de Tampa. Je testais simplement de nouveaux outils, rit-il. Alors oui, j’ai un peu repeint ma maison, coupé du bois, mais je me suis surtout aéré la tête. J’en ai ressenti le besoin également, même s’il était très compliqué de mettre le nez dehors. Même pour un footing, et j’en ai fait l’expérience.

La tête à l’endroit, le physique a suivi. Presque naturellement. Même contraint et forcé de rester à la maison, l’ex-Roannais n’a pas cédé à la raison dès lors qu’il fallait calibrer l’assiette. Le résultat est presque spectaculaire, le pivot ayant déjà atteint le poids de forme qu’il tenait en février dernier, juste avant l’interruption de la saison. Ce qui, en somme et sur la balance, correspond à 10 kilos de moins que l’an dernier à la même époque. Même visuellement, il s’agit bien du même Ryan Reid, mais… différent. C’était mon but que d’arriver : être prêt. L’an dernier, je suis arrivé après avoir joué 60 matches au Japon. J’ai ressenti le besoin de me lâcher un peu (rire). Mais je l’ai payé derrière. Même si son hiver sous la bannière quimpéroise fut exemplaire (11,1 points à 55 % ; 4,4 rebonds en 22 minutes entre la 14e et la 25e journée). Avec des arguments qui lui sont propres : une qualité d’écran hors pair, et une faculté à ressortir les ballons qui font de Reid un vrai point d’appui, dans un championnat de Pro B où le muscle a parfois plus de crédit que le QI basket.

Laurent Foirest ne le dissimule pas : avant de le re-signer, le coach des Béliers a eu une discussion sérieuse avec son pivot. Il n’est pas bête, enquille l’ancien shooteur des Bleus. Il a aussi vu qu’il avait ch… pendant deux ou trois mois quand il est arrivé. Il n’avait pas envie de revivre cela. En contrepartie, trop content que l’on pense encore à lui, Reid a vite décliné les offres émanant du Japon (où il a joué trois saisons) et de quelques écuries de Pro B pour rempiler sur les bords de l’Odet. L’an dernier, on a fait une grande saison, avec des supporters incroyables, assure-t-il. Tout le monde a été incroyable avec moi. Le staff, le président. J’aime cette ville, ce club, il n’y avait pas d’autres choix à faire que de rester ici.

Encore fallait-il y revenir. Retenu de nombreuses semaines en Floride, malgré la présentation du contrat de travail à la douane, Reid a rongé son frein, avant, finalement, de regagner le bout du monde. Avec les objectifs qui, à l’inverse, n’ont pas maigri. Chima Moneke est parti, mais l’atmosphère de l’an passé est restée, certifie Reid. De quoi viser haut. En sautant plus léger.

[mick29]

Article Ouest France :

Basket-ball. Béliers de Kemper : C’est déjà un autre Ryan Reid…

A bientôt 34 ans, Ryan Reid entame sa deuxième saison dans le Finistère. Son confinement en Floride a eu du bon : le pivot américano-jamaïcain a retrouvé le Finistère avec une sacrée collection de kilos en moins sur la balance, par rapport à l’an passé…

Et soudain, les doutes ont pu germer à nouveau… Non utilisé samedi dernier lors du cours revers des Béliers à Nantes, pour le premier volet amical de pré-saison du club quimpérois, fallait-il en déduire que Ryan Reid avait posé le pied en France hors de forme ? On arrête de suite : c’est un grand non ! Le pivot américano-jamaïcain, simplement touché au pied (et qui sera de nouveau opérationnel dimanche à Concarneau face à Lorient) va bien. Plus que bien même.

Mieux que l’an dernier, pour le sûr, quand l’assistance s’était rapidement fait une idée de ce que fut l’été du Floridien… Débarqué avec 10 kilos de trop (a minima), avec le niveau de (mé)forme que cela pouvait induire, Reid attirait les railleries, voire le scepticisme. Des réserves qui n’avaient d’ailleurs pas disparu après la Leaders Cup Pro B, que l’ex-Nancéien avait traversée telle une ombre pataude (2,5 d’éval en 20’).

Dix kilos de moins que l’an dernier !
À l’aune de sa seconde saison en Finistère, Reid a balayé les doutes en profitant du confinement floridien pour casser de la cloison, dans sa maison de Tampa. Je testais simplement de nouveaux outils, rit-il. Alors oui, j’ai un peu repeint ma maison, coupé du bois, mais je me suis surtout aéré la tête. J’en ai ressenti le besoin également, même s’il était très compliqué de mettre le nez dehors. Même pour un footing, et j’en ai fait l’expérience.

La tête à l’endroit, le physique a suivi. Presque naturellement. Même contraint et forcé de rester à la maison, l’ex-Roannais n’a pas cédé à la raison dès lors qu’il fallait calibrer l’assiette. Le résultat est presque spectaculaire, le pivot ayant déjà atteint le poids de forme qu’il tenait en février dernier, juste avant l’interruption de la saison. Ce qui, en somme et sur la balance, correspond à 10 kilos de moins que l’an dernier à la même époque. Même visuellement, il s’agit bien du même Ryan Reid, mais… différent. C’était mon but que d’arriver : être prêt. L’an dernier, je suis arrivé après avoir joué 60 matches au Japon. J’ai ressenti le besoin de me lâcher un peu (rire). Mais je l’ai payé derrière. Même si son hiver sous la bannière quimpéroise fut exemplaire (11,1 points à 55 % ; 4,4 rebonds en 22 minutes entre la 14e et la 25e journée). Avec des arguments qui lui sont propres : une qualité d’écran hors pair, et une faculté à ressortir les ballons qui font de Reid un vrai point d’appui, dans un championnat de Pro B où le muscle a parfois plus de crédit que le QI basket.

Laurent Foirest ne le dissimule pas : avant de le re-signer, le coach des Béliers a eu une discussion sérieuse avec son pivot. Il n’est pas bête, enquille l’ancien shooteur des Bleus. Il a aussi vu qu’il avait ch… pendant deux ou trois mois quand il est arrivé. Il n’avait pas envie de revivre cela. En contrepartie, trop content que l’on pense encore à lui, Reid a vite décliné les offres émanant du Japon (où il a joué trois saisons) et de quelques écuries de Pro B pour rempiler sur les bords de l’Odet. L’an dernier, on a fait une grande saison, avec des supporters incroyables, assure-t-il. Tout le monde a été incroyable avec moi. Le staff, le président. J’aime cette ville, ce club, il n’y avait pas d’autres choix à faire que de rester ici.

Encore fallait-il y revenir. Retenu de nombreuses semaines en Floride, malgré la présentation du contrat de travail à la douane, Reid a rongé son frein, avant, finalement, de regagner le bout du monde. Avec les objectifs qui, à l’inverse, n’ont pas maigri. Chima Moneke est parti, mais l’atmosphère de l’an passé est restée, certifie Reid. De quoi viser haut. En sautant plus léger.

Merci Clemgo20 de nous faire partager cet article .Ryan est à son poids de forme et cela dès le début de saison. Bonne nouvelle. On l'avait d'ailleurs remarqué sur les photos d'entraînement de cette semaine.

[RICO 29]

sympa Clemgo20.....ce soir à 18h30 chima joue contre LE MANS , je n'arrive pas à savoir si un live est prévu

[RICO 29]

Chima 31 pts contre LE MANS

[mick29]

Chima 31 pts contre LE MANS

Il va finir MVP de la 2CV Élite si il continue à ce rythme là. .