FRUSTRATION ça doit être le lot quotidien de nombreux joueurs pro de niveau classique.lafouine06 a écrit :j'ai jamais dit qu'il était depressif mais qu'il s'eclate pas chez nous et ça se ressent et se voit sur le terrain et je le defend a fond
quant au responsable : celui qui a su lui tenir un beau discour pour le garder, comme d'autre les saisons precedente (bourdillon, tornato....) "reste chez nous, tu jouera avec un beau temps de jeu et des responsabilité", et au final, du banc, quelques minutes et juste là pour faire jouer les autres. yarou et nianta on vraiment bien fait de partir
C'est à dire TRES BON mais pas EXCEPTIONNEL, ce qui est déjà pas mal.
RIGOT est un TRES BON joueur, mais manifestement à Antibes il n'arrive pas à exprimer tout l'étendu de son potentiel.
Je parle de ce qu'il a réussi à parfaitement exprimer à Monaco sous Mitrovic pour être précis.
Potentiel qu'il n'arrivait pas non plus à exprimer sur son club précédent (Denain il me semble).
Je comprends que ce soit difficile de dépasser ses frustrations au sujet de ses attentes, faire abstraction et montrer à chaque match ce dont il est capable.
Il n'y a qu'en montrant ce genre de réaction professionnelle et mature qu'il pourra espérer bien rebondir ailleurs.
Après il y a des joueurs qui fonctionnent trop à l'affectif. Ils ont besoin d'avoir une relation particulière avec leur coach (paternaliste?) et on sent bien que Julien il ne fait pas dans la dentelle parfois...
Mais pour ma part, j'estime que c'est le coach qui est dans le vrai sur l’attitude à avoir. C'est un rôle difficile de celui de coach pour réussir à développer l'autonomie psychologique de jeunes joueurs.
Paulaà 23 ans, ce qui est encore très jeune à mon sens à l'échelle de l'évolution de la maturité psychologique.
Il n'est, à mon sens, pas encore tout à fait entièrement mature de ce point de vue pour réussir à bosser à son maximum uniquement pour le salaire et rien d'autres d'affectif.
C'est un long chemin de vie que de réussir à s'extraire de cette quette affective et de reconnaissance.
Cela peut prendre toute une vie, et pour exemple certains n'y arrivent même jamais et sont toujours au crépuscule de leur vie professionnelle à quémander encore et encore une reconnaissance de la part de leur chef.
Quand tu as compris qu'en tant qu'adulte il ne faut rien attendre de ceux qui te paient ou qui te coachent (à par le salaire) tu as tout compris.
Tu peux véritablement marcher de manière entièrement autonome et plus rien ne peux te toucher sur ta motivation de bien faire. Tu sais que c'est pour toi que tu le fais, uniquement pour toi et le respect du contrat de ton job.
Mon pote Yoda, il dirait '' la force tu as trouvé en toi ! Maintenant, exploiter tu peux ''