Vie éco-politico-sociale [suite]
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Re: Vie éco-politico-sociale [suite]
Alain Juppé : "Je ne suis pas En marche, mais je suis en mouvement"
A son âge c'est bien...
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…
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Re: Vie éco-politico-sociale [suite]
Tu noteras que l'homme en vieillissant s'assouplit, y'a 20 ans il était droit dans ses bottes...
Finalement, il va falloir que je me fasse une raison sur les anciens d'Ulm, je les croyais plus intéressants que les inspecteurs des finances mais ceux qui rejoignent la carrière politique n'ont pas grand chose à leur envier....
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Re: Vie éco-politico-sociale [suite]
Gavia arctica a écrit :Alain Juppé : "Je ne suis pas En marche, mais je suis en mouvement"
A son âge c'est bien...
pour les gens de son courant de pensée, et les historiques fondateurs de ce parti (même s'il a changé de n om depuis) je conçois que ça va compliqué de se mettre dans les pas de cet "affreux jojo" de Wauquiez
La soumission est autant que le fanatisme à l'origine des pires abominations du XX°s. La démocratie est plus menacée par l'obéissance servile que la désobéissance civile.
Qui vient au monde pour ne rien troubler ne mérite ni égards ni patience.
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Re: Vie éco-politico-sociale [suite]
Gerard Filoche qui tweet une image de Macron avec un brassard nazi sur le bras... Ça vole de plus en plus bas au PS.
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Re: Vie éco-politico-sociale [suite]
Filoche n'a jamais vraiment décoller faut dire...
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Re: Vie éco-politico-sociale [suite]
sauf que c'est pas le PS, c'est Filoche. Filoche a toujours été un électron libre.chalon71 a écrit :Gerard Filoche qui tweet une image de Macron avec un brassard nazi sur le bras... Ça vole de plus en plus bas au PS.
D'ailleurs le PS a entamé une procédure d'exclusion contre Filoche.
Déjà qu'il n'y a plus grand monde au PS, s'ils se mettent à en exclure ....
Filoche (ard) exclu, et Ribouldingue ????
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Re: Vie éco-politico-sociale [suite]
Ouai mais je suis certain qu'il n'y a pas que lui qui pense comme ça à propos de Macron au sein du PS mais ils se taisent par peur de finir filocher comme Filoche.... and the winner is ... a écrit :sauf que c'est pas le PS, c'est Filoche. Filoche a toujours été un électron libre.chalon71 a écrit :Gerard Filoche qui tweet une image de Macron avec un brassard nazi sur le bras... Ça vole de plus en plus bas au PS.
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Re: Vie éco-politico-sociale [suite]
si t'es certain alors .......
mais bon ça s'appelle quand même un procès d'intention
mais bon ça s'appelle quand même un procès d'intention
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Re: Vie éco-politico-sociale [suite]
Ça fait peur.....et pitié. ....
Lu sur le site de France Info. ....mais que fait l'état ?
Forte présomption de lien avec la pollution de l'air dans le golfe de Fos sur Mer le plus industrialisé d'Europe.
Dans l'air que ces gens respirent, on trouve beaucoup de fumées, parce qu’il y a beaucoup d'usines. L'ouest de l'étang de Berre est l'une des plus grandes zones industrielles d'Europe. Près de 200 entreprises, représentant 40 000 emplois, y sont installées. Et on parle là d'industrie lourde : raffineries, dépôts pétroliers, métallurgie, sidérurgie. Donc forcément il y a les rejets qui vont avec : métaux lourds, dioxyde d'azote, particules ferreuses, etc.
Le lien entre ces substances et les maladies des habitants, a fait l’objet de nombreuses études dans le passé. En 2010, l'Institut de veille sanitaire relevait un excès d'hospitalisations pour des maladies cardiovasculaires et pour des leucémies aiguës. Mais l'étude qui a mis le feu aux poudres a été publiée début 2017. Elle s'appelle Fos Epseal. Financée par l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, elle révèle qu’à Fos et Port-Saint-Louis, les habitants ont deux fois plus de cancers, de diabète ou d'asthme qu'ailleurs en France. La chercheuse Yolaine Ferrier a co-réalisé cette vaste enquête. Elle explique que la pollution industrielle est probablement l'un des facteurs déclenchant de ces maladies : "L’étude ne fait pas un lien direct entre les maladies et la pollution industrielle. Par contre, elle établit une forte présomption de ce lien."
Ce qui différencie le mode de vie et la vie quotidienne de ces habitants par rapport à la moyenne des habitants en France, c’est justement leur proximité, depuis plusieurs décennies, avec la zone industrielle
Yolaine Ferrier, chercheuse et co-auteur de l’étude Fos Epseal
à franceinfo
Des particules hors des radars de contrôle
Des mesures et des analyses de l'air sont pourtant réalisées dans la région du Golfe de Fos par Air Paca, organisme financé par l'Etat, les collectivités locales et les industriels. Mais le problème c'est que ces relevés ne détectent rien d’anormal la majeure partie du temps. Du coup, des scientifiques du coin et certains habitants aussi ont créé un institut éco citoyen en 2010. Parce qu'ils n'avaient pas confiance dans les données officielles, ils ont lancé leurs propres campagnes de mesures de la qualité de l'air. Et les résultats ont été stupéfiants, explique le chimiste Philippe Chamaret, qui dirige cet institut. "La première campagne de mesure de la composition de l’air a montré que l’air était composé à 80 % de particules ultrafines, et d’autre part que la composition chimique des polluants de l’air à Fos-Sur-Mer était extrêmement complexe", révèle le chimiste.
Ces particules ultra-fines dans l’air se révèlent particulièrement dangereuses pour la santé des habitants, car plus une particule est fine, plus elle pénètre à l'intérieur de notre organisme. Une particule de gros diamètre s'arrête au niveau du nez ou de la bouche. Une particule fine va jusqu’aux bronches. Une particule ultrafine descend, quant à elle, jusqu’aux poumons. Si Air Paca ne les mesurait pas, c’est parce que la réglementation européenne, qui fait foi en matière d'environnement, n'impose pas aux Etats de mesurer les particules ultrafines. Nous sommes donc allé voir le directeur d'Air Paca, Dominique Robin, pour lui demander s'il fallait changer la législation. Et il a fini par reconnaître qu'il fallait la faire évoluer.
On sait que le standard de 10 ou 2,5 microns, qui correspond à la taille des particules qui vont plus ou moins pénétrer dans le poumon, est un standard qui est un peu grossier encore.
Dominique Robin, directeur d'Air Paca
à franceinfo
"Vraiment, pour répondre à l’impact des plans d’action mais aussi mieux protéger la population, il faudrait passer à moins de un micron. Et donc ces particules fines ou très fines sont un enjeu", reconnaît-il.
Une industrie qui nourrit aussi la population locale
Voilà pourquoi, officiellement, tout va bien dans l'air du Golfe de Fos. Mais les habitants ont-ils conscience que la pollution de l'air est sous-estimée ? Difficile de le savoir. Ce qui est palpable en revanche, c’est la mansuétude de nombreux habitants du Golfe de Fos envers les industriels. Dans toutes les familles, il y a un parent plus ou moins proche qui travaille à l'usine, entraînant comme une forme de déni, selon Gérard Casanova, qui préside l'association de défense de l’environnement Au fil du Rhône. "Très clairement, il y a beaucoup d’emplois et d’emplois induits. Il y a tout un développement des cités qui s’est organisé autour de cet aménageur principal et on a du mal à imaginer un développement qui soit différent. Et donc, forcément on est un peu coincé", admet-il.
On a beaucoup de mal à imaginer qu’on puisse recevoir du mal de ceux qui nous ont donné à manger.
Gérard Casanova, président l'association Au fil du Rhône
à franceinfo
Le résultat c'est qu'aucun malade n'envisage de lancer une action en justice contre les industriels, contrairement à ce qu'on a vu avec le glyphosate ou l'amiante. Dans le Golfe de Fos, il y a une forme de résignation et de fatalisme, pour l'instant du moins.
Lu sur le site de France Info. ....mais que fait l'état ?
Forte présomption de lien avec la pollution de l'air dans le golfe de Fos sur Mer le plus industrialisé d'Europe.
Dans l'air que ces gens respirent, on trouve beaucoup de fumées, parce qu’il y a beaucoup d'usines. L'ouest de l'étang de Berre est l'une des plus grandes zones industrielles d'Europe. Près de 200 entreprises, représentant 40 000 emplois, y sont installées. Et on parle là d'industrie lourde : raffineries, dépôts pétroliers, métallurgie, sidérurgie. Donc forcément il y a les rejets qui vont avec : métaux lourds, dioxyde d'azote, particules ferreuses, etc.
Le lien entre ces substances et les maladies des habitants, a fait l’objet de nombreuses études dans le passé. En 2010, l'Institut de veille sanitaire relevait un excès d'hospitalisations pour des maladies cardiovasculaires et pour des leucémies aiguës. Mais l'étude qui a mis le feu aux poudres a été publiée début 2017. Elle s'appelle Fos Epseal. Financée par l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, elle révèle qu’à Fos et Port-Saint-Louis, les habitants ont deux fois plus de cancers, de diabète ou d'asthme qu'ailleurs en France. La chercheuse Yolaine Ferrier a co-réalisé cette vaste enquête. Elle explique que la pollution industrielle est probablement l'un des facteurs déclenchant de ces maladies : "L’étude ne fait pas un lien direct entre les maladies et la pollution industrielle. Par contre, elle établit une forte présomption de ce lien."
Ce qui différencie le mode de vie et la vie quotidienne de ces habitants par rapport à la moyenne des habitants en France, c’est justement leur proximité, depuis plusieurs décennies, avec la zone industrielle
Yolaine Ferrier, chercheuse et co-auteur de l’étude Fos Epseal
à franceinfo
Des particules hors des radars de contrôle
Des mesures et des analyses de l'air sont pourtant réalisées dans la région du Golfe de Fos par Air Paca, organisme financé par l'Etat, les collectivités locales et les industriels. Mais le problème c'est que ces relevés ne détectent rien d’anormal la majeure partie du temps. Du coup, des scientifiques du coin et certains habitants aussi ont créé un institut éco citoyen en 2010. Parce qu'ils n'avaient pas confiance dans les données officielles, ils ont lancé leurs propres campagnes de mesures de la qualité de l'air. Et les résultats ont été stupéfiants, explique le chimiste Philippe Chamaret, qui dirige cet institut. "La première campagne de mesure de la composition de l’air a montré que l’air était composé à 80 % de particules ultrafines, et d’autre part que la composition chimique des polluants de l’air à Fos-Sur-Mer était extrêmement complexe", révèle le chimiste.
Ces particules ultra-fines dans l’air se révèlent particulièrement dangereuses pour la santé des habitants, car plus une particule est fine, plus elle pénètre à l'intérieur de notre organisme. Une particule de gros diamètre s'arrête au niveau du nez ou de la bouche. Une particule fine va jusqu’aux bronches. Une particule ultrafine descend, quant à elle, jusqu’aux poumons. Si Air Paca ne les mesurait pas, c’est parce que la réglementation européenne, qui fait foi en matière d'environnement, n'impose pas aux Etats de mesurer les particules ultrafines. Nous sommes donc allé voir le directeur d'Air Paca, Dominique Robin, pour lui demander s'il fallait changer la législation. Et il a fini par reconnaître qu'il fallait la faire évoluer.
On sait que le standard de 10 ou 2,5 microns, qui correspond à la taille des particules qui vont plus ou moins pénétrer dans le poumon, est un standard qui est un peu grossier encore.
Dominique Robin, directeur d'Air Paca
à franceinfo
"Vraiment, pour répondre à l’impact des plans d’action mais aussi mieux protéger la population, il faudrait passer à moins de un micron. Et donc ces particules fines ou très fines sont un enjeu", reconnaît-il.
Une industrie qui nourrit aussi la population locale
Voilà pourquoi, officiellement, tout va bien dans l'air du Golfe de Fos. Mais les habitants ont-ils conscience que la pollution de l'air est sous-estimée ? Difficile de le savoir. Ce qui est palpable en revanche, c’est la mansuétude de nombreux habitants du Golfe de Fos envers les industriels. Dans toutes les familles, il y a un parent plus ou moins proche qui travaille à l'usine, entraînant comme une forme de déni, selon Gérard Casanova, qui préside l'association de défense de l’environnement Au fil du Rhône. "Très clairement, il y a beaucoup d’emplois et d’emplois induits. Il y a tout un développement des cités qui s’est organisé autour de cet aménageur principal et on a du mal à imaginer un développement qui soit différent. Et donc, forcément on est un peu coincé", admet-il.
On a beaucoup de mal à imaginer qu’on puisse recevoir du mal de ceux qui nous ont donné à manger.
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Le résultat c'est qu'aucun malade n'envisage de lancer une action en justice contre les industriels, contrairement à ce qu'on a vu avec le glyphosate ou l'amiante. Dans le Golfe de Fos, il y a une forme de résignation et de fatalisme, pour l'instant du moins.
L'appétit vient en mangeant,la soif disparaît en buvant (François Rabelais)
La gourmandise commence quand on n'a plus faim (Alphonse Daudet)
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Re: Vie éco-politico-sociale [suite]
et c'est pas un cas rare.Obi-Wan a écrit :Le résultat c'est qu'aucun malade n'envisage de lancer une action en justice contre les industriels, contrairement à ce qu'on a vu avec le glyphosate ou l'amiante. Dans le Golfe de Fos, il y a une forme de résignation et de fatalisme, pour l'instant du moins.
En Afrique il y a de nombreuses usines polluantes souvent Françaises (ou à participation française) qui ne travaillent pas suivant les normes, ou qui fermées n'ont pas dépollué le site, ou pire ont laissé des décharges sauvages de produits toxiques (voire radio-actifs). Au final il y a des régions où le sol où les gens cultivent est pollué, des rivières où les gens se lavent, puisent l'eau nécessaire à leur besoin et pêchent qui est impropre à la consommation.
Mais bon c'est l'Afrique. Après avoir pillé leurs ressources, on peut bien les empoissonner maintenant, du moment qu'ils viennent pas faire chier dans nos banlieues
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Re: Vie éco-politico-sociale [suite]
... and the winner is ... a écrit :si t'es certain alors .......
mais bon ça s'appelle quand même un procès d'intention
C'est vrai mais depuis un peu plus de cinq ans le PS m'a tellement déçu que je m'attends au pire avec eux maintenant. C'est quand même le seul parti de gauche dans l'histoire de la politique française a avoir adopté une politique de droite pendant tout son mandat.
C'est comme l'histoire des paquets de clopes à dix euros n'oublions pas que c'était une idée de la génie Ségoléne Royal quand elle était au gouvernement sous Hollande... Ca avait été rejeté par pépére et Valls qui étaient déjà trop bas dans les sondages... Mais repris plus tard par le gouvernement Macron... Et qui soutenait dans les meetings publiquement EM, la mémére Royal. Bref le PS n'est plus au pouvoir mais leurs idées à la con restent, car si l'augmentation des clopes faisaient quelque chose sur le nombres de fumeurs ça se saurait depuis le temps qu'elles augmentent de façon drastique, bref quand on peut s'en mettre pleins les poches en profitant de la forte dépendance des cigarettes, pourquoi se géner, autant agir comme les dealeurs de drogue et faire monter les tarifs, de toutes façons ces cons de fumeurs ( dont je fais parti ) continueront à fumer vu les produits forts addictifs qu'il y a dedans.
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Re: Vie éco-politico-sociale [suite]
Puisque tu parles d'Afrique, dans la boite où je bossais, j'étais assez proche du personnel. Il y avait parmi eux un Africain avec qui j'avais bien sympathisé (il n'y a pas de honte a se rapprocher du bas peuple, comme certain les nomment d'ailleurs j'ai laissé une très bonne image à ces gens), à tel point que lui m'a invité à son mariage.... and the winner is ... a écrit :et c'est pas un cas rare.Obi-Wan a écrit :Le résultat c'est qu'aucun malade n'envisage de lancer une action en justice contre les industriels, contrairement à ce qu'on a vu avec le glyphosate ou l'amiante. Dans le Golfe de Fos, il y a une forme de résignation et de fatalisme, pour l'instant du moins.
En Afrique il y a de nombreuses usines polluantes souvent Françaises (ou à participation française) qui ne travaillent pas suivant les normes, ou qui fermées n'ont pas dépollué le site, ou pire ont laissé des décharges sauvages de produits toxiques (voire radio-actifs). Au final il y a des régions où le sol où les gens cultivent est pollué, des rivières où les gens se lavent, puisent l'eau nécessaire à leur besoin et pêchent qui est impropre à la consommation.
Mais bon c'est l'Afrique. Après avoir pillé leurs ressources, on peut bien les empoissonner maintenant, du moment qu'ils viennent pas faire chier dans nos banlieues
Il me racontait un jour qu'il passait des nuits entières a faire le tour de l'Ile de France avec des points très ciblés. Après avoir noté les jours de passage des encombrants, il partait à la chasse. Il récupérait, entre autre, des moteurs de frigo qu'il déposait dans un conteneur, qu'il louait et laissait basé au port de Rotterdam.
Ca se revend une fortune chez lui. Ces moteurs trouvait une deuxième vie. Par contre quand ces moteurs sont HS, ils sont jetés en pleine nature dans des décharges sauvages à ciel ouvert. Peu importe ce qu'il advient du fréon, qui pollue, contenu dans ces moteurs. Tout ça pour dire que même eux se tapent de leur terre.
Je disais il y a peu que les latins étaient crados. J'ai vu en Corse, qu'on ose appelé l’île de beauté, des décharges à ciel ouvert dès que tu rentre un peu dans les terres. J'ai fait un bon tour de Sicile, il y a là bas un patrimoine culturel, tout comme à Rome, extraordinaire. Ces imbéciles ne respectent même pas ça ou si peu. Je ne parle pas de l'Espagne, certains coins de la Croatie ou de la Bosnie, de la Crête....Finalement, le Portugal est sans doute le plus propre, ils ont une culture du ménage là bas..
L'appétit vient en mangeant,la soif disparaît en buvant (François Rabelais)
La gourmandise commence quand on n'a plus faim (Alphonse Daudet)
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Re: Vie éco-politico-sociale [suite]
je te crois et je ne suis pas surpris.Obi-Wan a écrit :Il récupérait, entre autre, des moteurs de frigo qu'il déposait dans un conteneur, qu'il louait et laissait basé au port de Rotterdam.
Ca se revend une fortune chez lui.
En Afrique on ne jette rien tout est récupéré, bricolé remis en état. Inutile de fouiller les poubelles il n'y a rien de récupérable dedans.
Il y a des baraquements (qu'ils appellent magasins) plein de pièces de récup : moteurs de frigidiares, pièces de voitures, transistors de cartes et composants électroniques divers etc..... (j'ai vu des mecs les bricoler les remettre en état). Les voitures font des centaines de milliers de km car toujours bricolées. Les boîtes de conserve sont récupérées, fondues, pour faire des gamelles etc etc
La main d'œuvre ne coûte rien, la matière première neuve est chère .... tout est là.
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Re: Vie éco-politico-sociale [suite]
C'est un autre problème , mais il me racontait également, comment font ses compatriotes, y compris des membres de sa famille, pour bénéficier de toutes les aides financières possibles et imaginables chez nous sans bosser. Çà le mettait hors de lui car lui a tout le temps travaillé. Mais il reconnaissait que ces gens là gagnaient presque autant d'argent que lui en restant couchés tous les matins. Il avait sa fierté comme il disait et je peux me regarder tout les matins dans la glace. Je me suis juré qui si je venais a gagner le gros lot, je lui en céderais une partie.... and the winner is ... a écrit :je te crois et je ne suis pas surpris.Obi-Wan a écrit :Il récupérait, entre autre, des moteurs de frigo qu'il déposait dans un conteneur, qu'il louait et laissait basé au port de Rotterdam.
Ca se revend une fortune chez lui.
En Afrique on ne jette rien tout est récupéré, bricolé remis en état. Inutile de fouiller les poubelles il n'y a rien de récupérable dedans.
Il y a des baraquements (qu'ils appellent magasins) plein de pièces de récup : moteurs de frigidiares, pièces de voitures, transistors de cartes et composants électroniques divers etc..... (j'ai vu des mecs les bricoler les remettre en état). Les voitures font des centaines de milliers de km car toujours bricolées. Les boîtes de conserve sont récupérées, fondues, pour faire des gamelles etc etc
La main d'œuvre ne coûte rien, la matière première neuve est chère .... tout est là.
Si certains entendaient tout ça je n'imagine même pas la réaction...
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