Les associations ou sociétés sportives classées 1ère et 2ème de chaque poule disputent des
¼ de finales Aller (2ème contre 1ère) et Retour (1ère contre 2ème). Tirage au sort.
Les 4 associations ou sociétés sportives vainqueurs des ¼ de finale accèdent au championnat
de France de NF1, sous réserve qu’elles satisfassent aux conditions de participation
et qu’elles obtiennent l’autorisation de la commission de Contrôle de Gestion, et disputent une
phase finale se déroulant sur un week-end et organisée de la façon suivante :
- terrain choisi par la Commission Fédérale Sportive
- le premier jour se déroulent les demi-finales
- le deuxième jour se déroulent la rencontre pour la 3ème place et la finale
- le vainqueur de la finale est déclaré « champion de France ».
Les équipes espoirs des associations ou sociétés sportives évoluant en Ligue Féminine sont autorisées
à disputer les phases finales pour l’attribution du titre de champion de France NF2 mais ne
peuvent accéder à un niveau de compétition supérieur;
Au cas où :
- une ou plusieurs équipes espoirs d’association(s) ou société(s) sportive(s) de Ligue Féminine
- et/ou l’équipe du Centre Fédéral de Basket Ball serai(en)t qualifiée(s) pour la phase finale
- et/ou l’une ou plusieurs des équipes qualifiée(s) pour la phase finale ne pourrai(en)t ou ne
souhaiterai(en)t pas accéder au niveau de compétition supérieur,
il sera fait appel pour l’accession au championnat de France NF1, par ordre prioritaire :
- à l’association ou société sportive ayant perdu en ¼ de finale contre le champion de France
- à l’association ou société sportive ayant perdu en ¼ de finale contre le finaliste
- à l’association ou société sportive ayant perdu en ¼ de finale contre le 3ème de la phase finale
- à l’association ou société sportive ayant perdu en ¼ de finale contre le 4ème de la phase finale
Puis, si
- une ou plusieurs équipes espoirs d’une association ou société sportive de la Ligue Féminine
- et/ou l’équipe du Centre Fédéral de Basket Ball étai(en)t en situation d’être appelée(s)
prioritairement pour l’accession
- et/ou l’une ou plusieurs des équipes étant en situation d’être appelée(s) prioritairement
pour l’accession ne pouvai(en)t ou souhaitai(en)t pas accéder au niveau de compétition supérieur
il sera fait appel pour l’accession au championnat de France NF1, par ordre préférentiel :
- au premier ayant droit dans la poule du champion de France
- au premier ayant droit dans la poule du finaliste
- au premier ayant droit dans la poule du 3ème de la phase finale
- au premier ayant droit dans la poule du 4ème de la phase finale
- au deuxième ayant droit dans la poule du champion de France
- etc…
Play offs accession NF1
Modérateur : Modérateurs LFB
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JBL
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Elles tiennent leur Graal
La tornade illkirchoise a balayé Nice 75-59 samedi. La SIG a concrétisé son grand projet : évoluer en Nationale 1. Champagne !
Samedi, à Illkirch-Graffenstaden, la fête était à la mesure de l'exploit accompli par la SIG. Portées par les encouragements incessants de 800 supporters déchaînés, les favorites de Philippe Breitenbucher ont survolé une rencontre volontairement placée sous le signe de l'euphorie. L'entraîneur local n'avait-il pas décrété la mobilisation générale, à l'aube du match de l'année ? « Vous avez été extraordinaires ! », lança-t-il, micro à la main, aux spectateurs qui savouraient chaque seconde de ce moment historique. Le contrat était bel et bien rempli. Parce qu'elle est parvenue à se qualifier pour les demi-finales des play-offs, la SIG évoluera en Nationale 1 l'an prochain.
« C'est un projet de trois ans qui se concrétise »
Pourtant, l'adversaire niçois n'avait absolument rien d'un faire-valoir. Habituellement dangereuses sur le plan offensif, les protégées de la coach Olga Tarasenko ont été privées de munitions de la première à la dernière minute d'une partie intense à souhait. Le constat chiffré est implacable : Nice a marqué 20 points de moins qu'à l'aller (79-79). « Nous voulions imposer un combat physique permanent souligne Philippe Breitenbucher. On les a usées ». Et s'il fallait retenir une individualité dans ce qui reste avant tout une superbe démonstration collective, ce serait incontestablement Céline Schmitt Sendner. En état de grâce tout au long de la rencontre, l'intérieure illkirchoise en a fait voir de toutes les couleurs à ses vis-à-vis (24 points au final). Les changements de défense et les prises à deux n'y ont rien changé. Et comme si cela ne suffisait pas à son bonheur, la SIG se paya le luxe d'artiller au-delà de la ligne des trois points avec une réussite parfois phénoménale. Claire Terrin, l'artificière maison, mit littéralement au supplice la défense niçoise avec ses missiles longue distance. Dans ces circonstances, le score ne fit qu'enfler (18-14, 10e' ; 34-23, 18e' ; 53-40, 28e' ; 67-48, 35e'). Jusqu'à l'explosion de joie finale, qui contrasta avec les larmes de Santucci, la meilleure Azuréenne samedi (16 points). « C'est un projet de trois ans qui se concrétise, se félicite Philippe Breitenbucher. Cela fait tellement de temps qu'on travaille pour en arriver là. Maintenant, l'objectif est de garder la majeure partie du groupe. Nous n'allons pas tout bouleverser sous prétexte que nous atteignons une division bien plus exigeante en terme de qualités physiques et techniques ». Les automatismes et les liens qui unissent les joueuses ne sont-ils pas après tout à l'origine même du succès de cette équipe ?
Amaury Prieur
www.dna.fr
La tornade illkirchoise a balayé Nice 75-59 samedi. La SIG a concrétisé son grand projet : évoluer en Nationale 1. Champagne !
Samedi, à Illkirch-Graffenstaden, la fête était à la mesure de l'exploit accompli par la SIG. Portées par les encouragements incessants de 800 supporters déchaînés, les favorites de Philippe Breitenbucher ont survolé une rencontre volontairement placée sous le signe de l'euphorie. L'entraîneur local n'avait-il pas décrété la mobilisation générale, à l'aube du match de l'année ? « Vous avez été extraordinaires ! », lança-t-il, micro à la main, aux spectateurs qui savouraient chaque seconde de ce moment historique. Le contrat était bel et bien rempli. Parce qu'elle est parvenue à se qualifier pour les demi-finales des play-offs, la SIG évoluera en Nationale 1 l'an prochain.
« C'est un projet de trois ans qui se concrétise »
Pourtant, l'adversaire niçois n'avait absolument rien d'un faire-valoir. Habituellement dangereuses sur le plan offensif, les protégées de la coach Olga Tarasenko ont été privées de munitions de la première à la dernière minute d'une partie intense à souhait. Le constat chiffré est implacable : Nice a marqué 20 points de moins qu'à l'aller (79-79). « Nous voulions imposer un combat physique permanent souligne Philippe Breitenbucher. On les a usées ». Et s'il fallait retenir une individualité dans ce qui reste avant tout une superbe démonstration collective, ce serait incontestablement Céline Schmitt Sendner. En état de grâce tout au long de la rencontre, l'intérieure illkirchoise en a fait voir de toutes les couleurs à ses vis-à-vis (24 points au final). Les changements de défense et les prises à deux n'y ont rien changé. Et comme si cela ne suffisait pas à son bonheur, la SIG se paya le luxe d'artiller au-delà de la ligne des trois points avec une réussite parfois phénoménale. Claire Terrin, l'artificière maison, mit littéralement au supplice la défense niçoise avec ses missiles longue distance. Dans ces circonstances, le score ne fit qu'enfler (18-14, 10e' ; 34-23, 18e' ; 53-40, 28e' ; 67-48, 35e'). Jusqu'à l'explosion de joie finale, qui contrasta avec les larmes de Santucci, la meilleure Azuréenne samedi (16 points). « C'est un projet de trois ans qui se concrétise, se félicite Philippe Breitenbucher. Cela fait tellement de temps qu'on travaille pour en arriver là. Maintenant, l'objectif est de garder la majeure partie du groupe. Nous n'allons pas tout bouleverser sous prétexte que nous atteignons une division bien plus exigeante en terme de qualités physiques et techniques ». Les automatismes et les liens qui unissent les joueuses ne sont-ils pas après tout à l'origine même du succès de cette équipe ?
Amaury Prieur
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JBL
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SIG : elles l’ont fait !
SIG — Nice CAB : 75-59.
Quarts temps : 18-14, 18-14, 19-14, 20-17.
Arbitres : MM. Obernesser et Madre. 950 spectateurs.
SIG : Schmitt-Sendner 24, Terrin 13, Nestor 11, Kopp 7, Nussbaumer 7, Battaglia 4, Fischbach 4, Privet 3, Kuissu 2, Schultz.
Nice CAB : Santucci 16, Silbande 10, Luhaka 10, Falcoz 7, Bergeron 6, Andre 4, Farison 4, Dessus 2, Mendes, Dearana.
La SIG évoluera en N1F la saison prochaine. C’est au terme d’un match fort en rebondissements que les Illkirchoises se sont offert le ticket tant attendu, pour lequel elles ont travaillé depuis août dernier. Elles ont dominé les Niçoises, inefficaces offensivement devant la machine de guerre locale : concentration à toute épreuve, motivation hors norme et travail d’équipe. Les filles de Philippe Breitenbucher ont mené au score tout au long de la rencontre. Céline Schmitt-Sendner débloque le score: avec ses 24 points, elle sera le pilier des Bas-Rhinoises. Les deux formations offrent un jeu très intense. Mais l’enjeu les rend nerveuses et maladroites (9-9 à la 5e). Les Illkirchoises mènent grâce à de nombreuses interceptions suivies de contre-attaques rapides (16-13 à la 9e). L’écart se creuse au cours du second quart temps. La SIG construit bien ses attaques. Terrin et Battaglia, bien servies à 3 points, permettent à leur équipe de mener de 8 longueurs à la mi-temps 36-28. Au retour des vestiaires, la formation niçoise est mieux organisée. La SIG quant à elle enchaîne pertes de balle et maladresses. La sanction ne se fait pas attendre, mais les Illkirchoises réagissent vite (44-36 à la 24e). Les deux formations manquent de nombreuses occasions aux lancers francs. Le score stagne, mais sera débloqué par Schmitt-Sendner (53-40 à la 28e). Le festival continue pour la SIG (68-50 à la 36e). La fête commence dans les tribunes et les 950 supporters présents ovationnent leur équipe. « Il y a douze ans, dans les mêmes conditions, nous pleurions car nous avions perdu notre match. Cette fois, ce sont des larmes de bonheur », se réjouit Philippe Breitenbucher.
Prochain objectif pour la SIG : la finale de la Coupe de France le week end prochain à Bercy.
www.lalsace.fr
SIG — Nice CAB : 75-59.
Quarts temps : 18-14, 18-14, 19-14, 20-17.
Arbitres : MM. Obernesser et Madre. 950 spectateurs.
SIG : Schmitt-Sendner 24, Terrin 13, Nestor 11, Kopp 7, Nussbaumer 7, Battaglia 4, Fischbach 4, Privet 3, Kuissu 2, Schultz.
Nice CAB : Santucci 16, Silbande 10, Luhaka 10, Falcoz 7, Bergeron 6, Andre 4, Farison 4, Dessus 2, Mendes, Dearana.
La SIG évoluera en N1F la saison prochaine. C’est au terme d’un match fort en rebondissements que les Illkirchoises se sont offert le ticket tant attendu, pour lequel elles ont travaillé depuis août dernier. Elles ont dominé les Niçoises, inefficaces offensivement devant la machine de guerre locale : concentration à toute épreuve, motivation hors norme et travail d’équipe. Les filles de Philippe Breitenbucher ont mené au score tout au long de la rencontre. Céline Schmitt-Sendner débloque le score: avec ses 24 points, elle sera le pilier des Bas-Rhinoises. Les deux formations offrent un jeu très intense. Mais l’enjeu les rend nerveuses et maladroites (9-9 à la 5e). Les Illkirchoises mènent grâce à de nombreuses interceptions suivies de contre-attaques rapides (16-13 à la 9e). L’écart se creuse au cours du second quart temps. La SIG construit bien ses attaques. Terrin et Battaglia, bien servies à 3 points, permettent à leur équipe de mener de 8 longueurs à la mi-temps 36-28. Au retour des vestiaires, la formation niçoise est mieux organisée. La SIG quant à elle enchaîne pertes de balle et maladresses. La sanction ne se fait pas attendre, mais les Illkirchoises réagissent vite (44-36 à la 24e). Les deux formations manquent de nombreuses occasions aux lancers francs. Le score stagne, mais sera débloqué par Schmitt-Sendner (53-40 à la 28e). Le festival continue pour la SIG (68-50 à la 36e). La fête commence dans les tribunes et les 950 supporters présents ovationnent leur équipe. « Il y a douze ans, dans les mêmes conditions, nous pleurions car nous avions perdu notre match. Cette fois, ce sont des larmes de bonheur », se réjouit Philippe Breitenbucher.
Prochain objectif pour la SIG : la finale de la Coupe de France le week end prochain à Bercy.
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boubou37
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Bah tu y étais au match ???debout a écrit :J'AI RAREMENT été arbitré comme ça ! imaginer combien de fois SEBASTIEN NIVET a pu lors de ses passages a AIX ou BOURGES tenir le même discours
par contre pas un mot sur les hommes en gris quand son équipe a bénéficié d'un petit coup de pouce
un probleme de mémoire sans doute mr AZEIHMER
Parce que moi j'ai discuté ensuite avec des supporters valenciennois qui ont reconnu que niveau arbitrage... comment dire... ils n'étaient pas vraiment au niveau..
Ils ont droit de passer à côté d'un match... ça peut arriver... à tout le monde,
joueuses, coach... et donc arbitres aussi... maintenant... les deux en même temps...
et surtout avec une telle incohérence !... on peut être mauvais... mais alors pour les deux équipes et sur toute la durée du match...
Tandis que là...
Entre autre le jeu plus que viril de VO n'a pas été sanctionné comme il se devait...
Maintenant bien sûr c'est une très bonne chose pour Ronchin qui se construit une bien belle équipe qui fera mal l'année prochaine... en NF2.
Et ça n'enlève absolument pas le mérite de la victoire aux joueuses de USVO et à son coach puisqu'il a coaché... à 50 cm debout derrière le banc...
Mais c'est sûr qu'avec 3 du 5 du BVLU à 4 fautes sur le banc... c'était bien plus facile.
USVO a gagné... mais pas dans la facilité.. et heureusement que Sarah était là...
Alors bravo aux filles du BVLU qui ont tout donné et ont su se contenir face aux décisions arbitrales ... et rester concentrées jusqu'au bout.
----
Tiens dans les tribunes.. j'ai parlé à Fabrice C. et vu Brahim...
----
Une banderolle au Hainaut :
Mr BORLOO à Paris
Mr BOCQUET à ST AMAND
et USVO au HAINAUT...
Apparemment pour en avoir discuté avec des bénévoles.. c'est le fait de ne plus jouer dans LEUR salle qui a le plus de mal à être digéré..
Bonne suite pour USVO dans des rencontres qui ne seront pas simples non plus à gagner...
Il n'y a pas de hasard, il n'y a que des rendez-vous. Eluard.
-
la zone
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Le BVLU garde l'espoir
Éliminé par Valenciennes après un match très dur, le club tourangeau peut encore monter à condition que le club nordiste aille en finale. Le président Jean Robin fait le point.
Valenciennes (2) : 67 BVLU : 57
La nuit est passée et le BVLU a pu digérer (un peu mieux) la défaite concédée à Valenciennes. Le président Jean Robin était du voyage et il fait le point sur les perspectives qui s'offrent à son club, tout en revenant sur un match très chaud.
Alors, vous revenez fort remonté de Valenciennes, si l'on a bien compris ?
« L'arbitrage a été catastrophique. Les arbitres n'ont pas été malhonnêtes, évidemment, mais je m'interroge sur leur compétence. Je ne conteste pas les fautes qu'on prend. Mais je m'insurge sur le fait que Valenciennes a joué très physique et aurait du prendre beaucoup plus de fautes. Et l'on n'aurait pas vu le même match, croyez-moi ! En fait, le BVLU joue plus technique et Valenciennes savait qu'il fallait nous prendre physiquement. Les arbitres auraient dû davantage nous protéger… »
On tourne la page, alors ?
« En fait, non. Parce que Valenciennes ne peut pas monter en N1, étant une réserve. Donc, nous sommes tributaires du sort des Nordistes. Si Valenciennes va en finale, nous sommes théoriquement repêchés pour la N1… C'est le règlement qui le veut. Maintenant, Valenciennes se prend la meilleure équipe en demi-finale, Laveyron. Mais bon, comme cette équipe est sûre de monter en N1, Valenciennes a ses chances. Ce play-off réserve des surprises parce que Colomiers, qui a terminé devant nous dans la phase régulière, a été éliminé par Ifs ! »
Quoi qu'il arrive, le BVLU a vécu une belle saison ?
« Tout à fait. J'en veux pour preuve l'engouement pour ce duel contre Valenciennes. Une soixante de supporters avaient fait le déplacement… Et les filles sur le parquet ont vraiment tout donné. Le club des supporters va d'ailleurs s'étoffer l'année prochaine. »
On peut parler de l'avenir ?
« Si vous voulez. Si l'on reste en N2, on prendra un élément supplémentaire et si l'on va en N1, on se musclera davantage. Mais si vous le permettez, je voudrais revenir sur cette saison. J'ai dit que notre meilleure recrue, c'était l'entraîneur et cela s'est vérifié. J'ajouterai que le club a pris du volume et j'en suis fier. Je l'ai créé il y a six ans et chaque saison, on progresse. Je rappelle que nous avons 60 partenaires, que ce partenariat représente 70 % de notre budget et… »
Vous voulez en venir où ?
« C'est mon dada et l'objectif que je me suis fixé : que le BVLU soit l'étendard du sport féminin en Indre-et-Loire. J'ai lu avec intention les commentaires de Nicolas Gautreau et de Jean-Jacques Place dans vos colonnes, quand ils parlent du Tours FC. Ils laissent entendre qu'il faudra faire des choix. Je suis d'accord avec eux.»
60 partenaires et un club de supporters qui s'étoffe
« Il y a le rugby, le hockey, le volley, le foot, le hand, le basket, le tennis de table, etc. Il faut évidemment concentrer les efforts et bien cibler. L'avantage du basket féminin est qu'il n'est pas onéreux. Et mettre en exergue le rôle de la femme dans notre société est plus que jamais dans l'air du temps. Le BVLU s'inscrit dans cette dynamique. »
Recueilli par Jean-Éric ZABRODSKY - www.lanouvellerepublique.fr
Quart temps : 19-14, 15-15, 14-14, 19-14.
Arbitres : M. Turpin et Melle Aït El Djudi.
USVO (B) : Konate 16, Nsoki 9, Tahane 4, Okamba 0, Attiogbe 8 puis Michel 17, Kadila 7, Bouare 6, Moreira 0, Sall 0.
BVLU : Perrusel 4, Cavojska 18, Decker 6, Saunier 12, Sene 15 puis Cazaux 0, Chambon 2.
---------
à vos commentaires sur les parties soulignées!!!!
Éliminé par Valenciennes après un match très dur, le club tourangeau peut encore monter à condition que le club nordiste aille en finale. Le président Jean Robin fait le point.
Valenciennes (2) : 67 BVLU : 57
La nuit est passée et le BVLU a pu digérer (un peu mieux) la défaite concédée à Valenciennes. Le président Jean Robin était du voyage et il fait le point sur les perspectives qui s'offrent à son club, tout en revenant sur un match très chaud.
Alors, vous revenez fort remonté de Valenciennes, si l'on a bien compris ?
« L'arbitrage a été catastrophique. Les arbitres n'ont pas été malhonnêtes, évidemment, mais je m'interroge sur leur compétence. Je ne conteste pas les fautes qu'on prend. Mais je m'insurge sur le fait que Valenciennes a joué très physique et aurait du prendre beaucoup plus de fautes. Et l'on n'aurait pas vu le même match, croyez-moi ! En fait, le BVLU joue plus technique et Valenciennes savait qu'il fallait nous prendre physiquement. Les arbitres auraient dû davantage nous protéger… »
On tourne la page, alors ?
« En fait, non. Parce que Valenciennes ne peut pas monter en N1, étant une réserve. Donc, nous sommes tributaires du sort des Nordistes. Si Valenciennes va en finale, nous sommes théoriquement repêchés pour la N1… C'est le règlement qui le veut. Maintenant, Valenciennes se prend la meilleure équipe en demi-finale, Laveyron. Mais bon, comme cette équipe est sûre de monter en N1, Valenciennes a ses chances. Ce play-off réserve des surprises parce que Colomiers, qui a terminé devant nous dans la phase régulière, a été éliminé par Ifs ! »
Quoi qu'il arrive, le BVLU a vécu une belle saison ?
« Tout à fait. J'en veux pour preuve l'engouement pour ce duel contre Valenciennes. Une soixante de supporters avaient fait le déplacement… Et les filles sur le parquet ont vraiment tout donné. Le club des supporters va d'ailleurs s'étoffer l'année prochaine. »
On peut parler de l'avenir ?
« Si vous voulez. Si l'on reste en N2, on prendra un élément supplémentaire et si l'on va en N1, on se musclera davantage. Mais si vous le permettez, je voudrais revenir sur cette saison. J'ai dit que notre meilleure recrue, c'était l'entraîneur et cela s'est vérifié. J'ajouterai que le club a pris du volume et j'en suis fier. Je l'ai créé il y a six ans et chaque saison, on progresse. Je rappelle que nous avons 60 partenaires, que ce partenariat représente 70 % de notre budget et… »
Vous voulez en venir où ?
« C'est mon dada et l'objectif que je me suis fixé : que le BVLU soit l'étendard du sport féminin en Indre-et-Loire. J'ai lu avec intention les commentaires de Nicolas Gautreau et de Jean-Jacques Place dans vos colonnes, quand ils parlent du Tours FC. Ils laissent entendre qu'il faudra faire des choix. Je suis d'accord avec eux.»
60 partenaires et un club de supporters qui s'étoffe
« Il y a le rugby, le hockey, le volley, le foot, le hand, le basket, le tennis de table, etc. Il faut évidemment concentrer les efforts et bien cibler. L'avantage du basket féminin est qu'il n'est pas onéreux. Et mettre en exergue le rôle de la femme dans notre société est plus que jamais dans l'air du temps. Le BVLU s'inscrit dans cette dynamique. »
Recueilli par Jean-Éric ZABRODSKY - www.lanouvellerepublique.fr
Quart temps : 19-14, 15-15, 14-14, 19-14.
Arbitres : M. Turpin et Melle Aït El Djudi.
USVO (B) : Konate 16, Nsoki 9, Tahane 4, Okamba 0, Attiogbe 8 puis Michel 17, Kadila 7, Bouare 6, Moreira 0, Sall 0.
BVLU : Perrusel 4, Cavojska 18, Decker 6, Saunier 12, Sene 15 puis Cazaux 0, Chambon 2.
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à vos commentaires sur les parties soulignées!!!!
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choupala
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- Messages : 26
- Enregistré le : mar. 22 avr. 2008 20:27
Pourquoi suffit-il que Valenciennes aille en finale ? Je croyais que le premier repêché était le club éliminé par le champion de France. Y a-t-il 2 repêchages de prévu ?En fait, non. Parce que Valenciennes ne peut pas monter en N1, étant une réserve. Donc, nous sommes tributaires du sort des Nordistes. Si Valenciennes va en finale, nous sommes théoriquement repêchés pour la N1… C'est le règlement qui le veut.
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la zone
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- Messages : 6643
- Enregistré le : dim. 03 sept. 2006 21:26
Très bonne réaction!!choupala a écrit :Pourquoi suffit-il que Valenciennes aille en finale ? Je croyais que le premier repêché était le club éliminé par le champion de France. Y a-t-il 2 repêchages de prévu ?En fait, non. Parce que Valenciennes ne peut pas monter en N1, étant une réserve. Donc, nous sommes tributaires du sort des Nordistes. Si Valenciennes va en finale, nous sommes théoriquement repêchés pour la N1… C'est le règlement qui le veut.
Doit-on en conclure que le président du BVLU a des informations supplémentaires... ou que ses propos sont mal repris par le journaliste????
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GIB's
- Rookie
- Messages : 50
- Enregistré le : lun. 21 avr. 2008 13:24
1/2 finales
… C'est le règlement qui le veut. Maintenant, Valenciennes se prend la meilleure équipe en demi-finale, Laveyron. Mais bon, comme cette équipe est sûre de monter en N1, Valenciennes a ses chances. Ce play-off réserve des surprises parce que Colomiers, qui a terminé devant nous dans la phase régulière, a été éliminé par Ifs ! »[/i]
c'est décidé comment le choix des 1/2 finales ? c'est vraiement LAVEYRON/VALENCIENNES ?
c'est décidé comment le choix des 1/2 finales ? c'est vraiement LAVEYRON/VALENCIENNES ?
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louis-444
- Rookie
- Messages : 83
- Enregistré le : dim. 13 janv. 2008 18:03
- Localisation : Du côté du gros plant nantais
PHASES FINALES NATIONALE 2
SAISON 2007-2008
NF2
¼ ALLER -¼ RETOUR
1 2 A – 1 D
2 2 D – 1A
3 2 C – 1 B
4 2 B – 1C
1/2 FINALE le 24 Mai 2008
Vainqueur rencontre 1 / vainqueur rencontre 3
Vainqueur rencontre 2 / vainqueur rencontre 4
FINALE le 25 Mai 2008
Perdant rencontre 5 / Perdant rencontre 6
Vainqueur rencontre 5 / Vainqueur rencontre 6
SAISON 2007-2008
NF2
¼ ALLER -¼ RETOUR
1 2 A – 1 D
2 2 D – 1A
3 2 C – 1 B
4 2 B – 1C
1/2 FINALE le 24 Mai 2008
Vainqueur rencontre 1 / vainqueur rencontre 3
Vainqueur rencontre 2 / vainqueur rencontre 4
FINALE le 25 Mai 2008
Perdant rencontre 5 / Perdant rencontre 6
Vainqueur rencontre 5 / Vainqueur rencontre 6
"j'dis ça moi mais j'dis rien !!"
-
la zone
- Hall Of Famer
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- Enregistré le : dim. 03 sept. 2006 21:26
1/2 FINALE le 24 Mai 2008 à Saint-Etienne (42) -
15:00 STRASBOURG ILLKIRCH-GRAFFENSTADE / CLUB BASKET D'IFS
17:15 US LAVEYRON / VALENCIENNES U S V O
-------------------------------------------------- --------------------------------
Le CASE BASKET (casebasket.free.fr)
est heureux de vous présenter les
24 et 25 MAI 2008
pour la 2ème année consécutive au stadium Pierre Maisonnial,
les Finales Féminines Nationales 2
Pass week-end 5€
renseignements et réservation au stadium Pierre Maisonnial
26 Rue Burdeau
42000 SAINT-ETIENNE
Tel:04/77/32/75/56
ou par mail:case-basket@orange.fr
15:00 STRASBOURG ILLKIRCH-GRAFFENSTADE / CLUB BASKET D'IFS
17:15 US LAVEYRON / VALENCIENNES U S V O
-------------------------------------------------- --------------------------------
Le CASE BASKET (casebasket.free.fr)
est heureux de vous présenter les
24 et 25 MAI 2008
pour la 2ème année consécutive au stadium Pierre Maisonnial,
les Finales Féminines Nationales 2
Pass week-end 5€
renseignements et réservation au stadium Pierre Maisonnial
26 Rue Burdeau
42000 SAINT-ETIENNE
Tel:04/77/32/75/56
ou par mail:case-basket@orange.fr
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JBL
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- Localisation : Au pays des cigognes, de la choucroute et du vin blanc
sauf que ça n'a rien à voir avec l'accession désolé mais ce n'est du tout le même sujet ! 
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la zone
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La SIG a encore les crocs
Vainqueur du Trophée Coupe de France la semaine dernière après avoir acquis sa montée en Nationale 1 sept jours avant, la SIG est euphorique. A Saint-Etienne ce week-end, le club illkirchois veut encore chercher le titre de champion de France de N2.
Savourer.
A la SIG, on connaît. D’abord, la dégustation. La salade niçoise du 3 mai a été bien appréciée mais les Illkirchoises étaient reparties de la Côte d’Azur pas tout à fait rassasiées. Un match nul (79-79), ça creuse quand même. Du coup, l’orgie était programmée le 10 mai. Et les Niçoises ont pédalé dans la choucroute (75-59). La Nationale 1 était acquise, mais comme l’appétit vient en mangeant, les joueuses de Philippe Breitenbucher se sont servies en dessert à Bercy samedi dernier en finale du Trophée Coupe de France contre Laveyron (62-61). Après deux ans de disette, elles avaient les crocs. A Saint-Etienne aujourd’hui et dimanche, les Alsaciennes veulent encore « la crème du gâteau ».
Contre Ifs à 15 h
Elles ne s’arrêtent donc plus. « La montée » , explique le coach Breitenbucher, « c’était une grande délivrance et cette victoire à Bercy a enlevé un goût d’inachevé. C’était énorme. Maintenant tout le monde joue de plus en plus libéré, avec plus de plaisir. Quand ça tourne comme ça, c’est extra ».
Mardi, l’entraîneur a retrouvé ses joueuses à l’entraînement, avec la banane. « Ça ne parlait pas, ça souriait ». Les objectifs atteints, tout n’est plus que du bonheur à la SIG. Avec une série de 14 matches sans défaites depuis le 9 février, « on est un peu euphorique ».
Sur leur route en demi-finale à 15 h, Ifs. Deuxième de sa poule C avec 19 victoires et 7 défaites, l’équipe calvadosienne a éliminé Colomiers en quart de finale et peut compter sur son ailière Julie Villain - 25 points par match - pour inquiéter les Bas-Rhinoises. A 26 ans, cette ancienne joueuse de Ligue affole les compteurs et inquiète Philippe Breitenbucher. « Ifs a un jeu usant, totalement à son service. On va se concentrer sur elle, l’user au maximum, quitte à faire des impasses. Il faut qu’on joue avec la même intensité que contre Nice, car on a plus de rotation qu’eux ». Cette rencontre sera même « la plus difficile car elles avaient quinze jours pour s’y préparer. Nous, on aura une grosse confiance au début. Si on passe cet obstacle, ce sera moins compliqué ».
Un quadruplé ?
En finale, la SIG pourrait retrouver Laveyron, son adversaire de Bercy samedi dernier, ou Valenciennes. « J’ai dit aux filles qu’on est tout proche ». Tout proche d’un triplé historique. D’un quadruplé même puisque le 30 mai, la SIG affrontera Vendenheim en finale de la Coupe du Crédit Mutuel. Mais d’abord, ce titre de champion de France de N2. Le président Luc Pfister veut « chercher la chantilly autour de la cerise de Bercy ». Décidément, ce sont de vrais ogres !
Romain Schué - www.alsapresse.com
Vainqueur du Trophée Coupe de France la semaine dernière après avoir acquis sa montée en Nationale 1 sept jours avant, la SIG est euphorique. A Saint-Etienne ce week-end, le club illkirchois veut encore chercher le titre de champion de France de N2.
Savourer.
A la SIG, on connaît. D’abord, la dégustation. La salade niçoise du 3 mai a été bien appréciée mais les Illkirchoises étaient reparties de la Côte d’Azur pas tout à fait rassasiées. Un match nul (79-79), ça creuse quand même. Du coup, l’orgie était programmée le 10 mai. Et les Niçoises ont pédalé dans la choucroute (75-59). La Nationale 1 était acquise, mais comme l’appétit vient en mangeant, les joueuses de Philippe Breitenbucher se sont servies en dessert à Bercy samedi dernier en finale du Trophée Coupe de France contre Laveyron (62-61). Après deux ans de disette, elles avaient les crocs. A Saint-Etienne aujourd’hui et dimanche, les Alsaciennes veulent encore « la crème du gâteau ».
Contre Ifs à 15 h
Elles ne s’arrêtent donc plus. « La montée » , explique le coach Breitenbucher, « c’était une grande délivrance et cette victoire à Bercy a enlevé un goût d’inachevé. C’était énorme. Maintenant tout le monde joue de plus en plus libéré, avec plus de plaisir. Quand ça tourne comme ça, c’est extra ».
Mardi, l’entraîneur a retrouvé ses joueuses à l’entraînement, avec la banane. « Ça ne parlait pas, ça souriait ». Les objectifs atteints, tout n’est plus que du bonheur à la SIG. Avec une série de 14 matches sans défaites depuis le 9 février, « on est un peu euphorique ».
Sur leur route en demi-finale à 15 h, Ifs. Deuxième de sa poule C avec 19 victoires et 7 défaites, l’équipe calvadosienne a éliminé Colomiers en quart de finale et peut compter sur son ailière Julie Villain - 25 points par match - pour inquiéter les Bas-Rhinoises. A 26 ans, cette ancienne joueuse de Ligue affole les compteurs et inquiète Philippe Breitenbucher. « Ifs a un jeu usant, totalement à son service. On va se concentrer sur elle, l’user au maximum, quitte à faire des impasses. Il faut qu’on joue avec la même intensité que contre Nice, car on a plus de rotation qu’eux ». Cette rencontre sera même « la plus difficile car elles avaient quinze jours pour s’y préparer. Nous, on aura une grosse confiance au début. Si on passe cet obstacle, ce sera moins compliqué ».
Un quadruplé ?
En finale, la SIG pourrait retrouver Laveyron, son adversaire de Bercy samedi dernier, ou Valenciennes. « J’ai dit aux filles qu’on est tout proche ». Tout proche d’un triplé historique. D’un quadruplé même puisque le 30 mai, la SIG affrontera Vendenheim en finale de la Coupe du Crédit Mutuel. Mais d’abord, ce titre de champion de France de N2. Le président Luc Pfister veut « chercher la chantilly autour de la cerise de Bercy ». Décidément, ce sont de vrais ogres !
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VO B : petite revue des troupes avant la dernière bataille
VO B est à Saint-Etienne ce week-end, dans la finale à quatre de N2, pour valider une saison exceptionnelle. Nous avons demandé à Abdel Bellouni, l’entraîneur, ce qu’il pense de chacune de ses joueuses.
Aminata Konaté, 17 ans, poste 1 : « Elle a pris une nouvelle dimension dans le groupe et a passé un cap cette saison. Elle a progressé dans la gestion de l’équipe et a travaillé son tir extérieur. Elle va très vite et défend très bien sûr le porteur du ballon. On la verra plus haut dans quelques années si elle poursuit son travail. »
Camille Moreira, 19 ans, poste 2 : « Camille a diversifié son jeu cette année pour être plus présente dans différents secteurs. Elle a un shoot très fiable et un jeu sans ballon intéressant sur l’attaque de zone. En plus, elle défend bien. »
Charlotte Raingeard, 17 ans, poste 1-2 : « Charlotte est malheureusement indisponible à cause d’une rupture du ligament croisé.
C’est une shooteuse à trois points hors pair. Elle a pris davantage de responsabilités en variant son jeu et a fait des efforts en défense. On lui souhaite de revenir très vite. »
Bettina Kadila, 17 ans, poste 4 : « Elle a fait une grosse saison en gagnant en agressivité offensive, elle est présente au rebond et est très mobile pour sa taille. Elle doit progresser dans sa gestuelle de tir pour joueur au niveau supérieur. »
Darline N’Soki, 19 ans, poste 3-4 : « La joueuse que tout entraîneur souhaite avoir dans son équipe. Travailleuse, efficace et un état d’esprit remarquable. Elle peut aussi bien jouer poste 3 que 4. Darline est une valeur sûre. »
Sarah Michel, 19 ans, poste 2 : « Talentueuse, travailleuse et humble. Ses coéquipières l’adorent et elle adore ses coéquipières, que dire de plus ? »
Céline Girard, 17 ans, poste 4-5 : « La petite nouvelle du groupe qui a fait une bonne saison. Elle s’est fondue dans le collectif en progressant en défense et en apportant son intelligence de jeu. »
Doussouba Bouaré, 17 ans, poste 2 : « Doussouba a gagné en rigueur et constance, ce qui lui a permis de réaliser une bonne saison. Elle a un sens du jeu inné et a développé un tir extérieur fiable. Si elle gagne en explosivité, elle peut jouer plus haut. »
Fatou Sall, 19 ans, poste 5 : « Fatou est revenue après une opération des ligaments croisés avec beaucoup d’envie. C’est une joueuse qui a une bonne lecture du jeu et qui doit développer son agressivité offensive dos au panier. »
Doriane Tahane, 19 ans, poste 5 : « C’est une joueuse qui nous a apporté son expérience et sa taille dans le jeu intérieur. Elle doit être encore plus agressive et jouer un rôle d’intimidateur en défense. »
Corina Okamba, 19 ans, poste 4 : « C’est la 4 “moderne” qui est capable de s’écarter et shooter à trois points. Elle a de bons fondamentaux et une bonne culture du jeu. Elle doit gagner en vitesse de pied. »
Elvire Attiogbé, 20 ans, poste 2 : « C’est la capitaine, un leader qui sait tirer un groupe vers le haut. Elle a des qualités de drive intéressantes et joue beaucoup en anticipation en défense. Elle doit fixer son tir extérieur. »
Philomène Nké, 17 ans, poste 2-3 : « Dotée de qualités physiques au-dessus de la moyenne. Philo est forte sur son premier pas et est présente au rebond des deux côtés du terrain. Elle doit absolument travailler son tir extérieur pour jouer au niveau supérieur. »
Mathieu Bocquet : « Mathieu est un jeune entraîneur qui a une finesse d’analyse très intéressante et avec qui on a travaillé en synergie toute l’année. Les filles l’apprécient et pour moi il est devenu indispensable. »
PROPOS RECUEILLIS PAR O. P. ET R. P. (CLP) -La Voix du Nord - www.lavoixdessports.com
VO B est à Saint-Etienne ce week-end, dans la finale à quatre de N2, pour valider une saison exceptionnelle. Nous avons demandé à Abdel Bellouni, l’entraîneur, ce qu’il pense de chacune de ses joueuses.
Aminata Konaté, 17 ans, poste 1 : « Elle a pris une nouvelle dimension dans le groupe et a passé un cap cette saison. Elle a progressé dans la gestion de l’équipe et a travaillé son tir extérieur. Elle va très vite et défend très bien sûr le porteur du ballon. On la verra plus haut dans quelques années si elle poursuit son travail. »
Camille Moreira, 19 ans, poste 2 : « Camille a diversifié son jeu cette année pour être plus présente dans différents secteurs. Elle a un shoot très fiable et un jeu sans ballon intéressant sur l’attaque de zone. En plus, elle défend bien. »
Charlotte Raingeard, 17 ans, poste 1-2 : « Charlotte est malheureusement indisponible à cause d’une rupture du ligament croisé.
C’est une shooteuse à trois points hors pair. Elle a pris davantage de responsabilités en variant son jeu et a fait des efforts en défense. On lui souhaite de revenir très vite. »
Bettina Kadila, 17 ans, poste 4 : « Elle a fait une grosse saison en gagnant en agressivité offensive, elle est présente au rebond et est très mobile pour sa taille. Elle doit progresser dans sa gestuelle de tir pour joueur au niveau supérieur. »
Darline N’Soki, 19 ans, poste 3-4 : « La joueuse que tout entraîneur souhaite avoir dans son équipe. Travailleuse, efficace et un état d’esprit remarquable. Elle peut aussi bien jouer poste 3 que 4. Darline est une valeur sûre. »
Sarah Michel, 19 ans, poste 2 : « Talentueuse, travailleuse et humble. Ses coéquipières l’adorent et elle adore ses coéquipières, que dire de plus ? »
Céline Girard, 17 ans, poste 4-5 : « La petite nouvelle du groupe qui a fait une bonne saison. Elle s’est fondue dans le collectif en progressant en défense et en apportant son intelligence de jeu. »
Doussouba Bouaré, 17 ans, poste 2 : « Doussouba a gagné en rigueur et constance, ce qui lui a permis de réaliser une bonne saison. Elle a un sens du jeu inné et a développé un tir extérieur fiable. Si elle gagne en explosivité, elle peut jouer plus haut. »
Fatou Sall, 19 ans, poste 5 : « Fatou est revenue après une opération des ligaments croisés avec beaucoup d’envie. C’est une joueuse qui a une bonne lecture du jeu et qui doit développer son agressivité offensive dos au panier. »
Doriane Tahane, 19 ans, poste 5 : « C’est une joueuse qui nous a apporté son expérience et sa taille dans le jeu intérieur. Elle doit être encore plus agressive et jouer un rôle d’intimidateur en défense. »
Corina Okamba, 19 ans, poste 4 : « C’est la 4 “moderne” qui est capable de s’écarter et shooter à trois points. Elle a de bons fondamentaux et une bonne culture du jeu. Elle doit gagner en vitesse de pied. »
Elvire Attiogbé, 20 ans, poste 2 : « C’est la capitaine, un leader qui sait tirer un groupe vers le haut. Elle a des qualités de drive intéressantes et joue beaucoup en anticipation en défense. Elle doit fixer son tir extérieur. »
Philomène Nké, 17 ans, poste 2-3 : « Dotée de qualités physiques au-dessus de la moyenne. Philo est forte sur son premier pas et est présente au rebond des deux côtés du terrain. Elle doit absolument travailler son tir extérieur pour jouer au niveau supérieur. »
Mathieu Bocquet : « Mathieu est un jeune entraîneur qui a une finesse d’analyse très intéressante et avec qui on a travaillé en synergie toute l’année. Les filles l’apprécient et pour moi il est devenu indispensable. »
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LE MATCH
L’US Laveyron sur la route de VO B
En éliminant le Basket Val Union 37 en quart de finale, l’équipe réserve de l’USVO s’est donné le droit de participer au Final Four de N2, ce week-end à Saint-Etienne, comme l’an dernier.
Sur leur route vers le sommet, les Valenciennoises trouveront cet après-midi l’US Laveyron, une formation qui a terminé première de la poule A avec 25 victoires pour une défaite. Étienne Faye dispose d’un groupe solide sous la main, qui vient de se faire battre en finale du Trophée Coupe de France, à Bercy, par Strasbourg (62-61).
À Valenciennes, on veut aller au bout de l’aventure. Ce que confirme la capitaine, Elvyre Attiogbé : « Il y a un gros enjeu mais le groupe se sent assez bien. C’est la motivation qui va primer. N’oublions surtout pas notre jeu collectif. » Abdel Bellouni est sur la même longueur d’ondes : « Je pense que nous avons pas mal d’arguments à faire valoir, le premier d’entre eux est notre enthousiasme et un groupe complémentaire, homogène. Le second sera de proposer une grosse défense afin de casser le timing de Laveyron. Il faudra enfin verrouiller le rebond avec une grosse défense pour ne pas laisser à l’adversaire de deuxième chance. Dans tous les cas, je sais pouvoir compter sur la détermination, la solidarité et la combativité d’un groupe exceptionnel. »
Dans l’autre demi-finale, le SIG Illkirch-Graffenstaden sera opposé à Ifs.
La Voix du Nord - www.lavoixdessports.com
Le programme.-
Aujourd’hui, 15 h : SIG Illkirch-Graffenstaden - Ifs ; 17 h 15 : US Laveyron - USVO B.
Dimanche, 13 h 15 : finale des perdants ; 15 h 30 : finale.
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les résultats du 24/05/2008:
Strasbourg I.G. - CB Ifs : 70 - 69
US Laveyron - Valenciennes USVO : 62 - 49
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La SIG jouera le titre
Grâce à sa victoire 70-69 contre Ifs hier à Saint-Etienne, la SIG tentera de décrocher son premier titre de champion de France de Nationale 2 aujourd’hui à 15 h 30 contre Laveyron.
« C’était dur, dur, dur » : Philippe Breitenbucher, le coach de la SIG, pousse « un grand ouf de soulagement ». Après la montée en N1 puis la victoire à Bercy, le mental avait encore du mal à suivre : « Ce n’était pas facile après ces dernières semaines face à un adversaire qui n’avait rien à perdre et qui s’est préparé depuis longtemps. Bercy avait demandé beaucoup d’investissement mental. C’était dur pour beaucoup de se remettre dedans ».
Tout avait pourtant débuté dans la lignée des précédentes prestations victorieuses. Les joueuses illkirchoises trouent la défense individuelle calvadosienne (24-11 à la 9e). A la 12e, les coéquipières d’une Céline Schmitt-Sendner une nouvelle fois impériale (26 pts) mènent encore 30-18. « Après, on a été un peu émoussé ». La zone adverse est fatale et Ifs revient à 36-31 à la 18e. A la reprise, « on a complètement déjoué avec la fatigue ». Chourchoulis (5 paniers à 3 pts) et Villain enchaînent. Ifs prend la tête (45-46 à la 26e). « Honnêtement, on était dans le rouge. On manquait de lucidité et de jambes. Ça s’est joué à l’envie, avec l’énergie d’aller choper un nouveau titre ». Menée encore 58-62, la SIG, avec deux paniers de Kuissu, reprend l’avantage 64-62. Un dernier pressing défensif permet de conserver un point d’avance, suffisant pour affronter Laveyron (qui a battu Valenciennes 62-49) aujourd’hui à 15 h 30 : un remake de Bercy huit jours après. En espérant la même issue et un titre de champion de France de N2 en poche.
SIG — Ifs : 70-69.
Quarts temps : 24-13, 14-18, 15-19, 17-19.
Arbitres : M. Mendes et Mlle Mamouni.
SIG : 28 paniers dont 3 à 3 pts. 11 LF sur 26. 19 fautes (Kopp, 40è, éliminée) Fischbach 6, Sendner 26, Nestor 9, M. Schultz 3, Kuissu 9, Kopp 6, Terrin, Nussbaumer 4, Privet 5, Bataglia 2.
Ifs : 27 paniers dont 8 à 3 pts. 7 LF sur 14. 22 fautes (Galiana, 40è, éiminée). Chourchoulis 22, Villain 22, Galiana 10, Puc 10, Chrzanowski 3, Seigneur 2, Bisson, Diagne, Puech, Doguet.
R.S. - www.alsapresse.com - 25/05/2008
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La SIG en finale !
SIG 70 IFS 69
Dire que la SIG a parfaitement maîtrisé son sujet, hier en demi-finale du 'Final Four' de N2F à Saint-Étienne, serait beaucoup dire. La poignée de supporters qui avait fait le déplacement ont eu l'impression de revivre la finale des Illkirchoises à Bercy. La SIG a ainsi compté 13 points d'avance (24-11) sous l'impulsion d'une saignante Schmitt-Sendner. Mais ce premier quart-temps a sans doute été trop facile. Le 'fille à fille' proposé par Ifs volait alors en éclat à chaque incursion de la SIG.
Dans le deuxième quart-temps, les Illkirchoises continuent à mener les débats (30-18, 12e). Sur le changement de défense d'Ifs, les filles de Philippe Breitenbucher commencent à éprouver des difficultés. Maladroites notamment aux lancers francs, elles voient leur avance se réduire (36-31, 18e). La mi-temps arrive au bon moment pour faire souffler les Alsaciennes : 38-31.
A la reprise, la SIG éprouve toute les peines du monde à contenir les assauts des Normandes. Chourchoulis, à trois points (5), et Villain allument des mèches meurtrières : 42-41 (23e). La SIG est aux abois. Sur un tir bonifié de Chourchoulis, les Calvadosiennes prennent l'avantage (45-46, 26e). Nestor et Battaglia replacent à nouveau la SIG dans le bon sens (53-46), avant que Chourchoulis et toujours l'intenable Villain ne réduisent le score avant l'entame du dernier quart-temps : 53-50.
Le début du dernier acte est catastrophique. Schmitt-Sendner a beau se démener comme un diable, Ifs reprend les commandes : 58-61 (33e). L'entrée en jeu de Kuissu va booster ses partenaires. Deux tirs d'affilée de cette dernière permettent à la SIG de reprendre la tête : 64-61 (35e). La série de lancers ratés par les Illkirchoises (3/7) va entretenir le suspense jusqu'au bout. Les supporters sont en train de revivre les dernières secondes de Bercy (69-65, 38e). Puc, oubliée sous l'anneau, réduit la marque : 69-67. Les Alsaciennes, qui tardent sur une remise en jeu, perdent la balle alors qu'il reste sept secondes à jouer ! Mais la SIG défend bien, sans faute. Les secondes s'égrènent avant que le buzzer ne délivre les Bas-Rhinoises.
La SIG sera opposée, cet après-midi en finale, à Laveyron vainqueur de son côté de l'USVO II (62-49). Pour un remake de la finale du Trophée Coupe de France à Bercy. « A coeur vaillant, rien d'impossible », prévient Philippe Breitenbucher.
www.dna.fr
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L’USVO B s’incline face à l’US Laveyron
C’est à Saint-Étienne que la réserve de l’USVO bataillait ce samedi afin de décrocher un titre. Hélas malgré leur bonne volonté et leurs qualités les jeunes valenciennoises n’auront pas ce plaisir.
Pour cette rencontre le tandem Bellouni-Bocquet était privé des services de Sarah Michel, toujours contrariée par son pied. Si le début de match était équilibré, Valenciennes prenait un léger avantage sur son adversaire : 10-12 (10e) : « Cela allait bien en fille à fille et du coup Laveyron passa en zone. Là nous avons manqué de patience et leur zone nous a fait mal en prenant des paniers à 3 points.» VO B virait au repos avec six longueurs de retard (26-20). Il n’y avait pas le feu à la baraque valenciennoise, mais il allait falloir montrer autre chose.
Les équipières d’Attiogbé s’accrochaient, faisaient douter les joueuses de la Drôme, mais n’arrivaient pas à renverser les données : 40-33 (30e ). Elles jetaient leurs dernières forces dans la bagarre, mais hélas elles se découvraient et payaient cash cette situation pour finalement s’incliner : 49-62. « C'est dommage, c’est le basket, mais cette défaite n’enlève en rien le bon parcours des filles cette saison » conclut le coach valenciennois.
Cet après midi (13 h 15) l’USVO B affrontera Ifs (défait par Strasbourg : 69-70) pour la troisième place avec l’espoir d’une médaille de bronze. •
ROBERT PLACE - La Voix du Nord - 25/05/2008 - www.lavoixdessports.com
USVO B - LAVEYRON : 49-62 (12-10, 8-16, 13-14, 16-22) •
VO B : Moreira 2 ; Tahane 8 ; Konaté 7 ; Nké 3 ; Nsoki 14 ; Girard 2 ; Kadila 3 ; Attiogbé 8 ; Okamba 2.
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Laveyron et la SIG en finale
Les Drômoises et les Strasbourgeoises se sont imposées hier. Elles se retrouveront aujourd’hui.
SIG Strasbourg 70 -Ifs 69
Saint-Étienne, stadium Pierre-Maisonnial.
Arbitres : MA Mendès et M.Elmanouni.
De 10 en 10 minutes : 24-13; 38-31; 53-50; 70-69.
Les quart-temps : 24-13; 14-18; 15-19; 17-19.
SIG Strasbourg : 70 points, 28 paniers inscrits dont 3 à trois points Kopp (1), Nestor (1), Schultz (1).
11 lancers francs réussis sur 24 possibles. 19 fautes personnelles et une joueuse éliminée pour 5 fautes (Kopp).
Sendner 26 points (1faute); Nestor 9 points (2 fautes); Fischbach 8 points (1faute); Kuissu 7 points (3 fautes); Kopp 6 points (5fautes); Privet 5 points (2 fautes); Nusbaumer 4 points (2 fautes); Schultz 3 points; Battaglia 2 points (2fautes).
C.B IFS : 69 points, 27 paniers inscrits dont 8 à trois points : Chourchoulis (5), Villain (3)
7 lancers francs réussis sur 12 possibles. 22 fautes personnelles 1 technique et une joueuse éliminée (Galiana);
Villain 22 points (1 faute); Chourchoulis 22 points (2 fautes); Galiana 10 points (5fautes); Puc 10 points (3fautes); Chrzanowski 3 points (4 fautes); Seigneur 2 points (4fautes); Doguet (2fautes); Bisson (1faute).
Si les premières actions étaient favorables aux Alsaciennes, l’équipe d’Ifs s’employait à réagir mais commettait des maladresses préjudiciables. La SIG utilisait au mieux son intérieur Sendner dont le potentiel athlétique perturbait la défense adverse. Les deux équipes réalisaient d’excellents mouvements offensifs malgré les oppositions défensives très strictes. 38-31 au repos, les Normandes s’efforçaient de rester dans le sillage de leur vis-à-vis avec Villain, Galiana, Puc et surtout Chourchoulis (étonnante de précision) à la réalisation. L’intérêt de cette superbe partie allait rebondir avec une deuxième période passionnante avec un score serré 58 partout à la 35e minute, l’intensité montait encore d’un cran avant que la SIG l’emporte sur le fil 70 à 69 dans un final haletant.
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Laveyron 62 - Valenciennes 49
Saint-Étienne, stadium Pierre-Maisonnial.
Arbitres : G.Boirivant et F. Gagniarre
De 10 en 10 minutes : 10-12; 26-20; 40-33; 62-49.
Les quart-temps : 10-12; 16-8; 14-13; 22-16.
Laveyron : 62 points, 22 paniers inscrits dont 6 à trois points : Aissani (4), Carmona (1), Rouat (1). 10 lancers francs réussis sur 15 possibles. 21 fautes personnelles.
Aissani 22 points (1faute), Carmona 13 points (4fautes), Ayi 10 points (3fautes), Verjuin 10 points (4fautes), Rouat 3 points (1faute), M’Baye 2 points (2fautes), Joud 2 points (1faute), Soubeyrand (1faute), Forel (2fautes), Embarek (2fautes).
Valenciennes : 49 points, 18 paniers inscrits dont 1 à trois points : Attiogbe. 12 lancers francs réussis sur 20 possibles. 15 fautes personnelles.
N’Soki 14 points (3fautes), Tahane 10 points (2fautes), Attiogbe 6 points (1faute), Konate 5 points (1faute), Moreira 4 points (1faute), Nke 3 points; Kadna 3 points, Girard 2 points (3fautes), Okamba 2 points (3fautes), Bouare (faute).
Les deux formations tardaient à entrer dans ce match où les approximations étaient en nombre, il est vrai que les défenses faisaient bonne garde, 7-7 à la 5e. Les contacts ne favorisaient pas les ouvertures et le score évoluait faiblement. Des tirs majorés de Carmona, Aissani donnaient un peu d’air à l’équipe de la Drôme mais Valenciennes qui procédait à des changements à jet continu ne se laissait pas décramponner facilement. Les accélérations conclues par la remuante Ayi et les reprises de Verjuin permettaient à Laveyron de prendre de la hauteur et même de faire le trou. Bien soutenu par des cohortes de supporters bruyants, les deux équipes se sont livrées un duel très engagé qui se terminait par le succès de Laveyron 62 à 49, qui retrouvera pour une revanche aujourd’hui en finale, à 15 h 30 au stadium Pierre-Maisonnial, la SIG Strasbourg vainqueur de la Coupe samedi dernier à Bercy. En lever de rideau, Ifs et Valenciennes se disputeront la troisième place à 13h15.
R.M. - www.leprogres.fr
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Déception au BVLU... (26/05/2008)
Le club cher au président Robin ne montera pas en Nationale 1 la saison prochaine. La réserve professionelle de Valenciennes qui devait devenir championne de France pour permettre à l'Entente tourangelle d'accéder à l'échelon supérieur a échoué, en effet, pour la seconde année consécutive en demi-finale (49-62 contre Laveyron). Sébastien Nivet craignait cette rencontre, sachant que Laveyron était potentiellement le plus fort sur le papier. Le technicien tourangeau a encore vu juste, il devra remettre le métier sur l'ouvrage pour relancer un groupe qui va regretter longtemps ce panier à trois points à Toulouse.
www.lanouvellerepublique.fr
L’US Laveyron sur la route de VO B
En éliminant le Basket Val Union 37 en quart de finale, l’équipe réserve de l’USVO s’est donné le droit de participer au Final Four de N2, ce week-end à Saint-Etienne, comme l’an dernier.
Sur leur route vers le sommet, les Valenciennoises trouveront cet après-midi l’US Laveyron, une formation qui a terminé première de la poule A avec 25 victoires pour une défaite. Étienne Faye dispose d’un groupe solide sous la main, qui vient de se faire battre en finale du Trophée Coupe de France, à Bercy, par Strasbourg (62-61).
À Valenciennes, on veut aller au bout de l’aventure. Ce que confirme la capitaine, Elvyre Attiogbé : « Il y a un gros enjeu mais le groupe se sent assez bien. C’est la motivation qui va primer. N’oublions surtout pas notre jeu collectif. » Abdel Bellouni est sur la même longueur d’ondes : « Je pense que nous avons pas mal d’arguments à faire valoir, le premier d’entre eux est notre enthousiasme et un groupe complémentaire, homogène. Le second sera de proposer une grosse défense afin de casser le timing de Laveyron. Il faudra enfin verrouiller le rebond avec une grosse défense pour ne pas laisser à l’adversaire de deuxième chance. Dans tous les cas, je sais pouvoir compter sur la détermination, la solidarité et la combativité d’un groupe exceptionnel. »
Dans l’autre demi-finale, le SIG Illkirch-Graffenstaden sera opposé à Ifs.
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Le programme.-
Aujourd’hui, 15 h : SIG Illkirch-Graffenstaden - Ifs ; 17 h 15 : US Laveyron - USVO B.
Dimanche, 13 h 15 : finale des perdants ; 15 h 30 : finale.
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les résultats du 24/05/2008:
Strasbourg I.G. - CB Ifs : 70 - 69
US Laveyron - Valenciennes USVO : 62 - 49
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La SIG jouera le titre
Grâce à sa victoire 70-69 contre Ifs hier à Saint-Etienne, la SIG tentera de décrocher son premier titre de champion de France de Nationale 2 aujourd’hui à 15 h 30 contre Laveyron.
« C’était dur, dur, dur » : Philippe Breitenbucher, le coach de la SIG, pousse « un grand ouf de soulagement ». Après la montée en N1 puis la victoire à Bercy, le mental avait encore du mal à suivre : « Ce n’était pas facile après ces dernières semaines face à un adversaire qui n’avait rien à perdre et qui s’est préparé depuis longtemps. Bercy avait demandé beaucoup d’investissement mental. C’était dur pour beaucoup de se remettre dedans ».
Tout avait pourtant débuté dans la lignée des précédentes prestations victorieuses. Les joueuses illkirchoises trouent la défense individuelle calvadosienne (24-11 à la 9e). A la 12e, les coéquipières d’une Céline Schmitt-Sendner une nouvelle fois impériale (26 pts) mènent encore 30-18. « Après, on a été un peu émoussé ». La zone adverse est fatale et Ifs revient à 36-31 à la 18e. A la reprise, « on a complètement déjoué avec la fatigue ». Chourchoulis (5 paniers à 3 pts) et Villain enchaînent. Ifs prend la tête (45-46 à la 26e). « Honnêtement, on était dans le rouge. On manquait de lucidité et de jambes. Ça s’est joué à l’envie, avec l’énergie d’aller choper un nouveau titre ». Menée encore 58-62, la SIG, avec deux paniers de Kuissu, reprend l’avantage 64-62. Un dernier pressing défensif permet de conserver un point d’avance, suffisant pour affronter Laveyron (qui a battu Valenciennes 62-49) aujourd’hui à 15 h 30 : un remake de Bercy huit jours après. En espérant la même issue et un titre de champion de France de N2 en poche.
SIG — Ifs : 70-69.
Quarts temps : 24-13, 14-18, 15-19, 17-19.
Arbitres : M. Mendes et Mlle Mamouni.
SIG : 28 paniers dont 3 à 3 pts. 11 LF sur 26. 19 fautes (Kopp, 40è, éliminée) Fischbach 6, Sendner 26, Nestor 9, M. Schultz 3, Kuissu 9, Kopp 6, Terrin, Nussbaumer 4, Privet 5, Bataglia 2.
Ifs : 27 paniers dont 8 à 3 pts. 7 LF sur 14. 22 fautes (Galiana, 40è, éiminée). Chourchoulis 22, Villain 22, Galiana 10, Puc 10, Chrzanowski 3, Seigneur 2, Bisson, Diagne, Puech, Doguet.
R.S. - www.alsapresse.com - 25/05/2008
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La SIG en finale !
SIG 70 IFS 69
Dire que la SIG a parfaitement maîtrisé son sujet, hier en demi-finale du 'Final Four' de N2F à Saint-Étienne, serait beaucoup dire. La poignée de supporters qui avait fait le déplacement ont eu l'impression de revivre la finale des Illkirchoises à Bercy. La SIG a ainsi compté 13 points d'avance (24-11) sous l'impulsion d'une saignante Schmitt-Sendner. Mais ce premier quart-temps a sans doute été trop facile. Le 'fille à fille' proposé par Ifs volait alors en éclat à chaque incursion de la SIG.
Dans le deuxième quart-temps, les Illkirchoises continuent à mener les débats (30-18, 12e). Sur le changement de défense d'Ifs, les filles de Philippe Breitenbucher commencent à éprouver des difficultés. Maladroites notamment aux lancers francs, elles voient leur avance se réduire (36-31, 18e). La mi-temps arrive au bon moment pour faire souffler les Alsaciennes : 38-31.
A la reprise, la SIG éprouve toute les peines du monde à contenir les assauts des Normandes. Chourchoulis, à trois points (5), et Villain allument des mèches meurtrières : 42-41 (23e). La SIG est aux abois. Sur un tir bonifié de Chourchoulis, les Calvadosiennes prennent l'avantage (45-46, 26e). Nestor et Battaglia replacent à nouveau la SIG dans le bon sens (53-46), avant que Chourchoulis et toujours l'intenable Villain ne réduisent le score avant l'entame du dernier quart-temps : 53-50.
Le début du dernier acte est catastrophique. Schmitt-Sendner a beau se démener comme un diable, Ifs reprend les commandes : 58-61 (33e). L'entrée en jeu de Kuissu va booster ses partenaires. Deux tirs d'affilée de cette dernière permettent à la SIG de reprendre la tête : 64-61 (35e). La série de lancers ratés par les Illkirchoises (3/7) va entretenir le suspense jusqu'au bout. Les supporters sont en train de revivre les dernières secondes de Bercy (69-65, 38e). Puc, oubliée sous l'anneau, réduit la marque : 69-67. Les Alsaciennes, qui tardent sur une remise en jeu, perdent la balle alors qu'il reste sept secondes à jouer ! Mais la SIG défend bien, sans faute. Les secondes s'égrènent avant que le buzzer ne délivre les Bas-Rhinoises.
La SIG sera opposée, cet après-midi en finale, à Laveyron vainqueur de son côté de l'USVO II (62-49). Pour un remake de la finale du Trophée Coupe de France à Bercy. « A coeur vaillant, rien d'impossible », prévient Philippe Breitenbucher.
www.dna.fr
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L’USVO B s’incline face à l’US Laveyron
C’est à Saint-Étienne que la réserve de l’USVO bataillait ce samedi afin de décrocher un titre. Hélas malgré leur bonne volonté et leurs qualités les jeunes valenciennoises n’auront pas ce plaisir.
Pour cette rencontre le tandem Bellouni-Bocquet était privé des services de Sarah Michel, toujours contrariée par son pied. Si le début de match était équilibré, Valenciennes prenait un léger avantage sur son adversaire : 10-12 (10e) : « Cela allait bien en fille à fille et du coup Laveyron passa en zone. Là nous avons manqué de patience et leur zone nous a fait mal en prenant des paniers à 3 points.» VO B virait au repos avec six longueurs de retard (26-20). Il n’y avait pas le feu à la baraque valenciennoise, mais il allait falloir montrer autre chose.
Les équipières d’Attiogbé s’accrochaient, faisaient douter les joueuses de la Drôme, mais n’arrivaient pas à renverser les données : 40-33 (30e ). Elles jetaient leurs dernières forces dans la bagarre, mais hélas elles se découvraient et payaient cash cette situation pour finalement s’incliner : 49-62. « C'est dommage, c’est le basket, mais cette défaite n’enlève en rien le bon parcours des filles cette saison » conclut le coach valenciennois.
Cet après midi (13 h 15) l’USVO B affrontera Ifs (défait par Strasbourg : 69-70) pour la troisième place avec l’espoir d’une médaille de bronze. •
ROBERT PLACE - La Voix du Nord - 25/05/2008 - www.lavoixdessports.com
USVO B - LAVEYRON : 49-62 (12-10, 8-16, 13-14, 16-22) •
VO B : Moreira 2 ; Tahane 8 ; Konaté 7 ; Nké 3 ; Nsoki 14 ; Girard 2 ; Kadila 3 ; Attiogbé 8 ; Okamba 2.
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Laveyron et la SIG en finale
Les Drômoises et les Strasbourgeoises se sont imposées hier. Elles se retrouveront aujourd’hui.
SIG Strasbourg 70 -Ifs 69
Saint-Étienne, stadium Pierre-Maisonnial.
Arbitres : MA Mendès et M.Elmanouni.
De 10 en 10 minutes : 24-13; 38-31; 53-50; 70-69.
Les quart-temps : 24-13; 14-18; 15-19; 17-19.
SIG Strasbourg : 70 points, 28 paniers inscrits dont 3 à trois points Kopp (1), Nestor (1), Schultz (1).
11 lancers francs réussis sur 24 possibles. 19 fautes personnelles et une joueuse éliminée pour 5 fautes (Kopp).
Sendner 26 points (1faute); Nestor 9 points (2 fautes); Fischbach 8 points (1faute); Kuissu 7 points (3 fautes); Kopp 6 points (5fautes); Privet 5 points (2 fautes); Nusbaumer 4 points (2 fautes); Schultz 3 points; Battaglia 2 points (2fautes).
C.B IFS : 69 points, 27 paniers inscrits dont 8 à trois points : Chourchoulis (5), Villain (3)
7 lancers francs réussis sur 12 possibles. 22 fautes personnelles 1 technique et une joueuse éliminée (Galiana);
Villain 22 points (1 faute); Chourchoulis 22 points (2 fautes); Galiana 10 points (5fautes); Puc 10 points (3fautes); Chrzanowski 3 points (4 fautes); Seigneur 2 points (4fautes); Doguet (2fautes); Bisson (1faute).
Si les premières actions étaient favorables aux Alsaciennes, l’équipe d’Ifs s’employait à réagir mais commettait des maladresses préjudiciables. La SIG utilisait au mieux son intérieur Sendner dont le potentiel athlétique perturbait la défense adverse. Les deux équipes réalisaient d’excellents mouvements offensifs malgré les oppositions défensives très strictes. 38-31 au repos, les Normandes s’efforçaient de rester dans le sillage de leur vis-à-vis avec Villain, Galiana, Puc et surtout Chourchoulis (étonnante de précision) à la réalisation. L’intérêt de cette superbe partie allait rebondir avec une deuxième période passionnante avec un score serré 58 partout à la 35e minute, l’intensité montait encore d’un cran avant que la SIG l’emporte sur le fil 70 à 69 dans un final haletant.
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Laveyron 62 - Valenciennes 49
Saint-Étienne, stadium Pierre-Maisonnial.
Arbitres : G.Boirivant et F. Gagniarre
De 10 en 10 minutes : 10-12; 26-20; 40-33; 62-49.
Les quart-temps : 10-12; 16-8; 14-13; 22-16.
Laveyron : 62 points, 22 paniers inscrits dont 6 à trois points : Aissani (4), Carmona (1), Rouat (1). 10 lancers francs réussis sur 15 possibles. 21 fautes personnelles.
Aissani 22 points (1faute), Carmona 13 points (4fautes), Ayi 10 points (3fautes), Verjuin 10 points (4fautes), Rouat 3 points (1faute), M’Baye 2 points (2fautes), Joud 2 points (1faute), Soubeyrand (1faute), Forel (2fautes), Embarek (2fautes).
Valenciennes : 49 points, 18 paniers inscrits dont 1 à trois points : Attiogbe. 12 lancers francs réussis sur 20 possibles. 15 fautes personnelles.
N’Soki 14 points (3fautes), Tahane 10 points (2fautes), Attiogbe 6 points (1faute), Konate 5 points (1faute), Moreira 4 points (1faute), Nke 3 points; Kadna 3 points, Girard 2 points (3fautes), Okamba 2 points (3fautes), Bouare (faute).
Les deux formations tardaient à entrer dans ce match où les approximations étaient en nombre, il est vrai que les défenses faisaient bonne garde, 7-7 à la 5e. Les contacts ne favorisaient pas les ouvertures et le score évoluait faiblement. Des tirs majorés de Carmona, Aissani donnaient un peu d’air à l’équipe de la Drôme mais Valenciennes qui procédait à des changements à jet continu ne se laissait pas décramponner facilement. Les accélérations conclues par la remuante Ayi et les reprises de Verjuin permettaient à Laveyron de prendre de la hauteur et même de faire le trou. Bien soutenu par des cohortes de supporters bruyants, les deux équipes se sont livrées un duel très engagé qui se terminait par le succès de Laveyron 62 à 49, qui retrouvera pour une revanche aujourd’hui en finale, à 15 h 30 au stadium Pierre-Maisonnial, la SIG Strasbourg vainqueur de la Coupe samedi dernier à Bercy. En lever de rideau, Ifs et Valenciennes se disputeront la troisième place à 13h15.
R.M. - www.leprogres.fr
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Déception au BVLU... (26/05/2008)
Le club cher au président Robin ne montera pas en Nationale 1 la saison prochaine. La réserve professionelle de Valenciennes qui devait devenir championne de France pour permettre à l'Entente tourangelle d'accéder à l'échelon supérieur a échoué, en effet, pour la seconde année consécutive en demi-finale (49-62 contre Laveyron). Sébastien Nivet craignait cette rencontre, sachant que Laveyron était potentiellement le plus fort sur le papier. Le technicien tourangeau a encore vu juste, il devra remettre le métier sur l'ouvrage pour relancer un groupe qui va regretter longtemps ce panier à trois points à Toulouse.
www.lanouvellerepublique.fr
Modifié en dernier par la zone le mar. 27 mai 2008 12:00, modifié 5 fois.