Cadettets France saison 2007 - 2008
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Sangha
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tu as tes entrées la bas dis moikoala a écrit :Mondeville vraiment au dessus de St Amand , meme si elles ont essayé de réagir avec des tirs 3 pts !A'nsi.k a écrit :très belle victoire de mondeville sur une belle équipe de saint amand mais la profondeur de banc, la fluidité de jeu et des fondamentaux parfaits ont permis à mondeville de gagner d'environ 20pts... Grand coup de chapeau aux joueuses présentes à ce tournoi, de belles leçons de basket collectif furent enseigner...
P.S : à noter la 3ème place de BLMA dans un remake de la finale LNB !
Grosse domination à l'intérieur avec Stephanie et Kelly ( elle n'est sortie qu'à la fin pour faire participer le bout du banc)
En plus, effectivement une super fluidité dans la circulation du ballon grace à une défense fille à fille tres naive de St Amand Se qui a permis beaucoup de point dans la raquette pour Mondeville !
Finale de Coupe de France va etre une belle finale , meme si VO à mon avis est plus fort avec les renforts des N2 .
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la zone
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CADETTES1
FINALES A AUBENAS
Impossible de retrouver le championnat !! (source: FFBB)
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Championnat de France cadettes, Saint-Amand perd en finale
Après leur belle victoire face à Bourges (43-52) en demi-finale du championnat de France cadettes samedi, les Amandinoises affrontaient Mondeville en finale dimanche, et s’inclinent (67-88 ).
Le dernier morceau était le plus gros, et il n’est pas passé. Les Mondevillaises ont été sacrées championnes de France, les Amandinoises vice-championnes. « A ce stade, même si nous étions heureux d’être là, on se prend au jeu et on espère » , avoue Jimmy Ploegaerts.
Des espoirs qui furent assez rapidement mis à la baisse. 20-23 après dix minutes de jeu, les deux équipes jouaient pratiquement au coude à coude. « La fin de première période nous a été préjudiciable. »
A 36-46 au repos, l’affaire se corsait face à des Normandes expérimentées malgré leur jeune âge. « Mondeville joue bien et c’est athlétique, expérimenté et physique. » L’USAPH faisait douter son adversaire malgré tout, mais à chaque fois l’USO remettait un coup de collier pour repartir de l’avant.
A 53-66 à l’aube du dernier quart temps, c’était mission impossible. Ce qui se confirmait dans les dix dernières minutes. « Nous sommes à notre place et c’est déjà très bien de revenir avec la médaille d’argent qui récompense les joueuses et les coaches. Une belle saison » , conclut le coach amandinois. •
O. P. (CLP) - La Voix du Nord - www.lavoixdessports.com
SAINT-AMAND - MONDEVILLE : 67-88 (20-23, 16-23, 17-20, 14-22), finale du championnat de France cadettes.
- USAPH : Specq 2, Dubuis 5, N’Tonta 6, Duforet 13, Vercruysse 10, Lamoine 11, Plust 18, M’Foula 2.
Demi-finales.- Bourges - USAPH : 43-52, Mondeville - Montpellier : 81-60.
FINALES A AUBENAS
Impossible de retrouver le championnat !! (source: FFBB)
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Championnat de France cadettes, Saint-Amand perd en finale
Après leur belle victoire face à Bourges (43-52) en demi-finale du championnat de France cadettes samedi, les Amandinoises affrontaient Mondeville en finale dimanche, et s’inclinent (67-88 ).
Le dernier morceau était le plus gros, et il n’est pas passé. Les Mondevillaises ont été sacrées championnes de France, les Amandinoises vice-championnes. « A ce stade, même si nous étions heureux d’être là, on se prend au jeu et on espère » , avoue Jimmy Ploegaerts.
Des espoirs qui furent assez rapidement mis à la baisse. 20-23 après dix minutes de jeu, les deux équipes jouaient pratiquement au coude à coude. « La fin de première période nous a été préjudiciable. »
A 36-46 au repos, l’affaire se corsait face à des Normandes expérimentées malgré leur jeune âge. « Mondeville joue bien et c’est athlétique, expérimenté et physique. » L’USAPH faisait douter son adversaire malgré tout, mais à chaque fois l’USO remettait un coup de collier pour repartir de l’avant.
A 53-66 à l’aube du dernier quart temps, c’était mission impossible. Ce qui se confirmait dans les dix dernières minutes. « Nous sommes à notre place et c’est déjà très bien de revenir avec la médaille d’argent qui récompense les joueuses et les coaches. Une belle saison » , conclut le coach amandinois. •
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SAINT-AMAND - MONDEVILLE : 67-88 (20-23, 16-23, 17-20, 14-22), finale du championnat de France cadettes.
- USAPH : Specq 2, Dubuis 5, N’Tonta 6, Duforet 13, Vercruysse 10, Lamoine 11, Plust 18, M’Foula 2.
Demi-finales.- Bourges - USAPH : 43-52, Mondeville - Montpellier : 81-60.
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COUPE DE FRANCE CADETTES
FINALE
Rencontre du 18/05/2008
10:15 VALENCIENNES U S V O / USO MONDEVILLE
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Finale de la Coupe de France à Bercy : l’USVO veut récidiver
Les cadettes valenciennois qui ont remporté la Coupe de France 2007 face à Voiron souhaitent plus que tout récidiver dimanche. Elles rencontreront Mondeville pour un match qui devrait être relevé...
Si quelques figures ont changées, le mental est toujours le même dans les rangs valenciennois. Le tandem Bellouni-Bocquet a toujours la même envie.
Face à Mondeville, dimanche, le débat ne sera pas facile. L’USAPH vient de s’en rendre compte, en finale du championnat de France . « Mondeville est une équipe expérimentée, physique et athlétique » indique le coach amandinois, Jimmy Ploegaerts.
Pour arriver à ce stade de compétition les Normandes ont successivement éliminé Calais, Coulaines, Moulin-Nantes, Mourenx et Clermont. De son côté, USVO se débarrassait d’Orly, Geispolsheim, Chalon-sur-Saône, Challes et Voiron.
Les comparaisons entre les deux équipes et leurs parcours sont difficiles à établir, mais au regard de la seconde phase du championnat des cadettes, Mondeville a pris un avantage psychologique certain : les Normandes ont obtenu la victoire (60-75) salle du Hainaut et succès – étriqué - chez elles, 92-91. Le staff valenciennois espère que le proverbe « Jamais deux sans trois » ne sera pas d’actualité en cette fin de saison.... Mais joueuses et membres de l’encadrement savent pertinemment que, dimanche matin, le trophée se jouera peut être sur un détail. « Nous sommes déterminés à conserver notre trophée. Nous savons que cela va être très difficile car Mondeville est une équipe équilibrée dans tous les secteurs. Une équipe qui se connaît bien et qui possède un collectif huilé et des joueuses de talent comme Corre, Micaletto, Chartereau, Trottin entre autres , explique Abdel Bellouni, D’ailleurs, ce n’est pas par hasard qu’elles ont gagné le titre de championne de France. Avec Mathieu (Bocquet), sur les expériences des deux matches de championnat, nous avons travaillé sur leur jeu et nous allons essayer de casser leur timing en attaque pour les faire déjouer. L’enthousiasme, la rigueur et la combativité seront d'autres éléments qui pourront faire la différence et nous avons confiance en notre groupe pour décrocher notre premier trophée de l’année ». •
O. P. (CLP) - La Voix du Nord - www.lavoixdessports.com
USVO - MONDEVILLE, finale de la Coupe de France cadettes, dimanche, à 10 h 15, à Bercy.
- L’équipe de l’USVO : Aminata Konaté, Céline Girard, Audrey Pottier, Bettina Kadila, Lauren Nsoki, Mélissa Diawakhana, Doussouba Bouaré, Sarah Abazine, Lalya Sidibé, Philomène Nké.
Entraîneur, Abdel Bellouni ; assistant, Mathieu Bocquet.
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Philomène Nké : « On a un titre à défendre »
Les cadettes de l’USVO affrontent ce dimanche Mondeville en finale de la Coupe de France cadettes. Battues deux fois en championnat par les Normandes, devenues championnes de France la semaine dernière, les Valenciennoises ont envie de revanche. Le point avec la capitaine Philomène Nké, qui a déjà remporté la Coupe de France l’an passé.
– Qu’est-ce que ça représente d’être en finale de la Coupe de France ?
« C’est la récompense du travail effectué à l’entraînement. Ça permet de bien finir la saison. Ce n’est pas pour rien qu’on est là. » – Mondeville, c’est un peu votre bête noire… « On a perdu de 15 points à l’aller chez nous, de 1 là-bas. Je ne sais pas s’il y a réellement cet écart entre nous. Elles seront favorites, d’autant qu’elles viennent d’être championnes de France. Mais nous, on a un titre à défendre. »
– Qu’est-ce qui va faire la différence ?
« L’envie et les petits détails. L’équipe qui aura le plus la “gnac” s’imposera. Mondeville a de bonnes shooteuses, un jeu bien huilé et les filles sont habituées à jouer ensemble. Elles savent parfaitement où faire les écrans et quand shooter. De notre côté, on a la rapidité, la vitesse, la percussion. Il ne faudra pas qu’on se cantonne dans leur jeu. »
– Comment sentez-vous vos partenaires ?
« Toutes, on forme un bloc. Je sens l’équipe déterminée. On est prêtes, on a fait de bonnes choses à l’entraînement cette semaine. Maintenant, il ne faut pas que le stress nous paralyse, il faut qu’il soit positif. »
– Certaines ont fini le championnat il y a près d’un mois, est-ce handicapant ?
« Dans l’équipe, il y a des filles qui n’ont pas arrêté, avec les matches de N2. Pour les autres, l’entraîneur a fait en sorte de maintenir l’esprit en s’entraînant avec la N2. »
– Vous êtes cinq à avoir gagné la coupe l’an passé (*), Bercy ne devrait plus vous impressionner…
« C’est toujours une grande salle. Quand on rentre, on se dit toujours “waouh !”. On aura peut-être moins d’appréhension, mais ça reste impressionnant, même si on y a déjà joué… et gagné. » •
P. G. - www.lavoixdessports.com
Valenciennes - Mondeville, finale de la Coupe de France cadettes : dimanche, à 10 h 30, à Paris Bercy.
(*) Philomène Nké, Doussouba Bouaré, Bettina Kadila, Aminata Konaté et Lauren NSoki.
FINALE
Rencontre du 18/05/2008
10:15 VALENCIENNES U S V O / USO MONDEVILLE
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Finale de la Coupe de France à Bercy : l’USVO veut récidiver
Les cadettes valenciennois qui ont remporté la Coupe de France 2007 face à Voiron souhaitent plus que tout récidiver dimanche. Elles rencontreront Mondeville pour un match qui devrait être relevé...
Si quelques figures ont changées, le mental est toujours le même dans les rangs valenciennois. Le tandem Bellouni-Bocquet a toujours la même envie.
Face à Mondeville, dimanche, le débat ne sera pas facile. L’USAPH vient de s’en rendre compte, en finale du championnat de France . « Mondeville est une équipe expérimentée, physique et athlétique » indique le coach amandinois, Jimmy Ploegaerts.
Pour arriver à ce stade de compétition les Normandes ont successivement éliminé Calais, Coulaines, Moulin-Nantes, Mourenx et Clermont. De son côté, USVO se débarrassait d’Orly, Geispolsheim, Chalon-sur-Saône, Challes et Voiron.
Les comparaisons entre les deux équipes et leurs parcours sont difficiles à établir, mais au regard de la seconde phase du championnat des cadettes, Mondeville a pris un avantage psychologique certain : les Normandes ont obtenu la victoire (60-75) salle du Hainaut et succès – étriqué - chez elles, 92-91. Le staff valenciennois espère que le proverbe « Jamais deux sans trois » ne sera pas d’actualité en cette fin de saison.... Mais joueuses et membres de l’encadrement savent pertinemment que, dimanche matin, le trophée se jouera peut être sur un détail. « Nous sommes déterminés à conserver notre trophée. Nous savons que cela va être très difficile car Mondeville est une équipe équilibrée dans tous les secteurs. Une équipe qui se connaît bien et qui possède un collectif huilé et des joueuses de talent comme Corre, Micaletto, Chartereau, Trottin entre autres , explique Abdel Bellouni, D’ailleurs, ce n’est pas par hasard qu’elles ont gagné le titre de championne de France. Avec Mathieu (Bocquet), sur les expériences des deux matches de championnat, nous avons travaillé sur leur jeu et nous allons essayer de casser leur timing en attaque pour les faire déjouer. L’enthousiasme, la rigueur et la combativité seront d'autres éléments qui pourront faire la différence et nous avons confiance en notre groupe pour décrocher notre premier trophée de l’année ». •
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USVO - MONDEVILLE, finale de la Coupe de France cadettes, dimanche, à 10 h 15, à Bercy.
- L’équipe de l’USVO : Aminata Konaté, Céline Girard, Audrey Pottier, Bettina Kadila, Lauren Nsoki, Mélissa Diawakhana, Doussouba Bouaré, Sarah Abazine, Lalya Sidibé, Philomène Nké.
Entraîneur, Abdel Bellouni ; assistant, Mathieu Bocquet.
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Philomène Nké : « On a un titre à défendre »
Les cadettes de l’USVO affrontent ce dimanche Mondeville en finale de la Coupe de France cadettes. Battues deux fois en championnat par les Normandes, devenues championnes de France la semaine dernière, les Valenciennoises ont envie de revanche. Le point avec la capitaine Philomène Nké, qui a déjà remporté la Coupe de France l’an passé.
– Qu’est-ce que ça représente d’être en finale de la Coupe de France ?
« C’est la récompense du travail effectué à l’entraînement. Ça permet de bien finir la saison. Ce n’est pas pour rien qu’on est là. » – Mondeville, c’est un peu votre bête noire… « On a perdu de 15 points à l’aller chez nous, de 1 là-bas. Je ne sais pas s’il y a réellement cet écart entre nous. Elles seront favorites, d’autant qu’elles viennent d’être championnes de France. Mais nous, on a un titre à défendre. »
– Qu’est-ce qui va faire la différence ?
« L’envie et les petits détails. L’équipe qui aura le plus la “gnac” s’imposera. Mondeville a de bonnes shooteuses, un jeu bien huilé et les filles sont habituées à jouer ensemble. Elles savent parfaitement où faire les écrans et quand shooter. De notre côté, on a la rapidité, la vitesse, la percussion. Il ne faudra pas qu’on se cantonne dans leur jeu. »
– Comment sentez-vous vos partenaires ?
« Toutes, on forme un bloc. Je sens l’équipe déterminée. On est prêtes, on a fait de bonnes choses à l’entraînement cette semaine. Maintenant, il ne faut pas que le stress nous paralyse, il faut qu’il soit positif. »
– Certaines ont fini le championnat il y a près d’un mois, est-ce handicapant ?
« Dans l’équipe, il y a des filles qui n’ont pas arrêté, avec les matches de N2. Pour les autres, l’entraîneur a fait en sorte de maintenir l’esprit en s’entraînant avec la N2. »
– Vous êtes cinq à avoir gagné la coupe l’an passé (*), Bercy ne devrait plus vous impressionner…
« C’est toujours une grande salle. Quand on rentre, on se dit toujours “waouh !”. On aura peut-être moins d’appréhension, mais ça reste impressionnant, même si on y a déjà joué… et gagné. » •
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Valenciennes - Mondeville, finale de la Coupe de France cadettes : dimanche, à 10 h 30, à Paris Bercy.
(*) Philomène Nké, Doussouba Bouaré, Bettina Kadila, Aminata Konaté et Lauren NSoki.
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COUPE DE FRANCE CADETTES
FINALE
résultat de la rencontre du 18/05/2008
VALENCIENNES U S V O / USO MONDEVILLE: 61 - 66
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les cadettes de Mondeville gagnent la coupe de France
Les cadettes de l'Uso Mondeville ont réalisé le doublé championnat - coupe de France, en battant Valenciennes 66-61 dimanche midi à Paris-Bercy.
www.ouest-france.fr
************************************************** ***********
L’USVO n’a pas su conserver son trophée
– C’est assez rare pour le souligner. Rare que l’USVO débute une rencontre en… outsider.
Pourtant, à Bercy, c’était bien le cas. Car en face, Mondeville est ce qui se fait de mieux chez les cadettes cette année. Et face au nouveau champion de France, les Valenciennoises ont mordu la poussière par deux fois en championnat !
Voilà sans doute pourquoi VO débuta la rencontre le couteau entre les dents. A l’image d’une Aminata Konate aussi clairvoyante dans la dernière passe que dans le scoring en pénétration, Valenciennes prit les devants. Logiquement (5-0 puis 10-5). Et malgré la présence salvatrice de la Normande Stéphanie Dufour sous les panneaux, l’USVO conserva quatre longueurs d’avance au terme du premier quart-temps (17-13). « J’ai très vite compris qu’on serait en danger en restant en fille à fille , explique Didier Godefroy, l’entraîneur mondevillais. À 5-0, j’ai décidé de passer en défense de zone jusqu’à la fin du match. »
Et, bien évidemment, la réaction d’orgueil des favorites fit son oeuvre. Mondeville, grâce à son tandem Chartereau - Corre, retrouva un peu de gnac défensive et de réussite en contre-attaque. Un panier à trois points de Trottin dans les derniers instants permettait même à l’USOM de passer devant à la pause (27-28 ).
Tout restait à faire entre deux équipes qui se connaissent sur le bout des doigts. En témoigne leur dernière confrontation (92-91), jouée sur un coup de dé.
Et c’est encore VO qui prit le meilleur départ de retour des vestiaires (33-30 puis 40-35). Forcément de quoi mettre en boule des Normandes qui alignèrent alors un 10-0 pour poser une première main sur le trophée (40-45). Plus grandes, plus physiques, pouvant se baser sur un collectif à l’évidence plus fort que celui du Hainaut, les Mondevillaises ne lâchèrent plus rien par la suite, gérant sans frayeur les dix dernières minutes. « On a eu l’opportunité de gagner , soupire la jeune Aminata Konate, sûrement la meilleure Valenciennoise hier sur le parquet parisien.
Mais on a cruellement manqué d’adresse. » Constat corroboré par Mathieu Bocquet, l’assistant d’Abdel Bellouni, privé de banc : « On est tombé sur un grand Mondeville. Dès qu’elles défendent en zone, on connaît forcément des difficultés. Cette victoire mondevillaise s’est jouée au mental. Car je peux être fier de mes joueuses qui à aucun moment n’ont lâché la rencontre. »
La tristesse était pourtant de mise au moment de la remise des médailles. Il faut dire que les Valenciennoises avaient eu le droit à cette grande joie l’an dernier face à Voiron…
Sébastien DARNAUX - La Voix des Sports - www.lavoixdessports.com
USVO - MONDEVILLE : 61-66 (17-13, 10-15, 13-17, 21-21).
Arbitres : Mlle Fizailne et M. Hamzaoui.
– USVO : Konate 18, Bouare 13, Girard 9, Kadila 4, Nke 10 ; Diawakana 3, Sidibe 2, Nsoki 2, Pottier.
Entraîneur : Mathieu Bocquet.
– MONDEVILLE : Trottin 3, Chartereau 10, Corre 18, Micaletto 10, Dufour 19 ; Routaboul 6, Lozouet, Grossin.
Entraîneur : Didier Godefroy.
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Les cadettes de l’USVO n’ont pas pu faire « Coupe double »
Dimanche au Palais Omisports de Paris-Bercy, la Coupe de France cadettes a décidé de quitter Valenciennes pour Mondeville. Un moment difficile à vivre pour cette jeune équipe ambitieuse. Pour mieux rebondir ?
Si pour la moitié de l’équipe, les vacances sont arrivées au coup de sifflet final, l’autre moitié aura tout loisir de prendre une revanche sur cette finale logiquement perdue ce week-end à Saint-Etienne où la réserve de VO tentera de décrocher le titre honorifique de championne de France de N2.
Dimanche à Bercy, les Valenciennoises ont subi leur troisième défaite de la saison face à des Mondevillaises qui ont dominé le championnat de France cadettes avant de s’offrir fort logiquement le trophée que VO avait soulevé l’an dernier après avoir dominé Voiron. De domination, cette fois, il n’y en eut pas. Ou plutôt chez l’adversaire qui trouva très vite la bonne formule pour annihiler la volonté valenciennoise. « VO aurait aussi bien mérité le titre que nous , explique Didier Godefroy, l’entraîneur mondevillais. Mais à 5-0 pour VO, j’ai tout de suite compris qu’il fallait passer en zone de manière définitive. » Et les jeunes Valenciennoises ne sachant pas attaquer sereinement une zone se trouvèrent tout aussi vite décontenancées… « On s’est aussi retrouvés à +5 dans le troisième quart-temps , précise Abdel Bellouni, suspendu et remplacé au coaching par Mathieu Bocquet. Mais on laisse 16 rebonds offensifs, on perd 28 ballons et on ne rentre que 13 lancers-francs sur 29. Et c’est vrai qu’on a cruellement manqué de patience sur l’attaque de leur zone. » « On est tombé sur un grand Mondeville , conclut de son côté Mathieu Bocquet. Les filles ont connu des difficultés mais n’ont rien lâché. » •
SÉBASTIEN DARNAUX - La Voix du Nord - www.lavoixdessports.com
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résultat de la rencontre du 18/05/2008
VALENCIENNES U S V O / USO MONDEVILLE: 61 - 66
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les cadettes de Mondeville gagnent la coupe de France
Les cadettes de l'Uso Mondeville ont réalisé le doublé championnat - coupe de France, en battant Valenciennes 66-61 dimanche midi à Paris-Bercy.
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L’USVO n’a pas su conserver son trophée
– C’est assez rare pour le souligner. Rare que l’USVO débute une rencontre en… outsider.
Pourtant, à Bercy, c’était bien le cas. Car en face, Mondeville est ce qui se fait de mieux chez les cadettes cette année. Et face au nouveau champion de France, les Valenciennoises ont mordu la poussière par deux fois en championnat !
Voilà sans doute pourquoi VO débuta la rencontre le couteau entre les dents. A l’image d’une Aminata Konate aussi clairvoyante dans la dernière passe que dans le scoring en pénétration, Valenciennes prit les devants. Logiquement (5-0 puis 10-5). Et malgré la présence salvatrice de la Normande Stéphanie Dufour sous les panneaux, l’USVO conserva quatre longueurs d’avance au terme du premier quart-temps (17-13). « J’ai très vite compris qu’on serait en danger en restant en fille à fille , explique Didier Godefroy, l’entraîneur mondevillais. À 5-0, j’ai décidé de passer en défense de zone jusqu’à la fin du match. »
Et, bien évidemment, la réaction d’orgueil des favorites fit son oeuvre. Mondeville, grâce à son tandem Chartereau - Corre, retrouva un peu de gnac défensive et de réussite en contre-attaque. Un panier à trois points de Trottin dans les derniers instants permettait même à l’USOM de passer devant à la pause (27-28 ).
Tout restait à faire entre deux équipes qui se connaissent sur le bout des doigts. En témoigne leur dernière confrontation (92-91), jouée sur un coup de dé.
Et c’est encore VO qui prit le meilleur départ de retour des vestiaires (33-30 puis 40-35). Forcément de quoi mettre en boule des Normandes qui alignèrent alors un 10-0 pour poser une première main sur le trophée (40-45). Plus grandes, plus physiques, pouvant se baser sur un collectif à l’évidence plus fort que celui du Hainaut, les Mondevillaises ne lâchèrent plus rien par la suite, gérant sans frayeur les dix dernières minutes. « On a eu l’opportunité de gagner , soupire la jeune Aminata Konate, sûrement la meilleure Valenciennoise hier sur le parquet parisien.
Mais on a cruellement manqué d’adresse. » Constat corroboré par Mathieu Bocquet, l’assistant d’Abdel Bellouni, privé de banc : « On est tombé sur un grand Mondeville. Dès qu’elles défendent en zone, on connaît forcément des difficultés. Cette victoire mondevillaise s’est jouée au mental. Car je peux être fier de mes joueuses qui à aucun moment n’ont lâché la rencontre. »
La tristesse était pourtant de mise au moment de la remise des médailles. Il faut dire que les Valenciennoises avaient eu le droit à cette grande joie l’an dernier face à Voiron…
Sébastien DARNAUX - La Voix des Sports - www.lavoixdessports.com
USVO - MONDEVILLE : 61-66 (17-13, 10-15, 13-17, 21-21).
Arbitres : Mlle Fizailne et M. Hamzaoui.
– USVO : Konate 18, Bouare 13, Girard 9, Kadila 4, Nke 10 ; Diawakana 3, Sidibe 2, Nsoki 2, Pottier.
Entraîneur : Mathieu Bocquet.
– MONDEVILLE : Trottin 3, Chartereau 10, Corre 18, Micaletto 10, Dufour 19 ; Routaboul 6, Lozouet, Grossin.
Entraîneur : Didier Godefroy.
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Les cadettes de l’USVO n’ont pas pu faire « Coupe double »
Dimanche au Palais Omisports de Paris-Bercy, la Coupe de France cadettes a décidé de quitter Valenciennes pour Mondeville. Un moment difficile à vivre pour cette jeune équipe ambitieuse. Pour mieux rebondir ?
Si pour la moitié de l’équipe, les vacances sont arrivées au coup de sifflet final, l’autre moitié aura tout loisir de prendre une revanche sur cette finale logiquement perdue ce week-end à Saint-Etienne où la réserve de VO tentera de décrocher le titre honorifique de championne de France de N2.
Dimanche à Bercy, les Valenciennoises ont subi leur troisième défaite de la saison face à des Mondevillaises qui ont dominé le championnat de France cadettes avant de s’offrir fort logiquement le trophée que VO avait soulevé l’an dernier après avoir dominé Voiron. De domination, cette fois, il n’y en eut pas. Ou plutôt chez l’adversaire qui trouva très vite la bonne formule pour annihiler la volonté valenciennoise. « VO aurait aussi bien mérité le titre que nous , explique Didier Godefroy, l’entraîneur mondevillais. Mais à 5-0 pour VO, j’ai tout de suite compris qu’il fallait passer en zone de manière définitive. » Et les jeunes Valenciennoises ne sachant pas attaquer sereinement une zone se trouvèrent tout aussi vite décontenancées… « On s’est aussi retrouvés à +5 dans le troisième quart-temps , précise Abdel Bellouni, suspendu et remplacé au coaching par Mathieu Bocquet. Mais on laisse 16 rebonds offensifs, on perd 28 ballons et on ne rentre que 13 lancers-francs sur 29. Et c’est vrai qu’on a cruellement manqué de patience sur l’attaque de leur zone. » « On est tombé sur un grand Mondeville , conclut de son côté Mathieu Bocquet. Les filles ont connu des difficultés mais n’ont rien lâché. » •
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Modifié en dernier par la zone le mar. 20 mai 2008 9:09, modifié 2 fois.
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bravo Mondeville
Bravo aux filles de Mondeville et plus particulièrement à Caroline, Kelly et Stéphanie qui sont très sympa et ont un bon esprit...
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la zone
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Championnat : CADETTES 2EME DIVISION
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1/2 finale à JOUE LES TOURS (37)
24/05/2008
17:15 AS Monaco /Toulouse Cheminots Marengo
20:00 AB Chartres / Paris Lagardère Racing
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On dispute le Final Four des championnats de France cadettes ce week-end.
Dernière marche pour le TCMS.
.............
La famille Adams pour le TCMS
Fabien Szopa l'entraîneur des jeunes cheminotes s'est fort logiquement bien documenté sur son adversaire en demi-finale. Les Monégasques n'ont pas, en moyenne, encaissé plus de cinquante points par match. Ce, grâce à leurs qualités physiques individuelles mais surtout un usage important de la défense de zone et une majeure partie du temps passé en défense zone-press tout terrain. L'absence d'adresse de leurs adversaires faisant le reste.
L'équipe est homogène mais ne présente pas, aux dires de Fabien Szopa, de dangers insurmontables. Pas de grand gabarit, une adresse quelconque. Une équipe basique quoi ! Il n'empêche que c'est un Final Four et que tous les détails vont compter. Le trajet de Monaco pour se rendre à Joué est plus long mais Georgy Adams, l'ancien international, dont la fille joue dans cette équipe cadettes, devrait être aux commandes et apporter son vécu de joueur de haut niveau. Le TCMS compte sur la petite expérience des filles qui ont disputé le Final Four minimes 2007 et de Gracia et Grimal, qui ont découvert la Nationale 3, pour faire la différence.
Final Four cadettes 2e division à Joué-les-Tours (37)
Demain: Monaco - TCMS (17h15) et Chartres - Paris Racing Lagardère (20h).
Finale dimanche.
Pierre Lacoue - www.ladepeche.fr
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RESULTATS:
1/2 finale :
AS Monaco - Toulouse Cheminots Marengo: 62 - 56
AB Chartres - Paris Lagardère Racing: 68 - 63
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Match pour la 3ème place :
Toulouse Cheminots Marengo - Paris Lagardère Racing : 69 - 62
Finale :
AS Monaco - AB Chartres: 52 - 63
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Les filles de Chartres championnes (26/05/2008)
Le TJB accueillait, ce week-end, les phases finales du championnat de France cadettes de deuxième division. Chartres a battu en finale l'AS Monaco au cours d'une finale haletante.
Gabriel, Raphael et Muloso ont muselé les Monégasques au rebond.
Le titre s'est joué sur un coup de dés. Au milieu du troisième quart-temps de la finale, les joueuses de la Principauté fondent sur leurs adversaires en perte de vitesse. Les Chartraises mènent en effet depuis le début de la partie après avoir infligé un cinglant 10-0 à leurs adversaires en début de rencontre. On voit mal comment elles pourraient alors résister à la remontée rouge et blanche. Les Monégasques sont dominatrices, combinent bien en attaque et y croient de plus en plus.
C'est à ce moment que Ludovic Dupas, l'entraîneur chartrais décide de tenter un coup de poker : il bouleverse sa défense, inaugure un système mêlant le marquage de zone et individuel, et coupe le jeu de passe de l'adversaire, l'obligeant à prendre de plus en plus de shoots en position difficile. Accusant deux points de retard à ce moment du match, Chartres repasse devant et convertit en contres assassins les nombreuses pertes de balle de Monaco. Kadidja Muloso (nommée meilleure joueuse du tournoi alors qu'elle est cadette première année !) en profite pour faire parler son adresse et sa combatitivité sous les panneaux en scorant 8 points en quelques minutes. La messe est dite, Chartres s'impose finalement 63 à 52.
Pour Guy Ampère, président du TJB, ce week-end restera dans les annales : « Je ne m'attendais pas à un niveau de jeu aussi élevé », confesse-t-il. Satisfaction donc pour le TJB qui a aussi la joie de voir quelques 400 spectateurs garnir les gradins.
Vincent AMIOT - www.lanouvellerepublique.fr
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1/2 finale à JOUE LES TOURS (37)
24/05/2008
17:15 AS Monaco /Toulouse Cheminots Marengo
20:00 AB Chartres / Paris Lagardère Racing
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On dispute le Final Four des championnats de France cadettes ce week-end.
Dernière marche pour le TCMS.
.............
La famille Adams pour le TCMS
Fabien Szopa l'entraîneur des jeunes cheminotes s'est fort logiquement bien documenté sur son adversaire en demi-finale. Les Monégasques n'ont pas, en moyenne, encaissé plus de cinquante points par match. Ce, grâce à leurs qualités physiques individuelles mais surtout un usage important de la défense de zone et une majeure partie du temps passé en défense zone-press tout terrain. L'absence d'adresse de leurs adversaires faisant le reste.
L'équipe est homogène mais ne présente pas, aux dires de Fabien Szopa, de dangers insurmontables. Pas de grand gabarit, une adresse quelconque. Une équipe basique quoi ! Il n'empêche que c'est un Final Four et que tous les détails vont compter. Le trajet de Monaco pour se rendre à Joué est plus long mais Georgy Adams, l'ancien international, dont la fille joue dans cette équipe cadettes, devrait être aux commandes et apporter son vécu de joueur de haut niveau. Le TCMS compte sur la petite expérience des filles qui ont disputé le Final Four minimes 2007 et de Gracia et Grimal, qui ont découvert la Nationale 3, pour faire la différence.
Final Four cadettes 2e division à Joué-les-Tours (37)
Demain: Monaco - TCMS (17h15) et Chartres - Paris Racing Lagardère (20h).
Finale dimanche.
Pierre Lacoue - www.ladepeche.fr
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RESULTATS:
1/2 finale :
AS Monaco - Toulouse Cheminots Marengo: 62 - 56
AB Chartres - Paris Lagardère Racing: 68 - 63
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Match pour la 3ème place :
Toulouse Cheminots Marengo - Paris Lagardère Racing : 69 - 62
Finale :
AS Monaco - AB Chartres: 52 - 63
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Les filles de Chartres championnes (26/05/2008)
Le TJB accueillait, ce week-end, les phases finales du championnat de France cadettes de deuxième division. Chartres a battu en finale l'AS Monaco au cours d'une finale haletante.
Gabriel, Raphael et Muloso ont muselé les Monégasques au rebond.
Le titre s'est joué sur un coup de dés. Au milieu du troisième quart-temps de la finale, les joueuses de la Principauté fondent sur leurs adversaires en perte de vitesse. Les Chartraises mènent en effet depuis le début de la partie après avoir infligé un cinglant 10-0 à leurs adversaires en début de rencontre. On voit mal comment elles pourraient alors résister à la remontée rouge et blanche. Les Monégasques sont dominatrices, combinent bien en attaque et y croient de plus en plus.
C'est à ce moment que Ludovic Dupas, l'entraîneur chartrais décide de tenter un coup de poker : il bouleverse sa défense, inaugure un système mêlant le marquage de zone et individuel, et coupe le jeu de passe de l'adversaire, l'obligeant à prendre de plus en plus de shoots en position difficile. Accusant deux points de retard à ce moment du match, Chartres repasse devant et convertit en contres assassins les nombreuses pertes de balle de Monaco. Kadidja Muloso (nommée meilleure joueuse du tournoi alors qu'elle est cadette première année !) en profite pour faire parler son adresse et sa combatitivité sous les panneaux en scorant 8 points en quelques minutes. La messe est dite, Chartres s'impose finalement 63 à 52.
Pour Guy Ampère, président du TJB, ce week-end restera dans les annales : « Je ne m'attendais pas à un niveau de jeu aussi élevé », confesse-t-il. Satisfaction donc pour le TJB qui a aussi la joie de voir quelques 400 spectateurs garnir les gradins.
Vincent AMIOT - www.lanouvellerepublique.fr
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La difficile migration des cadettes vers l'élite
Barrée par Ingrid Tanqueray, Mélissa Micaletto devrait quitter Mondeville. Il n'est pas facile pour les cadettes de se faire des places au soleil.
Les cadettes mondevillaises ont accumulé les titres depuis sept ans. Aujourd'hui, pourtant, peu d'entre elles évoluent en Ligue féminine.
Cinq titres de champions de France cadettes, entre 2001 et 2008. Trois coupes de France. Un trophée de l'avenir Espoirs en 2002, le titre national l'année suivante. Mondeville est bien le meilleur club formateur de France.
Ces générations dorées tardent pourtant à percer. « C'est un phénomène normal , indique Emmanuel Coeuret, qui a tenu les rênes du centre de formation neuf ans durant avant de prendre ceux de Clermont, en Ligue féminine. Il y a forcément un gouffre entre les cadettes et l'élite. Ensuite, entre des résultats collectifs et des performances individuelles, il y a aussi un fossé. » « Ces jeunes en devenir doivent patienter , explique le président Daniel Dufour. Mais elles ont souvent envie de jouer davantage, ailleurs. »
« Une question d'opportunité »
Des anciennes espoirs, pas une n'est au plus haut niveau. Le Nouail, la plus prometteuse, a vu sa carrière stoppée par les blessures. Goutière (Ouistreham), Legoupil (Lyon), Viot (Limoges), Galand (La Roche-sur-Yon) ont joué en coupe d'Europe avant de redescendre un voire deux étages. Parfois par manque d'ambition personnelle.
« Pour moi, c'était un choix de vie , explique Julie Legoupil, 23 ans, vice-championne d'Europe en 2004. Les jeunes de ma génération ne gagnaient pas non plus ce que gagnent les joueuses actuellement. Beaucoup de facteurs jouent. Il faut une opportunité, moi ce fut la blessure de Caroline Aubert. Mais c'est rare d'avoir une place, entre les étrangères, les meilleures jeunes qui sortent du Centre fédéral. Tu es plus là pour aider, faire la 8e ou 9e, que pour une place dans le cinq majeur. »
Les jeunes mondevillaises payent aussi le statut de leur club, devenu un grand d'Europe. « Si Guiday Mendy joue, c'est à Clermont, et avec son ancien formateur , indique Hervé Coudray, ancien coach de l'Usom. Et elle a mis deux ou trois ans pour revenir en Ligue, après avoir joué en N1. Les clubs recrutent en fait pour constituer la meilleure équipe cadettes, pas forcément 12 joueuses qui joueront en Ligue. »
Micaletto et Chartereau vont partir
« C'est valorisant pour un club de gagner des titres , reprend Coeuret. On s'entraîne davantage collectivement que pour améliorer les fondamentaux individuels. Mais il ne faut pas oublier qu'en fait beaucoup de filles issues des centres, si elles ne sont pas en Ligue, trouvent une place en N1. C'est peut-être la limite de la formation, celui de la valeur d'un titre en cadettes. » Le Centre fédéral, qui regroupe les 12 meilleures joueuses d'une génération, ne participe en effet pas aux compétitions. De cette filière sont sorties Jannault et Digbeu. « Oui, les coaches hésitent à intégrer des jeunes venues de leur centre , avance Ingrid Tanqueray, passée par le centre avant de devenir 2e meneuse. J'ai eu de la chance avec Hervé Coudray et Olivier Hirsch, qui m'ont fait confiance. C'était aussi une question d'opportunités. »
Certaines ne l'ont pas eue. Mélissa Micaletto, brillante meneuse des cadettes, « est sur le départ » , indique Olivier Hirsch. « Le souci la concernant est qu'elle joue à un poste où elle n'est qu'en 3e position, derrière Costaz et Ingrid qui a fait de très gros progrès. » Un club de Ligue féminine lui fait les yeux doux, la triple championne de France regardera de loin sa coéquipière intégrer le groupe pro. Chartereau, elle, retournerait en Sarthe pour privilégier ses études. Exemplaire quant aux résultats, Mondeville ne fait pas exception dans le monde pro, en voyant peu de ses meilleures pousses éclore dans leur jardin.
Dominique FAURIE. Ouest-France - www.caen.maville.com
Barrée par Ingrid Tanqueray, Mélissa Micaletto devrait quitter Mondeville. Il n'est pas facile pour les cadettes de se faire des places au soleil.
Les cadettes mondevillaises ont accumulé les titres depuis sept ans. Aujourd'hui, pourtant, peu d'entre elles évoluent en Ligue féminine.
Cinq titres de champions de France cadettes, entre 2001 et 2008. Trois coupes de France. Un trophée de l'avenir Espoirs en 2002, le titre national l'année suivante. Mondeville est bien le meilleur club formateur de France.
Ces générations dorées tardent pourtant à percer. « C'est un phénomène normal , indique Emmanuel Coeuret, qui a tenu les rênes du centre de formation neuf ans durant avant de prendre ceux de Clermont, en Ligue féminine. Il y a forcément un gouffre entre les cadettes et l'élite. Ensuite, entre des résultats collectifs et des performances individuelles, il y a aussi un fossé. » « Ces jeunes en devenir doivent patienter , explique le président Daniel Dufour. Mais elles ont souvent envie de jouer davantage, ailleurs. »
« Une question d'opportunité »
Des anciennes espoirs, pas une n'est au plus haut niveau. Le Nouail, la plus prometteuse, a vu sa carrière stoppée par les blessures. Goutière (Ouistreham), Legoupil (Lyon), Viot (Limoges), Galand (La Roche-sur-Yon) ont joué en coupe d'Europe avant de redescendre un voire deux étages. Parfois par manque d'ambition personnelle.
« Pour moi, c'était un choix de vie , explique Julie Legoupil, 23 ans, vice-championne d'Europe en 2004. Les jeunes de ma génération ne gagnaient pas non plus ce que gagnent les joueuses actuellement. Beaucoup de facteurs jouent. Il faut une opportunité, moi ce fut la blessure de Caroline Aubert. Mais c'est rare d'avoir une place, entre les étrangères, les meilleures jeunes qui sortent du Centre fédéral. Tu es plus là pour aider, faire la 8e ou 9e, que pour une place dans le cinq majeur. »
Les jeunes mondevillaises payent aussi le statut de leur club, devenu un grand d'Europe. « Si Guiday Mendy joue, c'est à Clermont, et avec son ancien formateur , indique Hervé Coudray, ancien coach de l'Usom. Et elle a mis deux ou trois ans pour revenir en Ligue, après avoir joué en N1. Les clubs recrutent en fait pour constituer la meilleure équipe cadettes, pas forcément 12 joueuses qui joueront en Ligue. »
Micaletto et Chartereau vont partir
« C'est valorisant pour un club de gagner des titres , reprend Coeuret. On s'entraîne davantage collectivement que pour améliorer les fondamentaux individuels. Mais il ne faut pas oublier qu'en fait beaucoup de filles issues des centres, si elles ne sont pas en Ligue, trouvent une place en N1. C'est peut-être la limite de la formation, celui de la valeur d'un titre en cadettes. » Le Centre fédéral, qui regroupe les 12 meilleures joueuses d'une génération, ne participe en effet pas aux compétitions. De cette filière sont sorties Jannault et Digbeu. « Oui, les coaches hésitent à intégrer des jeunes venues de leur centre , avance Ingrid Tanqueray, passée par le centre avant de devenir 2e meneuse. J'ai eu de la chance avec Hervé Coudray et Olivier Hirsch, qui m'ont fait confiance. C'était aussi une question d'opportunités. »
Certaines ne l'ont pas eue. Mélissa Micaletto, brillante meneuse des cadettes, « est sur le départ » , indique Olivier Hirsch. « Le souci la concernant est qu'elle joue à un poste où elle n'est qu'en 3e position, derrière Costaz et Ingrid qui a fait de très gros progrès. » Un club de Ligue féminine lui fait les yeux doux, la triple championne de France regardera de loin sa coéquipière intégrer le groupe pro. Chartereau, elle, retournerait en Sarthe pour privilégier ses études. Exemplaire quant aux résultats, Mondeville ne fait pas exception dans le monde pro, en voyant peu de ses meilleures pousses éclore dans leur jardin.
Dominique FAURIE. Ouest-France - www.caen.maville.com
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Axelle s'invite chez les grandes
Entourée de sa famille, Axelle Koundouno poursuit son bonhomme de chemin vers les sommets du basket féminin. Avec envie et passion, mais en gardant les pieds sur terre.
A tout juste 14 ans, la prometteuse basketteuse Axelle Koundouno , habitant Cerizay et élève à Parthenay, a été recrutée par le Bourges Basket, plus grand club féminin français. Une étape décisive sur son itinéraire de championne.
Pour ceux qui ne seraient pas au fait des choses du basket féminin, Bourges, c'est un peu comme l'Olympique lyonnais au foot, mais en mieux. Depuis quinze ans, le Cercle Jean-Macé de Bourges, rebaptisé Bourges Basket, est en effet devenu une référence sur la scène hexagonale (huit fois champion de France), mais aussi européenne (trois titres en Euroligue).
Bourges plutôt que l'ATB
Alors forcément, quand un tel monument vous remarque, difficile de refuser. Du haut de ses 14 ans et de son 1,80 m, la Deux-Sévrienne Axelle Koundouno a donc logiquement accepté. Et ce malgré les proches sirènes de l'ATB79, club-phare du département, qui souhaitait attirer la jeune fille pour renforcer son effectif de Nationale 2. « La proposition de l'ATB m'intéressait, confie d'ailleurs la grande jeune fille d'une voix douce mais assurée. Le club a un très bon projet. Mais la proposition de Bourges ne pouvait pas se refuser, d'autant que je vais pouvoir continuer à jouer avec les jeunes. »[/i]
Intégrée à l'équipe "cadettes France", Axelle bénéficiera ainsi des structures et de l'encadrement de pointe du centre de formation berrichon. Du haut de gamme qui ne pourra que la faire progresser. « Après avoir reçu un courrier à la maison, je suis allée faire une journée de détection à Bourges , raconte Axelle. J'étais déjà vachement contente de cette opportunité. Ils en ont parfois rajouté, de façon à nous mettre en difficulté pour voir nos capacités de réaction. Mais je voulais vraiment réussir, alors j'ai tout donné. Quand Frédéric Roland, mon entraîneur à Vouneuil-sous-Biard (près de Poitiers, NDLR), m'a appris que j'étais retenue, j'étais super-contente et je n'ai pas hésité une seconde. » La voilà donc lancée sur les rails de la gloire. Ce sont désormais son talent et sa volonté qui feront la différence. Elle n'en manque pas.
Une future basketteuse-architecte ?
« J'ai envie de réussir dans le basket , confie l'intérieure, qui peut évoluer pivot ou ailière-forte. Si je peux intégrer un jour l'équipe fanion de Bourges, je serais très heureuse. » Et sans fausse modestie, elle se veut confiante : « Je regarde pas mal de matches de Ligue féminine et le niveau ne me paraît pas impossible à atteindre. Evidemment, il faudra travailler pour s'en donner les moyens. » Un discours (déjà) sage. Car la jeune fille n'est pas non plus prête à tous les sacrifices. « J'aime bien l'école, notamment les maths , avoue-t-elle. J'aime aussi dessiner et j'adore les maisons. Depuis toute petite, je veux devenir architecte. » Alors pourquoi pas architecte-basketteuse ? « Ce serait pas mal , sourit-elle. En tout cas, j'ai envie de faire les deux le plus longtemps possible. » Même si la route est longue et semée d'embûches, voilà sans doute une bonne façon de se construire un avenir.
Frédéric MICHEL - www.lanouvellerepublique.fr
Entourée de sa famille, Axelle Koundouno poursuit son bonhomme de chemin vers les sommets du basket féminin. Avec envie et passion, mais en gardant les pieds sur terre.
A tout juste 14 ans, la prometteuse basketteuse Axelle Koundouno , habitant Cerizay et élève à Parthenay, a été recrutée par le Bourges Basket, plus grand club féminin français. Une étape décisive sur son itinéraire de championne.
Pour ceux qui ne seraient pas au fait des choses du basket féminin, Bourges, c'est un peu comme l'Olympique lyonnais au foot, mais en mieux. Depuis quinze ans, le Cercle Jean-Macé de Bourges, rebaptisé Bourges Basket, est en effet devenu une référence sur la scène hexagonale (huit fois champion de France), mais aussi européenne (trois titres en Euroligue).
Bourges plutôt que l'ATB
Alors forcément, quand un tel monument vous remarque, difficile de refuser. Du haut de ses 14 ans et de son 1,80 m, la Deux-Sévrienne Axelle Koundouno a donc logiquement accepté. Et ce malgré les proches sirènes de l'ATB79, club-phare du département, qui souhaitait attirer la jeune fille pour renforcer son effectif de Nationale 2. « La proposition de l'ATB m'intéressait, confie d'ailleurs la grande jeune fille d'une voix douce mais assurée. Le club a un très bon projet. Mais la proposition de Bourges ne pouvait pas se refuser, d'autant que je vais pouvoir continuer à jouer avec les jeunes. »[/i]
Intégrée à l'équipe "cadettes France", Axelle bénéficiera ainsi des structures et de l'encadrement de pointe du centre de formation berrichon. Du haut de gamme qui ne pourra que la faire progresser. « Après avoir reçu un courrier à la maison, je suis allée faire une journée de détection à Bourges , raconte Axelle. J'étais déjà vachement contente de cette opportunité. Ils en ont parfois rajouté, de façon à nous mettre en difficulté pour voir nos capacités de réaction. Mais je voulais vraiment réussir, alors j'ai tout donné. Quand Frédéric Roland, mon entraîneur à Vouneuil-sous-Biard (près de Poitiers, NDLR), m'a appris que j'étais retenue, j'étais super-contente et je n'ai pas hésité une seconde. » La voilà donc lancée sur les rails de la gloire. Ce sont désormais son talent et sa volonté qui feront la différence. Elle n'en manque pas.
Une future basketteuse-architecte ?
« J'ai envie de réussir dans le basket , confie l'intérieure, qui peut évoluer pivot ou ailière-forte. Si je peux intégrer un jour l'équipe fanion de Bourges, je serais très heureuse. » Et sans fausse modestie, elle se veut confiante : « Je regarde pas mal de matches de Ligue féminine et le niveau ne me paraît pas impossible à atteindre. Evidemment, il faudra travailler pour s'en donner les moyens. » Un discours (déjà) sage. Car la jeune fille n'est pas non plus prête à tous les sacrifices. « J'aime bien l'école, notamment les maths , avoue-t-elle. J'aime aussi dessiner et j'adore les maisons. Depuis toute petite, je veux devenir architecte. » Alors pourquoi pas architecte-basketteuse ? « Ce serait pas mal , sourit-elle. En tout cas, j'ai envie de faire les deux le plus longtemps possible. » Même si la route est longue et semée d'embûches, voilà sans doute une bonne façon de se construire un avenir.
Frédéric MICHEL - www.lanouvellerepublique.fr