par contre le site de la lfb n'est pas actualisé !
ils en sont toujours à la 2ème journée, c'est pénible !!!
U.S.A.P.H. (Ligue)
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Basketo-Phil
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boubou37
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La Voix du Nord - 05/11/2006
BASKET-BALL (Ligue féminine) Courcier - Buffard : des hommes au coeur des femmes
Fabrice Courcier et Laurent Buffard apprécient le travail effectué par l’autre. Laurent Buffard, 43 ans, vingt comme coach. Fabrice Courcier, 38 ans, huit de banc. Point commun : viennent du basket masculin. Et ne le regrettent pas.
PAR SANDRINE ARRESTIER ET PHILIPPE GUILBAUD
Depuis Cholet où il commença par coacher des cadets en 1986, avec, déjà, un titre national à la clé, à l’USVO où il découvrit le basket féminin en 1999, en passant par Sceaux, le BCM (assistant 1990-91), Cholet à la tête des pros cette fois, puis Toulouse, Laurent Buffard a toujours eu la vocation d’entraîner.
Fabrice Courcier a connu le parcours « classique » du joueur qui passe de l’autre côté du miroir. Gammes à à Tourcoing (N2, 1998-2000) puis à Gravelines, dont il avait été le meneur. Adjoint puis coach à partir de décembre 2003, il a porté le BCM en finale de championnat (2004) et à une Coupe (2005).
Leur arrivée chez les filles
– Laurent Buffard : « Un concours de circonstances. Toulouse avait déposé le bilan, j’entraînais l’équipe nationale des - 20 ans. Alain Jardel, alors à la direction technique, m’a dit que Bourges et Valenciennes cherchaient quelqu’un. Ma première réponse a été claire, je n’étais pas intéressé car je ne connaissais pas. A défaut d’autre chose, j’ai accepté, à la condition d’avoir un assistant connaissant le basket féminin.
C’était le cas de Damien Leyrolles. Il fallait remplacer Marc Silvert, un monument du club mais la pression, dans le basket masculin, tu connais."»
– Fabrice Courcier : « Je n’y avais jamais songé jusqu’à ce que l’aventure s’arrête avec le BCM et que Bernard Loison (président ) et Alain Bocquet (maire) me contactent. Ils m’ont présenté un projet cohérent, raisonnable et ambitieux qui me permettait de rester dans la région. J’ai eu quelques interrogations, mais comme le projet était intéressant, je me suis lancé. »
Différences entre ces univers
– L. B. : « Chez les filles, il y a beaucoup plus de respect, d’application, de convivialité. Combler les lacunes individuelles et techniques passe forcément par un collectif. Chez les hommes, beaucoup sont de passage, et le coach est sur un siège éjectable. On ne peut plus faire un vrai groupe. »
– F. C. : « On appréhende les choses différemment, notamment dans la gestion individuelle. Il faut être plus subtil, moins brut de coffre. L’activité reste la même, même s’il y a moins d’arguments athlétiques et plus de stratégie. »
Des regrets ?
– L. B. : « Quand j’ai vu le rythme et l’intensité des filles, je me suis dit “où je suis arrivé ? “. Après une année de transition, Francis Decourrière a pris trois filles de l’équipe de France, Fijalkowski, Sauret et Le Dréan, et monté un projet, ça m’a motivé.
Je prends beaucoup de plaisir à coacher les filles. Tu peux encore faire passer un message technique et mental avec un résultat. Avec l’arrivée de coachs du masculin et de coachs pros partout, les joueuses de l’équipe de France et le niveau des étrangères, le niveau de la Ligue a monté quand la Pro A est devenue une Pro B renforcée d’il y a 7-8 ans, Je ne sais pas quand, où, comment, ni si je reviendrai chez les gars. »
– F.C. : « Ce n’est pas un choix par défaut que j’ai fait en venant ici. Pas une parenthèse dans une carrière avec les garçons. J’ai une véritable conviction d’aller au bout de mon contrat (quatre ans). »
Rivalité USVO - Saint-Amand
– L. B. : « Dans les années à venir, si les clubs n’arrivent pas à s’entendre, les deux “mourront”, nous au niveau de l’Euroligue ; eux lutteront pour le maintien. Mais avec les deux, on peut faire un très grand club, avec deux villes, deux agglomérations derrière. Après, c’est évidemment une question politique et d’hommes. Il y a un projet de salle à mener avec et là, tu peux avoir encore des ambtions européennes de très haut niveau. »
– F. C. : « Il y a un créneau à prendre pour Saint-Amand. Si nous sommes capables de gravir les échelons et que l’USVO maintient son niveau, il y a des avantages à jouer dans la même cour.»
Opinion respective
– L. B. : « Saint-Amand se maintiendra sans problème. Je connais bien Fabrice. Il connaît parfaitement son job et l’a fait parfaitement partout où il est passé. Saint-Amand avait besoin d’une personne pour stabiliser tout le travail technique du club. Dans un club féminin, le rôle du coach va au-delà du terrain. »
– F. C. : « Laurent est quelqu’un pour qui j’ai beaucoup de respect, par rapport à ce qu’il a fait avec VO, là où il amené le club. On a toujours eu de bonnes discussions, notamment quand il venait au BCM pour voir son fils qui est au centre de formation. »
Derby ?
– L. B : « On ne parle pas de derby mais d’un challenge physique et technique, d’une équipe qui n’a pas joué de la semaine et aura de la fraîcheur. Je l’aborde avec respect et humilité. Sur le terrain, pas de cadeaux, après on boira une bière ensemble.»
– F. C. : « La salle va être pleine parce que les deux clubs, les deux villes sont proches. Mais il y a une différence de niveau au départ. Nous ne sommes pas dans la même catégorie. »
Merci pour cet article à LA VOIX DU NORD.
BASKET-BALL (Ligue féminine) Courcier - Buffard : des hommes au coeur des femmes
Fabrice Courcier et Laurent Buffard apprécient le travail effectué par l’autre. Laurent Buffard, 43 ans, vingt comme coach. Fabrice Courcier, 38 ans, huit de banc. Point commun : viennent du basket masculin. Et ne le regrettent pas.
PAR SANDRINE ARRESTIER ET PHILIPPE GUILBAUD
Depuis Cholet où il commença par coacher des cadets en 1986, avec, déjà, un titre national à la clé, à l’USVO où il découvrit le basket féminin en 1999, en passant par Sceaux, le BCM (assistant 1990-91), Cholet à la tête des pros cette fois, puis Toulouse, Laurent Buffard a toujours eu la vocation d’entraîner.
Fabrice Courcier a connu le parcours « classique » du joueur qui passe de l’autre côté du miroir. Gammes à à Tourcoing (N2, 1998-2000) puis à Gravelines, dont il avait été le meneur. Adjoint puis coach à partir de décembre 2003, il a porté le BCM en finale de championnat (2004) et à une Coupe (2005).
Leur arrivée chez les filles
– Laurent Buffard : « Un concours de circonstances. Toulouse avait déposé le bilan, j’entraînais l’équipe nationale des - 20 ans. Alain Jardel, alors à la direction technique, m’a dit que Bourges et Valenciennes cherchaient quelqu’un. Ma première réponse a été claire, je n’étais pas intéressé car je ne connaissais pas. A défaut d’autre chose, j’ai accepté, à la condition d’avoir un assistant connaissant le basket féminin.
C’était le cas de Damien Leyrolles. Il fallait remplacer Marc Silvert, un monument du club mais la pression, dans le basket masculin, tu connais."»
– Fabrice Courcier : « Je n’y avais jamais songé jusqu’à ce que l’aventure s’arrête avec le BCM et que Bernard Loison (président ) et Alain Bocquet (maire) me contactent. Ils m’ont présenté un projet cohérent, raisonnable et ambitieux qui me permettait de rester dans la région. J’ai eu quelques interrogations, mais comme le projet était intéressant, je me suis lancé. »
Différences entre ces univers
– L. B. : « Chez les filles, il y a beaucoup plus de respect, d’application, de convivialité. Combler les lacunes individuelles et techniques passe forcément par un collectif. Chez les hommes, beaucoup sont de passage, et le coach est sur un siège éjectable. On ne peut plus faire un vrai groupe. »
– F. C. : « On appréhende les choses différemment, notamment dans la gestion individuelle. Il faut être plus subtil, moins brut de coffre. L’activité reste la même, même s’il y a moins d’arguments athlétiques et plus de stratégie. »
Des regrets ?
– L. B. : « Quand j’ai vu le rythme et l’intensité des filles, je me suis dit “où je suis arrivé ? “. Après une année de transition, Francis Decourrière a pris trois filles de l’équipe de France, Fijalkowski, Sauret et Le Dréan, et monté un projet, ça m’a motivé.
Je prends beaucoup de plaisir à coacher les filles. Tu peux encore faire passer un message technique et mental avec un résultat. Avec l’arrivée de coachs du masculin et de coachs pros partout, les joueuses de l’équipe de France et le niveau des étrangères, le niveau de la Ligue a monté quand la Pro A est devenue une Pro B renforcée d’il y a 7-8 ans, Je ne sais pas quand, où, comment, ni si je reviendrai chez les gars. »
– F.C. : « Ce n’est pas un choix par défaut que j’ai fait en venant ici. Pas une parenthèse dans une carrière avec les garçons. J’ai une véritable conviction d’aller au bout de mon contrat (quatre ans). »
Rivalité USVO - Saint-Amand
– L. B. : « Dans les années à venir, si les clubs n’arrivent pas à s’entendre, les deux “mourront”, nous au niveau de l’Euroligue ; eux lutteront pour le maintien. Mais avec les deux, on peut faire un très grand club, avec deux villes, deux agglomérations derrière. Après, c’est évidemment une question politique et d’hommes. Il y a un projet de salle à mener avec et là, tu peux avoir encore des ambtions européennes de très haut niveau. »
– F. C. : « Il y a un créneau à prendre pour Saint-Amand. Si nous sommes capables de gravir les échelons et que l’USVO maintient son niveau, il y a des avantages à jouer dans la même cour.»
Opinion respective
– L. B. : « Saint-Amand se maintiendra sans problème. Je connais bien Fabrice. Il connaît parfaitement son job et l’a fait parfaitement partout où il est passé. Saint-Amand avait besoin d’une personne pour stabiliser tout le travail technique du club. Dans un club féminin, le rôle du coach va au-delà du terrain. »
– F. C. : « Laurent est quelqu’un pour qui j’ai beaucoup de respect, par rapport à ce qu’il a fait avec VO, là où il amené le club. On a toujours eu de bonnes discussions, notamment quand il venait au BCM pour voir son fils qui est au centre de formation. »
Derby ?
– L. B : « On ne parle pas de derby mais d’un challenge physique et technique, d’une équipe qui n’a pas joué de la semaine et aura de la fraîcheur. Je l’aborde avec respect et humilité. Sur le terrain, pas de cadeaux, après on boira une bière ensemble.»
– F. C. : « La salle va être pleine parce que les deux clubs, les deux villes sont proches. Mais il y a une différence de niveau au départ. Nous ne sommes pas dans la même catégorie. »
Merci pour cet article à LA VOIX DU NORD.
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boubou37
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La Voix du Nord - 07/11/2006
BASKET-BALL (LIGUE FEMININE) Un derby surprenant entre colère et satisfaction
La défaite de Valenciennes à saint-Amand dimanche n’a pas fini de faire parler. D’abord parce qu’il n’est pas courant pour l’USVO de perdre, encore moins face à une équipe de bas de tableau, ensuite parce que ce revers s’inscrit dans une période de doute qui ne va pas s’arrêter après cette désillusion.
Tant mieux pour Saint-Amand, qui y a gagné des certitudes.
PAR PHILIPPE GUILBAUD
Comment interpréter le succès de Saint-Amand sur son parquet face à Valenciennes dimanche ? Début de la chute inéluctable d’un géant ou montée irrémédiable d’un club ambitieux ? Il s’agit plus sûrement d’un match honnête des Amandinoises, leur plus abouti cette saison, et qui ont parfaitement su exploiter la très grande maladresse des Valenciennoises.
Quand on ne rentre que 28 % de ses tirs (dont 9 % à 3 points), même face à un adversaire moins fort (sur le papier), il est difficile d’espérer des miracles. Pas en réussite, parfois malheureuses avec des ballons qui sont ressortis, les filles de Laurent Buffard ont terminé la semaine encore plus mal qu’elles ne l’avaient commencée. Le technicien valenciennois y voit un manque évident d’application et d’implication. « Même à l’échauffement, on rate des lay-up. Ca ne peut pas aller mieux en match. Les joueuses n’ont pas compris leur rôle dans l’équipe. Elles ne se remettent pas en question.
Elles ne sont pas là que pour gagner de l’argent. Je suis un très mauvais perdant, surtout quand je vois leur comportement sur le terrain. Il y a des ratés et il n’y a pas plus de mental derrière. Elles croient qu’elles vont réussir contre n’importe qui en entrant sur le parquet. On n’a pas pu mettre un panier, ni à l’intérieur ni à l’extérieur. On a été mangés au rebond. Saint-Amand mérite sa victoire. » La colère est brutale, à l’image de la déception.
De l’autre côté, Fabrice Courcier ne sautait pas de joie. Par respect pour son ami Laurent Buffard. Parce que finalement, « cette victoire ne fait que compenser le point perdu à Calais. On est juste dans notre tableau de marche maintenant. » Et aussi parce que tout n’a pas été parfait. « Nous avons eu beaucoup de pertes de balles en première mi-temps (16). Si on avait contrôlé ça, on aurait eu un capital points en plus. » La satisfaction est d’avoir enfin tenu le rythme sur 40 minutes, avec Aurélie Cibert percutante et adroite et Hana Peljto à la hauteur de sa réputation. « C’est vrai qu’on a aussi profité de la fatigue des Valenciennoises, qui ont eu un match en semaine. Mais les filles ont été plus constantes, plus complètes. J’espère que ça nous servira de déclic. Si on garde le même état d’esprit, on gagnera des matches.
Et le maintien passera surtout par des victoires à la maison. » Une bonne base de construction pour un avenir serein. Ce que n’a pas VO. Sans confiance, peu de sérénité, et pas de temps. Il lui reste un certain talent à exploiter, avec une seule recette. « On va bosser dur, très très dur, et on va y arriver », foi de Laurent Buffard.…SAINT-AMAND - VALENCIENNES : 59-53 (15-16, 16-14, 11-8, 17-15).
BASKET-BALL (LIGUE FEMININE) Un derby surprenant entre colère et satisfaction
La défaite de Valenciennes à saint-Amand dimanche n’a pas fini de faire parler. D’abord parce qu’il n’est pas courant pour l’USVO de perdre, encore moins face à une équipe de bas de tableau, ensuite parce que ce revers s’inscrit dans une période de doute qui ne va pas s’arrêter après cette désillusion.
Tant mieux pour Saint-Amand, qui y a gagné des certitudes.
PAR PHILIPPE GUILBAUD
Comment interpréter le succès de Saint-Amand sur son parquet face à Valenciennes dimanche ? Début de la chute inéluctable d’un géant ou montée irrémédiable d’un club ambitieux ? Il s’agit plus sûrement d’un match honnête des Amandinoises, leur plus abouti cette saison, et qui ont parfaitement su exploiter la très grande maladresse des Valenciennoises.
Quand on ne rentre que 28 % de ses tirs (dont 9 % à 3 points), même face à un adversaire moins fort (sur le papier), il est difficile d’espérer des miracles. Pas en réussite, parfois malheureuses avec des ballons qui sont ressortis, les filles de Laurent Buffard ont terminé la semaine encore plus mal qu’elles ne l’avaient commencée. Le technicien valenciennois y voit un manque évident d’application et d’implication. « Même à l’échauffement, on rate des lay-up. Ca ne peut pas aller mieux en match. Les joueuses n’ont pas compris leur rôle dans l’équipe. Elles ne se remettent pas en question.
Elles ne sont pas là que pour gagner de l’argent. Je suis un très mauvais perdant, surtout quand je vois leur comportement sur le terrain. Il y a des ratés et il n’y a pas plus de mental derrière. Elles croient qu’elles vont réussir contre n’importe qui en entrant sur le parquet. On n’a pas pu mettre un panier, ni à l’intérieur ni à l’extérieur. On a été mangés au rebond. Saint-Amand mérite sa victoire. » La colère est brutale, à l’image de la déception.
De l’autre côté, Fabrice Courcier ne sautait pas de joie. Par respect pour son ami Laurent Buffard. Parce que finalement, « cette victoire ne fait que compenser le point perdu à Calais. On est juste dans notre tableau de marche maintenant. » Et aussi parce que tout n’a pas été parfait. « Nous avons eu beaucoup de pertes de balles en première mi-temps (16). Si on avait contrôlé ça, on aurait eu un capital points en plus. » La satisfaction est d’avoir enfin tenu le rythme sur 40 minutes, avec Aurélie Cibert percutante et adroite et Hana Peljto à la hauteur de sa réputation. « C’est vrai qu’on a aussi profité de la fatigue des Valenciennoises, qui ont eu un match en semaine. Mais les filles ont été plus constantes, plus complètes. J’espère que ça nous servira de déclic. Si on garde le même état d’esprit, on gagnera des matches.
Et le maintien passera surtout par des victoires à la maison. » Une bonne base de construction pour un avenir serein. Ce que n’a pas VO. Sans confiance, peu de sérénité, et pas de temps. Il lui reste un certain talent à exploiter, avec une seule recette. « On va bosser dur, très très dur, et on va y arriver », foi de Laurent Buffard.…SAINT-AMAND - VALENCIENNES : 59-53 (15-16, 16-14, 11-8, 17-15).
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Basketo-Phil
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La Voix des Sports - 13/11/2006
Saint-Amand échoue d’un cheveu…
L’usaph a raté le coche samedi soir où, pour la première fois en quatre confrontations en Savoie, la victoire semblait lui tendre les bras.
À 26 secondes de la sonnerie et 72-71 pour Challes, sa capitaine Luptakova (par ailleurs excellente) perdait la balle plein axe. Fouteret entendait bien conserver la possession et préparer une ultime tentative sous le panier. Mais Bénintendi passait subitement sa défense en zone et demandait à Luptakova de fauter deux fois. Perturbées, les Amandinoises s’en remettaient in extremis à un tir lointain mais plus risqué de Cibert. La salle retint son souffle avant d’exploser de joie au buzzer.
Sur la lancée de leur victoire contre Valenciennes, les filles de Courcier ont pourtant réalisé un match plein, réduisant l’influence offensive de l’Américaine Moore à seulement 22 %. Après dix minutes dominées par l’enthousiasme des locales, Saint-Amand profitait allégrement des largesses défensives savoyardes. Lopez passait quatre tirs primés tandis que Miller-Mc Kiver et El Gargati optimisaient la sortie d’Azace pour enlever lourdement le deuxième quart-temps 30-17 !
Était-ce jour de fête nationale slovaque ? Toujours est-il que le duo Frniakova - Luptakova renversait la balance au retour des vestiaires, le score passant de 52-56 (26e) à 63-56 (29e). L’USAPH raccrocha trois fois à un point (65-64, 67-66 et 72-71) mais Challes ne lâcha jamais le morceau. Quand ce ne fut pas le cercle qui l’aida…
Christophe CLAIR
CHALLES - SAINT-AMAND : 72-71 (23-14, 17-30, 23-15, 9-12).
– CHALLES : 28/57 t dt 6/11 à 3 pts, 10/15 LF, 24 rebonds (Badiane, Seigle 5), 18 passes décisives (Frniakova 6).
Moore 10, Seigle 5, Frniakova 18, Luptakova 22, Azace 10 puis Cayot, Badiane 7, Duvivier, Dubois.
– SAINT-AMAND : 28/51 dt 7/14 à 3 pts, 8/12 LF, 30 rebonds (Stevenson 10), 20 passes décisives (Lopez 5), 7 interceptions, 24 balles perdues.
Fouteret 4, Stevenson 14, Cibert 4, Peljto, Miller-Mc Kiver 17 puis Lopez 24, Ploegaerts, El Gargati 8, Mijoule.
Saint-Amand échoue d’un cheveu…
L’usaph a raté le coche samedi soir où, pour la première fois en quatre confrontations en Savoie, la victoire semblait lui tendre les bras.
À 26 secondes de la sonnerie et 72-71 pour Challes, sa capitaine Luptakova (par ailleurs excellente) perdait la balle plein axe. Fouteret entendait bien conserver la possession et préparer une ultime tentative sous le panier. Mais Bénintendi passait subitement sa défense en zone et demandait à Luptakova de fauter deux fois. Perturbées, les Amandinoises s’en remettaient in extremis à un tir lointain mais plus risqué de Cibert. La salle retint son souffle avant d’exploser de joie au buzzer.
Sur la lancée de leur victoire contre Valenciennes, les filles de Courcier ont pourtant réalisé un match plein, réduisant l’influence offensive de l’Américaine Moore à seulement 22 %. Après dix minutes dominées par l’enthousiasme des locales, Saint-Amand profitait allégrement des largesses défensives savoyardes. Lopez passait quatre tirs primés tandis que Miller-Mc Kiver et El Gargati optimisaient la sortie d’Azace pour enlever lourdement le deuxième quart-temps 30-17 !
Était-ce jour de fête nationale slovaque ? Toujours est-il que le duo Frniakova - Luptakova renversait la balance au retour des vestiaires, le score passant de 52-56 (26e) à 63-56 (29e). L’USAPH raccrocha trois fois à un point (65-64, 67-66 et 72-71) mais Challes ne lâcha jamais le morceau. Quand ce ne fut pas le cercle qui l’aida…
Christophe CLAIR
CHALLES - SAINT-AMAND : 72-71 (23-14, 17-30, 23-15, 9-12).
– CHALLES : 28/57 t dt 6/11 à 3 pts, 10/15 LF, 24 rebonds (Badiane, Seigle 5), 18 passes décisives (Frniakova 6).
Moore 10, Seigle 5, Frniakova 18, Luptakova 22, Azace 10 puis Cayot, Badiane 7, Duvivier, Dubois.
– SAINT-AMAND : 28/51 dt 7/14 à 3 pts, 8/12 LF, 30 rebonds (Stevenson 10), 20 passes décisives (Lopez 5), 7 interceptions, 24 balles perdues.
Fouteret 4, Stevenson 14, Cibert 4, Peljto, Miller-Mc Kiver 17 puis Lopez 24, Ploegaerts, El Gargati 8, Mijoule.
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debounette
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- Enregistré le : dim. 29 janv. 2006 0:23
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debounette
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non désolé je n'étais pas au match ( je faisais une soirée avec mes enfants et mon futur mari!!! 
)
je ne trouve nulle part les statistiques donc je ne peux pas voir si mandy a bien joué!!!
en tout cas, cette fille la est vraiment trop forte!!!
c'est la deuxième joueuse (depuis que je joue au basket càd 18 ans!!!) qui m'impressionne comme ca!!!
elle a vraiment un très gros potentiel et à l'air très sympa!!!
voila si quelqu'un a des news du match!!!
fanny est elle entrée??
marie ou lise sur le banc???
)je ne trouve nulle part les statistiques donc je ne peux pas voir si mandy a bien joué!!!
en tout cas, cette fille la est vraiment trop forte!!!
c'est la deuxième joueuse (depuis que je joue au basket càd 18 ans!!!) qui m'impressionne comme ca!!!
elle a vraiment un très gros potentiel et à l'air très sympa!!!
voila si quelqu'un a des news du match!!!
fanny est elle entrée??
marie ou lise sur le banc???
pour gagner il faut avoir de la gniack ( dixit MC b!!!!!!)
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boubou37
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Lise pas joué, au repos à cause de son malaise.
Fanny entrée 5 minutes, boîte sur Laure Savasta, mis un 3 points.
(attends, j'suis à 450 km de la salle et j'en sais plus que toi !!!)
Mandy et Marie ont très bien joué.
Pour en savoir plus va-t-il falloir attendre le résumé de la Voix des Sports ?
Bon week-end de repos à toi !
Fanny entrée 5 minutes, boîte sur Laure Savasta, mis un 3 points.
(attends, j'suis à 450 km de la salle et j'en sais plus que toi !!!)
Mandy et Marie ont très bien joué.
Pour en savoir plus va-t-il falloir attendre le résumé de la Voix des Sports ?
Bon week-end de repos à toi !
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La Voix des Sports - 20/11/2006
Saint-Amand a essayé
Fabrice COURCIER et les joueuses de l'USAPH craignaient le regain de confiance des Tarbaises, samedi soir. C’était bien vu, mais si elles se sont accrochées, les Amandinoises ont été prises de court par une équipe sudiste qui, victoire en poche, peut espérer recoller au haut de classement.
Absence dans les duels, nombreuses pertes de ballon et des Tarbaises qui assurent au rebond : d’entrée les Amandinoises furent poussées dans leurs retranchements. Sept minutes après le début de la rencontre alors qu’elles venaient d’accuser un +11, elles allaient pourtant montrer qu’elles avaient du cran. Stevenson – qui n’allait pas faiblir durant tout le match (23 points, 2/3 à trois points, 17 rebonds) – et les deux lancers-francs réussis sur le gong par Peljo laissaient encore entrevoir l'espoir (16-19, 10e). « Dans le deuxième quart temps, on a essayé de les contrôler et dans le troisième on a failli les faire douter, mais à force de faire des efforts, on a craqué car forcément, la qualité de jeu a diminué », résumait Fabrice Courcier à l’issue de la rencontre. Les Amandinoises se sont en effet épuisées face aux solides intérieures tarbaises ; elles ont aussi eu droit à une belle démonstration aux moments clés de Savasta à trois points (3/4). Et tout au long de la rencontre, Walker leur a donné le tournis (24 points, 11 rebonds). Les Amandinoises ont cependant tenté de soutenir le rythme jusqu’au terme d’un quatrième quart temps qu’elles avaient su emballer en revenant d’entrée à huit longueurs des Sudistes. Mais celles-ci, confiantes en diables, ne lâchèrent rien et, confiantes, gérèrent leur avance.
« La satisfaction, c’est que le groupe a combattu. Maintenant, il va falloir travailler encore cette semaine pour préparer le gros match face à Arras, la semaine prochaine, poursuit le coach amandinois. Il faudra de l’envie, de la solidarité. »
Martine KACZMAREK
SAINT-AMAND - TARBES : 70-80.
– SAINT-AMAND : Fouteret, 8 ; Lopez-Verdu, 2 ; Stevenson, 23 ; Cibert, 8 ; Miller, 11 puis Mijoule, 2 ; Peljto, 6 ; El Gargati, 7 ; Plogaerts, 3.
– TARBES : Savasta, 18 ; Beikes, 7 ; Bonnan, 13 ; Slavcheva, 8 ; Walker, 24 puis Yacoubou, 10, Tomaszewski.
Saint-Amand a essayé
Fabrice COURCIER et les joueuses de l'USAPH craignaient le regain de confiance des Tarbaises, samedi soir. C’était bien vu, mais si elles se sont accrochées, les Amandinoises ont été prises de court par une équipe sudiste qui, victoire en poche, peut espérer recoller au haut de classement.
Absence dans les duels, nombreuses pertes de ballon et des Tarbaises qui assurent au rebond : d’entrée les Amandinoises furent poussées dans leurs retranchements. Sept minutes après le début de la rencontre alors qu’elles venaient d’accuser un +11, elles allaient pourtant montrer qu’elles avaient du cran. Stevenson – qui n’allait pas faiblir durant tout le match (23 points, 2/3 à trois points, 17 rebonds) – et les deux lancers-francs réussis sur le gong par Peljo laissaient encore entrevoir l'espoir (16-19, 10e). « Dans le deuxième quart temps, on a essayé de les contrôler et dans le troisième on a failli les faire douter, mais à force de faire des efforts, on a craqué car forcément, la qualité de jeu a diminué », résumait Fabrice Courcier à l’issue de la rencontre. Les Amandinoises se sont en effet épuisées face aux solides intérieures tarbaises ; elles ont aussi eu droit à une belle démonstration aux moments clés de Savasta à trois points (3/4). Et tout au long de la rencontre, Walker leur a donné le tournis (24 points, 11 rebonds). Les Amandinoises ont cependant tenté de soutenir le rythme jusqu’au terme d’un quatrième quart temps qu’elles avaient su emballer en revenant d’entrée à huit longueurs des Sudistes. Mais celles-ci, confiantes en diables, ne lâchèrent rien et, confiantes, gérèrent leur avance.
« La satisfaction, c’est que le groupe a combattu. Maintenant, il va falloir travailler encore cette semaine pour préparer le gros match face à Arras, la semaine prochaine, poursuit le coach amandinois. Il faudra de l’envie, de la solidarité. »
Martine KACZMAREK
SAINT-AMAND - TARBES : 70-80.
– SAINT-AMAND : Fouteret, 8 ; Lopez-Verdu, 2 ; Stevenson, 23 ; Cibert, 8 ; Miller, 11 puis Mijoule, 2 ; Peljto, 6 ; El Gargati, 7 ; Plogaerts, 3.
– TARBES : Savasta, 18 ; Beikes, 7 ; Bonnan, 13 ; Slavcheva, 8 ; Walker, 24 puis Yacoubou, 10, Tomaszewski.
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debounette
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malgrès la défaite, je voudrais féliciter fanny qui a fais une bonne boite sur savasta et qui en plus a marqué un 3pts!!!
continue sur cette voie!!!
et puis waouhhhhhhhhhhhhhhhh mandy a fait un excellent match et je n'étais meme pas la!!!
c'est rien je ne louperais plus un seul match pour tjs voir ses matchs!!!
mandy tu es trop forte!!! je t'adore!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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pour gagner il faut avoir de la gniack ( dixit MC b!!!!!!)
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Basketo-Phil
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debounette
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ballorange59
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