Ernesto C a écrit :Il n'y a que 10 équipes qui montent en N1, soit les 2 premiers de chaque poule + 2 wild cards ( source ffbb)
Donc 56 équipes en N2 - 10 montées en N1 + 12 montées de N3 = 58 équipes.
Pour retrouver 56 équipes, cela implique 2 descentes de N2 en N3 ( mais déjà un exempt).
La FFBB devrait aussi valider sous peu le fait qu'il n'y aura pas de descente N1 vers N2. Pas de descente mais importance du ranking pour la composition des 2 poules de la saison prochaine
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par Ernesto C » mer. 21 mars 2018 9:15
Rumeurs confirmées.
Plus précisément , perte de 2 points pour Pfastatt et 1 pt pour Cergy qui ont inscrit sur la feuille de match des joueurs non qualifié ou suspendu lors de leur match à Pfastatt.
Même si ces joueurs n'ont pas joué, le règlement est clair et sans ambiguïté...
Apparemment Ernesto C a l'air bien informé... Est-ce le pseudo de Jean Pierre.
Les points perdus sont peut être dû a des joueurs ou entraineurs qui n'ont pas signés les chartes d'engagement FFBB pour les niveaux nationaux et pré-nationaux !!! Il faut pas oublié n'ont plus qu'un entraineur sur une feuille de match doit avoir une licence joueur ou technicien et non dirigeant !!
C'est peut être des pistes à voir pour ces points perdus et matchs perdus par pénalités. La FFBB respectera-t-elle le règlement!?
Dante54 a écrit :Sur le répu d'aujourd'hui : " Joeuf : Patrice Goeuriot jette l'éponge.... "
C'était entré dans les habitudes et la normalité, parce que 20 ans à la tête d'une équipe, c'est long. Donc
aujourd'hui, ce retrait peut surprendre. Mais il faut se mettre à sa place et comprendre sa lassitude. En
tout cas, bravo à Patrice Goeuriot. Il faut lui tirer un grand coup de chapeau pour tout ce qu'il a amené
au JHB pendant deux décennies. Sans oublier ses années de joueurs.
Bonne chance à son successeur Didier Chomel.
Large extrait de l'article hommage dans le Replo :
Patrice Gœuriot (Jœuf) jette l’éponge
Histoire d’un entraîneur qui se vire lui-même ! Patrice Gœuriot, figure légendaire du sport lorrain, lâche les rênes du coaching. Afin de créer un électrochoc salutaire pour son équipe sous la menace de la relégation.
Patrice Gœuriot, usé par des années de coaching, prend du recul. Photo Frédéric LECOCQ
Allongez la liste des substantifs : incroyable, inouï, énorme, surprenant… Patrice Gœuriot, depuis vingt ans au bord des parquets à diriger l’équipe de Jœuf, jette sa fonction au panier. C’est balle tragique le long de l’Orne !
L’entraîneur historique de ce fief passionné, 54 printemps, a rencontré lundi matin le président Marc Fourie pour lui dire : « On ne peut pas rester sans rien faire ». Face à une situation sportive délicate, pas compromise à quatre journées de la fin en nationale 2 masculine. Comme on n’est pas dans le haut niveau, les solutions sont aussi rares que l’eau dans le désert. Jusqu’à la fin de cette saison, ce sera Didier Chomel (son assistant) qui coachera. »
Patrice Gœuriot inventerait presque un nouveau genre : l’autocritique sacrificielle comme moyen de réveiller « des joueurs pris dans une routine sans qu’ils ne le vivent sciemment. Il est temps de changer les choses, qu’ils les voient différemment. On s’est installé dans une monotonie. Ce fonctionnement n’était plus viable. Certains gars en viennent même à régresser. »
Le discours détone au cœur d’un entourage abasourdi. Le mentor jovicien n’en a cure de son piédestal. Choix courageux pour un électrochoc espéré ? « Ce n’est pas non plus la fin du monde ! Mais ce n’est pas un coup de tête. Beaucoup ont arrêté avant moi, ça passe. Le fait est que nous avons bien démarré le championnat. Preuve d’une certaine qualité qui s’est étiolée. Et preuve que je n’ai pas réussi à trouver la solution, que nous sommes arrivés aux limites de ce que l’on peut réaliser ensemble. »
La conjoncture des résultats s’est mêlée à une « réflexion plus profonde. Je suis à la tête de l’équipe depuis 1999, sans parler des jeunes avant. Je suis un peu fatigué. On n’est pas dans le confort ! On a le droit d’être usé… », glisse celui dont l’épouse aide beaucoup le club dans lequel jouent ses deux enfants. « Je réfléchissais comment faire pour que ça aille mieux. Si je n’avais pas pris du recul cette semaine, je l’aurais fait la saison prochaine. »
Patrice Gœuriot, battant abattu par un « tout. Quand vous allez à Paris en stage, on vous déconseille la pizza-bière après les matches pour vous inciter à être professionnel… » À Jœuf, enclave gauloise, c’est difficile. « Mais je ne lâche pas le club. On me verra encore aux entraînements. Je serai davantage directeur technique. » OK, mais on n’en revient pas quand même…