Poule A NF1 2021-2022

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basketbreton
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Re: Poule A NF1 2021-2022

Message par basketbreton »

OF
Basket-ball. Trophée CF : Fin de parcours pour le Cerclistes

Les Rennaises sont tombées face à des Scéennes promptes à rappeler la hiérarchie (69-94).



Cuites à l’étouffée d’entrée, les camarades de Marion Jeuland butaient sur des Franciliennes hérisson, lesquelles réduisaient rapidement l’écart en alignant 11 paniers à trois points par leur armada offensive au contraire des Rennaises en échec face aux sémaphores adverses privées de sésame pour pénétrer la raquette adverse.

Les Parisiennes favorites avaient l’intention de siffler rapidement la fin de la récréation (31-37). Chirurgical était ensuite le second quart-temps des pensionnaires de N1, réduisant les impétrantes bretonnes à la disette (38-63). Restait ensuite à conforter le matelas parisien tout en ménageant les organismes en vue de l’échéance dominicale.
«On savait qu’on était inférieur techniquement»

Retrouvant un peu d’adresse ce qui n’était pas difficile eu égard à son déchet précédant, le petit poucet avait bien l’intention de clôturer son beau périple et retrouvait quelques couleurs face à sa rivale faisant toujours le job mais en laissant au chaud ses forces vives (57-85). Le baroud d’honneur était donc à la hauteur du deal que s’étaient fixées les méritantes Rennaises, lesquelles emportaient le dernier quart-temps bien aidé, aussi, il faut en convenir par une attaque Scéenne retombée largement en berne (69-94).

De quoi donner une belle image à l’instar de l’ensemble de leur saison. « On savait qu’on était inférieur techniquement, tactiquement et physiquement. Mais on n’a jamais baissé les bras pendant les quarante minutes. Je suis fier des filles, de notre parcours car arriver en quart est exceptionnel. On a tiré un gros tirage face à Sceaux qui était plus adroit », relevait le coach rennais Julien Couvey.

CPB RENNES - SCEAUX : 69-94.

(31-37 ; 38-63 ; 57-85 ; 69-94)

Arbitres : MM. Denkiw et Robin

CPB RENNES : Jeuland (0), Balannec-Leon (2), Bilheude (6), Delattre (9), Schepens (15), Libeau (2), Guedes (7), Ntsame-Assoumou (0), Pechard (14), Lemoine (0). 18 fautes.
Entraîneur : Julien Couvey.

SCEAUX : Le Bruchec (25), Fardel (18), Maznichenko (20), Mendes (9), Jennings Alexis (10), Mbengue (0), Barthelemy (9), Cailleux (3). 7 fautes. Entraîneur : Christopher Singleton.
cousteau
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Re: Poule A NF1 2021-2022

Message par cousteau »

La Longue blessure de konate et là convalescence de M’bengue seront probablement préjudiciables pour les po ! Et que dire du fait que l’asa devra se séparer de 50% de son effectif en cas de montée en L2 puisqu’aucun - de 23 ans ! Ça va être hot pour le club.
drazenmirabelle
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Re: Poule A NF1 2021-2022

Message par drazenmirabelle »

Sceaux battu en 1/2 finale de la coupe de France par Le Poinçonnet.
basketbreton
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Re: Poule A NF1 2021-2022

Message par basketbreton »

PRESSE OCEAN

Article sur le futur pensIonnaire de NF1.
Descente du CSP en N1 : la bérézina du basket féminin nantais

La relégation du CSP Nantes de Ligue 2 en N1F est actée. Difficile de ne pas voir, à l’heure du bilan, le fiasco d’une fusion réalisée à la hâte. Reste à savoir où vont les Déferlantes désormais…
L’attelage Mamadou Cissé – Camille Aubert ne sera plus d’actualité la saison prochaine.
L’échec du CSPNRAB est évidemment sportif. Sanction fédérale ou non, les Déferlantes ont, de toute façon, perdu leur duel à distance avec Calais. Les voilà reléguées en N1F pour la saison prochaine.

Reste que ce serait trop facile de rejeter la responsabilité de ce fiasco uniquement sur le sportif. Ce groupe, sans faire offense aux joueuses, a été construit dans un non-sens total.
Les dirigeants « déterminés à remonter directement »

Cet échec met fin à plus de 13 ans de basket féminin professionnel à Nantes. La métropole comptait encore deux clubs pro il y a seulement un an. Ce crash prend sa genèse dans la fin de saison dernière.

La fusion logique et de bon sens entre les deux entités, Nantes-Rezé Basket et le BCSP Rezé, a été bâclée par précipitation, pression – notamment des instances fédérales -, et lâcheté.

Sa réalisation a mené le tout frais CSPNRAB droit dans le mur. Malgré un budget conséquent pour la division de plus de 800 000€, le nouveau club, avec un effectif déjà constitué en avril par le BCSP, s’est retrouvé avec un empilement de joueuses inexpérimentées, vouées à jouer le maintien.

Avoir deux formations nantaises en seconde division durant une saison pour assurer le coup et préparer sereinement la fusion aurait été sans doute été une décision plus sage.

Mais, au NRB, le président Jean-Pierre Ciglia, en premier lieu, a préféré la fuite. Il a jeté l’éponge très rapidement, sous prétexte que le marché des joueuses était vide.

Un argument, discutable, martelé l’an dernier et maintenu aujourd’hui par la nouvelle direction, tout heureuse d’avoir raflé la mise à l’époque.

Au moment du bilan et des responsabilités, les dirigeants du CSP ont préféré évoquer ce contexte initial de la fusion, qu’ils ont pourtant souhaitée, et rejeter sur le sportif les responsabilités de l’échec.
« Peut-être pas assez attentif au sportif»

Quitte à tomber dans leurs contradictions, eux qui annonçaient viser un Top 4 totalement irréaliste cette saison.

Le président, Pascal Jubier, admet tout de même, « peut-être ne pas avoir été assez attentif au sportif ». Il regrette « un assemblage Cissé-Aubert qui n’a pas fonctionné par manque de communication ».

Le directeur sportif, Bertrand Vigouroux, lui, préfère l’invective et l’arrogance, tranchant avec la mesure de son président. Il évoque l’hétérogénéité professionnel-amateur du groupe, qu’il a pourtant construit, et un planning d’entraînements défaillant mis en place par Mamadou Cissé avec très peu de séances où toutes les joueuses étaient présentes en même temps.

Le tout en chargeant de manière surprenante l’assistante Camille Aubert, sans jamais la nommer ouvertement. Il dédouane de fait l’entraîneur et les dirigeants.

Cette semaine s’annonce par ailleurs décisive pour l’avenir des Déferlantes en N1. Entretiens individuels de tout le monde et rendez-vous avec la mairie, vendredi, au programme. « Le staff va être amené à évoluer. Il faut envoyer un message fort sur le sportif et il va y avoir du changement », annonce Pascal Jubier.

Mais le possible maintien de Mamadou Cissé à la tête du CSP interroge. Quel serait le message envoyé après une saison ratée ? Et quelles joueuses resteraient sous ses ordres la saison prochaine alors que le centre de formation va disparaître et qu’en N1F, le club ne sera autorisé à enrôler que quatre joueuses mutées ? Le tout avec quel budget et quelle salle ?

Les dirigeants l’admettent, ils vont devoir « avancer vite ». Mais ils se veulent « déterminés à rebondir et remonter directement », conclut Bertrand Vigouroux, reliant, dans une tirade finale, leur « combativité » à celles des Ukrainiens… L’indécence jusqu’au bout.

Ali Rebouh : « Le mal encore plus profond qu’on l’imaginait »

Nantes Métropole, principal soutien financier du club, a forcément un droit de regard. « C’est tout d’abord le temps de l’émotion et de la déception », évoque ainsi Ali Rebouh (PS), vice-président en charge du sport de haut niveau.

Si l’élu souhaite laisser les dirigeants du CSP Nantes digérer sans les accabler, ils auront malgré tout des comptes à rendre sur ce gâchis.

« Il y aura ensuite le temps de la réflexion, on aura des échanges avec le club, c’est important de voir comment eux perçoivent les choses, poursuit-il. Il faut prendre le temps de tirer les leçons de tout ça avec les personnes concernées. C’est dommage car il y avait les conditions pour faire en sorte que le club puisse redémarrer. Il faudra se poser des questions de fond avec eux, faire le bilan. Mais il est clair que pour le basket féminin à Nantes, c’est un coup d’arrêt assez terrible. »

Pour rappel, Nantes Métropole avait, l’an dernier, accompagné sans imposer immédiatement la fusion. « Elle nous semblait obligatoire mais nous avions dans l’esprit qu’elle se réalise au plus tard à l’aube de la saison 2022-2023, recontextualise Ali Rebouh. Ce qui a précipité les choses, c’est la relégation du NRB. C’était la volonté des dirigeants et cela nous semblait cohérent. Qui aurait pu imaginer les voir descendre ? L’objectif était de mutualiser les choses mais on voit bien que le mal est encore plus profond qu’on l’imaginait. »

S’il refuse de s’étendre sur le sujet, le souvenir d’une fusion tendue entre BCSP et NRB reste malgré tout vivace dans l’esprit de tous. Y compris le sien : « Si tout le monde avait mis autant d’énergie à créer un projet commun et à tirer dans le même sens, je pense qu’on n’aurait pas été dans cette situation-là ».

Reste, désormais, à savoir quel sera l’accompagnement financier du CSPNRAB qui sort du giron de Nantes Métropole en disparaissant du monde professionnel et entre dans celui de la Ville de Nantes.
drazenmirabelle
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Re: Poule A NF1 2021-2022

Message par drazenmirabelle »

basketbreton a écrit : mar. 29 mars 2022 17:51 PRESSE OCEAN

Article sur le futur pensIonnaire de NF1.
Descente du CSP en N1 : la bérézina du basket féminin nantais

La relégation du CSP Nantes de Ligue 2 en N1F est actée. Difficile de ne pas voir, à l’heure du bilan, le fiasco d’une fusion réalisée à la hâte. Reste à savoir où vont les Déferlantes désormais…
L’attelage Mamadou Cissé – Camille Aubert ne sera plus d’actualité la saison prochaine.
L’échec du CSPNRAB est évidemment sportif. Sanction fédérale ou non, les Déferlantes ont, de toute façon, perdu leur duel à distance avec Calais. Les voilà reléguées en N1F pour la saison prochaine.

Reste que ce serait trop facile de rejeter la responsabilité de ce fiasco uniquement sur le sportif. Ce groupe, sans faire offense aux joueuses, a été construit dans un non-sens total.
Les dirigeants « déterminés à remonter directement »

Cet échec met fin à plus de 13 ans de basket féminin professionnel à Nantes. La métropole comptait encore deux clubs pro il y a seulement un an. Ce crash prend sa genèse dans la fin de saison dernière.

La fusion logique et de bon sens entre les deux entités, Nantes-Rezé Basket et le BCSP Rezé, a été bâclée par précipitation, pression – notamment des instances fédérales -, et lâcheté.

Sa réalisation a mené le tout frais CSPNRAB droit dans le mur. Malgré un budget conséquent pour la division de plus de 800 000€, le nouveau club, avec un effectif déjà constitué en avril par le BCSP, s’est retrouvé avec un empilement de joueuses inexpérimentées, vouées à jouer le maintien.

Avoir deux formations nantaises en seconde division durant une saison pour assurer le coup et préparer sereinement la fusion aurait été sans doute été une décision plus sage.

Mais, au NRB, le président Jean-Pierre Ciglia, en premier lieu, a préféré la fuite. Il a jeté l’éponge très rapidement, sous prétexte que le marché des joueuses était vide.

Un argument, discutable, martelé l’an dernier et maintenu aujourd’hui par la nouvelle direction, tout heureuse d’avoir raflé la mise à l’époque.

Au moment du bilan et des responsabilités, les dirigeants du CSP ont préféré évoquer ce contexte initial de la fusion, qu’ils ont pourtant souhaitée, et rejeter sur le sportif les responsabilités de l’échec.
« Peut-être pas assez attentif au sportif»

Quitte à tomber dans leurs contradictions, eux qui annonçaient viser un Top 4 totalement irréaliste cette saison.

Le président, Pascal Jubier, admet tout de même, « peut-être ne pas avoir été assez attentif au sportif ». Il regrette « un assemblage Cissé-Aubert qui n’a pas fonctionné par manque de communication ».

Le directeur sportif, Bertrand Vigouroux, lui, préfère l’invective et l’arrogance, tranchant avec la mesure de son président. Il évoque l’hétérogénéité professionnel-amateur du groupe, qu’il a pourtant construit, et un planning d’entraînements défaillant mis en place par Mamadou Cissé avec très peu de séances où toutes les joueuses étaient présentes en même temps.

Le tout en chargeant de manière surprenante l’assistante Camille Aubert, sans jamais la nommer ouvertement. Il dédouane de fait l’entraîneur et les dirigeants.

Cette semaine s’annonce par ailleurs décisive pour l’avenir des Déferlantes en N1. Entretiens individuels de tout le monde et rendez-vous avec la mairie, vendredi, au programme. « Le staff va être amené à évoluer. Il faut envoyer un message fort sur le sportif et il va y avoir du changement », annonce Pascal Jubier.

Mais le possible maintien de Mamadou Cissé à la tête du CSP interroge. Quel serait le message envoyé après une saison ratée ? Et quelles joueuses resteraient sous ses ordres la saison prochaine alors que le centre de formation va disparaître et qu’en N1F, le club ne sera autorisé à enrôler que quatre joueuses mutées ? Le tout avec quel budget et quelle salle ?

Les dirigeants l’admettent, ils vont devoir « avancer vite ». Mais ils se veulent « déterminés à rebondir et remonter directement », conclut Bertrand Vigouroux, reliant, dans une tirade finale, leur « combativité » à celles des Ukrainiens… L’indécence jusqu’au bout.

Ali Rebouh : « Le mal encore plus profond qu’on l’imaginait »

Nantes Métropole, principal soutien financier du club, a forcément un droit de regard. « C’est tout d’abord le temps de l’émotion et de la déception », évoque ainsi Ali Rebouh (PS), vice-président en charge du sport de haut niveau.

Si l’élu souhaite laisser les dirigeants du CSP Nantes digérer sans les accabler, ils auront malgré tout des comptes à rendre sur ce gâchis.

« Il y aura ensuite le temps de la réflexion, on aura des échanges avec le club, c’est important de voir comment eux perçoivent les choses, poursuit-il. Il faut prendre le temps de tirer les leçons de tout ça avec les personnes concernées. C’est dommage car il y avait les conditions pour faire en sorte que le club puisse redémarrer. Il faudra se poser des questions de fond avec eux, faire le bilan. Mais il est clair que pour le basket féminin à Nantes, c’est un coup d’arrêt assez terrible. »

Pour rappel, Nantes Métropole avait, l’an dernier, accompagné sans imposer immédiatement la fusion. « Elle nous semblait obligatoire mais nous avions dans l’esprit qu’elle se réalise au plus tard à l’aube de la saison 2022-2023, recontextualise Ali Rebouh. Ce qui a précipité les choses, c’est la relégation du NRB. C’était la volonté des dirigeants et cela nous semblait cohérent. Qui aurait pu imaginer les voir descendre ? L’objectif était de mutualiser les choses mais on voit bien que le mal est encore plus profond qu’on l’imaginait. »

S’il refuse de s’étendre sur le sujet, le souvenir d’une fusion tendue entre BCSP et NRB reste malgré tout vivace dans l’esprit de tous. Y compris le sien : « Si tout le monde avait mis autant d’énergie à créer un projet commun et à tirer dans le même sens, je pense qu’on n’aurait pas été dans cette situation-là ».

Reste, désormais, à savoir quel sera l’accompagnement financier du CSPNRAB qui sort du giron de Nantes Métropole en disparaissant du monde professionnel et entre dans celui de la Ville de Nantes.
Très sévère, cet article. Mais probablement réaliste.
le_pitch
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Re: Poule A NF1 2021-2022

Message par le_pitch »

Bonjour,

Nous sommes un club de la région de Saint-Etienne en NF3 : Fraisses-Unieux basket, classé 4eme pour l'instant, et ambitieux pour le futur. Nous recherchons deux joueuses de divisions supérieures.

Le profil : #emploi #alternance #apprentissage soit une jeune joueuse un peu juste pour le haut niveau et qui mise sur les études, soit une joueuse plus âgée qui souhaite se reconvertir en reprenant les études (les contrats d’apprentissage sont possibles jusqu’à 30 ans pour les demandeurs d'emploi.)

Cela implique un salaire sur 1,2 ou 3 ans (selon grille conventionnelle et votre âge) + études payées en contrepartie d’un engagement basket avec le club. J'ai la possibilité d'offrir dans mes entreprises des contrats d'alternance avec reprise d'études dans les domaines commerciaux, marketing, alphabétisation et informatique. Le club peut financer un BPJEPS en alternance également.

Si cette description vous fait penser à une joueuse ... je suis à votre disposition pour en discuter.
Je reste à votre disposition pour tout renseignement complémentaire.

A vous lire.
Sportivement

Pierric ESCORIZA
p.escoriza@starting-five.fr
06 63 26 42 42
I'm not an alcoholic, i only drink twice a year ... when it's my birthday and when it's not !
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