Patou a écrit :@la zone : Les deux formes sont correctes dans la formulation de Patou, sauf qu'elles n'ont pas tout à fait le même sens suivant que "charabias" prenne alors un "s" ou pas :
- Charabia : Langage parlé ou écrit qui est ou qui semble incompréhensible.
- Charabias : Personne qui parle de façon incompréhensible.
Patou a donc le choix de l'écrire comme elle le souhaite, et si elle a retiré le "s" c'est par compassion envers DEF...
et 'correcte' prend un 's'...
Ce doit être une erreur de frappe...
La faute de frappe a été corrigée...
Merci !
"L'esprit le plus pénétrant a besoin du secours du temps pour s'assurer par ses secondes pensées de la justesse des premières et acquérir, à l'instar de la nature, la maturité de ses productions !" Henri François d'Aguesseau (1668-1751).
Tout cela à cause du Fémina !!!
Ami(e)s de l'EBPLO, demain soir on débarque avec mon ami le marchand de foie gras ! On vient avec sa camionette pour y dormir dedans si la nuit est chaude !!! Nos femmes nous ont prévenu, si vous êtes saouls vous restez sur place, qu'elles nous ont dit !!! Alors, on ne va pas prendre de risques !
Henri 4 a écrit :Tout cela à cause du Fémina !!!
Ami(e)s de l'EBPLO, demain soir on débarque avec mon ami le marchand de foie gras ! On vient avec sa camionette pour y dormir dedans si la nuit est chaude !!! Nos femmes nous ont prévenu, si vous êtes saouls vous restez sur place, qu'elles nous ont dit !!! Alors, on ne va pas prendre de risques !
Ainsi, il serait donc possible de se saouler au foie gras ?
A moins qu'il ne s'agisse ici que de l'ivresse de la victoire ?
La fin est triste et le paradoxe cruel. Alors que le Stade Poitevin a réalisé une remarquable saison en N1 féminine, se qualifiant même pour les play-offs malgré ses petits moyens, le club vit une intersaison très mouvementée au point que son avenir ne semble plus être à ce niveau.
Car c'est à une véritable hémorragie qu'assistent les Stadistes, au point aujourd'hui de ne plus disposer de joueuses ni d'entraîneur en équipe fanion ! « Il y a d'abord eu le départ de Zoé Chalumeau pour Nantes (LFB) puis plusieurs arrêts », indique la présidente Catherine Guillot en faisant référence à Pauline Rimbaud (genou), Clémence Julien (travail), Juliette Delaune (études au Canada) et Suzanne Noizet. « Du jour au lendemain, on s'est donc trouvé avec cinq joueuses en moins et les règlements n'autorisent de recruter que quatre mutées. Des joueuses se sont alors posé des questions. C'est le cas de Tatiana Ramaut qui a eu une proposition dans le Nord. » La meneuse a finalement décidé de rejoindre Aulnoyes (N1) où l'accompagnera Caroline Plust. De son côté, Héléna Peret-Buchet s'est engagée avec Rezé (N1) tandis qu'Amélie Guillon a choisi La Couronne (N2).
Pontcharraud à La Couronne
Elle y retrouvera Christophe Pontcharraud qui a accepté il y a quelques jours la proposition des dirigeants charentais de s'asseoir sur le banc angoumoisin. « Quand on a su qu'il ne restait plus que quatre joueuses, je me suis dit que ce serait compliqué, explique-t-il. Il fallait recruter et cela me semblait délicat car les dirigeants nous ont dit que l'enveloppe financière serait la même que cette année et que le sport féminin ne pouvait pas aller plus haut à Poitiers. Lorsque Tatiana m'a annoncé son départ, je ne voyais pas comment rebâtir une équipe dans ces conditions avec seulement quatre recrues. Pour moi, c'était impossible de repartir en N1. Je m'en vais en bons termes avec les dirigeants, j'ai passé six belles années ici, mais je suis déçu et il y a un peu d'amertume que cela se termine comme cela alors que nous venons de vivre notre meilleure saison », indique celui qui aura emmené l'équipe du bas de tableau N2 au haut de classement N1.
Car l'avenir semble effectivement s'annoncer à un niveau de jeu inférieur. L'éventualité est grande mais la présidente Catherine Guillot ne désespère cependant pas. « C'est malheureusement la rançon de la gloire, effectuer cette bonne saison a permis aux joueuses de mieux se vendre, affirme-t-elle. Je compte rencontrer les collectivités pour leur expliquer la situation et voir dans quelle mesure elles nous accompagnent. Sinon, nous repartirons en N3. » Une éventualité plus que probable. Une décision sera prise la semaine prochaine à ce sujet. Mais quel triste épilogue pour ces drôles de dames qui avaient su rivaliser avec les meilleurs et séduire un public de plus en plus nombreux à Grandmaison.
Club NF3. Ouest de la France (1h30 de Paris par TGV). Ville Universitaire.
Cherche joueuses pour compléter son effectif de nationale 3.
Pour ton contact supplementaire: basketnf2@hotmail.fr
chniek a écrit :Club NF3. Ouest de la France (1h30 de Paris par TGV). Ville Universitaire.
Cherche joueuses pour compléter son effectif de nationale 3.
Pour ton contact supplementaire: basketnf2@hotmail.fr
ALA Le Havre: du ménage au sein de l'équipe
Melissa Washington est l'une des deux seules joueuses (avec Emmanuelle Nauleau) à rempiler à Aplemont
BASKET-BALL. Nationale 1 féminine. Le prochain effectif de l'ALA n'aura pas grand-chose à voir avec son devancier....
Publié le lundi 04 juin 2012 -http://www.paris-normandie.fr