NF1 Poule B 2010/2011
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Re: NF1 Poule B 2010/2011
OUBAIX / BASKET-BALLIN1 FÉMININEI20e journée : St-Paul Rezé - Femina Wasquehal
Le Femina paye son retard à l'allumage
Publié le mercredi 30 mars 2011 à 06h00
Les Wasquehaliennes ont fini par payer leurs efforts.Photo archives H.V.M. Les Wasquehaliennes ont fini par payer leurs efforts.Photo archives H.V.M.
La quête du dernier succès pour assurer définitivement son maintien en N1 devra encore attendre une semaine pour les Wasquehaliennes.
Défaites logiquement à Rezé (58-74), les Nordistes ont une fois de plus payé cash leur inconstance.
« Du très bon et du moins bon, comme d'habitude. » Mathieu Espinous a sorti la bonne vieille ritournelle qui plombe un peu son équipe depuis le début d'année. Premier quart-temps catastrophique en terme d'adresse, troisième quart-temps exceptionnel qui permet notamment aux Wasquehaliennes de combler seize points de retard. Et puis forcément dans le dernier quart-temps, la débauche d'énergie dépensée pour recoller au marquoir s'est payée lourdement en toute fin de rencontre.
« Nous étions un peu grillés dans le dernier quart-temps, car nous n'avons qu'à sept joueuses puisque Noemie Messi Fouda est en phase de récupération et Coralie Specq a de nouveau ressenti une douleur au bout de deux minutes. Et en face, il a pu faire tourner son effectif de dix joueuses , explique le coach wasquehalien. Seize points, ça fait cher payé par rapport à l'engagement des joueuses. Mais c'est mérité en terme de jeu. » La fin de rencontre a en effet viré au calvaire pour les Wasquehaliennes. À tel point que la tournure des évènements a obligé le coach wasquehalien à prendre un temps mort alors que son équipe coulait à pic. « Il n'y a pas à rougir de perdre à Nantes, mais j'ai dit aux filles qu'elles ne méritaient pas de prendre 30 points », insiste Mathieu Espinous.
Le Femina devra donc obligatoirement s'imposer samedi face à Geispolsheim pour s'assurer de vivre une seconde année en Nationale 1.w
GRÉGORY BEUSCART (correspondant)
Cercle Saint-Paul Rezé - Femina Wasquehal : 74-58.
Le Femina paye son retard à l'allumage
Publié le mercredi 30 mars 2011 à 06h00
Les Wasquehaliennes ont fini par payer leurs efforts.Photo archives H.V.M. Les Wasquehaliennes ont fini par payer leurs efforts.Photo archives H.V.M.
La quête du dernier succès pour assurer définitivement son maintien en N1 devra encore attendre une semaine pour les Wasquehaliennes.
Défaites logiquement à Rezé (58-74), les Nordistes ont une fois de plus payé cash leur inconstance.
« Du très bon et du moins bon, comme d'habitude. » Mathieu Espinous a sorti la bonne vieille ritournelle qui plombe un peu son équipe depuis le début d'année. Premier quart-temps catastrophique en terme d'adresse, troisième quart-temps exceptionnel qui permet notamment aux Wasquehaliennes de combler seize points de retard. Et puis forcément dans le dernier quart-temps, la débauche d'énergie dépensée pour recoller au marquoir s'est payée lourdement en toute fin de rencontre.
« Nous étions un peu grillés dans le dernier quart-temps, car nous n'avons qu'à sept joueuses puisque Noemie Messi Fouda est en phase de récupération et Coralie Specq a de nouveau ressenti une douleur au bout de deux minutes. Et en face, il a pu faire tourner son effectif de dix joueuses , explique le coach wasquehalien. Seize points, ça fait cher payé par rapport à l'engagement des joueuses. Mais c'est mérité en terme de jeu. » La fin de rencontre a en effet viré au calvaire pour les Wasquehaliennes. À tel point que la tournure des évènements a obligé le coach wasquehalien à prendre un temps mort alors que son équipe coulait à pic. « Il n'y a pas à rougir de perdre à Nantes, mais j'ai dit aux filles qu'elles ne méritaient pas de prendre 30 points », insiste Mathieu Espinous.
Le Femina devra donc obligatoirement s'imposer samedi face à Geispolsheim pour s'assurer de vivre une seconde année en Nationale 1.w
GRÉGORY BEUSCART (correspondant)
Cercle Saint-Paul Rezé - Femina Wasquehal : 74-58.
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Re: NF1 Poule B 2010/2011
WASQUEHAL FEM - GEISPOLSHEIM +2 mais match très indécis et les deux équipes pour le maintien
AVENIR CHARTRES - SAINT PAUL REZE +10 St Paul plus fort et pour avoir un avantage pour la 2ème phase
Le POIRE SUR VIE - CENTRE FÉDÉRAL +20 Le Poiré en grande forme actuellement
ARGENTON THOUARS - STADE POITEVIN BASKETBALL +5 pour essayé de garder cette 4ème place mais surtout revanche du match aller
Franconville Plessis - CLUB MUNICIPAL AUBERVILLIERS + 5 match très indécis, AUBERVILLIERS pour assuré le maintien et surtout ne pour son dernier match (exempt dernière journée)
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Re: NF1 Poule B 2010/2011
WASQUEHAL FEM B-3 - GEISPOLSHEIM C.J.S. : +5, sauf si les alsaciennes créaient l'exploit ! Je préfère que Rino aie raison
AVENIR BASKET CHARTRES - CERCLE SAINT PAUL REZE : +10, les rézéennes partent favorites
LE POIRE SUR VIE - CENTRE FEDERAL BB-2 : +15, sans problème
ARGENTONNAISES THOUARS B 79 - STADE POITEVIN BASKETBALL : +5 à domicile, mais attention au Stade Poitevin qui fait une belle 2ème partie de saison
BC FRANCONVILLE PLESSIS B - CLUB MUNICIPAL AUBERVILLIERS : +10, en rachat du WE dernier
AVENIR BASKET CHARTRES - CERCLE SAINT PAUL REZE : +10, les rézéennes partent favorites
LE POIRE SUR VIE - CENTRE FEDERAL BB-2 : +15, sans problème
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Re: NF1 Poule B 2010/2011
WASQUEHAL FEM - GEISPOLSHEIM
AVENIR CHARTRES - SAINT PAUL REZE
Le POIRE SUR VIE - CENTRE FÉDÉRAL
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Re: NF1 Poule B 2010/2011
BASKET N1F : sereinement
Article NR du 01/04/2011 05:28
Sauf incroyable scénario lors des deux dernières journées, le Stade Poitevin est assuré du maintien. Du coup, c'est « l'esprit serein » que Christophe Pontcharraud envisage ce derby. « Nous avons surtout à cœur de conserver notre bonne dynamique actuelle et de nous rattraper du match aller (défaite 64-68), notre plus mauvais de la saison. » Côté effectif, Clémence Julien (opérée du nez), Tatiana Ramaut (souci musculaire) et Céline Delacoux (petite entorse de la cheville) sont incertaines.
Thouars - Stade Poitevin Samedi, 20 h, à Districal.
Thouars (7e avec 8 v, 10 d). Stade Poitevin (4e avec 9 v, 9 d) : Poisson, Lebian, Koweith-Deemin, Rimbaud, Dequecker, Baudet, Proutière, Noizet, Guillon. Incertaines : Julien (nez), Delacoux (cheville), Ramaut (problème musculaire). Absente : Delaune (ligaments croisés).
Article NR du 01/04/2011 05:28
Sauf incroyable scénario lors des deux dernières journées, le Stade Poitevin est assuré du maintien. Du coup, c'est « l'esprit serein » que Christophe Pontcharraud envisage ce derby. « Nous avons surtout à cœur de conserver notre bonne dynamique actuelle et de nous rattraper du match aller (défaite 64-68), notre plus mauvais de la saison. » Côté effectif, Clémence Julien (opérée du nez), Tatiana Ramaut (souci musculaire) et Céline Delacoux (petite entorse de la cheville) sont incertaines.
Thouars - Stade Poitevin Samedi, 20 h, à Districal.
Thouars (7e avec 8 v, 10 d). Stade Poitevin (4e avec 9 v, 9 d) : Poisson, Lebian, Koweith-Deemin, Rimbaud, Dequecker, Baudet, Proutière, Noizet, Guillon. Incertaines : Julien (nez), Delacoux (cheville), Ramaut (problème musculaire). Absente : Delaune (ligaments croisés).
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Re: NF1 Poule B 2010/2011
WASQUEHAL FEM - GEISPOLSHEIM
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Re: NF1 Poule B 2010/2011
Wasquehal gagne contre Geisposheim
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Re: NF1 Poule B 2010/2011
BASKET-BALLIN1 FÉMININEI21e j. : Femina Wasquehal - Geispolsheim (20h) - Le Femina Wasquehal joue sa finale
Les Wasquehaliennes ont tout intérêt à profiter de la réception des Alsaciennes pour assurer leur maintien dès ce soir.Photo Hubert Van Maele
Les Wasquehaliennes ont tout intérêt à profiter de la réception des Alsaciennes pour assurer leur maintien dès ce soir.Photo Hubert Van Maele
Les Wasquehaliennes jouent ce soir une grande partie de leur avenir. Une victoire face à Geispolsheimet le Femina connaîtra une nouvelle saison en Nationale 1.
Le pire est à craindre en cas de défaite.
GRÉGORY BEUSCART > correspondant
À deux journées de la fin du championnat, le Femina pourrait se retirer une sacrée épine du pied si, sur les coups de 21h45, le marquoir indique une victoire face à Geispolsheim. Cela signifierait que le maintien est acquis une bonne fois pour toutes. Un moindre mal au terme d'une saison laborieuse et tourmentée, qui ne peut pas se terminer en queue de poisson. « On sait ce qu'il nous reste à faire, peu importent les calculs. Nous avons travaillé notamment sur ce que propose cette équipe en attaque », souligne Mathieu Espinous. L'histoire récente plaide en faveur des Nordistes qui sont invaincues en trois rencontres face aux Alsaciennes. Et le coach wasquehalien connaît bien les failles de son adversaire. « Geispolsheim, ça marque beaucoup, mais ça ne défend pas trop dur. Elles font beaucoup de zone, mais c'est une zone assez perméable. En attaque, tout le monde est capable de shooter, elles prennent des shoots assez rapides et ralentissent les attaques adverses. » Voilà pour le diagnostic. Le remède ? Il dépendra d'abord de celles qui seront capables de l'appliquer, car quelques incertitudes planent encore sur l'effectif wasquehalien. « Nous sommes encore dans l'incertitude sur deux joueuses : Coralie Specq souffre d'un claquage à l'ischio. Et Noémie Messi Fouda a repris l'entraînement depuis quinze jours après sa blessure au genou du 12 février. » Si les Wasquehaliennes auront encore une chance de se maintenir la semaine prochaine au Centre Fédéral, Mathieu Espinous entend régler l'affaire dès ce soir : « La salle sera pleine, les joueuses sont bien investies aux entraînements. Si nous perdons ces deux matches, c'est que nous ne méritons tout simplement pas notre place en N1. » Voilà qui a le mérite d'être clair.w Femina Wasquehal - Geispolsheim : 20h, salle Pierre-Loti.
Les Wasquehaliennes ont tout intérêt à profiter de la réception des Alsaciennes pour assurer leur maintien dès ce soir.Photo Hubert Van Maele
Les Wasquehaliennes ont tout intérêt à profiter de la réception des Alsaciennes pour assurer leur maintien dès ce soir.Photo Hubert Van Maele
Les Wasquehaliennes jouent ce soir une grande partie de leur avenir. Une victoire face à Geispolsheimet le Femina connaîtra une nouvelle saison en Nationale 1.
Le pire est à craindre en cas de défaite.
GRÉGORY BEUSCART > correspondant
À deux journées de la fin du championnat, le Femina pourrait se retirer une sacrée épine du pied si, sur les coups de 21h45, le marquoir indique une victoire face à Geispolsheim. Cela signifierait que le maintien est acquis une bonne fois pour toutes. Un moindre mal au terme d'une saison laborieuse et tourmentée, qui ne peut pas se terminer en queue de poisson. « On sait ce qu'il nous reste à faire, peu importent les calculs. Nous avons travaillé notamment sur ce que propose cette équipe en attaque », souligne Mathieu Espinous. L'histoire récente plaide en faveur des Nordistes qui sont invaincues en trois rencontres face aux Alsaciennes. Et le coach wasquehalien connaît bien les failles de son adversaire. « Geispolsheim, ça marque beaucoup, mais ça ne défend pas trop dur. Elles font beaucoup de zone, mais c'est une zone assez perméable. En attaque, tout le monde est capable de shooter, elles prennent des shoots assez rapides et ralentissent les attaques adverses. » Voilà pour le diagnostic. Le remède ? Il dépendra d'abord de celles qui seront capables de l'appliquer, car quelques incertitudes planent encore sur l'effectif wasquehalien. « Nous sommes encore dans l'incertitude sur deux joueuses : Coralie Specq souffre d'un claquage à l'ischio. Et Noémie Messi Fouda a repris l'entraînement depuis quinze jours après sa blessure au genou du 12 février. » Si les Wasquehaliennes auront encore une chance de se maintenir la semaine prochaine au Centre Fédéral, Mathieu Espinous entend régler l'affaire dès ce soir : « La salle sera pleine, les joueuses sont bien investies aux entraînements. Si nous perdons ces deux matches, c'est que nous ne méritons tout simplement pas notre place en N1. » Voilà qui a le mérite d'être clair.w Femina Wasquehal - Geispolsheim : 20h, salle Pierre-Loti.
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Re: NF1 Poule B 2010/2011
Georges Spitaels, un homme dévoré par la passion du basket
lundi 14.02.2011, 05:18 - La Voix du Nord
Georges Spitaels entouré de «ses filles» du Fémina Wasquehal après un match.
| LE PASSIONNÉ DE LA SEMAINE |
Georges Spitaels est un chat. Comme eux, il a vécu plusieurs vies.
Tour à tour joueur, intendant, secrétaire et désormais officiel, ce Tourquennois de 60 ans a consacré une large page de sa vie au basket. Au point de mettre sa santé en péril !
PAR SYLVAIN LIRON
dparsy@lavoixdunord.fr PHOTO DR
> Avez-vous joué au basket pendant votre enfance ?
« Quelques années, je ne me rappelle plus combien. J'ai évolué à l'Excelsior Roubaix. J'ai aussi fait un peu de gymnastique. Mais j'ai vite arrêté. À 16 ans, j'ai dû quitter l'école pour travailler. J'ai touché à tout, sauf au sport. »
> Comment s'explique votre passion alors ?
« En rencontrant ma seconde femme, je suis retombé dedans par hasard. J'accompagnais mon beau-fils Michel à la Jeune Garde de Tourcoing et le président cherchait des bénévoles. C'est comme ça que je me suis retrouvé intendant de l'équipe première. Je m'occupais de tout sauf du sportif. Je réservais les hôtels, les restaurants, je conduisais les minibus. J'appréciais l'amitié entre nous, avec le coach, les joueurs. »
> Avez-vous côtoyé des grands noms ?
« L'équipe jouait dans l'équivalent de la 3e division et on a vu passer au cours de toutes ces années Christian Cléante, Fabrice Courcier, Larry Lawrence ou Jean-Louis Verkindt. Avec ce dernier, qui coache les filles de Neuville, je garde un bon contact. »
> Quels sont vos plus grands souvenirs ?
« Lors d'un match contre Denain, je ne me souviens plus si on avait gagné ou perdu, je me suis effondré à la fin du match. Bilan : une nuit à l'hôpital, Une grosse chute de tension. Je vivais les matches intensément. »
> Pourquoi tout ça s'est-il arrêté ?
« En 1995, j'ai été licencié. Quand j'ai trouvé un poste de chauffeur routier deux ans plus tard, j'ai tout lâché. Plus un match, rien.
Pendant dix ans. Ma femme travaillait dans un bar-PMU alors je venais l'aider et j'ai compensé ce manque avec les chevaux. »
> Comment avez-vous atterri à Wasquehal alors ?
« Alicia, la petite-fille de ma femme, s'est inscrite au basket. Je l'ai accompagnée à Tourcoing puis à Wasquehal. C'est là, qu'un soir, en 2007, un grand type est venu me voir et m'a demandé si je voulais bien devenir l'intendant de l'équipe première. C'était le coach, Mathieu Espinous. J'ai dit oui aussitôt. Trois années de joies et de larmes. Et, cette année, j'ai décidé de laisser ma place et j'ai passé les concours d'officiel, pour tenir la feuille de match. J'officie déjà en NM3 et en NF2 mais j'espère aller plus haut. »
> Comment votre femme vit ça ?
« Eh bien, elle confesse que parfois, elle en a un peu marre. Les vacances au Maroc, ce sera au mois de juin. En pleine saison touristique car avant, il y a basket ! » •
http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Tour ... r-la.shtml
lundi 14.02.2011, 05:18 - La Voix du Nord
Georges Spitaels entouré de «ses filles» du Fémina Wasquehal après un match.
| LE PASSIONNÉ DE LA SEMAINE |
Georges Spitaels est un chat. Comme eux, il a vécu plusieurs vies.
Tour à tour joueur, intendant, secrétaire et désormais officiel, ce Tourquennois de 60 ans a consacré une large page de sa vie au basket. Au point de mettre sa santé en péril !
PAR SYLVAIN LIRON
dparsy@lavoixdunord.fr PHOTO DR
> Avez-vous joué au basket pendant votre enfance ?
« Quelques années, je ne me rappelle plus combien. J'ai évolué à l'Excelsior Roubaix. J'ai aussi fait un peu de gymnastique. Mais j'ai vite arrêté. À 16 ans, j'ai dû quitter l'école pour travailler. J'ai touché à tout, sauf au sport. »
> Comment s'explique votre passion alors ?
« En rencontrant ma seconde femme, je suis retombé dedans par hasard. J'accompagnais mon beau-fils Michel à la Jeune Garde de Tourcoing et le président cherchait des bénévoles. C'est comme ça que je me suis retrouvé intendant de l'équipe première. Je m'occupais de tout sauf du sportif. Je réservais les hôtels, les restaurants, je conduisais les minibus. J'appréciais l'amitié entre nous, avec le coach, les joueurs. »
> Avez-vous côtoyé des grands noms ?
« L'équipe jouait dans l'équivalent de la 3e division et on a vu passer au cours de toutes ces années Christian Cléante, Fabrice Courcier, Larry Lawrence ou Jean-Louis Verkindt. Avec ce dernier, qui coache les filles de Neuville, je garde un bon contact. »
> Quels sont vos plus grands souvenirs ?
« Lors d'un match contre Denain, je ne me souviens plus si on avait gagné ou perdu, je me suis effondré à la fin du match. Bilan : une nuit à l'hôpital, Une grosse chute de tension. Je vivais les matches intensément. »
> Pourquoi tout ça s'est-il arrêté ?
« En 1995, j'ai été licencié. Quand j'ai trouvé un poste de chauffeur routier deux ans plus tard, j'ai tout lâché. Plus un match, rien.
Pendant dix ans. Ma femme travaillait dans un bar-PMU alors je venais l'aider et j'ai compensé ce manque avec les chevaux. »
> Comment avez-vous atterri à Wasquehal alors ?
« Alicia, la petite-fille de ma femme, s'est inscrite au basket. Je l'ai accompagnée à Tourcoing puis à Wasquehal. C'est là, qu'un soir, en 2007, un grand type est venu me voir et m'a demandé si je voulais bien devenir l'intendant de l'équipe première. C'était le coach, Mathieu Espinous. J'ai dit oui aussitôt. Trois années de joies et de larmes. Et, cette année, j'ai décidé de laisser ma place et j'ai passé les concours d'officiel, pour tenir la feuille de match. J'officie déjà en NM3 et en NF2 mais j'espère aller plus haut. »
> Comment votre femme vit ça ?
« Eh bien, elle confesse que parfois, elle en a un peu marre. Les vacances au Maroc, ce sera au mois de juin. En pleine saison touristique car avant, il y a basket ! » •
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Le talent, c'est d'avoir envie !
3ème de la Fantasy NBA Basketnews 2010
2ème de la Fantasy NBA Basketnews 2011
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Re: NF1 Poule B 2010/2011
Résumé Wasquehal - Geispolsheim sur le site de Geispo
http://www.cjsgeispolsheim.iball.fr/article-2154
Dommage
http://www.cjsgeispolsheim.iball.fr/article-2154
Dommage
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Re: NF1 Poule B 2010/2011
BASKET-BALLINATIONALE 1 FÉMININEI21e journée : Femina Wasquehal - Geispolsheim - Le Femina assure sa place en Nationale 1
Sophie Pruvost, félicitée par ses coéquipières, a tenu un rôle prépondérant dans cette victoire.Photo G.W.
Sophie Pruvost, félicitée par ses coéquipières, a tenu un rôle prépondérant dans cette victoire.Photo G.W.
Les Wasquehaliennes se sont certes fait quelques frayeurs mais ont préservé l'essentiel : la victoire et l'assurance
de conserver leur place en N1, après avoir décroché un succès dans la douleur (77-74) face à Geispolsheim samedi.
GÉRARD WALLEYS > correspondant
Dire que les filles de Mathieu Epinous ont dû puiser au plus profond d'elles-mêmes pour aller cueillir cette victoire capitale est un euphémisme. C'est dans la douleur et au terme d'un money-time disputé sur un rythme échevelé que les Wasquehaliennes portées par leur capitaine Sophie Pruvost ont arraché le précieux sésame synonyme d'un maintien vital pour la pérennité club. Rien ne fut facile devant des Alsaciennes qui jouaient également leur survie et qui n'ont jamais rien lâché durant trois quarts-temps âprement disputés et qu'elles ont dominés au score.
Les Nordistes ont longtemps couru après la marque (16-26 puis 26-36), montrant une grosse fébrilité défensive dans la raquette et en étant trop souvent dominées au niveau des rebonds offensifs adverses. Mais la hargne et l'engagement de deux ou trois joueuses du cinq majeur, parmi lesquelles la capitaine, ont permis au Femina de recoller un peu au marquoir à l'aube d'un dernier quart-temps haletant (58-61). Commettant énormément de fautes sur les attaques locales, Geispolsheim donnait le fouet pour se faire battre. Le Femina n'avait dès lors qu'à se concentrer sur sa réussite aux lancers francs pour passer devant au score à deux minutes du buzzer (74-72). Une fois n'est pas coutume, c'est dans ces secondes déterminantes pour leur avenir que les joueuses portées par les encouragements d'une salle Pierre-Loti enfin réveillée ont donné la plénitude de leurs moyens, pour au final, l'emporter sur le fil (77-74).
L'explosion de joie équivalait à un « ouf » de soulagement général et, pendant de longues minutes, les Wasquehaliennes tombaient dans les bras les unes des autres en laissant échapper pour quelques-unes des larmes qui démontraient combien cette saison avait été difficile à vivre. Mathieu Espinous, visiblement ému, pouvait enfin apprécier : « Ce match est à l'image de l'année que nous venons de vivre. À une différence près cependant, c'est que les filles se sont réveillées à un moment du match qui nous est habituellement fatal. C'est un gros soulagement que cette victoire. » À quelques mètres de là, Sophie Pruvost ne pouvait retenir ses larmes, consolée aussitôt par ses coéquipières. Une bonne nouvelle pouvant en cacher une autre moins agréable. La capitaine et emblématique meneuse, qui va sans doute mettre sa carrière entre parenthèses pour tenter de goûter aux joies de la maternité, venait peut-être de jouer sa dernière partie à Pierre-Loti.w Femina Wasquehal - Geispolsheim : 77-74.
Sophie Pruvost, félicitée par ses coéquipières, a tenu un rôle prépondérant dans cette victoire.Photo G.W.
Sophie Pruvost, félicitée par ses coéquipières, a tenu un rôle prépondérant dans cette victoire.Photo G.W.
Les Wasquehaliennes se sont certes fait quelques frayeurs mais ont préservé l'essentiel : la victoire et l'assurance
de conserver leur place en N1, après avoir décroché un succès dans la douleur (77-74) face à Geispolsheim samedi.
GÉRARD WALLEYS > correspondant
Dire que les filles de Mathieu Epinous ont dû puiser au plus profond d'elles-mêmes pour aller cueillir cette victoire capitale est un euphémisme. C'est dans la douleur et au terme d'un money-time disputé sur un rythme échevelé que les Wasquehaliennes portées par leur capitaine Sophie Pruvost ont arraché le précieux sésame synonyme d'un maintien vital pour la pérennité club. Rien ne fut facile devant des Alsaciennes qui jouaient également leur survie et qui n'ont jamais rien lâché durant trois quarts-temps âprement disputés et qu'elles ont dominés au score.
Les Nordistes ont longtemps couru après la marque (16-26 puis 26-36), montrant une grosse fébrilité défensive dans la raquette et en étant trop souvent dominées au niveau des rebonds offensifs adverses. Mais la hargne et l'engagement de deux ou trois joueuses du cinq majeur, parmi lesquelles la capitaine, ont permis au Femina de recoller un peu au marquoir à l'aube d'un dernier quart-temps haletant (58-61). Commettant énormément de fautes sur les attaques locales, Geispolsheim donnait le fouet pour se faire battre. Le Femina n'avait dès lors qu'à se concentrer sur sa réussite aux lancers francs pour passer devant au score à deux minutes du buzzer (74-72). Une fois n'est pas coutume, c'est dans ces secondes déterminantes pour leur avenir que les joueuses portées par les encouragements d'une salle Pierre-Loti enfin réveillée ont donné la plénitude de leurs moyens, pour au final, l'emporter sur le fil (77-74).
L'explosion de joie équivalait à un « ouf » de soulagement général et, pendant de longues minutes, les Wasquehaliennes tombaient dans les bras les unes des autres en laissant échapper pour quelques-unes des larmes qui démontraient combien cette saison avait été difficile à vivre. Mathieu Espinous, visiblement ému, pouvait enfin apprécier : « Ce match est à l'image de l'année que nous venons de vivre. À une différence près cependant, c'est que les filles se sont réveillées à un moment du match qui nous est habituellement fatal. C'est un gros soulagement que cette victoire. » À quelques mètres de là, Sophie Pruvost ne pouvait retenir ses larmes, consolée aussitôt par ses coéquipières. Une bonne nouvelle pouvant en cacher une autre moins agréable. La capitaine et emblématique meneuse, qui va sans doute mettre sa carrière entre parenthèses pour tenter de goûter aux joies de la maternité, venait peut-être de jouer sa dernière partie à Pierre-Loti.w Femina Wasquehal - Geispolsheim : 77-74.