31/10/2012 - Par Richard Marquet - http://www.sudouest.fr
Basket Landes : Guzman module son impact
Élue meilleure meneuse de l'Eurocup 2012, la New-Yorkaise, remarquée pour son fort rendement offensif, compose une partition plus subtile et plus altruiste au service du collectif landais
Carmen Guzman veut exister autrement qu'en tant que leader offensif.
Stressée et nerveuse. Lundi soir à l'entraînement, Carmen Guzman était bien moins préoccupée par l'imminence du duel d'Eurocoupe face à l'armada du Dynamo Moscou que par la force de frappe de Sandy, le cyclone tropical qui s'apprêtait à balayer la côte est des États-Unis. « J'ai eu ma mère au téléphone, tout le monde va bien, ils sont à l'abri, ont fait des provisions pour plusieurs jours, ça devrait aller », se rassure la meneuse de Basket Landes. « Et puis c'est New-York ! La ville a enduré tant de catastrophes ces dernières années ! Ce qui ne la tue pas la rend plus forte », théorise cet ex-étudiante en philosophie, fruit d'une double culture comme en regorge la Grosse Pomme.
New-Yorkaise pur jus
« Américaine par mon père et Dominicaine par ma mère », maniant aussi bien la langue de Shakespeare que celle de Cervantes, « je n'en reste pas moins une New-Yorkaise pur jus, fan des Yankees (rires). J'y suis née, j'y ai été élevée, éduquée. » C'est aussi sur les playgrounds du upper Manhattan, tout près de la prestigieuse Université de Columbia, qu'elle a commencé à apprivoiser la grosse sphère orange. « C'était assez tard, à 14 ans », se souvient celle qui, plus tard, fit les beaux jours de l'université de Birmingham en NCAA jusqu'en 2007, avant de tenter l'aventure outre-Atlantique. « Être new-yorkais, c'est aussi ça, être persuadé que tout est accessible, du moment qu'on s'en donne les moyens. » Et puis quand on a grandi au cœur de la métropole la plus cosmopolite au monde, « on a cette ouverture d'esprit de vouloir aller vers l'autre, de découvrir ses horizons ».
MVP étrangère
Interrompue une année par une blessure au genou, et entrecoupée d'une expérience à Porto Rico, son envie d'ailleurs débute en Turquie, rebondit en Allemagne, puis ces deux dernières saisons en Slovaquie où le talent de la meneuse de poche, élue MVP étrangère de ces différents championnats, va littéralement éclabousser l'échiquier européen.
L'an passé, avec le club de Ruzomberok qu'elle portait à bout de bras, l'Américaine de 27 ans fut élue meilleure meneuse de l'Eurocup, après avoir bouclé la compétition en tête du classement des meilleures scoreuses (20,2 points de moyenne à 48,9 % de réussite derrière l'arc) et deuxième meilleure passeuse. Elle contribua aussi copieusement aux deux succès slovaques sur Basket Landes (28 points, 5 rebonds et 7 assists sur les deux confrontations), formation dont elle défend aujourd'hui les intérêts. Animées des mêmes convictions, mais avec un rendement bien moins clinquant (6,8pts, 5rbds, 3pds).
Olivier Lafargue, son coach, ne retient qu'une statistique, symptomatique de l'impact de la joueuse : « Chaque fois qu'elle a été sur le terrain en championnat, on a gagné. » Quant à l'intéressée - absente deux semaines en début de saison pour soigner une aponévrose à l'ischiojambier - elle sait parfaitement faire la part des choses.
Maître à jouer
« Basket Landes n'est pas Ruzomberok. Là-bas, je devais marquer plus de 20 points par match pour espérer l'emporter. » Si elle est moins exposée, moins contributive dans le scoring en attaque, « c'est qu'ici, le groupe est bien armé à chaque poste. Le danger vient de partout. Le championnat est aussi beaucoup plus relevé, chaque match est un combat, alors qu'en Slovaquie, le niveau était beaucoup plus hétérogène », relativise la numéro 5 landaise. Du coup, elle a dû moduler son registre, sans se brider. « J'ai plus un rôle de maître à jouer. Je suis plus dans le contrôle, la gestion, la sécurisation de l'équipe. Et ça me va ! » Un profil de leader, mais plus uniquement offensif… Ses grosses qualités individuelles la laissant libre « de prendre le jeu à son compte quand elle en ressent le besoin », souligne Olivier Lafargue. « Tout le monde aime marquer des points, non ? Mais ce que je préfère, c'est que mon équipe gagne. Peu importe les moyens mis en œuvre. Gagner, voilà ma vraie nature ! »
Amoureuse du jeu
Sur un parquet, le style Guzman, imprévisible, est aussi trépidant que peut l'être le rythme de vie new-yorkais. « J'aime quand ça va vite, j'adore les contre-attaques, les belles passes, les beaux gestes. J'aime le jeu, quoi ! », s'exclame-t-elle dans un sourire jovial, que l'évocation de la défaite à Belgrade, mercredi, se charge de transformer illico en vilaine grimace.
« Mauvaise défense, absence de communication et d'intensité… C'était vraiment pas ça, regrette la meneuse US. Après, on ne pratique ensemble que depuis sept semaines. Et jusqu'ici, dès qu'on a fait un pas en arrière, on s'est relancé derrière, ce qui prouve qu'on apprend de nos erreurs. On a juste encore besoin de temps. Mais on a un très bon groupe, et j'ai bon espoir pour la suite », positive-t-elle à quelques heures du deuxième rendez-vous européen de Basket Landes, ce soir, sur le parquet de Mitterrand où elle espère avoir autant d'impact que lors de son dernier passage avec Ruzomberok. Mais il faudra certainement plus que la tornade Guzman pour réduire à néant les ambitions des solides Moscovites.
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Re: LFB toutes les infos
06/11/2012 - Propos recueillis par Andy Barréjot
TARBES
Angelica Robinson du TGB : «Barack Obama est proche du peuple»
http://www.ladepeche.fr/article/2012/11 ... euple.html
TARBES
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Re: LFB toutes les infos
Perrine Leleuch (vice championne du monde de 3x3 cet été) toujours sans club! Très étonnant non?
If you don't believe in yourself, no one else will !
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castillet
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Re: LFB toutes les infos
Oui mais pas étonnant de pas la voir en LFB...Mc key a écrit :Perrine Leleuch (vice championne du monde de 3x3 cet été) toujours sans club! Très étonnant non?
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Re: LFB toutes les infos
14/11/2012 - http://www.ladepeche.fr
Julie Legoupil chef de groupe
Toujours avec le n° 7 que portaient déjà son grand-père et son père.
Un bon début de parcours pour les Toulousaines du TMB.
À l'intersaison, Julie Legoupil a quitté Lyon pour Toulouse. Où elle a trouvé une équipe sympa qui lui permet de s'éclater et surprend par ses bons résultats.
Julie Legoupil, la première recrue du Toulouse Métropole Basket à l'intersaison, arrive au rendez-vous le visage éclairé par un sourire radieux. En l'absence de Darline Nsoki qui se remet d'un accident de la circulation, elle est devenue le leader d'une jeune équipe toulousaine (moins de 24 ans de moyenne d'âge) qui bouscule les pronostics en ce début de saison avec cinq victoires en huit matchs. Normal, alors qu'elle n'a pas encore fêté ses 28 ans (le 27 décembre), cette arrière est la plus âgée du groupe : «La plus vieille, oui, mais, dans cette équipe, je le vis bien. Et je ne suis tout de même pas la grand-mère !»
Cette équipe où elle évolue comme un poisson dans l'eau. «Je l'aime vraiment, car c'est une équipe de filles gentilles, motivées, saines d'esprit. C'est important et c'est sans doute pour cela que nous avons ces résultats», précise la belle Normande qui, petite-fille et fille de basketteurs, fréquente les salles depuis qu'elle sait marcher.
«Nous sommes toutes dans le même objectif, personne ne tire la couverture à soi, ou même essaie de le faire, ajoute Julie. Les''stats'' personnelles, tout le monde s'en fout. C'est différent de ce que j'ai connu auparavant. Mathieu (Chauvet, l'entraîneur) nous a inculqué sa façon de travailler et, même à l'entraînement, nous essayons d'avoir une forte cohésion et de faire passer l'équipe avant tout. Le groupe est vraiment soudé et cette solidarité se voit sur le terrain.»
Du talent, du cœur… et du travail
La demoiselle n'est donc pas spécialement surprise par le parcours du TMB : «Si on m'avait dit ça lorsque j'ai signé, alors que la montée n'était pas encore acquise, je ne l'aurais pas cru. Mais, j'ai toujours su que ce groupe avait du talent et du cœur, deux choses qui peuvent mener loin. Je pensais que notre jeunesse allait nous amener à pécher à un moment donné, mais, pour l'instant, c'est un atout. De plus, nous travaillons beaucoup et cette jeunesse nous permet de ne pas être blasées.»
Le travail, autre élément de la réussite toulousaine. Ce n'est pas Mathieu Chauvet qui dira le contraire.
Reste à savoir jusqu'où va aller ce TMB qui ne vise qu'une place entre huit et dix. «Je suis sereine, répond Julie. Pour l'instant, nous sommes en avance par rapport à l'objectif. Si nous perdons un match, ce n'est pas la fin du monde.»
Toulouse MB-Charleville-Mézières samedi à 20 heures.
Le chiffre : 5
(victoires) Pour le TMB. Après huit journées, les Toulousaines, promues, ont signé cinq victoires, dont deux à l'extérieur (Tarbes et Aix-en-Provence samedi dernier), en n'ayant joué que trois fois à domicile où elles espèrent rester invaincues samedi soir à l'occasion de la réception de Charleville-Mézières, à 20 heures, au petit palais des sports de la Ville rose.
Amoureuse de Toulouse
Julie Legoupil ne regrette absolument pas d'avoir signé au TMB : «Ce club correspond à 200 % à mes valeurs personnelles. C'est un club familial et il règne un très bon esprit d'équipe avec les valeurs guerrières du Sud-Ouest, les valeurs du rugby.»
Et puis il y a la Ville rose. «J'ai passé six ans à Lyon dont j'étais tombée amoureuse. Je ne pensais pas pouvoir aimer autant Toulouse. J'aime cette ville pour son climat, son dynamisme. Il y a toujours quelque chose à faire ici. Christian, mon copain, y avait déjà vécu trois ans et il a un peu poussé que je rejoigne Toulouse. Je ne regrette pas ce choix. De toute façon, j'ai toujours aimé le Sud-Ouest, mais j'allais plutôt au Pays Basque pour les fêtes. Je suis une bonne vivante qui apprécie la bonne chère et, ici, je suis servie.»
Déjà titulaire d'un master 2 en management du sport, Julie Legoupil prépare maintenant un BAFD pour devenir directrice de centre de loisirs, fonction qu'elle a exercée à mi-temps à Lyon. Et elle apprend aussi «le français et la vie française» à sa coéquipière serbe Adrijana Knezevic.
Jean-Paul Pronzato - http://www.ladepeche.fr
Julie Legoupil chef de groupe
Toujours avec le n° 7 que portaient déjà son grand-père et son père.
Un bon début de parcours pour les Toulousaines du TMB.
À l'intersaison, Julie Legoupil a quitté Lyon pour Toulouse. Où elle a trouvé une équipe sympa qui lui permet de s'éclater et surprend par ses bons résultats.
Julie Legoupil, la première recrue du Toulouse Métropole Basket à l'intersaison, arrive au rendez-vous le visage éclairé par un sourire radieux. En l'absence de Darline Nsoki qui se remet d'un accident de la circulation, elle est devenue le leader d'une jeune équipe toulousaine (moins de 24 ans de moyenne d'âge) qui bouscule les pronostics en ce début de saison avec cinq victoires en huit matchs. Normal, alors qu'elle n'a pas encore fêté ses 28 ans (le 27 décembre), cette arrière est la plus âgée du groupe : «La plus vieille, oui, mais, dans cette équipe, je le vis bien. Et je ne suis tout de même pas la grand-mère !»
Cette équipe où elle évolue comme un poisson dans l'eau. «Je l'aime vraiment, car c'est une équipe de filles gentilles, motivées, saines d'esprit. C'est important et c'est sans doute pour cela que nous avons ces résultats», précise la belle Normande qui, petite-fille et fille de basketteurs, fréquente les salles depuis qu'elle sait marcher.
«Nous sommes toutes dans le même objectif, personne ne tire la couverture à soi, ou même essaie de le faire, ajoute Julie. Les''stats'' personnelles, tout le monde s'en fout. C'est différent de ce que j'ai connu auparavant. Mathieu (Chauvet, l'entraîneur) nous a inculqué sa façon de travailler et, même à l'entraînement, nous essayons d'avoir une forte cohésion et de faire passer l'équipe avant tout. Le groupe est vraiment soudé et cette solidarité se voit sur le terrain.»
Du talent, du cœur… et du travail
La demoiselle n'est donc pas spécialement surprise par le parcours du TMB : «Si on m'avait dit ça lorsque j'ai signé, alors que la montée n'était pas encore acquise, je ne l'aurais pas cru. Mais, j'ai toujours su que ce groupe avait du talent et du cœur, deux choses qui peuvent mener loin. Je pensais que notre jeunesse allait nous amener à pécher à un moment donné, mais, pour l'instant, c'est un atout. De plus, nous travaillons beaucoup et cette jeunesse nous permet de ne pas être blasées.»
Le travail, autre élément de la réussite toulousaine. Ce n'est pas Mathieu Chauvet qui dira le contraire.
Reste à savoir jusqu'où va aller ce TMB qui ne vise qu'une place entre huit et dix. «Je suis sereine, répond Julie. Pour l'instant, nous sommes en avance par rapport à l'objectif. Si nous perdons un match, ce n'est pas la fin du monde.»
Toulouse MB-Charleville-Mézières samedi à 20 heures.
Le chiffre : 5
(victoires) Pour le TMB. Après huit journées, les Toulousaines, promues, ont signé cinq victoires, dont deux à l'extérieur (Tarbes et Aix-en-Provence samedi dernier), en n'ayant joué que trois fois à domicile où elles espèrent rester invaincues samedi soir à l'occasion de la réception de Charleville-Mézières, à 20 heures, au petit palais des sports de la Ville rose.
Amoureuse de Toulouse
Julie Legoupil ne regrette absolument pas d'avoir signé au TMB : «Ce club correspond à 200 % à mes valeurs personnelles. C'est un club familial et il règne un très bon esprit d'équipe avec les valeurs guerrières du Sud-Ouest, les valeurs du rugby.»
Et puis il y a la Ville rose. «J'ai passé six ans à Lyon dont j'étais tombée amoureuse. Je ne pensais pas pouvoir aimer autant Toulouse. J'aime cette ville pour son climat, son dynamisme. Il y a toujours quelque chose à faire ici. Christian, mon copain, y avait déjà vécu trois ans et il a un peu poussé que je rejoigne Toulouse. Je ne regrette pas ce choix. De toute façon, j'ai toujours aimé le Sud-Ouest, mais j'allais plutôt au Pays Basque pour les fêtes. Je suis une bonne vivante qui apprécie la bonne chère et, ici, je suis servie.»
Déjà titulaire d'un master 2 en management du sport, Julie Legoupil prépare maintenant un BAFD pour devenir directrice de centre de loisirs, fonction qu'elle a exercée à mi-temps à Lyon. Et elle apprend aussi «le français et la vie française» à sa coéquipière serbe Adrijana Knezevic.
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adiou
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Re: LFB toutes les infos
Il y a déjà deux qualifiés pour les quarts de finale de Coupe de France. Il s'agit de Lattes-Montpellier et Basket Landes. Suite et fin aujourd'hui à 20h.
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Lorys
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Re: LFB toutes les infos
Jacinta Monroe, première recrue de Charleville-Mézières (LFB)
Alors que la saison régulière de LFB se termine ce week-end, les clubs s’activent déjà pour construire leur équipe pour la saison prochaine. Selon nos informations, Charleville-Mézières vient ainsi d’engager l’intérieure états-unienne Jacinta Monroe (1m96, 24 ans).
Jacinta Monroe (photo : D.R.)
Jacinta Monroe (photo : D.R.)
Un bon C.V. pour remplacer Aminata Nar Diop. En effet, Monroe, après avoir réalisé un excellent cursus au lycée (meilleure joueuse de Floride en 2005/06) puis à l’université de Florida State (meilleure contreuse de l’histoire de la fac, quatrième marqueuse et rebondeuse), a été draftée en sixième position en 2010 par les Washington Mystics.
Si elle n’a pas réussi à s’imposer dans la ligue états-unienne (2,1 points à 48,4%, 0,9 rebond et 0,5 contre en 7 minutes sur 21 matchs en 2010 et 4 matchs seulement à Tulsa en 2011), elle réalise une belle carrière en Europe.
Intéressante pour sa saison rookie à Saragosse – club qu’elle a quitté en raison de salaires impayés – en 2010/11 (10,4 points et 6,6 rebonds), elle a cartonné en Turquie l’an dernier (16,6 points et 13,9 rebonds à Cankaya Universitesi) avant de confirmer cette saison à Girone (13,4 points à 54,4%, 8,7 rebonds et 1,1 contre en 25 minutes) où elle jouait aux côtés de l’ancienne légende de LFB – trois fois meilleures joueuse en 2002, 2003 et 2004 – et femme de Danny Strong, Alliston Feaster-Strong. Après son départ de Saragosse, elle a aussi joué en Chine, au Beijing Chinese Wall (seulement 7,9 points et 5,4 rebonds de moyenne).
Cette gauchère, capable de tirer à mi-distance, est connue pour sa mobilité. Son jeu dos au panier semble intéressant mais elle paraît encore un peu frêle dans le combat.
Alors que la saison régulière de LFB se termine ce week-end, les clubs s’activent déjà pour construire leur équipe pour la saison prochaine. Selon nos informations, Charleville-Mézières vient ainsi d’engager l’intérieure états-unienne Jacinta Monroe (1m96, 24 ans).
Jacinta Monroe (photo : D.R.)
Jacinta Monroe (photo : D.R.)
Un bon C.V. pour remplacer Aminata Nar Diop. En effet, Monroe, après avoir réalisé un excellent cursus au lycée (meilleure joueuse de Floride en 2005/06) puis à l’université de Florida State (meilleure contreuse de l’histoire de la fac, quatrième marqueuse et rebondeuse), a été draftée en sixième position en 2010 par les Washington Mystics.
Si elle n’a pas réussi à s’imposer dans la ligue états-unienne (2,1 points à 48,4%, 0,9 rebond et 0,5 contre en 7 minutes sur 21 matchs en 2010 et 4 matchs seulement à Tulsa en 2011), elle réalise une belle carrière en Europe.
Intéressante pour sa saison rookie à Saragosse – club qu’elle a quitté en raison de salaires impayés – en 2010/11 (10,4 points et 6,6 rebonds), elle a cartonné en Turquie l’an dernier (16,6 points et 13,9 rebonds à Cankaya Universitesi) avant de confirmer cette saison à Girone (13,4 points à 54,4%, 8,7 rebonds et 1,1 contre en 25 minutes) où elle jouait aux côtés de l’ancienne légende de LFB – trois fois meilleures joueuse en 2002, 2003 et 2004 – et femme de Danny Strong, Alliston Feaster-Strong. Après son départ de Saragosse, elle a aussi joué en Chine, au Beijing Chinese Wall (seulement 7,9 points et 5,4 rebonds de moyenne).
Cette gauchère, capable de tirer à mi-distance, est connue pour sa mobilité. Son jeu dos au panier semble intéressant mais elle paraît encore un peu frêle dans le combat.
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fesse gauche
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Re: LFB toutes les infos
Après avoir recruté Giedre Paugaite et Jacinta Monroe, le club des Flammes Carolos vient d’annoncer l’arrivée de l’ailière Etats-Unienne Ambrosia Anderson (1m86, 1984). Elle débarque du club de Trutnov en République Tchèque où elle tournait à 18,4 points (53,7%), 8,3 rebonds, 2 passes décisives et 1,8 interception de moyenne pour 22,4 d’évaluation.
Après quatre années remplies du côté de l’Université de Brigham Young (17,9 points, 7,5 rebonds et 2 passes de moyenne dans son année séniors), elle sera draftée en 17ème position par le Shock de Detroit en 2006. Elle ne sera pas conservée par le club et ne disputera que 4 rencontres de WNBA dans sa carrière. Elle part donc tenter sa chance à l’étranger et atterrit d’abord en Grèce, au Portugal puis en Israël avant de jouer la saison passée en République Tchèque. Forte scoreuse partout où elle est passée, elle devrait amener des points la saison prochaine à la formation de Romuald Yernaux.
Après quatre années remplies du côté de l’Université de Brigham Young (17,9 points, 7,5 rebonds et 2 passes de moyenne dans son année séniors), elle sera draftée en 17ème position par le Shock de Detroit en 2006. Elle ne sera pas conservée par le club et ne disputera que 4 rencontres de WNBA dans sa carrière. Elle part donc tenter sa chance à l’étranger et atterrit d’abord en Grèce, au Portugal puis en Israël avant de jouer la saison passée en République Tchèque. Forte scoreuse partout où elle est passée, elle devrait amener des points la saison prochaine à la formation de Romuald Yernaux.
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Re: LFB toutes les infos
Ana Cata Chitiga dernière coupée par Pierre Vincent va quitter le BLMA pour prendre la direction de Charleville-Mézières. Vice championne de France cette saison, Ana va donc connaitre son cinquième club en cinq ans.
Source Ladyhoop.
Source Ladyhoop.
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Re: LFB toutes les infos
Lyon maintenu en Ligue féminine
La Fédération française a donné le feu vert au club lyonnais qui s’est engagé à réduire sa masse salariale. Et la première victime pourrait être l’entraîneur, Laurent Buffard.
Lyon basket féminin va pouvoir continuer son aventure en ligue féminine. Telle est la décision prise, hier, par la Fédération française, à propos d’un club, tout d’abord rétrogradé en Fédérale, le 27 mai dernier, pour raisons financières et qui avait fait appel, un mois plus tard.
Sursitaire, si l’on peut dire, le LBF a donc convaincu les instances nationales. Il faut dire que Nicolas Forel, le nouveau président, aidé par les partenaires (anciens et nouveaux) s’est retroussé les manches pour combler le déficit, en même temps qu’il s’est engagé à réduire la masse salariale.
«L’objectif, dit-il, était de rester dans l’élite, alors bien sûr, ça passe par des sacrifices. On doit faire des économies et on tiendra nos promesses.»
Pour garder le navire à flots, le club lyonnais va devoir trancher dans le vif. Et la première «saignée» qui n’est pas des moindres, concernerait l’entraîneur Laurent Buffard qui serait sur le départ. Il y a des discussions en cours, mais pour des raisons économiques, il paraît difficile que ce dernier puisse conserver son poste. Un acte, qui toutefois, pourrait s’avérer grave de conséquences.
Du côté des joueuses, une certitude : Laetitia Kamba recrutée à Mondeville par l’ancienne équipe dirigeante, ne sera pas lyonnaise. « On s’est mis d’accord avec son agent, précise le président du LBF, et elle vient de signer à Villeneuve d’Ascq. »
Une autre joueuse pourrait également partir sous d’autres cieux, à moins qu’elle n’accepte une baisse de salaire. «C’est comme avec Laurent (ndlr Buffard), on discute, mais j’ai bon espoir qu’elle reste chez nous», se veut confiant, Nicolas Forel.
Demi-finaliste du championnat contre Bourges et demi-finaliste de la coupe de France, lors du dernier exercice, le LBF va forcément revoir ses ambitions à la baisse pour la saison à venir. « On va faire le dos rond, mais ce n’est pas pour autant qu’il faut nous enterrer d’avance », prévient Nicolas Forel.
La reprise de l’entraînement a été fixée à fin août, et Lyon sera bien sur le pont pour l’Open féminin, le 6 octobre
contre Arras...
G.P. - http://www.leprogres.fr
La Fédération française a donné le feu vert au club lyonnais qui s’est engagé à réduire sa masse salariale. Et la première victime pourrait être l’entraîneur, Laurent Buffard.
Lyon basket féminin va pouvoir continuer son aventure en ligue féminine. Telle est la décision prise, hier, par la Fédération française, à propos d’un club, tout d’abord rétrogradé en Fédérale, le 27 mai dernier, pour raisons financières et qui avait fait appel, un mois plus tard.
Sursitaire, si l’on peut dire, le LBF a donc convaincu les instances nationales. Il faut dire que Nicolas Forel, le nouveau président, aidé par les partenaires (anciens et nouveaux) s’est retroussé les manches pour combler le déficit, en même temps qu’il s’est engagé à réduire la masse salariale.
«L’objectif, dit-il, était de rester dans l’élite, alors bien sûr, ça passe par des sacrifices. On doit faire des économies et on tiendra nos promesses.»
Pour garder le navire à flots, le club lyonnais va devoir trancher dans le vif. Et la première «saignée» qui n’est pas des moindres, concernerait l’entraîneur Laurent Buffard qui serait sur le départ. Il y a des discussions en cours, mais pour des raisons économiques, il paraît difficile que ce dernier puisse conserver son poste. Un acte, qui toutefois, pourrait s’avérer grave de conséquences.
Du côté des joueuses, une certitude : Laetitia Kamba recrutée à Mondeville par l’ancienne équipe dirigeante, ne sera pas lyonnaise. « On s’est mis d’accord avec son agent, précise le président du LBF, et elle vient de signer à Villeneuve d’Ascq. »
Une autre joueuse pourrait également partir sous d’autres cieux, à moins qu’elle n’accepte une baisse de salaire. «C’est comme avec Laurent (ndlr Buffard), on discute, mais j’ai bon espoir qu’elle reste chez nous», se veut confiant, Nicolas Forel.
Demi-finaliste du championnat contre Bourges et demi-finaliste de la coupe de France, lors du dernier exercice, le LBF va forcément revoir ses ambitions à la baisse pour la saison à venir. « On va faire le dos rond, mais ce n’est pas pour autant qu’il faut nous enterrer d’avance », prévient Nicolas Forel.
La reprise de l’entraînement a été fixée à fin août, et Lyon sera bien sur le pont pour l’Open féminin, le 6 octobre
contre Arras...
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Re: LFB toutes les infos
Buffard n’est plus l’entraîneur du LBF
Le club lyonnais se sépare de son entraîneur. Une décision sans doute lourde de conséquences.
Comme nous le laissions entendre (voir ci-dessus), Laurent Buffard n’est plus l’entraîneur de Lyon Basket Féminin.
Faye - Berger : un ticket possible
Maintenu en Ligue à condition d’alléger sa masse salariale, le club lyonnais a tranché dans le vif, au risque de faire capoter le projet sportif mis en place par celui qui avait pris la succession de Pierre Bressant, la saison dernière.
« Pour l’instant, on s’est mis d’accord sur le montant de l’indemnité et la date, mais le protocole d’accord n’est pas signé » tient à préciser le président Nicolas Forel. « La décision a été difficile à prendre car j’apprécie l’homme et le coach, mais c’est un passage salutaire économiquement pour le club ».
Assistant de Buffard et responsable du centre de formation, Frédéric Berger, un « historique » du LBF, pourrait être propulsé à la tête de l’équipe première, à moins qu’il ne forme un duo avec un certain Etienne Faye.
En effet, l’ancien coach de Laveyron dans la Drôme qui évoluait en Ligue 2 et qui vient de disparaître, est annoncé du côté de Lyon. Une piste à prendre très au sérieux dans la mesure où il ne s’agit ni plus ni moins que du ...beau frère de Nicolas Forel !
Du côté des joueuses, ça bouge forcément aussi. Danielle Page est partie à Baslet Landes, et Leslie Ardon à Toulouse. Mais l’information la plus importante concerne Mistie Mims, MVP du championnat en 2011 et 2012. Son nom circule du côté de Nice, un club promu et entraîné par Rachid Meziane... l’ancien responsable du centre de formation de Challes, où évoluait Mims, avant de venir à Lyon. Mais la rumeur l’enverrait également du côté de la Chine !
Bref, le feuilleton du LBF n’est sûrement pas terminé...
G.P. (avec L.P.) - http://www.leprogres.fr
Le club lyonnais se sépare de son entraîneur. Une décision sans doute lourde de conséquences.
Comme nous le laissions entendre (voir ci-dessus), Laurent Buffard n’est plus l’entraîneur de Lyon Basket Féminin.
Faye - Berger : un ticket possible
Maintenu en Ligue à condition d’alléger sa masse salariale, le club lyonnais a tranché dans le vif, au risque de faire capoter le projet sportif mis en place par celui qui avait pris la succession de Pierre Bressant, la saison dernière.
« Pour l’instant, on s’est mis d’accord sur le montant de l’indemnité et la date, mais le protocole d’accord n’est pas signé » tient à préciser le président Nicolas Forel. « La décision a été difficile à prendre car j’apprécie l’homme et le coach, mais c’est un passage salutaire économiquement pour le club ».
Assistant de Buffard et responsable du centre de formation, Frédéric Berger, un « historique » du LBF, pourrait être propulsé à la tête de l’équipe première, à moins qu’il ne forme un duo avec un certain Etienne Faye.
En effet, l’ancien coach de Laveyron dans la Drôme qui évoluait en Ligue 2 et qui vient de disparaître, est annoncé du côté de Lyon. Une piste à prendre très au sérieux dans la mesure où il ne s’agit ni plus ni moins que du ...beau frère de Nicolas Forel !
Du côté des joueuses, ça bouge forcément aussi. Danielle Page est partie à Baslet Landes, et Leslie Ardon à Toulouse. Mais l’information la plus importante concerne Mistie Mims, MVP du championnat en 2011 et 2012. Son nom circule du côté de Nice, un club promu et entraîné par Rachid Meziane... l’ancien responsable du centre de formation de Challes, où évoluait Mims, avant de venir à Lyon. Mais la rumeur l’enverrait également du côté de la Chine !
Bref, le feuilleton du LBF n’est sûrement pas terminé...
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Desperados
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Re: LFB toutes les infos
Le feuilleton estivale du LBF était déjà ridicule depuis le début mais la on touche le fond !!!
Ce cher Nicolas Forel est en train de tuer le club à petit feu. Les responsables historiques du club sont vraiment des branquinioles !!!
Sernin Marichal, Olivier Ribotta and co sont aller chercher Buffard, Sauret and co il y a peu, avec de grandes ambitions (coupe d'Europe, titres ... Etc ) et la on repart tout droit en ligue 2 !!! Ni faye, ni Berger n'ont les épaules pour la ligue 1.
Cette jolie mascarade prouve juste que ce club et ces dirigeants n'ont rien à faire à ce niveau. Qu'ils restent entre eux, a faire du copinage et à placer leur famille dans l'organigramme du club ... Amateurisme quand tu nous tiens !!!
Ce cher Nicolas Forel est en train de tuer le club à petit feu. Les responsables historiques du club sont vraiment des branquinioles !!!
Sernin Marichal, Olivier Ribotta and co sont aller chercher Buffard, Sauret and co il y a peu, avec de grandes ambitions (coupe d'Europe, titres ... Etc ) et la on repart tout droit en ligue 2 !!! Ni faye, ni Berger n'ont les épaules pour la ligue 1.
Cette jolie mascarade prouve juste que ce club et ces dirigeants n'ont rien à faire à ce niveau. Qu'ils restent entre eux, a faire du copinage et à placer leur famille dans l'organigramme du club ... Amateurisme quand tu nous tiens !!!
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mosquito
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Re: LFB toutes les infos
Entre amateurisme et professionnalisme il y a un juste milieu qui s'appelle "faire avec ses moyens" ce que n'ont pas su faire Lyon et Perpignan. Ces clubs ont voulu aller trop vite, au diable la formation, recrutons des gros calibres pour nos grandes ambitions, des coachs très onéreux, eh bien tant pis pour eux !!! Au niveau organigramme des clubs là je suis d'accord avec Desperados, mais après tout on peut être cousin du président et être un bon coach, on voit bien des joueuses très moyennes en LFB qui ne sont là uniquement parce qu'elles sont filles de.....Desperados a écrit :Le feuilleton estivale du LBF était déjà ridicule depuis le début mais la on touche le fond !!!
Ce cher Nicolas Forel est en train de tuer le club à petit feu. Les responsables historiques du club sont vraiment des branquinioles !!!
Sernin Marichal, Olivier Ribotta and co sont aller chercher Buffard, Sauret and co il y a peu, avec de grandes ambitions (coupe d'Europe, titres ... Etc ) et la on repart tout droit en ligue 2 !!! Ni faye, ni Berger n'ont les épaules pour la ligue 1.
Cette jolie mascarade prouve juste que ce club et ces dirigeants n'ont rien à faire à ce niveau. Qu'ils restent entre eux, a faire du copinage et à placer leur famille dans l'organigramme du club ... Amateurisme quand tu nous tiens !!!
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mosquito
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Re: LFB toutes les infos
http://www.catch-and-shoot.com/livenews ... mson/2013/
D'après catch and shoot (voir lien ) Charleville Mézières recrute Cata chitiga ex-joueuse de Montpellier et Clémentine Samson ex-Perpignan. C'est un bon recrutement je pense pour ce club et une bonne opportunité pour ces 2 joueuses.
D'après catch and shoot (voir lien ) Charleville Mézières recrute Cata chitiga ex-joueuse de Montpellier et Clémentine Samson ex-Perpignan. C'est un bon recrutement je pense pour ce club et une bonne opportunité pour ces 2 joueuses.