rv02 a écrit :Bien sûr que c'est une bonne nouvelle, la défense de cette année, on la doit en bonne partie à Thomas.
Et quelle que soit sa raison, c'est tout en son honneur de rester en N1, plutôt que de rejoindre la Jeep élite (mon dieu mais qui a donné ce nom )
Avec tout ce monde restant au club, c'est qu'il y a sûrement un véritable projet.
J'ai beau me creuser la tête je ne comprends pas comment on peut refuser une proposition comme celle là
Même si il est attaché au club j'epère pour lui qu'il ne le regrettera pas car une telle opportunité ne se représentera sans doute jamais.
rv02 a écrit :Il y aura bien 4 recrues.
M. Walker, Davis, Héaulme, Néree quittent le club.
L'intérieur sera un réel poste 5, bosman européen.
Ils attendent la deuxième démarque comme les soldes pour choisir, pas d'argent !!!
La dernière fois, faute d'argent, Navier nous avez déniché un certain Laroche, et on connaît la suite !!!
Je crains le pire sur le poste 5, voir même le poste 3 jfl.
Les 2 autres recrues seront sûrement des jeunes.
Ça partait pourtant bien !
Peut étre que Navier n'a pas etait bon sur son recrutement quand il a fait venir laroche et pourtant ces stats parler pour lui a laroche , mais on peut pas dire que sur cette saison qui vient de s'écouler il se soit planter , meme si j'apprécie pas forcement sa façon de coacher on peut pas lui jeter la pierre sur tout des fois il faut faire des paris qui s'avère payant ou non c'est un peut la roulette russe quand tu fait avec les moyens que l'ont te donne , au finale sur la papier saint vallier avec la team la plus forte et l'une des teams les plus relever pour la N1 depuis longtemps avec des joueurs référencer pour jouer en Pro B et ils ont déçu , comme quoi le basket c'est pas que des noms !
rv02 a écrit :Il y aura bien 4 recrues.
M. Walker, Davis, Héaulme, Néree quittent le club.
L'intérieur sera un réel poste 5, bosman européen.
Ils attendent la deuxième démarque comme les soldes pour choisir, pas d'argent !!!
La dernière fois, faute d'argent, Navier nous avez déniché un certain Laroche, et on connaît la suite !!!
Je crains le pire sur le poste 5, voir même le poste 3 jfl.
Les 2 autres recrues seront sûrement des jeunes.
Ça partait pourtant bien !
Peut étre que Navier n'a pas etait bon sur son recrutement quand il a fait venir laroche et pourtant ces stats parler pour lui a laroche , mais on peut pas dire que sur cette saison qui vient de s'écouler il se soit planter , meme si j'apprécie pas forcement sa façon de coacher on peut pas lui jeter la pierre sur tout des fois il faut faire des paris qui s'avère payant ou non c'est un peut la roulette russe quand tu fait avec les moyens que l'ont te donne , au finale sur la papier saint vallier avec la team la plus forte et l'une des teams les plus relever pour la N1 depuis longtemps avec des joueurs référencer pour jouer en Pro B et ils ont déçu , comme quoi le basket c'est pas que des noms !
D’accord avec Herobust, JN a fait selon les moyens qu’on lui a donné. Cette année il ne s’est pas planté et c’est lui qui a fait l'équipe. D’autres clubs ont fait moins bien avec autant ou plus de moyens. Donc contrat rempli.
Rappelons nous que nous avons eu droit à de sacrées déconvenues lors des dernières années, avec des effectifs autrement mieux étoffés...
Il serait bien de pouvoir signer le poste 3 jfl rapidement, pour au moins se rassurer. Pour le reste, on a le temps. On peut trouver un poste 5 performant fin juillet.
Il a fait un bon recrutement. Sur les trois étrangers il n'a cependant pris 0 risque. On a mis le paquet sur M. Walker que bien d autres clubs voulaient. Voyons s'il aura le nez creux avec une enveloppe moins importante sur ce poste crucial du 5.
La ou je l'ai trouvé malin, c'est sur le recrutement de Kebe et Yao Delon, qui ont été de très bons joueurs de banc.
J’attends avec impatience la signature du P3 JFL, le choix de ce joueur sera le vrai plus par rapport à cette année! Ils en restent plus énormément de disponible ?
Alors je ne comprend plus rien non plus on a une masse salariale plus importante et on se demande si on va pas jouer a 8 joueurs pros.et on annonce la pro b.on nous prend pour des boubourses ou quoi.
Laurent Prache nouveau président du SQBB
NATIONALE 1 – Le conseil d’administration du Saint-Quentin Basket-Ball a élu à l’unanimité Laurent Prache pour succéder à Patrick Dupuy.
Par Kévin Bessiere | Publié le 30/06/2018 PARTAGER TWITTER Le journal du jour à partir de 0.90€
LECTURE ZEN
Laurent Prache (à gauche) succède à Patrick Dupuy à la tête du SQBB.Laurent Prache (à gauche) succède à Patrick Dupuy à la tête du SQBB. - Archive G.H.
C’est une petite révolution au SQBB. Samedi matin, le conseil d’administration du club s’est réuni à Saint-Quentin pour acter le changement de président. Patrick Dupuy, après trois ans à la tête du Saint-Quentin Basket-Ball, n’est plus le président de la Sasp SQBB. Il reste cependant membre du CA. Ce même CA qui a choisi à l’unanimité son successeur. Il s’agit de Laurent Prache, directeur du magasin Leclerc d’Harly. Ce n’est pas une nouvelle tête pour autant au sein du club. Il est membre du conseil d’administration du SQBB depuis 2009 et occupait déjà le rôle de vice-président. Le club devrait officialiser la nouvelle dans la journée de dimanche.
Ce changement de présidence ne remet pas en cause la présence de Jérôme Navier à la tête de l’équipe première pour la saison prochaine.
Prache : « Je suis là pour faire grandir le club »
Laurent Prache (à gauche) prend la succession de Patrick Dupuy. «C’est une évolution, pas une révolution.»G.H.
Depuis samedi, Laurent Prache est le nouveau président du SQBB. Il s’est déjà mis au travail, notamment en vue de structurer le club. Et espère vite le ramener à l’équilibre.
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Kévin Bessiere
Les suiveurs du club sont prévenus. Laurent Prache, 47 ans, ne sera pas toujours présent à Saint-Quentin. Mais il amène avec lui son expérience de gestionnaire et d’entrepreneur. Pour porter le SQBB vers un meilleur avenir.
Laurent Prache, comment s’est passée votre arrivée en tant que président ?
« C’est une transition naturelle, une élection à l’unanimité. Ça fait quelques semaines, quelques mois que Patrick Dupuy souhaitait passer la main, après trois ans de présidence. Je savais que ça arriverait. J’aurais peut-être voulu que ce soit un peu plus tard. Il semblait évident pour l’ensemble des administrateurs, des gens qui gravitent autour du club, des partenaires institutionnels que c’est moi qui allais reprendre le poste… Il n’y a pas de révolution, c’est une évolution. Ça ne veut pas dire qu’il n’y a pas des choses à améliorer mais on ne met pas les trois années de mandat de Patrick Dupuy à la poubelle. »
Vous êtes présent au club depuis neuf ans. Pourquoi ne pas avoir pris cette présidence avant ?
« Je suis revenu à Saint-Quentin en 2007. Jusqu’en 2012, j’étais directeur. Je ne savais si j’avais l’autorisation ou non de racheter le magasin Leclerc de mes parents (à Harly). Donc être président du club, très bien. Si je n’avais pas eu la possibilité de racheter le magasin, j’aurais été obligé de partir. Je ne me voyais pas m’investir pour le planter. Le club, c’est quelque chose de sacré. Avant d’être dans le conseil d’administration, j’étais supporteur. J’ai vécu les belles années, la relégation. Si j’en prends la présidence, c’est pour le faire grandir, pas le prendre pour avoir une espèce de totem. Avant 2012, c’était impossible. Patrick Dupuy a pris la présidence il y a trois ans, ce n’est pas parce que je suis mieux organisé maintenant et que ça va mieux au magasin que je dois dire Maintenant, c’est mon tour . Si Patrick avait voulu faire dix ans, il aurait fait dix ans. »
Quels seront vos hommes forts au club ?
« Normalement, il y en a onze. Ce sont les administrateurs. Cela fait partie d’une vraie évolution. Bien redéfinir la mission des administrateurs, leur raison d’être au club. Voir s’ils veulent poursuivre l’aventure et voir de quoi demain ils souhaitent s’occuper. Il est évident que Patrick Dupuy faisait beaucoup de choses, trop de choses à mon sens, ce qui est épuisant. Dans la nouvelle organisation, il faut savoir déléguer, faire confiance et valoriser les équipes. Nous sommes onze, chacun aura une part de boulot. Il n’y a pas des objectifs à atteindre, cela reste convivial et du bénévolat pour tout le monde. »
Comment cela se concrétise au quotidien ?
« Il faut qu’on ait une gestion avec plus de délégation et de management. Que chacun récupère un paramètre de fonction, avec un cadre, une mission et qu’il soit responsable de l’évolution de sa mission devant les autres. Je ne suis pas un président omnipotent ni omniscient. Je n’ai ni la vérité unique, ni tous les pouvoirs. Je suis là pour apporter une gestion un peu plus fine au niveau des comptes, pour créer de l’émulsion, faire grandir le club et aller là où tout le monde veut aller. »
Comment savoir qui mettre à quel poste ?
« Je leur ai posé la question samedi, savoir vers quoi il tendait. S’il y a des compétences naturelles pour un poste, ce serait normal qu’il pilote. Que ce soit pour des raisons historiques ou professionnelles. L’idée est d’utiliser les compétences des gens, dans leur domaine d’affinité. C’est un peu la nouvelle philosophie, une philosophie d’entreprise. Ce sera vraiment un travail d’équipe. »
Dans quelle situation financière est le club ?
« Il y a beaucoup de choses à améliorer. On sait qu’on peut optimiser la gestion, c’est une certitude. Cela fait neuf ans que je suis au club. On peut dire que cela fait neuf ans qu’on a une gestion un peu compliquée, on n’est pas forcément au rendez-vous. C’est un truc auquel j’aimerais mettre fin très rapidement. Le nerf de la guerre, c’est l’argent. J’en ai marre des passages devant la DNCG. La première mission est d’avoir un atterrissage au 30 juin 2019 conforme aux prévisions, voire supérieur. Il faut qu’on arrête de promettre des choses qu’on ne peut pas tenir. »
Tout n’est pas si négatif cette saison…
« Toutefois, on a connu des plus belles soirées en N1 qu’en Pro B. Ça reste une bonne saison sur le plan sportif, sur le plan émotionnel, sur le plan humain. On a eu une vraie communion, cela faisait longtemps qu’on n’avait pas connu ça au club. Il faut maintenir cette tendance. La vraie réussite de cette saison, elle n’est ni sportive ni financière, elle est humaine. On n’a pas un club avec des moyens. Notre plus-value, notre force est dans notre enthousiasme. Partout en France, le SQBB représente quelque chose. Il faut conserver cette ferveur, cet engouement. La demi-finale contre Lorient est un beau succès, un palais des sports rempli avec les supporteurs qui respectent un dress-code, ça faisait longtemps que ça n’était pas arrivé. »
Votre arrivée ne change rien à l’avenir de Jérôme Navier ?
« Surtout pas. Je ne suis pas là pour révolutionner mais optimiser. Je ne vais rien promettre que je ne pourrais pas tenir. Je préfère qu’on fasse un point précis des comptes. D’ici une quinzaine de jours, on saura précisément où on en est. »
Quelle sera sa marge de manœuvre pour le recrutement ?
« Si on a une enveloppe identique, on part sur le schéma évoqué par Patrick Dupuy (partir avec huit contrats pros plus deux jeunes). L’idée c’est de donner un maximum de moyens, d’insuffler un dynamisme supplémentaire en termes de partenariat. On veut améliorer notre masse salariale, amener des garanties devant la DNCG pour peut-être supprimer l’encadrement salarial. »
Patrick Dupuy a évoqué la possibilité de n’avoir que huit contrats pros…
« On a deux configurations : une minimale, évoquée par Patrick Dupuy et une normale, ou maximale. Si d’ici quinze jours, trois semaines, on se retrouve avec un afflux de sponsors, bien évidemment que nos petits jeunes deviendront des pros. Après, ça reste du domaine de Jérôme Navier. Mon domaine de compétence est de fournir la meilleure enveloppe à l’entraîneur. Il fera son équipe en fonction de l’enveloppe allouée. Je ne mettrais pas en péril les finances du club pour payer des joueurs que je ne peux pas. Il faut attendre, le marché évolue. Un joueur ne coûte pas le même prix au mois de juin et au mois d’août. »
Source Aisne Nouvelle du jour
